avec une latitude de 21°, l'argument de faire du solaire concentré loin des consommateurs n'a pas de sens. et dépenser des millions pour faire un réseau HT entre les 2 non plus. le PV sur les bâtiments consommateur devraient être la norme, il ne nécessite pas de lignes HT supplémentaire et réduit le pic du midi qui risque de poser problème à l'avenir dans les pays qui vont voir la consommation augmenter à cause des climatisations
Pas sûr que la réponse soit si simple : le photovoltaïque coûte moins par kWc si tu l’installes au sol par rapport en toiture, à la fois pour la difficulté de l’installation mais aussi pour les économies d’échelle, la réduction du nombre d’intermédiaires.
@@nilskerbiriou1243 oui mais le cout du réseau est maintenant supérieur au cout du PV. alors le surcout entre du PV au sol à l'autre bout du pays ou du PV sur le toit du consommateur, c'est fatalement une différence encore moindre que les couts du réseau, autant dire insignifiante dans l'équation. La vrai différence est que le PV sur sol est industrialisable (un gars loue/achète x hectares et fait son business, laissant le problème du transport à charge de la collectivité), tandis que du PV sur le toit des bâtiments nécessaire la collaboration des différents proprétaires
@@MarcMarc-cf9mq 1/ PV toiture nécessite des toitures qui le permettent 2/ Développement du réseau incontournable du fait de l'électrification des usages et des mix électriques éolien/solaire 3/ développement des réseaux de distribution est un enjeu important de la transition. Ex: taux de disponibilité plus faible, et même nettement plus faible dans certains pays, aussi on va préférer se raccorder sur le réseau de transport 4/ Une centrale PV se raccorde souvent à qq km d'une ligne existante ou d'un poste de transformation Vous avez raison de défendre une vision de réseau décentralisé proche des consommateurs, les EnR le permettent justement, en rupture avec l'approche historique que connaissent les opérateurs, mais dans la réalité on doit faire des compromis et raisonner au cas par cas sur la base d'études et du réel. Les deux approches peuvent également exister au sein d'une même politique énergétique puisque dans tous les cas les lignes sont essentielles pour permettre de mutualiser les ressources et les outils de flexibilité
@@NetZero_Citizen 1) c'est une palissade :) surtout que l’écrasante majorité des bâtiments le permet et qu'on peux aussi en mettre sur certaines façades ce qui a une production intéressante en hiver ou même l'été pour les façades est-ouest 4) c'est pas le problème évoqué la vidéo. le problème évoqué est d'avoir des moyens de production loin des consommateurs. donc ligne HT entre les 2 à renforcer
@@MarcMarc-cf9mq comme déjà indiqué le renforcement des réseaux est incontournable du fait de 2/. Sur les batiments cela dépend des habitudes architecturales et des équipements qui sont posés sur les toitures, qui peuvent limiter le potentiel et rendre complexe les installations. Ce sont des études à mener, fines. Les 2 secteurs (toitures, au sol) sont des dynamiques industrielles et économiques différentes. Un pays qui ne peut largement développer des centrales au sol est très pénalisé dans sa transition, comme le montre les cas du Japon ou de Singapour.
avec une latitude de 21°, l'argument de faire du solaire concentré loin des consommateurs n'a pas de sens. et dépenser des millions pour faire un réseau HT entre les 2 non plus.
le PV sur les bâtiments consommateur devraient être la norme, il ne nécessite pas de lignes HT supplémentaire et réduit le pic du midi qui risque de poser problème à l'avenir dans les pays qui vont voir la consommation augmenter à cause des climatisations
Pas sûr que la réponse soit si simple : le photovoltaïque coûte moins par kWc si tu l’installes au sol par rapport en toiture, à la fois pour la difficulté de l’installation mais aussi pour les économies d’échelle, la réduction du nombre d’intermédiaires.
@@nilskerbiriou1243 oui mais le cout du réseau est maintenant supérieur au cout du PV. alors le surcout entre du PV au sol à l'autre bout du pays ou du PV sur le toit du consommateur, c'est fatalement une différence encore moindre que les couts du réseau, autant dire insignifiante dans l'équation.
La vrai différence est que le PV sur sol est industrialisable (un gars loue/achète x hectares et fait son business, laissant le problème du transport à charge de la collectivité), tandis que du PV sur le toit des bâtiments nécessaire la collaboration des différents proprétaires
@@MarcMarc-cf9mq 1/ PV toiture nécessite des toitures qui le permettent 2/ Développement du réseau incontournable du fait de l'électrification des usages et des mix électriques éolien/solaire 3/ développement des réseaux de distribution est un enjeu important de la transition. Ex: taux de disponibilité plus faible, et même nettement plus faible dans certains pays, aussi on va préférer se raccorder sur le réseau de transport 4/ Une centrale PV se raccorde souvent à qq km d'une ligne existante ou d'un poste de transformation
Vous avez raison de défendre une vision de réseau décentralisé proche des consommateurs, les EnR le permettent justement, en rupture avec l'approche historique que connaissent les opérateurs, mais dans la réalité on doit faire des compromis et raisonner au cas par cas sur la base d'études et du réel.
Les deux approches peuvent également exister au sein d'une même politique énergétique puisque dans tous les cas les lignes sont essentielles pour permettre de mutualiser les ressources et les outils de flexibilité
@@NetZero_Citizen 1) c'est une palissade :) surtout que l’écrasante majorité des bâtiments le permet et qu'on peux aussi en mettre sur certaines façades ce qui a une production intéressante en hiver ou même l'été pour les façades est-ouest
4) c'est pas le problème évoqué la vidéo. le problème évoqué est d'avoir des moyens de production loin des consommateurs. donc ligne HT entre les 2 à renforcer
@@MarcMarc-cf9mq comme déjà indiqué le renforcement des réseaux est incontournable du fait de 2/.
Sur les batiments cela dépend des habitudes architecturales et des équipements qui sont posés sur les toitures, qui peuvent limiter le potentiel et rendre complexe les installations. Ce sont des études à mener, fines.
Les 2 secteurs (toitures, au sol) sont des dynamiques industrielles et économiques différentes. Un pays qui ne peut largement développer des centrales au sol est très pénalisé dans sa transition, comme le montre les cas du Japon ou de Singapour.