Léo Ferré est pour moi et à ce jour le plus grand artiste. Le plus grand poète du XXème siècle mais aussi le plus grand interprète, compositeur et musicien de son temps. Oui, c'est tout ça, après 40 ans d'écoute je ne vois pas d'autre conclusion. Il faut le dire, le diffuser, le faire connaitre pour que d'autres aussi puissent avoir la chance de l'apprécier. Quelques titres: FLB, la lettre, la mémoire et la mer, tu ne dis jamais rien, géométriquement tien, ton style, tu penses à quoi, ca t'va, cette blessure, petite, des mots,.....
Le plus grand , ça ne veut pas dire grand chose.Bien sûr Ferré est incontestablement un grand, mais Leny Escudero, Brel, Guidoni,Lavilliers, Higelin et d'autres le sont aussi , grands.
oh oui !! l'AN DIX MILLE Lochu, l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE ...
Des tonnes de sentiments, c'est à peu près ça Léo. Ce morceau comme plein d'autres, c'est l'émotion à l'état pur, plus le génie musical, plus la poésie qui vous décoiffe l'ego basique. Ferré, c'est la mer, c'est le monde, plus rien de petit, c'est le réel devant nous, et on est tous à poil devant ça. Léo, un chanteur pour tempérament artiste. Les autres, c'est normal, n'y comprendrons jamais rien. Léo, c'est l'exception qui emmerde la règle.
C'était un penseur libre sans étiquettes, et ni dieu ni maitre. Je suis de 76 j'ai été bercée par ce Grand Monsieur et ne regrette rien. C'est toujours un plaisir de l'écouter. Merci Mr Audemard Christian.
La liberté n'est qu'un vague sentiment si elle n'est pas adossée à la vérité. C'est bien parce qu'il n'a eu aucun dieu que sa poésie reflète la misère, celle justement de l'homme sans Dieu. Après avoir écouté et médité ses chansons, on reste sans espérance. Où se trouve t'il aujourd'hui, y avez-vous réfléchi ?
''Quand la mer se ramène avec des étrangers En Bretagne y a toujours la crêperie d'à côté Et un marin qui t'file une bonne crêpe en ciment Tellement il y a fourré des tonnes de sentiments''
S il.n avait pas été là dans mes oreilles et au fond de mes tripes .. je n aurais jamais eu les pieds sale. Et en plus il m'a fait rencontrer l Amour .. c'est pas donner à tout le monde .. merci Mr Leo
j'ai toujours adoré Ferré depuis depuis ma jeunesse et je l'écoute encore avec un immense plaisir bordel pour moi c'est le plus grand au dessus c'est le soleil ..
je pleurs à chaque fois sur cette oeuvre...faut dire que j'ai vecu dans ces villes de Bretagne et j''ecoutais au bord de mer si Lochu me ferait un signe...
Tu me manques Léon ,je,t'aime, et je t'aimerai jusqu'à ma mort tu étais un génie ,tu avais tous compris et tu n,avais pas peur de le chanter merci, pour l,artiste que tu était unique. Et tu aimais les animaux J,écoute tes chansons, et je pense à toi LEO,
Un magnifique souvenir de famille , un message d'amour pour mon arrière grand oncle de son ami Leo Ferré Je ne me lasse jamais d’être porté par ce moment de poésie Pensé a toi René Lochu et Leo Ferré
la photo de lalbum est superbe leo aimait tellement les animaux ne loubliont pas est autant damour dans ces textes merci leo tu est un deuxieme papa pour moi merci encore
50 après, je suis toujours autant bouleversé de t'entendre, mon cher Léo. Tu te rappelles, nous avions diner ensemble, après ton récital au TNS, avec Popol ?!
quand j écoutais cette mélodie je pense a mes parents eux qui viennet de l Italie ils ont rencontré tous les marais et même les bateaux une bonne crêpe et des tonnes de sentiments avec toute l Amour d une bon mère je t aime maman
Il nous quittait physiquement il y a déjà trente ans. l' Anniversaire de sa mort est passé sous silence dans les médias bien-pensants . C'est à nous de faire vivre son œuvre.
Arrivée trop discrète Tu es venu trop tôt, Des licornes dans tes danses élégantes Tu es venu trop vrai, Des cigales dans le givre de ton souffle Tu es venu trop vite, Des météores aimantés Dans ton sourire Tu es venu trop fragile, Des soupirs d’églantine Dans ta langue rapide Parcourant des sillages de jade Tu es venu trop en avance, Les étoiles se sont émues De ta formule, Pictogramme de vent Larguée au hasard des époques rudes, Trop rudes Tu es venu trop silencieux, Ton ambassade est si frêle Que les senteurs synthétiques Envahissent les corolles de tes parterres foulés Par les spectres et les symboles oranges D’un soleil sournois Tu es venu trop solitaire, Tes compagnons te laissèrent En des lieux peu prospères , uU aiguillon de lune pour seul repère Tu es venu décalé Comme un mystère pyramidal Accroché aux évidences d’une dune en dérive Tu es venu trop mystérieux, Sans coque, Sans étendard, Sans refrain dans ton hymne, Sans marge dans ton discours, Sans fioriture dans ton carnaval , Sans regard dans ton dos Tu es venu Comme un aiglon éperdu, Trop incertain Tu es venu peut-être trop intelligent, Car en toi des mémoires instables Décidaient de la transparence de l’éternité Tu es venu trop vieux, Trop hagard, Trop herbe: Ta flexibilité vue comme une occasion de fenaison précoce, Tes intuitions pélagiques Furent engrangées dans les replis d’une saison pluvieuse, Alors que tes germinations demandaient des horizons bleus Trop ciel : Ton azur fut peint au plafond commun Des hôtels particuliers Comme ton irisation appelait le zéphyr Trop oiseau: Ton élan fut abattu un matin de mai , En cette année renégate Où les armées cendreuses se faufilaient Entre les lames d’un rayon dérivant Au large des terres femelles Trop fin pour devenir un rideau de pollen, Tu erras longtemps parmi les rocailles rousses Et le vent se fit miniature , Replié dans la poche du crépuscule Trop arbre : Ton houppier se fit racine magnétique D’un monde inversé, L’échiquier de tes feuilles Se décline aujourd’hui en tremblements mécaniques, Elles qui sont les héritières des algues océaniques, Larmes amères, Epitaphes d’un mouvement trop discret Tu es venu trop jeune, Trop seul, Trop majuscule dans un épigramme aux relents de mépris, celui de la barbarie des séries Pourchassant ta singularité Jusque dans les jungles ouatées Des paysages d’outre-monde Tu es venu trop nuage : Ta vapeur ambrée fut prétexte à des caricatures de porcelaine Accrochées aux linteaux de manoirs sombres Tu es venu magnétique, Trop en vue pour les boussoles incandescentes, Feux follets moirés d’une impatience parfois sordide Te réduisant en paillettes de désert Tu es venu trop naïf Tandis que que tu étais graine, Germe spiralé en volutes d’espoir, Grimé en virgule amène Dans la version originale d’un sourire Tu es venu de l’océan, Du minéral Orbitant depuis toujours autour d’un nombre d’or, Tu es venu du lagon, D’une écaille géométrique Que portaient de magnifiques dragons Profilant les orbes de ta conscience Sur le tableau bavard d’un premier mot 4 et 6 Mai 2020
C'est ici que ça se passe, en direct 1974, Léo, Ivry... c'était l'An 10.000, Lochu était pas loin, et moi je me rappelle et moi je m'en souviens ;-). Ici donc => th-cam.com/video/Ll2njBBOttc/w-d-xo.html
BONSOIR MONSIEUR ET MADAME,L EO FERRÉ NE SE CLASSE PAS ONT NE PEU PAS LE DÉFINIR "IL FAIS PARTI DES NOMBREUX POÈTES ,style des soldats inconnus !!! Momo
Regarde ces murs qui résistent au temps. Déchiffre les écritures qui relate le passé au présent . Come un timbre sur une lettre il est administré. On lui colle une en-tête d'un type basané. Gouiez Mohamed.
LOUISIANE Les Etrangers Chanson de Léo Ferré Paroles Regarde-la ta voile elle a les seins gonflés La marée de tantôt te l'a déshabillée Les bateaux comme les filles ça fait bien des chichis Mais ce genre de bateau ça drague pas dans Paris T'as les yeux de la mer et la gueule d'un bateau Les marins c'est marrant même à terre c'est dans l'eau Ta maman a piqué sur ta tête de vieux chien Deux brillants que tu mets quand t'embarques ton destin C'est pas comme en Avril, en Avril 68 Lochu tu t'en souviens la mer on s'en foutait On était trois copains avec une tragédie Et puis ce chien perdu tout prêt à s'suicider Quand la mer se ramène avec des étrangers Homme ou chien c'est pareil on les regarde naviguer Et dans les rues d'Lorient ou d'Brest pour les sauver Y a toujours un marin qui rallume son voilier Regarde-la ta quille à la mer en allée La marée de tantôt te l'a tout enjupée Les bateaux comme les filles ça fait bien du chiqué Mais quand on s'fout à l'eau faut savoir naviguer T'as le cœur comme ces rocs vêtus de Chantilly Quand la tempête y a fait un shampooing dans la nuit Ta maman t'a croché deux ancres aux doigts de chair Et les lignes de ta main ça s'lit au fond d'la mer C'est pas comme en Avril, en Avril 68 Lochu tu t'en souviens dans ces rues de l'emmerde On était trois copains au bout de mille nuits Et le jour qui s'pointait afin que rien ne s'perde Quand la mer se ramène avec des étrangers En Bretagne y a toujours la crêperie d'à côté Et un marin qui t'file une bonne crêpe en ciment Tellement il y a fourré des tonnes de sentiments Regarde-la ta barre comme de la Pop musique Ça fait un vrai bordel chez les maquereaux très chics La mer a ses anglais avec le drapeau noir On dirait 68 qui s'en revient du trottoir Ma maman m'a cousu une gueule de chimpanzé Si t'as la gueule d'un bar j'm'appelle Pépée Ferré C'est pas comme en Avril, en Avril de mon cul Dans ce bar endossé au destin de la rue Et c'est pas comme demain en l'An de l'An 10 000 Lochu tu t'en souviens c'était beau dans c'temps-là La mer dans les Soleils avec ou bien sans quille Un bateau dans les dents des étoiles dans la voix Et quand on se ramenait avec nos galaxies Ça faisait un silence à vous mourir d'envie Et les soirs d'illusion avec la nuit qui va Dans Brest ou dans Lorient on pleure et on s'en va L'An 10 000, Lochu, tu t'rappelles L'An 10 000, tu t'rappelles, Lochu L'An 10 000, l'An 10 000, l'An 10 000... Source : Musixmatch Paroliers : Leo Ferre Superbe chanson comme toutes.....
Les Etrangers Regarde-la ta voile elle a les seins gonflés La marée de tantôt te l'a déshabillée Les bateaux comme les filles ça fait bien des chichis Mais ce genre de bateau ça drague pas dans Paris T'as les yeux de la mer et la gueule d'un bateau Les marins c'est marrant même à terre c'est dans l'eau Ta maman a piqué sur ta tête de vieux chien Deux brillants que tu mets quand t'embarques ton destin C'est pas comme en avril en avril soixante-huit Lochu tu t'en souviens la mer on s'en foutait On était trois copains avec une tragédie Et puis ce chien perdu tout prêt à s'suicider Quand la mer se ramène avec des étrangers Homme ou chien c'est pareil on les r'garde naviguer Et dans les rues d'Lorient ou d'Brest pour les sauver Y a toujours un marin qui rallume son voilier Regarde-la ta quille à la mer en allée La marée de tantôt te l'a tout enjupée Les bateaux comme les filles ça fait bien du chiqué Mais quand on s'fout à l'eau faut savoir naviguer T'as le coeur comme ces rocs vêtus de Chantilly Quand la tempête y a fait un shampooing dans la nuit Ta maman t'a croché deux ancres aux doigts de chair Et les lignes de ta main ça s'lit au fond d'la mer C'est pas comme en avril en avril soixante-huit Lochu tu t'en souviens dans ces rues de l'emmerde On était trois copains au bout de mille nuits Et le jour qui s'pointait afin que rien ne s'perde Quand la mer se ramène avec des étrangers En Bretagne y a toujours la crêperie d'à côté Et un marin qui t'file une bonne crêpe en ciment Tellement il y a fourré des tonnes de sentiments Regarde-la ta barre comme de la Pop musique Ça fait un vrai bordel chez les maquereaux très chics La mer a ses anglais avec le drapeau noir On dirait Soixante-huit qui s'en r'vient du trottoir Ma maman m'a cousu une gueule de chimpanzé Si t'as la gueule d'un bar j'm'appelle Pépée Ferré C'est pas comme en avril en avril de mon cul Dans ce bar endossé au destin de la rue Et c'est pas comme demain en l'An de l'An Dix mille Lochu tu t'en souviens c'était beau dans c'temps-là La mer dans les Soleils avec ou bien sans quille Un bateau dans les dents des étoiles dans la voix Et quand on se ram'nait avec nos Galaxies Ça faisait un silence à vous mourir d'envie Et les soirs d'illusion avec la nuit qui va Dans Brest ou dans Lorient on pleure et on s'en va L'An Dix mille... Lochu ? Tu t'rappelles ? L'An Dix mille... Tu t'rappelles ? Lochu ? L'An Dix mille, l'An Dix mille, l'An Dix mille...
La profondeur de ses textes, la mélodie, l'interprétation, j'en reste toujours baba, prenez-en de la graine les cosumeristes de tous poils avec vos textes plein de haine.
Curieusement je préfère de loin la version live dugrand échiquier quand Ferré vient poser sa main sur l'épaule de Gitlis. Peut-être parce que la musique ne couvre pas la voix de Ferré comme elle le fait un peu sur cette version studio.
Non ! Ivry Gitlis ne répond pas, "comme dans un concerto", "aux mots" de Léo Ferré, mais, comme dans un concerto, son violon répond à l'orchestration de Léo Ferré, à sa mélodie, ainsi qu’aux propres violons écrits sur la partition de Ferré ! Ferré enregistrait en premier lieu l'orchestre... et en un second temps sa voix sur la musique. Quand Ivry Gitlis est venu rendre visite à son ami Ferré aux studio Barclay en 1974, Ferré lui a fait entendre le dernier morceau qu'il venait d'enregistrer avec l'Orchestre (l'Orchestre Lamoureux je crois - en tout cas c'était bel et bien l'Orchestre Lamoureux que dirigea Ferré pour "La chanson du mal-aimé"). Bref, quand Ivry Gitlis joua de son violon, sur la musique fraîchement enregistrée de Ferré... Ferré, comme à l'accoutumée, n'avait pas encore enregistré sa voix - donc ses mots...
60 ans que j'écoute et toujours le même sentiment de plaisir ❤❤❤❤ le maître des mots
J adore cette chanson du grand Léo, très douce, très mélancolique
Cette chanson me bouleverse particulièrement,reviens Leo tu nous manques tant!tu sais ce monde est devenu fou,tu étais le plus grand je t ai tant aime
Léo Ferré est pour moi et à ce jour le plus grand artiste. Le plus grand poète du XXème siècle mais aussi le plus grand interprète, compositeur et musicien de son temps. Oui, c'est tout ça, après 40 ans d'écoute je ne vois pas d'autre conclusion. Il faut le dire, le diffuser, le faire connaitre pour que d'autres aussi puissent avoir la chance de l'apprécier. Quelques titres: FLB, la lettre, la mémoire et la mer, tu ne dis jamais rien, géométriquement tien, ton style, tu penses à quoi, ca t'va, cette blessure, petite, des mots,.....
Le plus grand , ça ne veut pas dire grand chose.Bien sûr Ferré est incontestablement un grand, mais Leny Escudero, Brel, Guidoni,Lavilliers, Higelin et d'autres le sont aussi , grands.
Rien compris, monsieur
oui, y'a d'autres grands aussi.....ceux que tu cites et d'autres encore....
L'amour fou , La lettre sont sublime et Basta et il n'y a plus rien du grand texte qui n'a jamais été égaler etc. Merci !
Bien d'accord avec vous...au même rang que Brassens, Brel, Lavilliers et Ferrat...peut-être aussi Le Forestier...Oui, certainement !!!
S'isoler, s'asseoir et écouté humblement,
Merci monsieur Léo Ferré 🙏
Mon fils en état végétatif réagit en écoutant Leo et Barbara aussi.. Comme par hasard !!!
Bouleversant, Ferre tu me rends mélancolique
pour moi son chef d'œuvre, tout est beau, tout est triste à pleurer, les violons, le texte, Léo et l'An dix mille....
Même que je serais dàccord avec vous Trois, surtout parce que je ne me trove pas étrnger nule part, Cammarades.!
oh oui !! l'AN DIX MILLE Lochu, l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE l'AN DIX MILLE ...
Des tonnes de sentiments, c'est à peu près ça Léo. Ce morceau comme plein d'autres, c'est l'émotion à l'état pur, plus le génie musical, plus la poésie qui vous décoiffe l'ego basique. Ferré, c'est la mer, c'est le monde, plus rien de petit, c'est le réel devant nous, et on est tous à poil devant ça. Léo, un chanteur pour tempérament artiste. Les autres, c'est normal, n'y comprendrons jamais rien. Léo, c'est l'exception qui emmerde la règle.
C est beau ce que vous avez écrit
On a besoin de la Poésie....pour quitter un instant notre condition humaine et voleter ..un peu grâce à elle .....
Ah j adore votre formule... "l ex ception qui emmerde la règle" il aurait aimé je pense.
Ferré, mon maître à penser dès mes 15 ans en 1960.
D'autres sont venus étoffer ma vie sans doute grâce à lui qui m'a montré la voie.
Fallait pas mourir Leo , tu nous manque tant ! T'avais encore plein de merveilles pour nous !!!!!!
Nathalie Ratheau sublimm
Il nous manque, surtout par les temps qui courent, il aurait de fameux coups de gueule à vociférer. A donner la jaunisse, même aux gilets jaunes ;))
@@Vanderlinden100able Bien dit !
C'était un penseur libre sans étiquettes, et ni dieu ni maitre. Je suis de 76 j'ai été bercée par ce Grand Monsieur et ne regrette rien. C'est toujours un plaisir de l'écouter. Merci Mr Audemard Christian.
La liberté n'est qu'un vague sentiment si elle n'est pas adossée à la vérité. C'est bien parce qu'il n'a eu aucun dieu que sa poésie reflète la misère, celle justement de l'homme sans Dieu. Après avoir écouté et médité ses chansons, on reste sans espérance. Où se trouve t'il aujourd'hui, y avez-vous réfléchi ?
58 ans d'amour :-) Merci Léo!
''Quand la mer se ramène avec des étrangers
En Bretagne y a toujours la crêperie d'à côté
Et un marin qui t'file une bonne crêpe en ciment
Tellement il y a fourré des tonnes de sentiments''
S il.n avait pas été là dans mes oreilles et au fond de mes tripes .. je n aurais jamais eu les pieds sale. Et en plus il m'a fait rencontrer l Amour .. c'est pas donner à tout le monde .. merci Mr Leo
Un magnifique poète surréaliste qui a su nous transmettre cette flamme de vent et de soleil que l'on appelle un instant d'éternité.
Surréaliste, bien dit, tout à fait cela
Merci à vous,Léo Ferré, pour l'émotion que vous nous donnez
j'ai toujours adoré Ferré depuis depuis ma jeunesse et je l'écoute encore avec un immense plaisir bordel pour moi c'est le plus grand au dessus c'est le soleil ..
cadot yves :-! Y 'a pas mieux
je pense pareil :))
Ouais comme dirait Dieudo. exactement !
@@robertgirardBobydbSounD tiens un fan de Dieudo qui aime Léo enfin pourquoi pas...
@@cadotyves995 Mais bien sur, pourquoi pas, M Valls
je pleurs à chaque fois sur cette oeuvre...faut dire que j'ai vecu dans ces villes de Bretagne et j''ecoutais au bord de mer si Lochu me ferait un signe...
Lochu bien sûr...
Il nous manque, surtout par les temps qui courent, il aurait de fameux coups de gueule à vociférer. A donner la jaunisse, même aux gilets jaunes ;))
tout fut dit je partage avec vius l'amour de cet immense poete
Merci Christian. Je l'ai vu pour la premières fois en1971 à Tours. Comme un miroir...
Montréal 89
Il nous manque, surtout par les temps qui courent, il aurait de fameux coups de gueule à vociférer. A donner la jaunisse, même aux gilets jaunes ;))
@@Vanderlinden100ableécouter un misogyne pareil non merci
Merveilleux Ferré accompagné D'Yvry Gitlis
elle est tellement sublime cette photo, ce petit chat et ce ferré si plein de force et de tendresse 😥😥
Tu me manques Léon ,je,t'aime, et je t'aimerai jusqu'à ma mort tu étais un génie ,tu avais tous compris et tu n,avais pas peur de le chanter merci, pour l,artiste que tu était unique. Et tu aimais les animaux
J,écoute tes chansons, et je pense à toi LEO,
Si mieux peut exister, la version Live avec ivry Gitlis est magnifiée.
Un magnifique souvenir de famille , un message d'amour pour mon arrière grand oncle de son ami Leo Ferré
Je ne me lasse jamais d’être porté par ce moment de poésie
Pensé a toi René Lochu et Leo Ferré
quelle chance que votre arrière grand oncle rene lochu ait ete l'ami de ferre j'espère que vous avez des archives et des photos
Souvenir de l'an dix mille un bar de nuit et surtout de Léo Ferré et de René Lochu le Marin Anar 😊
A la clinique ou est mon fils un.type de Vannes est voir un ami de Vannes ils ont connu ce monsieur Lochu...oui...incroyable..
la photo de lalbum est superbe leo aimait tellement les animaux ne loubliont pas est autant damour dans ces textes merci leo tu est un deuxieme papa pour moi merci encore
50 après, je suis toujours autant bouleversé de t'entendre, mon cher Léo. Tu te rappelles, nous avions diner ensemble, après ton récital au TNS, avec Popol ?!
Et jusqu'à la fin dans 10,000 ans
quand j écoutais cette mélodie je pense a mes parents eux qui viennet de l Italie ils ont rencontré tous les marais et même les bateaux une bonne crêpe et des tonnes de sentiments avec toute l Amour d une bon mère je t aime maman
Mélodieux (...) Bravo Léo
Superbe. Merci.
SUBLIMISSIME...
Il nous quittait physiquement il y a déjà trente ans. l' Anniversaire de sa mort est passé sous silence dans les médias bien-pensants . C'est à nous de faire vivre son œuvre.
Un grand poète métaphysicien surréaliste doublé d'un musicien prodigieux, impossible aujourd'hui...
superbe ! .........................................................................
Ben oui, Brassens, Brel sont des poètes extraordinaires, mais Ferré, Ferré ! Qu'est-ce que tu me manques !
Merci Monsieur Léo Ferré grand poète et Musicien. 😢
Super chanson , super Leo , et puis merde l'anarchie , il n'y que cela de vrai !
J aime trop cette chanson et cette musique. Ce violon... De Gitlis.
Libre ...
Deux artistes libres.
je voulais dire aussi que je t aime leo voila
tu nous manques 🌹
merci !!!!!!!!!!!
Arrivée trop discrète
Tu es venu trop tôt,
Des licornes dans tes danses élégantes
Tu es venu trop vrai,
Des cigales dans le givre de ton souffle
Tu es venu trop vite,
Des météores aimantés
Dans ton sourire
Tu es venu trop fragile,
Des soupirs d’églantine
Dans ta langue rapide
Parcourant des sillages de jade
Tu es venu trop en avance,
Les étoiles se sont émues
De ta formule,
Pictogramme de vent
Larguée au hasard des époques rudes,
Trop rudes
Tu es venu trop silencieux,
Ton ambassade est si frêle
Que les senteurs synthétiques
Envahissent les corolles de tes parterres foulés
Par les spectres et les symboles oranges
D’un soleil sournois
Tu es venu trop solitaire,
Tes compagnons te laissèrent
En des lieux peu prospères ,
uU aiguillon de lune pour seul repère
Tu es venu décalé
Comme un mystère pyramidal
Accroché aux évidences d’une dune en dérive
Tu es venu trop mystérieux,
Sans coque,
Sans étendard,
Sans refrain dans ton hymne,
Sans marge dans ton discours,
Sans fioriture dans ton carnaval ,
Sans regard dans ton dos
Tu es venu
Comme un aiglon éperdu,
Trop incertain
Tu es venu peut-être trop intelligent,
Car en toi des mémoires instables
Décidaient de la transparence de l’éternité
Tu es venu trop vieux,
Trop hagard,
Trop herbe:
Ta flexibilité vue comme une occasion de fenaison précoce,
Tes intuitions pélagiques
Furent engrangées dans les replis d’une saison pluvieuse,
Alors que tes germinations demandaient des horizons bleus
Trop ciel :
Ton azur fut peint au plafond commun
Des hôtels particuliers
Comme ton irisation appelait le zéphyr
Trop oiseau:
Ton élan fut abattu un matin de mai ,
En cette année renégate
Où les armées cendreuses se faufilaient
Entre les lames d’un rayon dérivant
Au large des terres femelles
Trop fin pour devenir un rideau de pollen,
Tu erras longtemps parmi les rocailles rousses
Et le vent se fit miniature ,
Replié dans la poche du crépuscule
Trop arbre :
Ton houppier se fit racine magnétique
D’un monde inversé,
L’échiquier de tes feuilles
Se décline aujourd’hui en tremblements mécaniques,
Elles qui sont les héritières des algues océaniques,
Larmes amères,
Epitaphes d’un mouvement trop discret
Tu es venu trop jeune,
Trop seul,
Trop majuscule dans un épigramme aux relents de mépris,
celui de la barbarie des séries
Pourchassant ta singularité
Jusque dans les jungles ouatées
Des paysages d’outre-monde
Tu es venu trop nuage :
Ta vapeur ambrée fut prétexte à des caricatures de porcelaine
Accrochées aux linteaux de manoirs sombres
Tu es venu magnétique,
Trop en vue pour les boussoles incandescentes,
Feux follets moirés d’une impatience parfois sordide
Te réduisant en paillettes de désert
Tu es venu trop naïf
Tandis que que tu étais graine,
Germe spiralé en volutes d’espoir,
Grimé en virgule amène
Dans la version originale d’un sourire
Tu es venu de l’océan,
Du minéral
Orbitant depuis toujours autour d’un nombre d’or,
Tu es venu du lagon,
D’une écaille géométrique
Que portaient de magnifiques dragons
Profilant les orbes de ta conscience
Sur le tableau bavard d’un premier mot
4 et 6 Mai 2020
Leo Ferre et Ivry Gitlis ensemble, y a pas mieux.
Les étrangers !
A écouter et réécouter,
Ben-J, Mystik, Rohff, Pit Baccardi On Fait Les Choses
DJ Sims m'a trainé ici!
Je me disais bien ;)
Clairement
Sublime comment on l'envoie
Soleil ☀ il à t compris salut Léo le plus grand poète
Magnifica
Merci***
❤❤❤
J'ai usé le 33 tours !
C'est pour cela qu'ils sont désormais sur (Fichiers) ! :))
J'adore🐱
Que dire sinon des larmes
Il nous manque, surtout par les temps qui courent, il aurait de fameux coups de gueule à vociférer. A donner la jaunisse, même aux gilets jaunes ;))
Comme tous les artistes
On fait les choses... On s'arrange
Le plus grand
C'est ici que ça se passe, en direct 1974, Léo, Ivry... c'était l'An 10.000, Lochu était pas loin, et moi je me rappelle et moi je m'en souviens ;-).
Ici donc => th-cam.com/video/Ll2njBBOttc/w-d-xo.html
Léo t’es dieu Ra!
......♥....
Léo était un être supérieur
Moi monsieur, l inspiration je la trouve dans l isolement
Lochu tu te souviens?
BONSOIR MONSIEUR ET MADAME,L EO FERRÉ NE SE CLASSE PAS ONT NE PEU PAS LE DÉFINIR "IL FAIS PARTI DES NOMBREUX POÈTES ,style des soldats inconnus !!! Momo
L'Europe a besoin d'étrangers pour garder l'équilibre ou survivre (Italie ).
L'étranger, ne cherche d'où il vient mais qui est il (son profil ).
😢
On fait les choses on’ s’arrange …
Regarde ces murs qui résistent au temps.
Déchiffre les écritures qui relate le passé au présent .
Come un timbre sur une lettre il est administré.
On lui colle une en-tête d'un type basané.
Gouiez Mohamed.
Léo et Ivry... sans équivalent...
Bonjour Ivry qui est ce ?
@@noarnoar7775 Ivry Gitlis
Violoniste
LOUISIANE Les Etrangers
Chanson de Léo Ferré
Paroles
Regarde-la ta voile elle a les seins gonflés
La marée de tantôt te l'a déshabillée
Les bateaux comme les filles ça fait bien des chichis
Mais ce genre de bateau ça drague pas dans Paris
T'as les yeux de la mer et la gueule d'un bateau
Les marins c'est marrant même à terre c'est dans l'eau
Ta maman a piqué sur ta tête de vieux chien
Deux brillants que tu mets quand t'embarques ton destin
C'est pas comme en Avril, en Avril 68
Lochu tu t'en souviens la mer on s'en foutait
On était trois copains avec une tragédie
Et puis ce chien perdu tout prêt à s'suicider
Quand la mer se ramène avec des étrangers
Homme ou chien c'est pareil on les regarde naviguer
Et dans les rues d'Lorient ou d'Brest pour les sauver
Y a toujours un marin qui rallume son voilier
Regarde-la ta quille à la mer en allée
La marée de tantôt te l'a tout enjupée
Les bateaux comme les filles ça fait bien du chiqué
Mais quand on s'fout à l'eau faut savoir naviguer
T'as le cœur comme ces rocs vêtus de Chantilly
Quand la tempête y a fait un shampooing dans la nuit
Ta maman t'a croché deux ancres aux doigts de chair
Et les lignes de ta main ça s'lit au fond d'la mer
C'est pas comme en Avril, en Avril 68
Lochu tu t'en souviens dans ces rues de l'emmerde
On était trois copains au bout de mille nuits
Et le jour qui s'pointait afin que rien ne s'perde
Quand la mer se ramène avec des étrangers
En Bretagne y a toujours la crêperie d'à côté
Et un marin qui t'file une bonne crêpe en ciment
Tellement il y a fourré des tonnes de sentiments
Regarde-la ta barre comme de la Pop musique
Ça fait un vrai bordel chez les maquereaux très chics
La mer a ses anglais avec le drapeau noir
On dirait 68 qui s'en revient du trottoir
Ma maman m'a cousu une gueule de chimpanzé
Si t'as la gueule d'un bar j'm'appelle Pépée Ferré
C'est pas comme en Avril, en Avril de mon cul
Dans ce bar endossé au destin de la rue
Et c'est pas comme demain en l'An de l'An 10 000
Lochu tu t'en souviens c'était beau dans c'temps-là
La mer dans les Soleils avec ou bien sans quille
Un bateau dans les dents des étoiles dans la voix
Et quand on se ramenait avec nos galaxies
Ça faisait un silence à vous mourir d'envie
Et les soirs d'illusion avec la nuit qui va
Dans Brest ou dans Lorient on pleure et on s'en va
L'An 10 000, Lochu, tu t'rappelles
L'An 10 000, tu t'rappelles, Lochu
L'An 10 000, l'An 10 000, l'An 10 000...
Source : Musixmatch
Paroliers : Leo Ferre
Superbe chanson comme toutes.....
Sur Les murs une trace De fer
.....
L’ancre,l’encre
Les Etrangers
Regarde-la ta voile elle a les seins gonflés
La marée de tantôt te l'a déshabillée
Les bateaux comme les filles ça fait bien des chichis
Mais ce genre de bateau ça drague pas dans Paris
T'as les yeux de la mer et la gueule d'un bateau
Les marins c'est marrant même à terre c'est dans l'eau
Ta maman a piqué sur ta tête de vieux chien
Deux brillants que tu mets quand t'embarques ton destin
C'est pas comme en avril en avril soixante-huit
Lochu tu t'en souviens la mer on s'en foutait
On était trois copains avec une tragédie
Et puis ce chien perdu tout prêt à s'suicider
Quand la mer se ramène avec des étrangers
Homme ou chien c'est pareil on les r'garde naviguer
Et dans les rues d'Lorient ou d'Brest pour les sauver
Y a toujours un marin qui rallume son voilier
Regarde-la ta quille à la mer en allée
La marée de tantôt te l'a tout enjupée
Les bateaux comme les filles ça fait bien du chiqué
Mais quand on s'fout à l'eau faut savoir naviguer
T'as le coeur comme ces rocs vêtus de Chantilly
Quand la tempête y a fait un shampooing dans la nuit
Ta maman t'a croché deux ancres aux doigts de chair
Et les lignes de ta main ça s'lit au fond d'la mer
C'est pas comme en avril en avril soixante-huit
Lochu tu t'en souviens dans ces rues de l'emmerde
On était trois copains au bout de mille nuits
Et le jour qui s'pointait afin que rien ne s'perde
Quand la mer se ramène avec des étrangers
En Bretagne y a toujours la crêperie d'à côté
Et un marin qui t'file une bonne crêpe en ciment
Tellement il y a fourré des tonnes de sentiments
Regarde-la ta barre comme de la Pop musique
Ça fait un vrai bordel chez les maquereaux très chics
La mer a ses anglais avec le drapeau noir
On dirait Soixante-huit qui s'en r'vient du trottoir
Ma maman m'a cousu une gueule de chimpanzé
Si t'as la gueule d'un bar j'm'appelle Pépée Ferré
C'est pas comme en avril en avril de mon cul
Dans ce bar endossé au destin de la rue
Et c'est pas comme demain en l'An de l'An Dix mille
Lochu tu t'en souviens c'était beau dans c'temps-là
La mer dans les Soleils avec ou bien sans quille
Un bateau dans les dents des étoiles dans la voix
Et quand on se ram'nait avec nos Galaxies
Ça faisait un silence à vous mourir d'envie
Et les soirs d'illusion avec la nuit qui va
Dans Brest ou dans Lorient on pleure et on s'en va
L'An Dix mille... Lochu ? Tu t'rappelles ?
L'An Dix mille... Tu t'rappelles ? Lochu ?
L'An Dix mille, l'An Dix mille, l'An Dix mille...
Merci d'avoir ajouté les paroles !
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Il n’y a plus rien
leo je sais c'est nos migrants aujourdhui tu le dis c'est vrais tu es la
Il ressemble à un personnage de roman....
"Testament Phonographe" ans. "Il
La profondeur de ses textes, la mélodie, l'interprétation, j'en reste toujours baba, prenez-en de la graine les cosumeristes de tous poils avec vos textes plein de haine.
Curieusement je préfère de loin la version live dugrand échiquier quand Ferré vient poser sa main sur l'épaule de Gitlis. Peut-être parce que la musique ne couvre pas la voix de Ferré comme elle le fait un peu sur cette version studio.
LEO J
EDOR
E,
Je Dadore Leo
👍❤❤❤❤💯👍🐕
Plus personne et naturel c'est triste
Non ! Ivry Gitlis ne répond pas, "comme dans un concerto", "aux mots" de Léo Ferré, mais, comme dans un concerto, son violon répond à l'orchestration de Léo Ferré, à sa mélodie, ainsi qu’aux propres violons écrits sur la partition de Ferré ! Ferré enregistrait en premier lieu l'orchestre... et en un second temps sa voix sur la musique. Quand Ivry Gitlis est venu rendre visite à son ami Ferré aux studio Barclay en 1974, Ferré lui a fait entendre le dernier morceau qu'il venait d'enregistrer avec l'Orchestre (l'Orchestre Lamoureux je crois - en tout cas c'était bel et bien l'Orchestre Lamoureux que dirigea Ferré pour "La chanson du mal-aimé"). Bref, quand Ivry Gitlis joua de son violon, sur la musique fraîchement enregistrée de Ferré... Ferré, comme à l'accoutumée, n'avait pas encore enregistré sa voix - donc ses mots...