Her left hand was extraordinary, which shows here as well as in her Goldberg Variations. Intensely introspective interpretations of these masterpieces.
Extremely refined interpretation. Nikolayeva was one of the greatest pianists in history. And besides, she didn't know the meaning of the word vanity. Every note she played reflected her deep love and respect for music
Прекрасное, чувственное и завораживающее исполнение! Намеревалась прослушать лишь часть произведения, но не смогла оторваться пока не дослушала до конца! 😍
How can it be too pretty? You prefer dry, machine gun playstyle? 😉 I love her Bach, she is the only one who sings like that on the keyboard. And still the polyphony is there.
J’avais écrit un commentaire sur une interprétation de Chopin en utilisant imprudemment le terme de “romantique”. J’en étais tout à fait conscient mais ne pensais pas nourrir ce faisant une controverse sur Bach. Amusant quand même.
Удивительное доказательство теоремы Шопена от противного. После дежурного официоза парткомовского Баха и как бы в насмешку над самой собой Татьяна Петровна подарила удивительно чистое глубокое видение цикла прелюдий 28 опуса. Как будто Клод Моне взялся за портреты, а Модильяни за пейзажи. Средствами классического пианизма Николаевна решила исполнительские задачи насквозь романтичного цикла: цельность, глубина, отсутствие лишней сентиментальности. В чем то эта версия близка записи Бузони 16 года, который тоже играет все как бы наоборот. И кстати тоже делает центром цикла восемнадцатую прелюдию, которая становится своего рода адажио в поздних сонатах Бетховена. Уникальное достижение Николаевой
"Дежурный официоз парткомовского Баха" - решением очередного эпохального съезда Коммунистической партии Советского Союза разрешить артистке тов. Николаевой исполнить означенные произведения позднефеодального барокко от кантониста заштатного германского города Иоганна Баха.
Qu’elle ait été une immense pianiste ne fait aucun doute: Ses diverses interprétations des “Variations Goldberg” sont plus merveilleuses les unes que les autres et surpassent de très loin celles devant lesquelles certains se pâment. Mais Chopin n’est pas Bach (ce que Cortot a bien compris) et ses préludes, aussi beaux soient-ils n’ont pas la dimension quasi “religieuse” ou “métaphysique” que Nikolayeva leur donne. On peut aimer, certes, mais on peut aussi leur préférer une recherche plus légère, plus délicate, plus romantique, en un mot: moins solennelle. (je pense à Géza Anda, pour donner simplement un exemple),
A chacun ses préférences, comme dans les relations amoureuses. Ça se passe de commentaire. Brahms répondait devant une interprétation différente de la sienne: ce pianiste m'a convaincu. Question de cohérence.
Certes Chopin n'est pas Bach, mais ils ont en commun une grande rigueur rythmique et Chopin est capable d'atteindre une très grande profondeur comme dans le passage central de son quinzième prélude parfaitement rendu par Nikolayeva. De manière générale on associe trop Chopin à une certaine rondeur romantique. Romantique il l'est mais, en conservant la rigueur des classiques.
@@renaudpontier il faudrait savoir ce qu'on entend par romantique! Ne confond on pas souvent avec expressif? Stravinski affirmait que la musique n'est pas faite pour exprimer quoique ce soit! Ravel la rejoint d'une certaine façon en disant : jouer les notes comme elles sont écrites. Jouer Bach comme c'est écrit et vous avez la machine à coudre! Les grands compositeurs nous offrent un grand champ d'exploration, pourquoi s'en priver? La musique est faite pour la liberté, l'invention, la sensualité, et pourquoi le sentiment, l'émotion, en serait exclus? Et si vous aimez la cérébralité, écoutez Gould etc... Mais pour ce qui est du romantisme il faut se réfèrer à ses origines : le Sturm and Drang, un certain débordement expressif, avec des thèmes fantastiques, la forêt, le wanderer, le désespoir amoureux etc... Qu'on trouve chez Liszt , Weber, Berlioz mais rarement chez Chopin et toujours avec mesure et bon goût.
@@jeanlucgrelier566 Non je ne crois pas. Bach n'est jamais une machine à coudre. C'est un blasphème..., Il peut au contraire avoir une expressivité remarquable comme dans son huitième prélude du clavecin bien tempéré ou dans son concerto en ré mineur. Classique, romantique, au delà des époques, ce débat est pour moi complètement artificiel en musique, plus pertinent en peinture ou en littérature, et encore... Mais qu'importe, le piano de Chopin ne perd jamais en expressivité en lui conservant sa rigueur rythmique..
@@renaudpontier Oui Bach peut prêter à cette perception mécanique pourbeaucoup. Mais la faute à qui sinon aux interprètes ! Bach leur a laissé toute latitude d'interprétation et peu se hasardent à le faire. Quand vous y ajoutez le sacro saint portando érigé en dogme intangible par les profs de conservatoire, vous avez un Bach momifié. Tout le contraire de l'incroyable richesse de sa musique, jusque dans celle à vocation pédagogique.. mais il faut oser affronter la critique des doctrinaires et censeurs de tout poil. Et être un musicien avant tout La musique de Bach intègre science, esthétique et philosophie dixit Marie Claire Alain.
![[Rare live] Alfred Cortot plays Chopin: 24 Préludes, Op.28 (1955)](http://i.ytimg.com/vi/ejiylYW2SfY/mqdefault.jpg)
Her left hand was extraordinary, which shows here as well as in her Goldberg Variations. Intensely introspective interpretations of these masterpieces.
Extremely refined interpretation. Nikolayeva was one of the greatest pianists in history. And besides, she didn't know the meaning of the word vanity. Every note she played reflected her deep love and respect for music
Exactly that! So wonderful and so true your comment!!!
Thank you very much
SO many moods, so much feeling, and no sentimentality
Gem of a performance
Si extraordinaire...et d'une telle intégrité
Il n.9 non cosi!!! È una Stella che improvvisamente siaccende e regala all'universo fiumi di luce impetuosa
Прекрасное, чувственное и завораживающее исполнение! Намеревалась прослушать лишь часть произведения, но не смогла оторваться пока не дослушала до конца! 😍
Абсолютно контролируемый Темп всех Прелюдий--поэтому Ритм ведёт держит всю Музыку во внимании, от начала и до конца! Редкая запись!❤❤❤❤❤
Прекрасное исполнение.
Cudowna muzyka genialnego Chopina, boskie wykonanie. ❤️
Old but gold.
Extraordinaria, todo lo que interpretó la maestra Tatiana se siente en el alma!! Es una belleza esta grabación. Gracias.
Deeply felt in the slow preludes. Beautiful. Hoomeyow!!
Wow.
This Lady is of such interesting playing...
Thanks very much-- it's very rarely & great rendition! Bravo!❤❤❤❤❤❤❤
Thanks soooo much!!!!
very masterful!
4:22 - Beautiful!
one of a kind playing for one of a kind music....bravo Senora, bravo!
most extraordinary talent for this music.
Несомненно ,Татьяна великая пианистка. ❤❤❤❤❤
Amazing rendition indeed
💖💖💖
Бриллиант.
💙💙💙💙💙💙💙💙💙💙
I'm not her fan. However, this is superb playing. A deep philosophical interpretation of Chopin.
But a Rubinstein fan.
¿Qué es una "interpretación filosófica" de una obra pianística?
I like this playing better than her Bach to be honest. Her Bach is too pretty for my taste.
How can it be too pretty?
You prefer dry, machine gun playstyle? 😉
I love her Bach, she is the only one who sings like that on the keyboard. And still the polyphony is there.
J’avais écrit un commentaire sur une interprétation de Chopin en utilisant imprudemment le terme de “romantique”. J’en étais tout à fait conscient mais ne pensais pas nourrir ce faisant une controverse sur Bach. Amusant quand même.
Chopin was a gifted person indeed and so is this pianist player
Лучшее исполнение!
Удивительное доказательство теоремы Шопена от противного. После дежурного официоза парткомовского Баха и как бы в насмешку над самой собой Татьяна Петровна подарила удивительно чистое глубокое видение цикла прелюдий 28 опуса.
Как будто Клод Моне взялся за портреты, а Модильяни за пейзажи.
Средствами классического пианизма Николаевна решила исполнительские задачи насквозь романтичного цикла: цельность, глубина, отсутствие лишней сентиментальности.
В чем то эта версия близка записи Бузони 16 года, который тоже играет все как бы наоборот. И кстати тоже делает центром цикла восемнадцатую прелюдию, которая становится своего рода адажио в поздних сонатах Бетховена.
Уникальное достижение Николаевой
"Дежурный официоз парткомовского Баха" - решением очередного эпохального съезда Коммунистической партии Советского Союза разрешить артистке тов. Николаевой исполнить означенные произведения позднефеодального барокко от кантониста заштатного германского города Иоганна Баха.
すごい。Mポリーニの24のプレリュードとニコライエワのものは生で聴きたかった。ポリーニはまだチャンスあるか？
M.emir aymaz 2021 aralik deki kn vs bütün yorumları kendi yorumuma sen olarak eklenmektedir eyer , camdan ulaşırsınız sevinirim
Спасибо 🌚 за Николаеву и Баха)
ein bisschen zu viel Klavierpedal vielleicht ? Aber so tief in der Musik...
No. 5: 6:56
12 16:35
16 29:22
20 36:50
21 38:30
22 40:47
24 42:50
Qu’elle ait été une immense pianiste ne fait aucun doute: Ses diverses interprétations des “Variations Goldberg” sont plus merveilleuses les unes que les autres et surpassent de très loin celles devant lesquelles certains se pâment. Mais Chopin n’est pas Bach (ce que Cortot a bien compris) et ses préludes, aussi beaux soient-ils n’ont pas la dimension quasi “religieuse” ou “métaphysique” que Nikolayeva leur donne.
On peut aimer, certes, mais on peut aussi leur préférer une recherche plus légère, plus délicate, plus romantique, en un mot: moins solennelle. (je pense à Géza Anda, pour donner simplement un exemple),
A chacun ses préférences, comme dans les relations amoureuses. Ça se passe de commentaire. Brahms répondait devant une interprétation différente de la sienne: ce pianiste m'a convaincu. Question de cohérence.
Certes Chopin n'est pas Bach, mais ils ont en commun une grande rigueur rythmique et Chopin est capable d'atteindre une très grande profondeur comme dans le passage central de son quinzième prélude parfaitement rendu par Nikolayeva.
De manière générale on associe trop Chopin à une certaine rondeur romantique. Romantique il l'est mais, en conservant la rigueur des classiques.
@@renaudpontier il faudrait savoir ce qu'on entend par romantique! Ne confond on pas souvent avec expressif? Stravinski affirmait que la musique n'est pas faite pour exprimer quoique ce soit! Ravel la rejoint d'une certaine façon en disant : jouer les notes comme elles sont écrites.
Jouer Bach comme c'est écrit et vous avez la machine à coudre!
Les grands compositeurs nous offrent un grand champ d'exploration, pourquoi s'en priver?
La musique est faite pour la liberté, l'invention, la sensualité, et pourquoi le sentiment, l'émotion, en serait exclus? Et si vous aimez la cérébralité, écoutez Gould etc...
Mais pour ce qui est du romantisme il faut se réfèrer à ses origines : le Sturm and Drang, un certain débordement expressif, avec des thèmes fantastiques, la forêt, le wanderer, le désespoir amoureux etc... Qu'on trouve chez Liszt , Weber, Berlioz mais rarement chez Chopin et toujours avec mesure et bon goût.
@@jeanlucgrelier566 Non je ne crois pas. Bach n'est jamais une machine à coudre. C'est un blasphème...,
Il peut au contraire avoir une expressivité remarquable comme dans son huitième prélude du clavecin bien tempéré ou dans son concerto en ré mineur.
Classique, romantique, au delà des époques, ce débat est pour moi complètement artificiel en musique, plus pertinent en peinture ou en littérature, et encore... Mais qu'importe, le piano de Chopin ne perd jamais en expressivité en lui conservant sa rigueur rythmique..
@@renaudpontier Oui Bach peut prêter à cette perception mécanique pourbeaucoup. Mais la faute à qui sinon aux interprètes ! Bach leur a laissé toute latitude d'interprétation et peu se hasardent à le faire. Quand vous y ajoutez le sacro saint portando érigé en dogme intangible par les profs de conservatoire, vous avez un Bach momifié. Tout le contraire de l'incroyable richesse de sa musique, jusque dans celle à vocation pédagogique.. mais il faut oser affronter la critique des
doctrinaires et censeurs de tout poil. Et être un musicien avant tout La musique de Bach intègre science, esthétique et philosophie dixit Marie Claire Alain.
a cow in the pasture