L’éducation à la lumière des neurosciences affectives - partie 2

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  • เผยแพร่เมื่อ 28 พ.ย. 2017
  • Cette conférence, initiée par l'Atelier Canopé 92 - Suresnes en partenariat avec la DSDEN 92, a eu lieu le 1er mars 2017 à Courbevoie et a été organisée à l'attention d'enseignants de l'école maternelle. Catherine Gueguen apporte des éléments de réponse aux questions suivantes :
    - Que nous apprennent les recherches en neurosciences sur le développement émotionnel et affectif de l'enfant ?
    - Comment utiliser les recherches actuelles pour mieux apprendre et mieux enseigner ?
    - En quoi la relation maître-élève est-elle susceptible de contribuer au développement harmonieux de l’enfant et de favoriser les apprentissages ?

ความคิดเห็น • 4

  • @jba2089
    @jba2089 6 ปีที่แล้ว +2

    Une bonne base pour des relations apaisées entre humains toute génération confondue. A suivre pour les années à venir en espérant des confirmations de toutes ces études. En tout cas je mets en application illico!

  • @lamyaliam11
    @lamyaliam11 2 ปีที่แล้ว +2

    Dommage que le son ne soit pas bon ! Très intéressant

  • @pontissalienne
    @pontissalienne ปีที่แล้ว

    MERCI

  • @Sunshinepati
    @Sunshinepati ปีที่แล้ว

    « Speak low » - la technique magique ❤
    Très belle conférencière- merci pour ce partage ❤
    Je relève qu’une des personnes dans l’auditoire à mentionné le fait d’enseigner à des classe, des groupes d’enfants, de 28 élèves. C’est beaucoup trop.
    Ayant animé des groupes dans le cadre de camps de vacances, j’ai remarqué qu’avec des groupe de 12-15 c’était déjà beaucoup - et ces groupes étaient composé de pré-ados.
    Avec des plus jeunes, il me semble qu’il serait plus profitable pour toutes et tous de travailler avec de petits groupes : ainsi, chaque enfant pourrait avoir du temps et de l’espace de parole. L’apprentissage de la matière et des relations in-groupe seraient renforcées. C’est l’autre fonction de l’école 😊 : l’apprentissage des relations sociales.
    Personnellement, je me suis refusée d’enseigner, non pas parce que je n’aimais pas l’idée d’embrasser cette vocation, mais parce que de mon point de vue et connaissant comment je fonctionne, je savais que je ne ferai pas du bon travail dans les conditions posées/imposées par le système scolaire : en l’occurrence, devoir gérer des classe de plus de 20 élèves ...