Super vidéo! Quelle dommage que nous soyons ENCORE en train de répéter que le tout bétonner n'est pas la solution! Peut-être qu'à force de répéter cela rentrera dans les oreilles et dans les futurs gestes !!
En procès avec les services de l'état et une municipalité depuis onze ans, j'aurais aimé avoir cette vidéo plus tôt pour leur montrer simplement ce qu'ils auraient du éviter de faire pendant des décennies pour ne pas subir les dégâts de 2002. Il y a ceux qui imaginent le bon fonctionnement d'un cours d'eau et il y a les décideurs (état compris) qui malheureusement ne sont pas complètement en phase avec les théoriciens.
Ils ne sont pas en phase parce qu'ils ne sont pas nécessairement intéressés au futur, le présent occupe tout leur temps... Et malheureusement BEAUCOUP de groupes de soit-disant "environnementaliste" récoltent les subventions plutôt régler le problème
Il y a pas plus sourd qu'une personne qui ne l'est pas, mais qui le fait croire En effet, lorsque les gens ne veulent pas entendre, on peut argumenter tout ce quel'on veut, on ne peut leur faire entendre raison A tout bétonner, y compris les routes de campagne, à tout dévier les cours d'eau, à tout endiguer, on arrive à ce résultat (lorsque je dis que même un tracteur tasse trop la terre et contribue également au fait que les champs ne peuvent plus absorber l'eau de pluie, je ne suis pas loin d'être presque la seule à le penser; cependant, l'argument est de taille, car justifié) Il y a trop peu d'humains malheureusement qui ont la sagesse de revenir en arrière, car reconnaître ses erreurs ne fait pas partie d'un état naturel Mais quelquefois, cela arrive: et il faut toujours avoir au moins dit quelque chose et averti Nous allions à St-Gingolph, côté Suisse, dans les deux restaurants du bord de lac; l'actualité a démontré le danger d'une rivière:; nous y sommes passés dernièrement: un désastre tant humain que géographique
@@GladysAndrey La terre n'est tassée que lorsque sa structure est travaillée mécaniquement (ou lorsque le trafic est trop intense ) sinon elle est naturellement porteuse. C'est le travail du sol qu'il faut remettre en cause plus que la taille des engins agricoles. D'autant plus que le travail du sol, en plus de détruire la porosité naturelle du sol, contribue à la minéralisation de la matière organique essentielle à l'absorption de l'eau dans le sol.
@@jeanlouissimonnet329 il a été tout de même observé que rien ne pousse plus véritablement comme auparavant (fleurs et autres, et d'autres espèces qu'on éradique par ailleurs intentionnellement des champs en les classant d'indésirables, comme le Charbon bleu) lorsqu'on tasse la terre qui devient dure et que l'on doit de plus en plus travailler en profondeur n'est-ce pas
J'habite à 900 mètres de la Manche, j'ai quelques petites rivières et des Rhus qui se déversent dans la mer, il me semble que ça serait plus judicieux de les ralentir, afin que l'eau puisse rentrer dans la nappe.
Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu’avec le dérèglement climatique, il n’y aura pas moins d’eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l’hiver et sécheresse l’été, exactement le scénario qui s’installe durablement en France et partout dans le monde. Une pluie même forte n’est pas un raz de marée mais elle le devient automatiquement quand on ne régule pas les ruissellements en amont des bassins versants. Le bon sens aurait voulu qu’on anticipe en construisant des retenues en amont des villes pour maintenir un débit acceptable et plus régulier en aval tout au long de l’année, mais depuis quelques années l’administration ordonne la destruction des ouvrages sur les rivières au nom de la continuité écologique, ce qui a amplifié massivement un phénomène parfaitement prévisible : quand l’eau s’écoule plus vite elle s’écoule moins longtemps ! La France et l'Europe font systématiquement et méthodiquement l'inverse de ce qu'il faut faire, à commencer par détruire les barrages quand on manque d'eau et d'énergie ...
l'eau des rivières n'est que l'exutoire 1/ des eaux de nappe qui affleurent 2/ la fraction des eaux de pluie qui n'est pas captée par les sols et qui courre dans les drains, caniveaux, fossés... Les nappes étant assez régulièrement basses, il apparaît évident que le problème se situe dans la fraction des eaux de pluie non captée. C'est en agissant à la source du problème plutôt qu'aux symptômes que l'on résoudra bien des problèmes liés à l'eau.
Excellente vidéo et j'ai aussi vu en anglais. ¿Y at-il en espagnol? Il serait très utile pour nous au Mexique pour diffuser cette approche. Merci de votre réponse, Waldo Terry
Pardon mais cela semble un peu simpliste comme vue. Il serait intéressant d’introduire le travail de Holzer dans son livre ‘Désert ou paradi’ : l’homme n’a de cesse de drainer par le biais des routes, des constructions et d’imperméabiliser les sols. Il faudrait former et redonner le droit aux agriculteurs de créer de petites retenues agricoles intelligentes qui reconstruisent ou régénère de micro nappes phréatiques. Mais nous sommes en train de faire l’inverse tout en ayant un discours disant qu’il faut plus de retenues collinaires pour l’irrigation.... ce n’est pas qu’une question de laisser l’eau déborder pour réduire les inondations ! il faut repenser le modèle agricole et l’irrigation à la racine. On a besoin de décideurs qui ont compris et d’un nouveau plan Marshall... c’est beaucoup demandé.
C'est bien mais ce n'est pas nouveau,il faudrait regarder ce qu'on fait les anciens et puis le nettoyage des rivières petites ou grandes,le ralentissement c'est une solution à condition de créer des zones humides en plus grand nombre et pas aux portes des villes !
C'est justement le travail des anciens qui bien souvent pose souci > création de seuils, reméandrage des parcelles avec profilage du cour d'eau qui tire tout droit, etc Pour le nettoyage des rivières, à part l'enlèvement d’embâcle "gênante" et de la taille d'arbre, y a pas grand chose d'autre à faire. S'il faut curer c'est que le lit est trop large par rapport à son débit, donc faut essayer de mettre en place des banquettes. S'il y a trop de végétation dans le cour d'eau c'est que bien souvent il n'y a pas la ripysylve adéquat pour faire de l'ombre, ce qui empêche le développement des végétaux dans le cour d'eau, végétaux qui participe au ralentissement du cour d'eau et donc au dépôt de sédiment.
Super vidéo! Quelle dommage que nous soyons ENCORE en train de répéter que le tout bétonner n'est pas la solution! Peut-être qu'à force de répéter cela rentrera dans les oreilles et dans les futurs gestes !!
En procès avec les services de l'état et une municipalité depuis onze ans, j'aurais aimé avoir cette vidéo plus tôt pour leur montrer simplement ce qu'ils auraient du éviter de faire pendant des décennies pour ne pas subir les dégâts de 2002. Il y a ceux qui imaginent le bon fonctionnement d'un cours d'eau et il y a les décideurs (état compris) qui malheureusement ne sont pas complètement en phase avec les théoriciens.
Ils ne sont pas en phase parce qu'ils ne sont pas nécessairement intéressés au futur, le présent occupe tout leur temps...
Et malheureusement BEAUCOUP de groupes de soit-disant "environnementaliste" récoltent les subventions plutôt régler le problème
C´est une superbe vidéo, autant pédagogique que ludique, bravo !
Nous sommes un certain nombre à dire cela depuis plus de trente ans, on ne peut pas dire que nous avons été très persuasifs......
Il y a pas plus sourd qu'une personne qui ne l'est pas, mais qui le fait croire
En effet, lorsque les gens ne veulent pas entendre, on peut argumenter tout ce quel'on veut, on ne peut leur faire entendre raison
A tout bétonner, y compris les routes de campagne, à tout dévier les cours d'eau, à tout endiguer, on arrive à ce résultat (lorsque je dis que même un tracteur tasse trop la terre et contribue également au fait que les champs ne peuvent plus absorber l'eau de pluie, je ne suis pas loin d'être presque la seule à le penser; cependant, l'argument est de taille, car justifié)
Il y a trop peu d'humains malheureusement qui ont la sagesse de revenir en arrière, car reconnaître ses erreurs ne fait pas partie d'un état naturel
Mais quelquefois, cela arrive: et il faut toujours avoir au moins dit quelque chose et averti
Nous allions à St-Gingolph, côté Suisse, dans les deux restaurants du bord de lac; l'actualité a démontré le danger d'une rivière:; nous y sommes passés dernièrement: un désastre tant humain que géographique
Gladys Andrey Vous avez raiosn Gladys. Vous pourriez être hydrologue.
@@GladysAndrey La terre n'est tassée que lorsque sa structure est travaillée mécaniquement (ou lorsque le trafic est trop intense ) sinon elle est naturellement porteuse. C'est le travail du sol qu'il faut remettre en cause plus que la taille des engins agricoles. D'autant plus que le travail du sol, en plus de détruire la porosité naturelle du sol, contribue à la minéralisation de la matière organique essentielle à l'absorption de l'eau dans le sol.
@@jeanlouissimonnet329 merci pour le retour
@@jeanlouissimonnet329 il a été tout de même observé que rien ne pousse plus véritablement comme auparavant (fleurs et autres, et d'autres espèces qu'on éradique par ailleurs intentionnellement des champs en les classant d'indésirables, comme le Charbon bleu) lorsqu'on tasse la terre qui devient dure et que l'on doit de plus en plus travailler en profondeur n'est-ce pas
J'habite à 900 mètres de la Manche, j'ai quelques petites rivières et des Rhus qui se déversent dans la mer, il me semble que ça serait plus judicieux de les ralentir, afin que l'eau puisse rentrer dans la nappe.
Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu’avec le dérèglement climatique, il n’y aura pas moins d’eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l’hiver et sécheresse l’été, exactement le scénario qui s’installe durablement en France et partout dans le monde. Une pluie même forte n’est pas un raz de marée mais elle le devient automatiquement quand on ne régule pas les ruissellements en amont des bassins versants. Le bon sens aurait voulu qu’on anticipe en construisant des retenues en amont des villes pour maintenir un débit acceptable et plus régulier en aval tout au long de l’année, mais depuis quelques années l’administration ordonne la destruction des ouvrages sur les rivières au nom de la continuité écologique, ce qui a amplifié massivement un phénomène parfaitement prévisible : quand l’eau s’écoule plus vite elle s’écoule moins longtemps ! La France et l'Europe font systématiquement et méthodiquement l'inverse de ce qu'il faut faire, à commencer par détruire les barrages quand on manque d'eau et d'énergie ...
l'eau des rivières n'est que l'exutoire 1/ des eaux de nappe qui affleurent 2/ la fraction des eaux de pluie qui n'est pas captée par les sols et qui courre dans les drains, caniveaux, fossés... Les nappes étant assez régulièrement basses, il apparaît évident que le problème se situe dans la fraction des eaux de pluie non captée. C'est en agissant à la source du problème plutôt qu'aux symptômes que l'on résoudra bien des problèmes liés à l'eau.
Excellente vidéo et j'ai aussi vu en anglais. ¿Y at-il en espagnol? Il serait très utile pour nous au Mexique pour diffuser cette approche. Merci de votre réponse, Waldo Terry
Pardon mais cela semble un peu simpliste comme vue. Il serait intéressant d’introduire le travail de Holzer dans son livre ‘Désert ou paradi’ : l’homme n’a de cesse de drainer par le biais des routes, des constructions et d’imperméabiliser les sols. Il faudrait former et redonner le droit aux agriculteurs de créer de petites retenues agricoles intelligentes qui reconstruisent ou régénère de micro nappes phréatiques. Mais nous sommes en train de faire l’inverse tout en ayant un discours disant qu’il faut plus de retenues collinaires pour l’irrigation.... ce n’est pas qu’une question de laisser l’eau déborder pour réduire les inondations ! il faut repenser le modèle agricole et l’irrigation à la racine. On a besoin de décideurs qui ont compris et d’un nouveau plan Marshall... c’est beaucoup demandé.
A propager largement - Responsable Adm. et Fi. Syndicat Mixte impliqué dans la compétence GEMAPI
Bonjour, Je voudrais traduire les vidéos en espagnol, est-il possible d'utiliser vos vidéos avec mes sous-titres en espagnol?
C'est bien mais ce n'est pas nouveau,il faudrait regarder ce qu'on fait les anciens et puis le nettoyage des rivières petites ou grandes,le ralentissement c'est une solution à condition de créer des zones humides en plus grand nombre et pas aux portes des villes !
C'est justement le travail des anciens qui bien souvent pose souci > création de seuils, reméandrage des parcelles avec profilage du cour d'eau qui tire tout droit, etc
Pour le nettoyage des rivières, à part l'enlèvement d’embâcle "gênante" et de la taille d'arbre, y a pas grand chose d'autre à faire.
S'il faut curer c'est que le lit est trop large par rapport à son débit, donc faut essayer de mettre en place des banquettes.
S'il y a trop de végétation dans le cour d'eau c'est que bien souvent il n'y a pas la ripysylve adéquat pour faire de l'ombre, ce qui empêche le développement des végétaux dans le cour d'eau, végétaux qui participe au ralentissement du cour d'eau et donc au dépôt de sédiment.
que les moulins disparaissent ! ! et qu'ça saute . . . .