Retrouver un corps qui te rend fier, c'est possible même après 40 ans. Programme ta transformation avec un de nos coachs en cliquant ici : www.papainshape.com/cecd1e0e?el=youtube-epingle
J'ai pu testé d'arrêter à quelques soirées entre amis (là ou avant c'étais systématique) plutot qu'arreter totalement et ca a été lé début d'un énorme changement 👍
C'est un excellent début. Apprendre à dire non alors qu'on avait l'habitude de boire sans se poser de questions est la première étape pour une vie plus saine.
Vraiment désolé, mon commentaire va être très très long ! Désolé, mon commentaire va être très très long ! Par ce que c'est important d'en parler. Mon rapport à l'alcool a commencé en 2008, lors de mon entrée chez Look Voyages et Club Med. À cette époque, l’alcool était un moyen de "se lâcher", de "se rendre plus drôle", et de tenir la saison, les 8 mois loin de la France et hors de tout repère. Tout le monde buvait, souvent avec excès. Après trois ans d’alcool quotidien, j'ai rencontré mon ex, qui buvait beaucoup aussi. Nous avons partagé cette habitude ensemble pendant presque deux ans. La machine était déjà bien en route. Les "apéros" familiaux ont aussi joué un rôle, l’alcool y était toujours présent. On proposait même aux enfants de goûter, c’était presque un jeu, une tradition "latine". En parallèle, les soirées avec les amis étaient dominées par la boisson ; refuser un verre, c'était s'exposer à l'exclusion ou au jugement. Ne pas boire signifiait être perçu comme l’extra-terrestre du groupe. Les années passant, j’ai rencontré ma femme, qui boit très peu. Elle a une histoire compliquée avec l’alcool, liée à sa famille. Je me suis adapté, j’ai considérablement réduit ma consommation. Mais plusieurs événements m'ont ramené vers l’alcool : des disputes, des angoisses, du stress. À ce moment-là, l'alcool était devenu un moyen de relâcher la pression. Une journée de travail terminée se ponctuait toujours par une bière ou deux, un verre de vin ou deux. Pas une soirée sans alcool. En 2019, la naissance de mon fils a provoqué un tournant. Après une grossesse difficile et des problématiques familiales du côté de ma belle famille, je me suis retrouvé face à ce nouveau rôle de père. J’avais peur, je me sentais dépassé. Nous étions les premiers de notre groupe d’amis à avoir un enfant, et la pression (inconsciente) sociale se faisait ressentir. Mon hygiène de vie était alors catastrophique : je fumais, je buvais beaucoup, juste pour "tenir". En 2020, ma consommation s'est calmée, mais restait sans réelle maîtrise. En 2021, à 31 ans, je suis retourné aux études, sans diplôme de base, avec seulement un BPJEPS en poche. J’ai intégré une formation d’éducateur spécialisé et une licence de sciences de l’éducation en parallèle. Je me suis aussi remis à la musique, signant des contrats lucratifs. J’ai découvert une passion pour l’apprentissage, l’écriture (c'est à ce moment-là que j'ai commencé à écrire mon roman qui sortira je l'espères pour 2025) , et je me suis remis au sport. C'est également en 2021 que j'ai vu une vidéo de Jérémy Ferrari parlant de son addiction à l’alcool. Cela a été un premier déclic. J’ai pris conscience que j’avais un problème avec l’alcool. Malgré cela, le chemin vers l’arrêt a été long. Je buvais en cachette. L’alcool me désinhibait, je pensais que cela me détendait, mais en réalité, je sombrais de plus en plus. À ce moment-là, ma relation à l'argent était également chaotique : je gagnais beaucoup, mais je dépensais sans compter, souvent dans n’importe quoi. Pendant ce temps, ma femme gérait tant bien que mal les finances, l'organisation, une charge mentale énorme, trouvant des cannettes et des bouteilles d’alcool un peu partout. Elle m'en parlait, essayant différentes approches pour m'aider, mais son propre passé familial lié à l’alcool compliquait encore les choses. En 2022, notre fille est née. J’ai arrêté de fumer et j'ai pris le sport comme une habitude. Bien que la grossesse se soit bien passée, l’après a été plus difficile. Je devais être là pour ma femme, mon fils et maintenant notre fille. Mais malgré mes efforts, je continuais à boire, en ressentant une honte immense. J'avais honte de boire et encore plus de faire subir cela à ma femme. J'ai réalisé que dans notre société, être addict à l'alcool est stigmatisé. Les gens jugent facilement, car tout le monde à sa propre définition de "l'alcoolique" et c'est mal vu... Un homme qui boit, ça passe, c'est "un bon vivant" . "Oh ça va, c'est Dédé, il est bourré" on en rigole... et il faut savoir qu'une une femme qui boit est plus durement critiquée. Pendant tout ce temps, je voyais ma psychologue, un soutien qui m’a permis de ne pas être jugé. Aller voir un psy, c’était pour moi aussi important que de faire du sport. Et puis, en juillet 2024, j'ai pris une décision qui a changé ma vie : j’ai arrêté de boire. Cela faisait longtemps que je me préparais à ce moment. J’ai pris des vacances avec ma femme et mes deux enfants, et j'étais inquiet à l’idée de retrouver mes amis d’enfance, pensant que les soirées seraient synonymes d’alcool. Mais à ma grande surprise, tout s’est passé merveilleusement bien. Je n’ai pas ressenti le besoin de boire, et j’ai découvert que je pouvais passer des moments incroyables sans alcool. J’ai reconnecté avec mes enfants et ma femme, avec plus de sincérité, de patience, et de détente. Aujourd’hui, je suis sobre et vigilant, vivant jour après jour sans l'alcool, qui ne me manque absolument pas. Grâce à l'amour de mes enfants, de ma femme de ma thérapie et de l'application : "I m Sobber" que je conseille vivement à toutes personnes ayant besoin d'aide. J’ai retrouvé confiance en moi, je suis plus sportif, je mange mieux, je suis moins irrité et irritable. Ma relation avec ma femme et mes enfants s’est renforcée. En arrêtant l’alcool, je répare mon corps, mon foie et mon cœur. Je fais de nouvelles rencontres et m'amuse tout autant qu’avant, sinon plus. C’est la meilleure décision que j’ai prise dans ma vie, et je suis fier de ce chemin parcouru. "Je ne suis pas encore là où j’aimerais être, mais je suis fier de ne plus être là où j’étais." Prenez soin de vous.
Tin la Lea salame, j’aurai été le gars, je lui aurais dit “comment ça ? Vous avez besoin d’alcool pour vous sentir drôle? Dois je comprendre que vous vous sentez chiante quand vous êtes sobre ? C’est triste d’avoir une telle perception de soi” j’ai arrêté de boire y a un an et demi et pour rien au monde je retournerai en arrière. Quand on a une vie qui ne nous convient pas pleinement et que l’on boit, on masque les problèmes sous le tapis et on fait avec. Quand on arrête de boire, on voit la réalité en face, on dégage les problèmes et on retrouve l’énergie de s’y confronter.
Bravo pour ton parcours ! Tu as parfaitement raison, l'alcool peut masquer les vrais problèmes. Arrêter de boire permet de les affronter et de retrouver l'énergie pour les résoudre. C'est important d'avoir une perception positive de soi sans l'influence de l'alcool. Félicitations pour cette décision courageuse !
À 31 ans, jamais une goutte d'alcool. Et je ne le ferai jamais. Pas de café ou d'autres substances qui me plongent dans la dépendance. Objectif : prendre le contrôle sur soit d'une manière permanente. Ne suivis pas aveuglément la société. Pensez d'abord à vous et votre famille.
J'ai 66ans je n'ai jamais bu une seule goutte d'alcool ! Personne jamais personne n'a réussi à m'en faire boire une seule goutte ! L'alcool est un solvant chimique pour diluer des vernis, pas une boisson ! Quand j'utilise l'alcool pour le vernis j'ai un masque à gaz filtrant et je porte des gants !
Bonne vidéo Bon Conseil que de limiter Mais uniquement valable pour les 80 % de la population des Consommateurs non malades de l’alcool cad que les 20 % qui restent tombent ds la maladie alcoolique avec une dépendance importante etc Car c’est une maladie pour ceux qui sont concernés Et un rien fait basculer du côté obscur en fonction des moments et des fragilités de la vie Je ne parle même pas des effets cardiovasculaires et métaboliques et cancérigènes qu’une consommation chronique peut occasionner Car nous ne sommes pas tous égaux devant l’alcool comme vous le soulignez ds votre vidéo (génétique corpulence etc ) Pour ceux qui sont concernés l’alcool est toujours le plus fort même si on prétend le contrôler C’est pourquoi que si un jour on se pose la question de son rapport à l’alcool il est important d’envisager après avoir fait le bilan avec les aidants compétents de passer à l’abstinence totale L’alcool c’est effectivement mieux sans définitivement 😉
Merci pour ton commentaire détaillé ! Tu as tout à fait raison, l'alcool peut avoir des effets dévastateurs, surtout pour ceux qui y sont génétiquement prédisposés. Pour les personnes concernées, l'abstinence totale est souvent la meilleure solution. Il est important de reconnaître ses propres limites et de chercher de l'aide si nécessaire.
Retrouver un corps qui te rend fier, c'est possible même après 40 ans.
Programme ta transformation avec un de nos coachs en cliquant ici : www.papainshape.com/cecd1e0e?el=youtube-epingle
Ca mérite d être clair 😉
J'ai pu testé d'arrêter à quelques soirées entre amis (là ou avant c'étais systématique) plutot qu'arreter totalement et ca a été lé début d'un énorme changement 👍
C'est un excellent début.
Apprendre à dire non alors qu'on avait l'habitude de boire sans se poser de questions est la première étape pour une vie plus saine.
Merci pour cette vidéo...Ça va m'aider à essayer de reduire 🥺🙏🏻🤞🏻
Merci à toi pour ton commentaire !
Nous sommes ravis de l'apprendre. 🙏
Vraiment désolé, mon commentaire va être très très long !
Désolé, mon commentaire va être très très long !
Par ce que c'est important d'en parler.
Mon rapport à l'alcool a commencé en 2008, lors de mon entrée chez Look Voyages et Club Med. À cette époque, l’alcool était un moyen de "se lâcher", de "se rendre plus drôle", et de tenir la saison, les 8 mois loin de la France et hors de tout repère. Tout le monde buvait, souvent avec excès. Après trois ans d’alcool quotidien, j'ai rencontré mon ex, qui buvait beaucoup aussi. Nous avons partagé cette habitude ensemble pendant presque deux ans. La machine était déjà bien en route.
Les "apéros" familiaux ont aussi joué un rôle, l’alcool y était toujours présent. On proposait même aux enfants de goûter, c’était presque un jeu, une tradition "latine". En parallèle, les soirées avec les amis étaient dominées par la boisson ; refuser un verre, c'était s'exposer à l'exclusion ou au jugement. Ne pas boire signifiait être perçu comme l’extra-terrestre du groupe.
Les années passant, j’ai rencontré ma femme, qui boit très peu. Elle a une histoire compliquée avec l’alcool, liée à sa famille. Je me suis adapté, j’ai considérablement réduit ma consommation. Mais plusieurs événements m'ont ramené vers l’alcool : des disputes, des angoisses, du stress. À ce moment-là, l'alcool était devenu un moyen de relâcher la pression. Une journée de travail terminée se ponctuait toujours par une bière ou deux, un verre de vin ou deux. Pas une soirée sans alcool.
En 2019, la naissance de mon fils a provoqué un tournant. Après une grossesse difficile et des problématiques familiales du côté de ma belle famille, je me suis retrouvé face à ce nouveau rôle de père. J’avais peur, je me sentais dépassé. Nous étions les premiers de notre groupe d’amis à avoir un enfant, et la pression (inconsciente) sociale se faisait ressentir. Mon hygiène de vie était alors catastrophique : je fumais, je buvais beaucoup, juste pour "tenir". En 2020, ma consommation s'est calmée, mais restait sans réelle maîtrise.
En 2021, à 31 ans, je suis retourné aux études, sans diplôme de base, avec seulement un BPJEPS en poche. J’ai intégré une formation d’éducateur spécialisé et une licence de sciences de l’éducation en parallèle. Je me suis aussi remis à la musique, signant des contrats lucratifs. J’ai découvert une passion pour l’apprentissage, l’écriture (c'est à ce moment-là que j'ai commencé à écrire mon roman qui sortira je l'espères pour 2025) , et je me suis remis au sport.
C'est également en 2021 que j'ai vu une vidéo de Jérémy Ferrari parlant de son addiction à l’alcool. Cela a été un premier déclic. J’ai pris conscience que j’avais un problème avec l’alcool. Malgré cela, le chemin vers l’arrêt a été long. Je buvais en cachette. L’alcool me désinhibait, je pensais que cela me détendait, mais en réalité, je sombrais de plus en plus.
À ce moment-là, ma relation à l'argent était également chaotique : je gagnais beaucoup, mais je dépensais sans compter, souvent dans n’importe quoi. Pendant ce temps, ma femme gérait tant bien que mal les finances, l'organisation, une charge mentale énorme, trouvant des cannettes et des bouteilles d’alcool un peu partout. Elle m'en parlait, essayant différentes approches pour m'aider, mais son propre passé familial lié à l’alcool compliquait encore les choses.
En 2022, notre fille est née. J’ai arrêté de fumer et j'ai pris le sport comme une habitude. Bien que la grossesse se soit bien passée, l’après a été plus difficile. Je devais être là pour ma femme, mon fils et maintenant notre fille. Mais malgré mes efforts, je continuais à boire, en ressentant une honte immense. J'avais honte de boire et encore plus de faire subir cela à ma femme. J'ai réalisé que dans notre société, être addict à l'alcool est stigmatisé. Les gens jugent facilement, car tout le monde à sa propre définition de "l'alcoolique" et c'est mal vu... Un homme qui boit, ça passe, c'est "un bon vivant" . "Oh ça va, c'est Dédé, il est bourré" on en rigole... et il faut savoir qu'une une femme qui boit est plus durement critiquée.
Pendant tout ce temps, je voyais ma psychologue, un soutien qui m’a permis de ne pas être jugé. Aller voir un psy, c’était pour moi aussi important que de faire du sport.
Et puis, en juillet 2024, j'ai pris une décision qui a changé ma vie : j’ai arrêté de boire. Cela faisait longtemps que je me préparais à ce moment. J’ai pris des vacances avec ma femme et mes deux enfants, et j'étais inquiet à l’idée de retrouver mes amis d’enfance, pensant que les soirées seraient synonymes d’alcool. Mais à ma grande surprise, tout s’est passé merveilleusement bien. Je n’ai pas ressenti le besoin de boire, et j’ai découvert que je pouvais passer des moments incroyables sans alcool. J’ai reconnecté avec mes enfants et ma femme, avec plus de sincérité, de patience, et de détente.
Aujourd’hui, je suis sobre et vigilant, vivant jour après jour sans l'alcool, qui ne me manque absolument pas. Grâce à l'amour de mes enfants, de ma femme de ma thérapie et de l'application : "I m Sobber" que je conseille vivement à toutes personnes ayant besoin d'aide. J’ai retrouvé confiance en moi, je suis plus sportif, je mange mieux, je suis moins irrité et irritable. Ma relation avec ma femme et mes enfants s’est renforcée. En arrêtant l’alcool, je répare mon corps, mon foie et mon cœur. Je fais de nouvelles rencontres et m'amuse tout autant qu’avant, sinon plus. C’est la meilleure décision que j’ai prise dans ma vie, et je suis fier de ce chemin parcouru.
"Je ne suis pas encore là où j’aimerais être, mais je suis fier de ne plus être là où j’étais."
Prenez soin de vous.
Merci pour ton commentaire !
Ton parcours est très inspirant.
On est contents de voir que tu as pu surmonter tout ça. Et félicitations à toi. 💪
First (Ne Buvez Pas)
Tin la Lea salame, j’aurai été le gars, je lui aurais dit “comment ça ? Vous avez besoin d’alcool pour vous sentir drôle? Dois je comprendre que vous vous sentez chiante quand vous êtes sobre ? C’est triste d’avoir une telle perception de soi” j’ai arrêté de boire y a un an et demi et pour rien au monde je retournerai en arrière. Quand on a une vie qui ne nous convient pas pleinement et que l’on boit, on masque les problèmes sous le tapis et on fait avec. Quand on arrête de boire, on voit la réalité en face, on dégage les problèmes et on retrouve l’énergie de s’y confronter.
Bravo pour ton parcours ! Tu as parfaitement raison, l'alcool peut masquer les vrais problèmes. Arrêter de boire permet de les affronter et de retrouver l'énergie pour les résoudre. C'est important d'avoir une perception positive de soi sans l'influence de l'alcool.
Félicitations pour cette décision courageuse !
À 31 ans, jamais une goutte d'alcool. Et je ne le ferai jamais. Pas de café ou d'autres substances qui me plongent dans la dépendance.
Objectif : prendre le contrôle sur soit d'une manière permanente.
Ne suivis pas aveuglément la société. Pensez d'abord à vous et votre famille.
J'en ai 61 et je suis comme vous
Félicitations à vous et merci pour vos commentaire !
J'ai 66ans je n'ai jamais bu une seule goutte d'alcool !
Personne jamais personne n'a réussi à m'en faire boire une seule goutte !
L'alcool est un solvant chimique pour diluer des vernis, pas une boisson !
Quand j'utilise l'alcool pour le vernis j'ai un masque à gaz filtrant et je porte des gants !
Bonne vidéo
Bon Conseil que de limiter
Mais uniquement valable pour les 80 % de la population des Consommateurs non malades de l’alcool
cad que les 20 % qui restent tombent ds la maladie alcoolique avec une dépendance importante etc
Car c’est une maladie pour ceux qui sont concernés
Et un rien fait basculer du côté obscur en fonction des moments et des fragilités de la vie
Je ne parle même pas des effets cardiovasculaires et métaboliques et cancérigènes qu’une consommation chronique peut occasionner
Car nous ne sommes pas tous égaux devant l’alcool comme vous le soulignez ds votre vidéo (génétique corpulence etc )
Pour ceux qui sont concernés l’alcool est toujours le plus fort même si on prétend le contrôler
C’est pourquoi que si un jour on se pose la question de son rapport à l’alcool il est important d’envisager après avoir fait le bilan avec les aidants compétents de passer à l’abstinence totale
L’alcool c’est effectivement mieux sans définitivement
😉
Merci pour ton commentaire détaillé ! Tu as tout à fait raison, l'alcool peut avoir des effets dévastateurs, surtout pour ceux qui y sont génétiquement prédisposés. Pour les personnes concernées, l'abstinence totale est souvent la meilleure solution. Il est important de reconnaître ses propres limites et de chercher de l'aide si nécessaire.