Merci à la librairie Mollat pour ces entretiens avec les auteurs ! Les questions questions posées sont toujours très pertinentes et complémentaires à la lecture du livre.
Nous avons beaucoup à apprendre des peuples premiers. Ce n'est pas l'humanité, mais le modèle occidental crée des sociétés démesurément soumises à leur striatum. Les "indiens" kogi ont su se garder à distance de la notion de profit. Ils nous appellent les "petits frères " et ont très envie que nous grandissons un peu !
Et si on arrêtait d abrutir les jeunes avec des réseaux sociaux sans intérêt mais plutôt d entretenir sa conscience, on en serait pas là. Malheureusement, le striatum prendra tjrs sa place tant qu'il sera tenté par les publicités et autre conneries qui le rendra encore plus bête. Comme disait Rousseau, l homme est bon par nature, c'est la société qui le pervertit
Il cite à bon escient la convention citoyenne pour le climat .c'est une référence significative et une imposture démocratique. L'Etat actuel l'a organisé, a mobilisé de nombreux citoyens ,n'a pas diffusé les multiples propositions et continue à imposer la même politique capitaliste basée sur l'exploitation extrême des humains et de la nature.
une définition de la liberté pourrait être de quelles manières nous choisissons d'appartenir au monde. Mais avant cela il convient de bien resentir que le monde ne nous appartient pas. Il s'agit alors de développer une conscience supérieure, des formes de spiritualité que nous devons faire notre à nouveau. Mais l'Occidental Sébastien Bolher bien etabli dans ses baskets de cadre supérieur préfère revenir comme solution à des formes d'auto censure partagées que ces parents ont bien connues puis bien vite ont oubliées. Ça ne fonctionne pas, le 20 ème siècle en a fait les frais. En résumé, je dirais : petit joueur Sébastien !
Voila ce n'est plus la faute à voltaire mais au striatum...je ne crois pas qu'il y ait dans le cerveau des frontières entre les différentes zones identifiees.
Il n'y a pas d'exception humaine. Nous subissons l'emprise des forces qui régissent les autres formes de vie. L'éthologie nous apprend qu'il y a surnombre quand les effectifs dépassent les ressources du milieu. Le comportement animal se modifie alors : violences parfois meurtrières mais aussi stress, apathie sans oublier les épidémies. Les choses se sont passées ainsi pour l'homme. La paléontologie, les anthropologues qui se sont intéressés aux tribus primitives faiblement peuplées montrent que le climat social est pacifique tant qu'on se contente des ressources du milieu. Dès que, par le biais de la domestication des espèces, nous avons franchi ce palier, sont apparues les violences, le stress, les autres désordres psychologiques sans oublier les pandémies. Que ce soit au Paléolithique ou à l'heure actuelle, les hommes subissent avec bonheur ou dans la souffrance des injonctions génétiques que nous ne parvenons pas à surmonter. La sagesse collective ne relève pas de la raison ou de la morale mais du facteur démographique. Qu'en pensez-vous?
Juste pour compléter le principe de plaisir, son opposé s'appel tout simplement le principe de réalité et quand Bohler dit très justement qu'avec l'éducation ont peut apprendre à maîtriser ses pulsions, au moyen du cortex pré frontal, il ne dit rien d'autre que ce que Freud évoquait déjà dans ces deux principes. Malheureusement la société n'en prend absolument pas le chemin, la liberté de procréation permettant de faire n'importe quoi avec ses couilles ou son vagin, il se trouve que la majorité des procréateurs/trices fabriquent des monstres tout en étant persuadés d'être de bon parents bien sûr. désolé mais la société bien au contraire elle se pervertis de plus en plus et pour cause, l'éducation n'a absolument plus rien à voir avec celle qu'on connu nos grands-parents, les enfants sont mal portés, mal touchés voir pas du tout, plus personne ne prends le temps de leur raconter des comtes de fées, on préfère les laisser vaquer à leur game boy, (Je rappel que seule la parole permet au cortex de se développer) les libertés, toutes les libertés et leur pseudo émancipation culturelles n'ont jamais été mise en équilibre face à la discipline et le devoir supplémentaire qu'exige une nouvelle liberté comme par exemple la liberté de rouler en bagnole ! Imaginez simplement deux secondes l'état du monde si l'homme n'avait pas inventé cette saloperie, il n'y aurait tout simplement pas de ville dortoir, le citoyens se regrouperaient en ville et non en s'étalant hors des villes et pire il n'iraient pas en vacance et les résidences secondaires, les côtes balnéaire, la montagne, tout serait encore à peut près intact. Comme au 17e, alors après, la liberté de baiser qui on veut ou où veut et quand on veut ça va de soi quand tout à été pourri par l'homme.
@@laurencebernadac4693 Bah rien... Quand même bien de refaire le point sur ce sujet à la lumière de l'état actuel de nos sociétés telles qu'elle vont ! :-) Quand on y pense, on comprends mieux le rôle que les religions avaient (ont..) en imposant interdits et limitations... l'humain en est à un stade barbare (adolescent dit M. Bohler) : question grandira t'il assez vite, avant de s’auto-détruire !?
Merci, c'est toujours un plaisir et un enrichissement d'écouter Mr Bohler.
Intéressant......
Merci pour cet très bon explication sur le striatum.
Merci à la librairie Mollat pour ces entretiens avec les auteurs ! Les questions questions posées sont toujours très pertinentes et complémentaires à la lecture du livre.
Nous avons beaucoup à apprendre des peuples premiers. Ce n'est pas l'humanité, mais le modèle occidental crée des sociétés démesurément soumises à leur striatum. Les "indiens" kogi ont su se garder à distance de la notion de profit. Ils nous appellent les "petits frères " et ont très envie que nous grandissons un peu !
Merci pour votre fidelité et les interesat informatión . Merci .
Cela s'apprend. Ce n'est pas impossible
"Le bug humain" n'aura peut-être pas le dernier mot de notre avenir commun....et c'est une bonne nouvelle !
Et si on arrêtait d abrutir les jeunes avec des réseaux sociaux sans intérêt mais plutôt d entretenir sa conscience, on en serait pas là. Malheureusement, le striatum prendra tjrs sa place tant qu'il sera tenté par les publicités et autre conneries qui le rendra encore plus bête. Comme disait Rousseau, l homme est bon par nature, c'est la société qui le pervertit
Il cite à bon escient la convention citoyenne pour le climat .c'est une référence significative et une imposture démocratique.
L'Etat actuel l'a organisé, a mobilisé de nombreux citoyens ,n'a pas diffusé les multiples propositions et continue à imposer la même politique capitaliste basée sur l'exploitation extrême des humains et de la nature.
Alors les leaders, les politiciens, les milliardaires, striatum ou cortex préfrontal ? Ou équilibre ?
une définition de la liberté pourrait être de quelles manières nous choisissons d'appartenir au monde. Mais avant cela il convient de bien resentir que le monde ne nous appartient pas. Il s'agit alors de développer une conscience supérieure, des formes de spiritualité que nous devons faire notre à nouveau. Mais l'Occidental Sébastien Bolher bien etabli dans ses baskets de cadre supérieur préfère revenir comme solution à des formes d'auto censure partagées que ces parents ont bien connues puis bien vite ont oubliées. Ça ne fonctionne pas, le 20 ème siècle en a fait les frais.
En résumé, je dirais : petit joueur Sébastien !
Au boulot le prefrontal le chantier est d'envergure 😅
Voila ce n'est plus la faute à voltaire mais au striatum...je ne crois pas qu'il y ait dans le cerveau des frontières entre les différentes zones identifiees.
Rien que le titre tu conclues à la connerie
Ma preference : je sui Academic, Psychoanalist et Poet . ( oui ! )
elle démarre très fort l'intervieweuse : stratium, striatium....
Il n'y a pas d'exception humaine. Nous subissons l'emprise des forces qui régissent les autres formes de vie. L'éthologie nous apprend qu'il y a surnombre quand les effectifs dépassent les ressources du milieu. Le comportement animal se modifie alors : violences parfois meurtrières mais aussi stress, apathie sans oublier les épidémies.
Les choses se sont passées ainsi pour l'homme. La paléontologie, les anthropologues qui se sont intéressés aux tribus primitives faiblement peuplées montrent que le climat social est pacifique tant qu'on se contente des ressources du milieu. Dès que, par le biais de la domestication des espèces, nous avons franchi ce palier, sont apparues les violences, le stress, les autres désordres psychologiques sans oublier les pandémies.
Que ce soit au Paléolithique ou à l'heure actuelle, les hommes subissent avec bonheur ou dans la souffrance des injonctions génétiques que nous ne parvenons pas à surmonter. La sagesse collective ne relève pas de la raison ou de la morale mais du facteur démographique. Qu'en pensez-vous?
Juste pour compléter le principe de plaisir, son opposé s'appel tout simplement le principe de réalité et quand Bohler dit très justement qu'avec l'éducation ont peut apprendre à maîtriser ses pulsions, au moyen du cortex pré frontal, il ne dit rien d'autre que ce que Freud évoquait déjà dans ces deux principes. Malheureusement la société n'en prend absolument pas le chemin, la liberté de procréation permettant de faire n'importe quoi avec ses couilles ou son vagin, il se trouve que la majorité des procréateurs/trices fabriquent des monstres tout en étant persuadés d'être de bon parents bien sûr. désolé mais la société bien au contraire elle se pervertis de plus en plus et pour cause, l'éducation n'a absolument plus rien à voir avec celle qu'on connu nos grands-parents, les enfants sont mal portés, mal touchés voir pas du tout, plus personne ne prends le temps de leur raconter des comtes de fées, on préfère les laisser vaquer à leur game boy, (Je rappel que seule la parole permet au cortex de se développer) les libertés, toutes les libertés et leur pseudo émancipation culturelles n'ont jamais été mise en équilibre face à la discipline et le devoir supplémentaire qu'exige une nouvelle liberté comme par exemple la liberté de rouler en bagnole ! Imaginez simplement deux secondes l'état du monde si l'homme n'avait pas inventé cette saloperie, il n'y aurait tout simplement pas de ville dortoir, le citoyens se regrouperaient en ville et non en s'étalant hors des villes et pire il n'iraient pas en vacance et les résidences secondaires, les côtes balnéaire, la montagne, tout serait encore à peut près intact. Comme au 17e, alors après, la liberté de baiser qui on veut ou où veut et quand on veut ça va de soi quand tout à été pourri par l'homme.
Pas une découverte !
😳 et ... ? Quelle analyse !
@@laurencebernadac4693 Bah rien... Quand même bien de refaire le point sur ce sujet à la lumière de l'état actuel de nos sociétés telles qu'elle vont ! :-) Quand on y pense, on comprends mieux le rôle que les religions avaient (ont..) en imposant interdits et limitations... l'humain en est à un stade barbare (adolescent dit M. Bohler) : question grandira t'il assez vite, avant de s’auto-détruire !?