Monsieur, je ne vous remercierai jamais assez pour votre travail éblouissant de clarté. Vous êtes une inépuisable source de motivation, je me réfère toujours à vos cours pour continuer à faire ma musique. Big up ! 😊
Merci infiniment de mettre tout ce savoir à disposition de tous gratuitement. On perçoit à la fois votre érudition et votre enthousiasme, c'est une belle démarche !
Cela fait 2-3 ans que différents professeurs dans différents cours (notamment au conservatoire) ont tenté de me l’expliquer, toujours sur la méthode du « apprenez par coeur, et vous verrez après comment ça marche et à quoi ça vous servira », en vain. Enfin un bon prof qui explique la logique des choses, différencie bien les termes et les usages, et met fin à beaucoup de confusions dans l’apprentissage des gammes mineures harmonique / mélodiques! Très clair et bien expliqué! Merci!!!
Merci, vous êtes un vrai bon prof comme j'en ai connu dans ma jeunesse, érudit, expert dans son domaine, pédagogue, sérieux mais sympa, passionné par la musique , l'harmonie et l'enseignement. Bravo, respect ! merci pour ces cours très riches. Je découvre enfin avec intérêt la théorie musicale, étant musicien amateur audodidacte depuis très longtemps.
Quelle merveille, une fois de plus, de pouvoir vous écouter et vous entendre, donc vous comprendre! Je prends autant de bonheur à étudier vos deux livres. Ce que j'apprends grâce à vous me sert au plus haut point. MERCI.Serge Feuillard.
Merci monsieur Feuillard, votre commentaire me touche tout particulièrement! Je suis heureux d'apporter ces éléments de compréhension et d'être entendu. Un grand merci! Jean-Louis Fabre
Monsieur Fabre, je me joins à tous mes petits camarades pour vous transmettre mes sincères remerciements et félicitations pour la qualité de votre apprentissage. L'harmonie est tellement complexe..., je passe des heures à écouter mon professeur (physique) qui est déjà excellent et d'autre tutoriels, personne ne parvient à être aussi clair que vous ne l'êtes. Merci pour votre précision et générosité !
Je viens de découvrir votre vidéo. Elle répond à toutes les questions que je posais sur les différentes gammes mineures et également sur les modes et leur utilisation. Vos explications sont d'une très grade clarté. Merci beaucoup. 👍
Je découvre vos vidéos au fur et à mesure, concernant l'accord du 3ème degré je me souviens que dans le vieux Reber de 1852 il est tout simplement déclaré comme interdit ou impraticable. Merci pour ces vidéos, c'est pointu, clair et concis. Enfin des images qui viennent égayer les traités papier.
Merci pour cette explication et cette clarification des différents mineurs (harmonique, mélodique ascendant et mélodique descendant - aussi appelé "naturel" comme vous le faites remarquer). En tant que musicien "actuel", on m'avait présenté ces trois formes de mineur comme 3 grandes familles à part entière, possédant leurs modes propres (comme le superphrygien ou le mode dit "bartok"), au même titre que la famille du majeur possède ses modes (ionien, lydien...). Du coup, votre explication des différences de la gamme mineure en fonction de son utilisation (harmonique ou mélodique) m'éclaire beaucoup. Merci.
Cette vidéo m'a apporté énormément, car j'avais accroché à celle du Chap. 1.7. Merci beaucoup pour "nous" consacrer tout ce temps. C'est un top de qualité. Comme quoi la culture est à notre portée. Merci encore.
Brigitte Bonjour Un grand merci pour vos vidéos qui sont passionnantes, de très grande qualité et de plus très vivantes (ne changez rien!!!)...J'ai vraiment l'impression d'assister en direct à vos cours... Je les revisionne régulièrement,car je me suis rendue compte que parfois même des notions que je pensais acquises ne le sont pa complètement et me manquent dans ma pratique du piano.(Au fur et à mesure,tout s'éclaircit puis s'intègre...et pour cela,il faut du temps et de la répétition...!!).Découvrir et redécouvrir!!...Un de vos articles qui m'aide le plus actuellement est "réponses aux questions sur le mineur"...la comparaison gamme entre la gamme majeure et mineure en C..la présence de la note sensible "si" dans les 2 gammes, donc l'explication enfin claire de la présence du sol # quand je joue en Am par exemple.idem pour les autres gammes....ça devient LOGIQUE ....et du coup ça me donne envie d'aller voir plus loin.....les gammes mineures mélodique ascendantes et descendantes et les modes autres....Et je pense que pour mieux intégrer ces futurs modes (dorien.... eolien..=gamme de la m.)plus complexes ,je vais essayer de les étudier en les tranposant tous en gamme de C...pour les visualiser ,les retenir et les utiliser plus facilement ......Merci encore...
Le seul mec qui te dit "c'est trètrè claire, mais même lui n'y croit pas. C'est pas grave tu m'a bien fait rire continu comme ça, pouce bleu pour toi ;)
Merci pour cette video qui vient expliquer le caractère problématique de la sensible et de l'accord du IIIe degré. Dans un traité d'harmonie (Truchot, page 3) on pouvait trouver ceci: "dans la gamme de do majeur le si harmonisé sur le 3eme degré n'a pas la qualité de note sensible", ce n'était pas clair comme formulation (une sensible est une sensible pour moi). Maintenant je comprends mieux ce que ça veut dire.
Bonjour, j'ai compris l'intégralité de votre vidéo et une question me trotte toujours dans la tête : la confrontation entre d'une part le mode mineur mélodique (ascendant ou descendant) présent dans la mélodie, et d'autre part le mode mineur harmonique présent dans l'harmonie (qui peut n'être qu'un simple accompagnement), n'entrainerait-elle pas, cette confrontation, des dissonances ? Par exemple, en do mineur, prenons la mélodie ascendante "sol, la bécarre, si bécarre, do". Si, d'aventure, je voulais harmoniser cette mélodie par les degrés I, IV, V et I, alors il y aurait une dissonance entre le la bécarre de la mélodie et le la bémol du degré IV. Il existe une foultitude d'autres exemples, mais tentons de s'expliquer avec celui-ci. Ma véritable question est donc celle-ci : comment éviter de pareilles dissonances ? Merci d'avance !
Théo de Pinho , bonjour , je me pause exactement la même questions, avez vous eu des explications par rapport à la "confrontation" mineur harmonique dans les accords et les mineurs mélodiques dans la mélodie
Bonjour et merci encore pour tous vos efforts. Le livre de Gradus ad Parnassum, Les gammes et les intervalles explique de façon aussi précise que cette vidéo la différence entre les différentes gammes mineures. Ceci étant dit il n'est pas abordé la possibilité d'un conflit entre les gammes mineures. J'ai conscience que cette question découle d'une vision peut-être un peu trop théorique de la musique, mais tout de même... Un éclaircissement à ce sujet serait le bienvenu. Merci à l'avance pour votre réponse. J'attends le 2ème volume avec impatience !
on parle de mélodie et pas d'harmonie; la pièce citée est pour luth un seul instrument et pas d'harmonie avec des accords en harmonie on utilise l'harmonie à partir des degrés la mélodie seule utilise une progression différente car il y a une seule voie
Après avoir regardé cette vidéo passionnante une seconde fois, je me suis posé la même question et j'ai vu que je n'étais pas le seul ^^. Et malheureusement je n'ai pas trouvé de réponse... Comment faire pour éviter les dissonances entre une harmonisation en "mineur harmonique" et une mélodie en "mineur mélodique" ? Et comment éviter la seconde augmentée dans une harmonisation en "mineur harmonique" si je veux utiliser les degrés VI et VII ? Est-ce qu'ils ne sont jamais utilisés ensemble pour éviter la dissonance ? Si quelqu'un à des explications complémentaires je suis preneur... Merci. En tout cas un grand bravo au Maestro ! C'est passionnant !
J'aurais bien aimé une série sur les modes et leur particularités. Il y a une video de Bernstein sur le sujet mais c'est juste une présentation générale (quoique géniale).
Bonsoir & grand merci à vous. Pourrait-on dire qu’une gamme mineure mélodique possède un tétracorde inférieur mineur & un tétracorde supérieur majeur ? Le mode éolien ou mode de la, n’est-il pas le mode mineur naturel ? À partir de 38:37 les harmonies des accords pourraient contenir des notes différentes à chaque fois. Sans redoubler une note mais en utilisant une neuvième par exemple ou une quarte ? Remarquez que ce ne sont que des toutes petites questions que je me pose. Veuillez croire cher Monsieur à mon plus profond respect.
Bonjour. Grand débutant en solfège depuis quelques jours, je ne connaissais rien à la construction musicale il y a 2 jours, vous êtes au top. Je ne sais pas si cela me sera utile un jour (guitare, violon, alto, saxophone, piano, ... quel instrument choisir, est-ce que je passerai à la pratique ?) ou si c'est pour aider une de mes transincarnations mais un grand merci pour votre clarté et aussi toutes vos petites parenthèses qui sont loin d'être inutiles. Vos cours sont un vrai plaisir pour l’intellect, c'est déjà très bien.
Cher Monsieur, je suis abonné et suis assidument vos vidéos. J'en profite pour vous remercier pour la qualité de votre pédagogie. Je ne parviens toutefois pas à comprendre le fait que l'accord du V ème degré soit Majeur exclusivement. L'accord de sol mineur existe et comporte bien un si bémol ? Par avance merci de votre éclaircissement si ma question n'est pas trop inepte.
Miserere d'Allegri, le IIIe degré (Sib majeur) utilisé d'entrée après un v mineur éolien (Ré m), et pourtant on a l'impression que c'est un degré fort !
quelque chose m'échappe...comment une seconde peut-être augmenté alors qu'elle n'est pas juste ? n'est elle pas mineur ou majeur ? et puis la note étrangère...pourquoi l'appelé comme ça alors qu'il s'agit ni plus ni moins qu'un passage d'un mode à un mode...comment est-ce possible que le 2éme, 3éme,6éme et 7éme degré soient dispensable ? j'ai le sentiment que l'étude de la musique classique est plutôt sectaire...malgré tout j'y trouve mon compte, la pédagogie de ce professeur est à couper le souffle...merci pour cette vidéo...une pépite parmi d'autres.
Bonjour, merci beaucoup pour vos vidéos. J'avais une question sur l'extrait de la bourrée de Bach, ici en do mineur. Comment expliquer le si bécarre dans les premières notes de la phrase musicale (do re mib ré do sibécarre ...) ? Dans la descente mélodique des trois dernières notes, étant donné qu'on reste en mineur, on ne retrouve pas le sib annoncé en théorie dans le mineur mélodique descendant ?
Car après le Si c'est un DO donc c'est le mineur ascendant. En fait cette histoire d'ascendant et de descendant permettent d'éviter l'enchaînement Lab Si ou Si Lab. Donc s'il n'y a pas cet enchaînement, on ne modifie rien.
Alors Comment vous Harmonisez cette mélodie de JS BACH quand ca devient une mélodie ascendant et descendant ? PUISQUE on doit puiser suer la gamme HARMONQUE doit on ajoutér le SI bémol ou le LA bécart dans les accords harmoniqueS?
Excellent cours, je suggère que la gamme mineur naturelle se nomme ainsi puisqu'issue directement de sa relative majeure (donc naturellement) dont elle conserve les altérations. Elle devient harmonique quand on lui ajoute sa sensible ..Me trompe-je?
A 19mn43s, vous dites que certains pensent que le V° degré de la gamme mineure est mineure. C'est par ce qu'ils se réfèrent à l'harmonisation de la gamme mineure naturelle (qui a une 7° mineure) et non à la gamme mineure harmonique. Je faisais, moi même, cette erreur avant de suivre vos publications.
Attention ! L'accord du VIe degré en do mineur est la bémol do (et non si bécarre !) mi bémol. Il est bien sûr très employé dans l'harmonie. Rappelons que l'accord du VIe degré dans un tonalité mineure est un accord majeur.
@@gradusadparnassumfr J'entends bien, mais les trois notes la bémol, si bécarre et mi bémol, appartiennent bien toutes les trois à la gamme mineure de do. Et l'accord de la bémol mineur ainsi formé (qui n'a pas la fonction d'un VIe degré) est-il un accord "interdit" ?
@@Krabouif Bonjour, je me permets de répondre à la place de Jean-Louis Fabre, qui complétera au besoin. L'ensemble des trois notes lab - si bécarre - mib n'est pas un accord de lab. Pourquoi ? Parce qu'un accord de "la", quelques soient les dièses et les bémols qui s'y promènent, est constitué d'un la, d'un do et d'un mi. L'accord de lab mineur serait donc : lab - dob - mib. Or le dob ne fait pas partie de la tonalité de do mineur. Vous observerez avec justesse que sur un clavier, le dob et le si bécarre se jouent sur la même touche. Certes oui, mais en même temps elles ne sont pas la même note puisqu'elles se jouent dans des contextes différents. D'ailleurs, vous joueriez ces trois notes ensemble dans un contexte très affirmé de do mineur, vous n'entendriez pas un dob (et conséquemment pas un accord de lab mineur), mais une sensible si bécarre, qui n'a qu'une envie, remplir sa fonction de sensible et monter sur le do. Cordialement, Julian Moreira
Bonjour monsieur, Je tiens tout d'abord à vous féliciter pour l'ensemble de vos passionnantes vidéos qui regorgent de précieuses informations et ce, afin d'entreprendre un parfait apprentissage dans le domaine musical. Je dépoussière actuellement mon lointain prix de solfège et vos explications me comblent de bonheur. C'est un réel plaisir que de suivre vos leçons qui sont à la fois claires et précises. Bravo à vous. J'ai cependant 2 questions à vous soumettre : 1/ Vous parlez de "la tonique" (ou "la finale" comme on l'appelait jadis) pour trouver la tonalité du morceau (ce qui me semble également la meilleure des manières). Mais si le morceau se termine par une gamme voisine (car me semble-t-il, un morceau ne se conclut pas forcément avec la tonalité de départ), comment fait-on pour trouver la tonalité ? 2/ Vous parlez de la dominante qui est toujours majeure en mode mineur. Ne serait-il pas opportun de préciser "harmonique" ? Car, si mes souvenirs sont exacts (corrigez-moi si je fais erreur), dans la gamme mineure mélodique naturelle, il me semble que la dominante est mineure. Cordialement Olivier
On peut dire que chaque degré défini les intervals... A B C D E F G A peut servir à ça... A-C tierce mineure E-F sixte mineur et F-G septième mineure... Du coup, si on parle en degré, on a 1-2-b3-4-5-b6-b7
A saluer , très très bonne vidéo, limpide claire et pour mon cas, de nombreuses questions ont trouvé réponses : faut il répéter au piano la gamme mineure naturelle ou harmonique ?
Comme son nom l'indique, la gamme mineure harmonique ne sert qu'à fabriquer l'accord septième de dominante. Elle n'a pas d'autre intérêt, dans des impros on peut utiliser le mode mineur mélodique ascendant ou descendant, pas forcément pour monter ou descendre. Par contre, quelqu'un qui fait des arpèges pour accompagner, de la salsa par exemple, devra placer la sensible sur un accord 7dom.
J'ai posé il y a un an une question argumentée et étayée par des exemples en musique classique. je suis étonné de ne pas avoir de réponse. Je me permet donc de la renouveler : "Il y a bien évidemment des choses très intéressantes dans ce cours. Mais pourquoi vouloir à tout prix transposer la simplicité du majeur au mineur? Le mineur est bien évidemment plus " délicat" à théoriser que le majeur et vouloir à tout prix avoir une SEULE gamme de référence est une chose qui selon moi, n'est pas en phase avec la réalité musicale. Il y a en permanence une intrication des différentes échelles et pas seulement dans la musique classique du 19e siècle. La marche harmonique de la Chaconne démontre que le mineur naturel et le mineur harmonique cohabitent sans cesse. La mineur- Mi mineur (3ce à la basse) Ré mineur (3ce à la basse) Mi majeur ( avec retard de la tierce) . Cette suite de 4 accords chère à Bach est impossible à réduire au seul mineur harmonique. La cadence Flamenco utilisant la même basse ( mais pas exactement les mêmes accords) le prouve aussi. Dans le concerto de guitare de Rodrigo, on trouve fréquemment le Ve degré avec sensible et le Ve sans sensible qui cohabitent parfois à quelques mesures de distance. Dans la musique de Jazz, le Ve degré comporte toujours la sensible. Mais dans la musique pop ou variétés, ça n'est pas vrai. idem pour les autres degrés : le IIIe degré avec la quinte juste et le VIIe degré sur sous-tonique sont des accords très fréquents. Je ne comprends donc pas comment il est possible de réduire le mode mineur à 4 accords. Cela limite fortement les possibilités et je n'en vois pas la raison". Cordialement.
D'accord avec votre conclusion. Lorsque l'on regarde le vaste répertoire de la musique tonale, penser le mineur en terme de 6ième et 7ième degrés "mobiles" (pouvant être tantôt naturels, tantôt haussés) correspond plus à la pratique. L'accord de sous-tonique (7ième degré naturel) est très utilisé, l'accord de dominante "mineur" (7ième degré naturel) se rencontre souvent, l'accord de médiante est presque toujours un accord parfait (7ième degré naturel). L'accord de sous-dominante "majeur" (avec 6ième degré haussé) est plutôt rare mais est utilisé. De plus les compositeurs empruntent au mode phrygien, avec notamment l'accord dit napolitain sur le 2ième degré baissé. Le mineur offre donc une palette d'accords plus étendue. Penser que seul le mineur harmonique est utilisé pour former les accords est une simplification qu'il aurait été utile de préciser.
Oui. Les accords de sensible sont toujours des accords de dominante privés de leur fondamentale. C'est le cas de l'accord si ré fa en do, et des accords de septième de sensible. Si ré fa la est la neuvième majeure de dominante sans fondamentale. Si ré fa la bémol, l'accord de septième diminuée, est l'accord de neuvième mineure de dominante sans fondamentale.
@@gradusadparnassumfr donc si je veux colorer un peu une rythmique, je peux remplacer un Sol 7 par un Bm7 b5? Ceci en ayant en tête de jouer un sol avec sa 7e et 9e. En tout cas, merci d'avoir pris le temps de me répondre.
@@gradusadparnassumfr du coup je m'interroge aussi sur autre chose (vous allez trouver ça bête). Mais dans une écriture a plusieurs instruments, ne pourrait on pas voir les accords de la manière suivante : Do a la guitare basse et la guitare électrique qui jouerai un Mi mineur. L'ensemble jouerai Do Mi Sol Si
Merci pour toutes ces précisions, qui répondent effectivement à des questions que je me posais en suivant la série de vos "rappels théoriques". Une question encore, dont la réponse est peut-être évidente, mais je ne la trouve pas (ma connaissance de la musique classique est assez limitée): pourquoi est-ce la gamme mineure mélodique descendante qui détermine les altérations à la clef? Et question conjointe: pourquoi est-elle dite gamme "naturelle"? Je comprends aisément pourquoi vous n'aimez pas le terme de "naturelle", mais justement, cela rend ma première question plus problématique à mes yeux... Est-ce une question d'histoire de la musique, ou bien le résultat d'une pratique plus courante (les mélodies descendantes seraient-elles plus fréquentes?...), ou bien pour pouvoir identifier aussitôt, avant même de regarder la partition, s'il s'agit de majeur (1/2 ton séparant sensible et tonique) ou de mineur? Merci de votre réponse - ou simplement de me renvoyer à une vidéo qui évoque la question (j'imagine que répondre à toutes les questions doit prendre un temps infini...). Et merci encore pour la qualité de vos cours, que je mesure d'autant mieux que je suis d'une part néophyte en harmonie, et d'autre part prof aussi (de latin!). Ils constituent un hapax dans le genre!
Bonjour, vous pouvez trouver réponse à vos questions sur les tons voisins dans la vidéo 1.12 qui leur est consacrée. En ce qui concerne la gamme chromatique, elle ne nécessite pas un exposé particulier, à part quelques subtilités. Il s'agit de l'énonciation des douze sons, d'une tonique à l'autre. En do, on énoncera: do, do#, ré, ré#, mi, fa, fa#, sol, sol#, la, sib, si bécarre, et do, en descendant: do, si, sib, la, lab, sol, fa#, fa bécarre, mi, mib, ré, réb, et do. JLF
Bonjour, attention, il s'agit d'une simple question de termes, mais le vocabulaire doit être très précis, car l'étude de l'écriture devient parfois assez complexe, et un vocabulaire incertain peut rendre les choses inutilement difficiles. Deux choses: 1) les mots tonique, ou dominante, ou sous-dominante, ou IIème degré, ou encore sensible, désignent des notes, pas des intervalles. Dans la gamme de do (majeure ou mineure) la tonique est unique, c'est un seul son: Do. La dominante est la note sol. 2) les mots fondamentale, quinte, ou tierce, sont des intervalles. Dans un accord de trois sons, ré fa la par exemple, la fondamentale est ré, la quinte est la. Or cet accord est l'accord du IIème degré de la gamme de do majeur. Ré est la fondamentale de cet accord, en aucun cas la tonique. La est la quinte de cet accord, en aucun cas la dominante. Il ne faut donc en aucun cas confondre la notion de degré, et la notion d'intervalle. La dominante est la dominante, pas "la quinte" (elle est certes la quinte de l'accord de tonique, do mi sol). J'espère m'être fait comprendre. Merci de votre intérêt pour ces vidéos. Bien cordialement Jean-Louis Fabre
Bonjour, je ne découvre vos vidéos qu'aujourd'hui malheureusement. Voilà, j'aurais un tout petit doute à effacer concernant le passage sur la relation impossible entre le 6ème et 7ème degré - ces fameuses notes "qui se tournent le dos". Je crois avoir parfaitement compris pourquoi dans la gamme mineur harmonique on évitait de faire un pont entre ces degrés 6 et 7. Je pense également avoir compris l'intérêt d'utiliser la gamme mineur mélodique ascendante et la dite mineur "naturelle" descendante pour pouvoir être "autorisé" à construire des phrases mélodiques dans ce second tétracorde. Je pense, j'espère avoir aussi compris la relation avec l'exemple démontré plus tôt dans la vidéo, celui ou vous nous invitez à nous concentrer sur l'orde des voies des 3 accords I - IV - V et ou effectivement, il n'y a aucun franchissement, sur aucunes des voies : ténor, alto, soprano des degré 6 et 7. Mais, plus tard dans la vidéo vous revenez à cet exemple pour valider le passage sur l'utilisation des divers modes mineurs. Evoquez vous alors ces 3 accords I - IV - V (et le dessin des voies quelles comportent) confrontés qu'au seul mode mineur ou au mode mineur ET majeur? Car si j'y trouve une relation implacable pour ces 3 accords en mode mineur (aussi bien à l'oreille que théoriquement avec votre leçon), j'ai plus de mal à la comprendre en mode majeur sachant en plus et comme vous nous l'avez fait remarquer, que l'utilisation de la gamme mineur mélodique ascendante pour franchir ces degrés 6 et 7 est conforme au mode majeur dans cette parti de la gamme... voilà j'espère avoir été clair. Pas sur. Merci de toute façon ces vidéos me ravissent sincèrement.
+Saturnin Bonjour, pardon de répondre si tard. Je ne suis pas tout à fait sûr d'avoir bien compris votre propos. Néanmoins, je réaffirme ici que oui , le tétracorde supérieur de la gamme majeure et mineure mélodique ascendante est bien le même, et que donc la mélodie, en majeur comme en mineur, quand elle doit franchir conjointement ces quatre notes (sol la si do) se comporte exactement de la même manière. Désolé, je comprends mal votre question et je suis donc un peu embarrassé de vous apporter les précisions que vous attendez. Je vous suggère de la reformuler, peut-être avec des exemples, ce n'est pas facile par écrit je sais. Quoi qu'il en soit, il est très important de consulter les œuvres pour obtenir la réponse. Je vous répondrai bien volontiers, n'hésitez pas à me solliciter à nouveau. Par la suite, je donnerai des extraits d'œuvres où tous ces aspects sont évident. Il y a des milliers d'exemples qui permettent une parfaite compréhension. L'ensemble des vidéos constitue déjà un nombre d'heures important, il était difficile de donner en plus les exemples. Mais ce sera fait par la suite. Merci de votre attention si soutenue. Bien cordialement Jean-Louis Fabre
bonjour dans mon devoir sur la gamme de fa mineur la question est quel intervalle separe le Vl eme degré du VIIeme degré et precisez sa qualification quel est le degré d'une gamme mineur dont l'altération nest pas à l'armure merci
mout clo Bonjour, toutes les questions de votre exercice trouveront leurs réponses dans cette vidéo ! Petit indice : votre question concerne le mode mineur harmonique. N'hésitez pas à nous solliciter si des points restaient obscurs. Cordialement.
Merci mais une remarque : l'Europe ne se limite pas à l'Europe occidentale. Il y a aussi l'Europe orientale. Et même chez les Grecs anciens, en Europe orientale comme en Italie du sud il existait des intervalles musicaux qui aujourd'hui ne nous paraîtraient pas ''occidentaux''.
La gamme de fa mineur a 4 bémols, relative mineure de lab majeur. Sa sensible est bien mi bécarre. La gamme de fa mineur harmonique est donc bien: fa sol lab sib do réb mi bécarre fa, sol lab demi-ton, do réb demi-ton, mi bécarre fa demi-ton sensible tonique. Bien cordialementJean-Louis Fabre
ou, en effet, réb mi bécarre sont bien un ton et demi. C'est la caractéristique de la gamme mineure harmonique, c'est la seconde augmentée. Il suffit d'en tenir compte et de la mentionner. Elle disparaît dans les deux formes du mineur mélodique: mineur mélodique ascendant: fa sol lab sib do ré bécarre mi bécarre fa, mineur mélodique descendant: fa mib réb do si b lab sol fa. En général, dans un devoir, on demande le mineur harmonique, il faut donc signaler la seconde augmentée.CordialementJLF
Bien qu'un peu magistral très bien mené. Je regretterais ,peut être, plus de matérialisations sonores. Les intervention pianistiques me semblent parfois manquantes au milieu de toutes ces explications au risque de perdre l'auditeur
Bonjour. Il y a bien évidemment des choses très intéressantes dans ce cours. Mais pourquoi vouloir à tout prix transposer la simplicité du majeur au mineur? Le mineur est bien évidemment plus " délicat" à théoriser que le majeur et vouloir à tout prix avoir une SEULE gamme de référence est une chose qui selon moi, n'est pas en phase avec la réalité musicale. Il y a en permanence une intrication des différentes échelles et pas seulement dans la musique classique du 19e siècle. La marche harmonique de la Chaconne démontre que le mineur naturel et le mineur harmonique cohabitent sans cesse. La mineur- Mi mineur (3ce à la basse) Ré mineur (3ce à la basse) Mi majeur ( avec retard de la tierce) . Cette suite de 4 accords chère à Bach est impossible à réduire au seul mineur harmonique. La cadence Flamenco utilisant la même basse ( mais pas exactement les mêmes accords) le prouve aussi. Dans le concerto de guitare de Rodrigo, on trouve fréquemment le Ve degré avec sensible et le Ve sans sensible qui cohabitent parfois à quelques mesures de distance. Dans la musique de Jazz, le Ve degré comporte toujours la sensible. Mais dans la musique pop ou variétés, ça n'est pas vrai. idem pour les autres degrés : le IIIe degré avec la quinte juste et le VIIe degré sur sous-tonique sont des accords très fréquents. Je ne comprends donc pas comment il est possible de réduire le mode mineur à 4 accords. Cela limite fortement les possibilités et je n'en vois pas la raison. Cordialement.
Gagner un prof de musique en tant qu'eveque ? L'octave de noel père Teillet... La teille de la vie éternelle vigne Saint Martin ou rien.. Le temps de Saint Martin TOURS et du père Gallard.
Jamais vu explication aussi claire (et bien illustrée) sur les différentes formes de mineur. GENIAL
Merci pour vos vidéos et vos cours. Vous êtes le meilleur professeur de musique qu'il 'm'ait été donné d'avoir.
Merci à vous Monsieur! Vous offrez au monde de de l'internet un trésor de connaissance !
Monsieur, je ne vous remercierai jamais assez pour votre travail éblouissant de clarté. Vous êtes une inépuisable source de motivation, je me réfère toujours à vos cours pour continuer à faire ma musique.
Big up ! 😊
Merci infiniment de mettre tout ce savoir à disposition de tous gratuitement. On perçoit à la fois votre érudition et votre enthousiasme, c'est une belle démarche !
Cela fait 2-3 ans que différents professeurs dans différents cours (notamment au conservatoire) ont tenté de me l’expliquer, toujours sur la méthode du « apprenez par coeur, et vous verrez après comment ça marche et à quoi ça vous servira », en vain. Enfin un bon prof qui explique la logique des choses, différencie bien les termes et les usages, et met fin à beaucoup de confusions dans l’apprentissage des gammes mineures harmonique / mélodiques! Très clair et bien expliqué! Merci!!!
Merci, vous êtes un vrai bon prof comme j'en ai connu dans ma jeunesse, érudit, expert dans son domaine, pédagogue, sérieux mais sympa, passionné par la musique , l'harmonie et l'enseignement. Bravo, respect ! merci pour ces cours très riches. Je découvre enfin avec intérêt la théorie musicale, étant musicien amateur audodidacte depuis très longtemps.
Quelle merveille, une fois de plus, de pouvoir vous écouter et vous entendre, donc vous comprendre! Je prends autant de bonheur à étudier vos deux livres. Ce que j'apprends grâce à vous me sert au plus haut point. MERCI.Serge Feuillard.
Merci monsieur Feuillard, votre commentaire me touche tout particulièrement!
Je suis heureux d'apporter ces éléments de compréhension et d'être entendu. Un grand merci!
Jean-Louis Fabre
la qualité de vos cours me permet de consolider mes connaissances : merci beaucoup !!
Merci encore ! J’espère que ça va bien pour vous après toutes ces années !
Je m'y remets après une interruption bien trop longue... Mille merci Monsieur le Professeur!
Monsieur Fabre, je me joins à tous mes petits camarades pour vous transmettre mes sincères remerciements et félicitations pour la qualité de votre apprentissage. L'harmonie est tellement complexe..., je passe des heures à écouter mon professeur (physique) qui est déjà excellent et d'autre tutoriels, personne ne parvient à être aussi clair que vous ne l'êtes. Merci pour votre précision et générosité !
je viens enfin de comprendre apres 25 ans cette histoire de melodique ascendante/decsente et gamme harmonique ! merci beaucoup
Je viens de découvrir votre vidéo. Elle répond à toutes les questions que je posais sur les différentes gammes mineures et également sur les modes et leur utilisation. Vos explications sont d'une très grade clarté. Merci beaucoup. 👍
Merci pour la richesse de vos explications - je découvre avec une compréhension bien plus intelligente.....
Je découvre vos vidéos au fur et à mesure, concernant l'accord du 3ème degré je me souviens que dans le vieux Reber de 1852 il est tout simplement déclaré comme interdit ou impraticable. Merci pour ces vidéos, c'est pointu, clair et concis. Enfin des images qui viennent égayer les traités papier.
Le prof dont je rêvais. Félicitations.
La " Classe" ! Merci de nous " communiquer" votre savoir ! Magnifique !
Merci beaucoup pour votre exposé très passionnant!Il m'a permis de comprendre des notions que j'avis apprises sans en voir l’importance et l'utilité.
monsieur quel serieux.au maroc a casablanca on a besoin de professeurs de votre valeur.metci
Merci à vous le professeur, ça m'aide beaucoup, et je crois mon niveau en théorie a augmenté, bon travail.
Mille mercis M. Fabre. Vous êtes très clair et précis. A+
Merci pour cette explication et cette clarification des différents mineurs (harmonique, mélodique ascendant et mélodique descendant - aussi appelé "naturel" comme vous le faites remarquer). En tant que musicien "actuel", on m'avait présenté ces trois formes de mineur comme 3 grandes familles à part entière, possédant leurs modes propres (comme le superphrygien ou le mode dit "bartok"), au même titre que la famille du majeur possède ses modes (ionien, lydien...). Du coup, votre explication des différences de la gamme mineure en fonction de son utilisation (harmonique ou mélodique) m'éclaire beaucoup. Merci.
Bonjour, merci pour vos cours Monsieur ils sont fantastiques.
Merci pour cette vidéo qui est à la fois très claire et très instructive. Vous êtes un formidable professeur !
Cette vidéo m'a apporté énormément, car j'avais accroché à celle du Chap. 1.7. Merci beaucoup pour "nous" consacrer tout ce temps. C'est un top de qualité. Comme quoi la culture est à notre portée. Merci encore.
merci infiniment vous êtes le boss que vous pensez être
MERCI ! merci beaucoup pour tout ce que vous faites et vos explications qui m'aident énormément.
Quand Chuck Norris doit expliquer les gammes mineures il se réfère à ces explications.
Tu as changé ma vision les gammes mineur, merci infiniment ! C'est beaucoup plus claire maintenant. Excellente pédagogie !
Brigitte
Bonjour
Un grand merci pour vos vidéos qui sont passionnantes, de très grande qualité et de plus très vivantes (ne changez rien!!!)...J'ai vraiment l'impression d'assister en direct à vos cours... Je les revisionne régulièrement,car je me suis rendue compte que parfois même des notions que je pensais acquises ne le sont pa complètement et me manquent dans ma pratique du piano.(Au fur et à mesure,tout s'éclaircit puis s'intègre...et pour cela,il faut du temps et de la répétition...!!).Découvrir et redécouvrir!!...Un de vos articles qui m'aide le plus actuellement est "réponses aux questions sur le mineur"...la comparaison gamme entre la gamme majeure et mineure en C..la présence de la note sensible "si" dans les 2 gammes, donc l'explication enfin claire de la présence du sol # quand je joue en Am par exemple.idem pour les autres gammes....ça devient
LOGIQUE ....et du coup ça me donne envie d'aller voir plus loin.....les gammes mineures mélodique ascendantes et descendantes et les modes autres....Et je pense que pour mieux intégrer ces futurs modes (dorien.... eolien..=gamme de la m.)plus complexes ,je vais essayer de les étudier en les tranposant tous en gamme de C...pour les visualiser ,les retenir et les utiliser plus facilement ......Merci encore...
formidable petit récapitulatif avec revue et vue transversale fixanttrès bien les idées.
Merci Monsieur Fabre, quelle pédagogie !!!
belle approche, très claire et personnage très sympathique
Ne changez rien !
Le seul mec qui te dit "c'est trètrè claire, mais même lui n'y croit pas.
C'est pas grave tu m'a bien fait rire continu comme ça, pouce bleu pour toi ;)
vincent clatot pourtant c’est extrêmement bien résumé , il est hyper bon
Merci pour cette video qui vient expliquer le caractère problématique de la sensible et de l'accord du IIIe degré. Dans un traité d'harmonie (Truchot, page 3) on pouvait trouver ceci: "dans la gamme de do majeur le si harmonisé sur le 3eme degré n'a pas la qualité de note sensible", ce n'était pas clair comme formulation (une sensible est une sensible pour moi). Maintenant je comprends mieux ce que ça veut dire.
J'ai enfin compris le mineur mélodique, merci !
Merci pour votre vidéo elle m a énormément servi .
53:44 Merci pour toutes ces clarifications.
Merci beaucoup . Très clair. Un vrai plaisir .
Bonsoir! aujourd'hui j me sens tres content de voir et en mesure de faire des accords magiques
Là c'est très clair et complet, merci !
c'est superbement bien explique j'adore ce cour il m'a beaucoup apporte encore merci
Excellent. Merci !
46:08 🤣🤣🤣Mort de rire avec l'exemple sur la difference Entre melodie Orientale et Occidentale (Merci pour les videos)
Tout simplement merci.
Avant votre cours il y avait l ombre, maintenant la lumière !
Bonjour, j'ai compris l'intégralité de votre vidéo et une question me trotte toujours dans la tête : la confrontation entre d'une part le mode mineur mélodique (ascendant ou descendant) présent dans la mélodie, et d'autre part le mode mineur harmonique présent dans l'harmonie (qui peut n'être qu'un simple accompagnement), n'entrainerait-elle pas, cette confrontation, des dissonances ? Par exemple, en do mineur, prenons la mélodie ascendante "sol, la bécarre, si bécarre, do". Si, d'aventure, je voulais harmoniser cette mélodie par les degrés I, IV, V et I, alors il y aurait une dissonance entre le la bécarre de la mélodie et le la bémol du degré IV. Il existe une foultitude d'autres exemples, mais tentons de s'expliquer avec celui-ci. Ma véritable question est donc celle-ci : comment éviter de pareilles dissonances ?
Merci d'avance !
Théo de Pinho , bonjour , je me pause exactement la même questions, avez vous eu des explications par rapport à la "confrontation" mineur harmonique dans les accords et les mineurs mélodiques dans la mélodie
Bonjour et merci encore pour tous vos efforts. Le livre de Gradus ad Parnassum, Les gammes et les intervalles explique de façon aussi précise que cette vidéo la différence entre les différentes gammes mineures. Ceci étant dit il n'est pas abordé la possibilité d'un conflit entre les gammes mineures. J'ai conscience que cette question découle d'une vision peut-être un peu trop théorique de la musique, mais tout de même... Un éclaircissement à ce sujet serait le bienvenu. Merci à l'avance pour votre réponse. J'attends le 2ème volume avec impatience !
on parle de mélodie et pas d'harmonie; la pièce citée est pour luth
un seul instrument et pas d'harmonie avec des accords
en harmonie on utilise l'harmonie à partir des degrés
la mélodie seule utilise une progression différente car il y a une seule voie
Après avoir regardé cette vidéo passionnante une seconde fois, je me suis posé la même question et j'ai vu que je n'étais pas le seul ^^. Et malheureusement je n'ai pas trouvé de réponse...
Comment faire pour éviter les dissonances entre une harmonisation en "mineur harmonique" et une mélodie en "mineur mélodique" ? Et comment éviter la seconde augmentée dans une harmonisation en "mineur harmonique" si je veux utiliser les degrés VI et VII ? Est-ce qu'ils ne sont jamais utilisés ensemble pour éviter la dissonance ?
Si quelqu'un à des explications complémentaires je suis preneur... Merci.
En tout cas un grand bravo au Maestro ! C'est passionnant !
C'est ce qu’on appel des fausses relations. Elles doivent être évité ou aménagé.
merci beaucoup, vraiment très intéressant.
Parfait le tableau de synthèse ! Il ne reste plus qu’a le compléter avec les autres modes 😉
J'aurais bien aimé une série sur les modes et leur particularités. Il y a une video de Bernstein sur le sujet mais c'est juste une présentation générale (quoique géniale).
Bonsoir & grand merci à vous.
Pourrait-on dire qu’une gamme mineure mélodique possède un tétracorde inférieur mineur & un tétracorde supérieur majeur ?
Le mode éolien ou mode de la, n’est-il pas le mode mineur naturel ?
À partir de 38:37 les harmonies des accords pourraient contenir des notes différentes à chaque fois.
Sans redoubler une note mais en utilisant une neuvième par exemple ou une quarte ?
Remarquez que ce ne sont que des toutes petites questions que je me pose.
Veuillez croire cher Monsieur à mon plus profond respect.
Bonjour. Grand débutant en solfège depuis quelques jours, je ne connaissais rien à la construction musicale il y a 2 jours, vous êtes au top. Je ne sais pas si cela me sera utile un jour (guitare, violon, alto, saxophone, piano, ... quel instrument choisir, est-ce que je passerai à la pratique ?) ou si c'est pour aider une de mes transincarnations mais un grand merci pour votre clarté et aussi toutes vos petites parenthèses qui sont loin d'être inutiles. Vos cours sont un vrai plaisir pour l’intellect, c'est déjà très bien.
L'instrument qui s'impose dans l'étude de l'harmonie est bien sûr le clavier. Je vous remercie pour ces encouragements.
Cher Monsieur, je suis abonné et suis assidument vos vidéos. J'en profite pour vous remercier pour la qualité de votre pédagogie. Je ne parviens toutefois pas à comprendre le fait que l'accord du V ème degré soit Majeur exclusivement. L'accord de sol mineur existe et comporte bien un si bémol ? Par avance merci de votre éclaircissement si ma question n'est pas trop inepte.
Miserere d'Allegri, le IIIe degré (Sib majeur) utilisé d'entrée après un v mineur éolien (Ré m), et pourtant on a l'impression que c'est un degré fort !
quelque chose m'échappe...comment une seconde peut-être augmenté alors qu'elle n'est pas juste ? n'est elle pas mineur ou majeur ? et puis la note étrangère...pourquoi l'appelé comme ça alors qu'il s'agit ni plus ni moins qu'un passage d'un mode à un mode...comment est-ce possible que le 2éme, 3éme,6éme et 7éme degré soient dispensable ? j'ai le sentiment que l'étude de la musique classique est plutôt sectaire...malgré tout j'y trouve mon compte, la pédagogie de ce professeur est à couper le souffle...merci pour cette vidéo...une pépite parmi d'autres.
Bonjour, merci beaucoup pour vos vidéos. J'avais une question sur l'extrait de la bourrée de Bach, ici en do mineur. Comment expliquer le si bécarre dans les premières notes de la phrase musicale (do re mib ré do sibécarre ...) ? Dans la descente mélodique des trois dernières notes, étant donné qu'on reste en mineur, on ne retrouve pas le sib annoncé en théorie dans le mineur mélodique descendant ?
Car après le Si c'est un DO donc c'est le mineur ascendant.
En fait cette histoire d'ascendant et de descendant permettent d'éviter l'enchaînement Lab Si ou Si Lab. Donc s'il n'y a pas cet enchaînement, on ne modifie rien.
Alors Comment vous Harmonisez cette mélodie de JS BACH quand ca devient une mélodie ascendant et descendant ? PUISQUE on doit puiser suer la gamme HARMONQUE doit on ajoutér le SI bémol ou le LA bécart dans les accords harmoniqueS?
Excellent cours, je suggère que la gamme mineur naturelle se nomme ainsi puisqu'issue directement de sa relative majeure (donc naturellement) dont elle conserve les altérations. Elle devient harmonique quand on lui ajoute sa sensible ..Me trompe-je?
Merci! Si cela peut aider, en Anglais la tonic c’est “the root,” la racine. (Ne bouge pas.)
le 7 peut etre une substitution du 5 , encore plus en harmonisation de 4 sons . On le trouve aussi comme degre 2 en mineur harmonique .
merci beaucoup !
A 19mn43s, vous dites que certains pensent que le V° degré de la gamme mineure est mineure. C'est par ce qu'ils se réfèrent à l'harmonisation de la gamme mineure naturelle (qui a une 7° mineure) et non à la gamme mineure harmonique.
Je faisais, moi même, cette erreur avant de suivre vos publications.
Bravo pour vos vidéos !
Une question : en do mineur
l'accord du 6° degré mineur peut-il être utilisé ( Lab Sibecarre Mib) ?
Attention ! L'accord du VIe degré en do mineur est la bémol do (et non si bécarre !) mi bémol. Il est bien sûr très employé dans l'harmonie. Rappelons que l'accord du VIe degré dans un tonalité mineure est un accord majeur.
@@gradusadparnassumfr J'entends bien, mais les trois notes la bémol, si bécarre et mi bémol, appartiennent bien toutes les trois à la gamme mineure de do.
Et l'accord de la bémol mineur ainsi formé (qui n'a pas la fonction d'un VIe degré) est-il un accord "interdit" ?
@@Krabouif Bonjour, je me permets de répondre à la place de Jean-Louis Fabre, qui complétera au besoin. L'ensemble des trois notes lab - si bécarre - mib n'est pas un accord de lab. Pourquoi ? Parce qu'un accord de "la", quelques soient les dièses et les bémols qui s'y promènent, est constitué d'un la, d'un do et d'un mi. L'accord de lab mineur serait donc : lab - dob - mib. Or le dob ne fait pas partie de la tonalité de do mineur. Vous observerez avec justesse que sur un clavier, le dob et le si bécarre se jouent sur la même touche. Certes oui, mais en même temps elles ne sont pas la même note puisqu'elles se jouent dans des contextes différents. D'ailleurs, vous joueriez ces trois notes ensemble dans un contexte très affirmé de do mineur, vous n'entendriez pas un dob (et conséquemment pas un accord de lab mineur), mais une sensible si bécarre, qui n'a qu'une envie, remplir sa fonction de sensible et monter sur le do.
Cordialement,
Julian Moreira
Gradus ad Parnassum quelle serait le nom d’un tel accord là bémole si bécarre mi bémol ?
Bonjour monsieur,
Je tiens tout d'abord à vous féliciter pour l'ensemble de vos passionnantes vidéos qui regorgent de précieuses informations et ce, afin d'entreprendre un parfait apprentissage dans le domaine musical.
Je dépoussière actuellement mon lointain prix de solfège et vos explications me comblent de bonheur. C'est un réel plaisir que de suivre vos leçons qui sont à la fois claires et précises.
Bravo à vous.
J'ai cependant 2 questions à vous soumettre :
1/ Vous parlez de "la tonique" (ou "la finale" comme on l'appelait
jadis) pour trouver la tonalité du morceau (ce qui me semble également
la meilleure des manières). Mais si le morceau se termine par une gamme
voisine (car me semble-t-il, un morceau ne se conclut pas forcément avec
la tonalité de départ), comment fait-on pour trouver la tonalité ?
2/ Vous parlez de la dominante qui est toujours majeure en mode mineur.
Ne serait-il pas opportun de préciser "harmonique" ? Car, si mes
souvenirs sont exacts (corrigez-moi si je fais erreur), dans la gamme mineure mélodique naturelle, il me semble que la dominante est mineure.
Cordialement
Olivier
On peut dire que chaque degré défini les intervals... A B C D E F G A peut servir à ça... A-C tierce mineure E-F sixte mineur et F-G septième mineure... Du coup, si on parle en degré, on a 1-2-b3-4-5-b6-b7
Merci,Merci,Merci.
A saluer , très très bonne vidéo, limpide claire et pour mon cas, de nombreuses questions ont trouvé réponses : faut il répéter au piano la gamme mineure naturelle ou harmonique ?
Comme son nom l'indique, la gamme mineure harmonique ne sert qu'à fabriquer l'accord septième de dominante. Elle n'a pas d'autre intérêt, dans des impros on peut utiliser le mode mineur mélodique ascendant ou descendant, pas forcément pour monter ou descendre. Par contre, quelqu'un qui fait des arpèges pour accompagner, de la salsa par exemple, devra placer la sensible sur un accord 7dom.
J'ai posé il y a un an une question argumentée et étayée par des exemples en musique classique. je suis étonné de ne pas avoir de réponse. Je me permet donc de la renouveler : "Il y a bien évidemment des choses très intéressantes dans ce cours. Mais pourquoi vouloir à tout prix transposer la simplicité du majeur au mineur? Le mineur est bien évidemment plus " délicat" à théoriser que le majeur et vouloir à tout prix avoir une SEULE gamme de référence est une chose qui selon moi, n'est pas en phase avec la réalité musicale. Il y a en permanence une intrication des différentes échelles et pas seulement dans la musique classique du 19e siècle. La marche harmonique de la Chaconne démontre que le mineur naturel et le mineur harmonique cohabitent sans cesse. La mineur- Mi mineur (3ce à la basse) Ré mineur (3ce à la basse) Mi majeur ( avec retard de la tierce) . Cette suite de 4 accords chère à Bach est impossible à réduire au seul mineur harmonique. La cadence Flamenco utilisant la même basse ( mais pas exactement les mêmes accords) le prouve aussi. Dans le concerto de guitare de Rodrigo, on trouve fréquemment le Ve degré avec sensible et le Ve sans sensible qui cohabitent parfois à quelques mesures de distance. Dans la musique de Jazz, le Ve degré comporte toujours la sensible. Mais dans la musique pop ou variétés, ça n'est pas vrai. idem pour les autres degrés : le IIIe degré avec la quinte juste et le VIIe degré sur sous-tonique sont des accords très fréquents. Je ne comprends donc pas comment il est possible de réduire le mode mineur à 4 accords. Cela limite fortement les possibilités et je n'en vois pas la raison". Cordialement.
D'accord avec votre conclusion. Lorsque l'on regarde le vaste répertoire de la musique tonale, penser le mineur en terme de 6ième et 7ième degrés "mobiles" (pouvant être tantôt naturels, tantôt haussés) correspond plus à la pratique. L'accord de sous-tonique (7ième degré naturel) est très utilisé, l'accord de dominante "mineur" (7ième degré naturel) se rencontre souvent, l'accord de médiante est presque toujours un accord parfait (7ième degré naturel). L'accord de sous-dominante "majeur" (avec 6ième degré haussé) est plutôt rare mais est utilisé. De plus les compositeurs empruntent au mode phrygien, avec notamment l'accord dit napolitain sur le 2ième degré baissé. Le mineur offre donc une palette d'accords plus étendue. Penser que seul le mineur harmonique est utilisé pour former les accords est une simplification qu'il aurait été utile de préciser.
Peut on considérer l'accord de sensible comme un 5eme degré privé de sa fondamentale ?
Oui. Les accords de sensible sont toujours des accords de dominante privés de leur fondamentale. C'est le cas de l'accord si ré fa en do, et des accords de septième de sensible. Si ré fa la est la neuvième majeure de dominante sans fondamentale. Si ré fa la bémol, l'accord de septième diminuée, est l'accord de neuvième mineure de dominante sans fondamentale.
@@gradusadparnassumfr donc si je veux colorer un peu une rythmique, je peux remplacer un Sol 7 par un Bm7 b5? Ceci en ayant en tête de jouer un sol avec sa 7e et 9e.
En tout cas, merci d'avoir pris le temps de me répondre.
@@gradusadparnassumfr du coup je m'interroge aussi sur autre chose (vous allez trouver ça bête). Mais dans une écriture a plusieurs instruments, ne pourrait on pas voir les accords de la manière suivante : Do a la guitare basse et la guitare électrique qui jouerai un Mi mineur. L'ensemble jouerai Do Mi Sol Si
Merci pour toutes ces précisions, qui répondent effectivement à des questions que je me posais en suivant la série de vos "rappels théoriques". Une question encore, dont la réponse est peut-être évidente, mais je ne la trouve pas (ma connaissance de la musique classique est assez limitée): pourquoi est-ce la gamme mineure mélodique descendante qui détermine les altérations à la clef? Et question conjointe: pourquoi est-elle dite gamme "naturelle"? Je comprends aisément pourquoi vous n'aimez pas le terme de "naturelle", mais justement, cela rend ma première question plus problématique à mes yeux... Est-ce une question d'histoire de la musique, ou bien le résultat d'une pratique plus courante (les mélodies descendantes seraient-elles plus fréquentes?...), ou bien pour pouvoir identifier aussitôt, avant même de regarder la partition, s'il s'agit de majeur (1/2 ton séparant sensible et tonique) ou de mineur? Merci de votre réponse - ou simplement de me renvoyer à une vidéo qui évoque la question (j'imagine que répondre à toutes les questions doit prendre un temps infini...).
Et merci encore pour la qualité de vos cours, que je mesure d'autant mieux que je suis d'une part néophyte en harmonie, et d'autre part prof aussi (de latin!). Ils constituent un hapax dans le genre!
Car le mineur c'est le mode de La soit LA SI DO RE MI FA SOL LA qui correspond au mélodique descendant (la sensible SOL dièse est abaissée)
Très bien
Il se trouve que Mozart a quand même utilisé la gamme mineure harmonique dans la mélodie de la 40ème symphonie en sol mineur
Merci beaucoup……
Professeur un cours sur les tons voisins et la gamme chromatique.merci beaucoup
Bonjour, vous pouvez trouver réponse à vos questions sur les tons voisins dans la vidéo 1.12 qui leur est consacrée.
En ce qui concerne la gamme chromatique, elle ne nécessite pas un exposé particulier, à part quelques subtilités. Il s'agit de l'énonciation des douze sons, d'une tonique à l'autre. En do, on énoncera: do, do#, ré, ré#, mi, fa, fa#, sol, sol#, la, sib, si bécarre, et do, en descendant: do, si, sib, la, lab, sol, fa#, fa bécarre, mi, mib, ré, réb, et do.
JLF
@@gradusadparnassumfr Petite correction, en descendant do, si, sib, la, lab, sol, solb, mi, mib, re, reb do.
Je découvre, donc merci. Mais pourquoi appeler la FONDAMENTALE la TONIQUE ?? Pour moi (guitariste), la tonique, c'est la quinte .
Bonjour,
attention, il s'agit d'une simple question de termes, mais le vocabulaire doit être très précis, car l'étude de l'écriture devient parfois assez complexe, et un vocabulaire incertain peut rendre les choses inutilement difficiles.
Deux choses:
1) les mots tonique, ou dominante, ou sous-dominante, ou IIème degré, ou encore sensible, désignent des notes, pas des intervalles. Dans la gamme de do (majeure ou mineure) la tonique est unique, c'est un seul son: Do.
La dominante est la note sol.
2) les mots fondamentale, quinte, ou tierce, sont des intervalles.
Dans un accord de trois sons, ré fa la par exemple, la fondamentale est ré, la quinte est la.
Or cet accord est l'accord du IIème degré de la gamme de do majeur. Ré est la fondamentale de cet accord, en aucun cas la tonique. La est la quinte de cet accord, en aucun cas la dominante.
Il ne faut donc en aucun cas confondre la notion de degré, et la notion d'intervalle.
La dominante est la dominante, pas "la quinte" (elle est certes la quinte de l'accord de tonique, do mi sol).
J'espère m'être fait comprendre.
Merci de votre intérêt pour ces vidéos.
Bien cordialement
Jean-Louis Fabre
Bonjour, je ne découvre vos vidéos qu'aujourd'hui malheureusement. Voilà, j'aurais un tout petit doute à effacer concernant le passage sur la relation impossible entre le 6ème et 7ème degré - ces fameuses notes "qui se tournent le dos". Je crois avoir parfaitement compris pourquoi dans la gamme mineur harmonique on évitait de faire un pont entre ces degrés 6 et 7. Je pense également avoir compris l'intérêt d'utiliser la gamme mineur mélodique ascendante et la dite mineur "naturelle" descendante pour pouvoir être "autorisé" à construire des phrases mélodiques dans ce second tétracorde. Je pense, j'espère avoir aussi compris la relation avec l'exemple démontré plus tôt dans la vidéo, celui ou vous nous invitez à nous concentrer sur l'orde des voies des 3 accords I - IV - V et ou effectivement, il n'y a aucun franchissement, sur aucunes des voies : ténor, alto, soprano des degré 6 et 7. Mais, plus tard dans la vidéo vous revenez à cet exemple pour valider le passage sur l'utilisation des divers modes mineurs. Evoquez vous alors ces 3 accords I - IV - V (et le dessin des voies quelles comportent) confrontés qu'au seul mode mineur ou au mode mineur ET majeur? Car si j'y trouve une relation implacable pour ces 3 accords en mode mineur (aussi bien à l'oreille que théoriquement avec votre leçon), j'ai plus de mal à la comprendre en mode majeur sachant en plus et comme vous nous l'avez fait remarquer, que l'utilisation de la gamme mineur mélodique ascendante pour franchir ces degrés 6 et 7 est conforme au mode majeur dans cette parti de la gamme... voilà j'espère avoir été clair. Pas sur. Merci de toute façon ces vidéos me ravissent sincèrement.
+Saturnin Bonjour, pardon de répondre si tard.
Je ne suis pas tout à fait sûr d'avoir bien compris votre propos.
Néanmoins, je réaffirme ici que oui , le tétracorde supérieur de la gamme majeure et mineure mélodique ascendante est bien le même, et que donc la mélodie, en majeur comme en mineur, quand elle doit franchir conjointement ces quatre notes (sol la si do) se comporte exactement de la même manière.
Désolé, je comprends mal votre question et je suis donc un peu embarrassé de vous apporter les précisions que vous attendez. Je vous suggère de la reformuler, peut-être avec des exemples, ce n'est pas facile par écrit je sais.
Quoi qu'il en soit, il est très important de consulter les œuvres pour obtenir la réponse. Je vous répondrai bien volontiers, n'hésitez pas à me solliciter à nouveau. Par la suite, je donnerai des extraits d'œuvres où tous ces aspects sont évident. Il y a des milliers d'exemples qui permettent une parfaite compréhension. L'ensemble des vidéos constitue déjà un nombre d'heures important, il était difficile de donner en plus les exemples. Mais ce sera fait par la suite.
Merci de votre attention si soutenue.
Bien cordialement
Jean-Louis Fabre
bonjour dans mon devoir sur la gamme de fa mineur
la question est
quel intervalle separe le Vl eme degré du VIIeme degré
et precisez sa qualification
quel est le degré d'une gamme mineur dont l'altération nest pas à l'armure
merci
mout clo Bonjour, toutes les questions de votre exercice trouveront leurs réponses dans cette vidéo ! Petit indice : votre question concerne le mode mineur harmonique. N'hésitez pas à nous solliciter si des points restaient obscurs. Cordialement.
Merci mais une remarque : l'Europe ne se limite pas à l'Europe occidentale. Il y a aussi l'Europe orientale. Et même chez les Grecs anciens, en Europe orientale comme en Italie du sud il existait des intervalles musicaux qui aujourd'hui ne nous paraîtraient pas ''occidentaux''.
Bien.
Merci. les termes "mixolidiens" etc. la sensible me paraissent insaisissables. Veuilez m'eclairer la-dessus.
Oh là là ! ! !
j'ai un cours à faire
ecrire la gamme da FA mineur+les tons et demi ton
mais normalement la note sensible doit etre mi beccart
La gamme de fa mineur a 4 bémols, relative mineure de lab majeur. Sa sensible est bien mi bécarre. La gamme de fa mineur harmonique est donc bien: fa sol lab sib do réb mi bécarre fa, sol lab demi-ton, do réb demi-ton, mi bécarre fa demi-ton sensible tonique. Bien cordialementJean-Louis Fabre
Gradus ad Parnassum merci pour votre mail mais comment je fais avec réb et mi bécarre l'intervalle est 1 ton et demi
ou, en effet, réb mi bécarre sont bien un ton et demi. C'est la caractéristique de la gamme mineure harmonique, c'est la seconde augmentée. Il suffit d'en tenir compte et de la mentionner. Elle disparaît dans les deux formes du mineur mélodique: mineur mélodique ascendant: fa sol lab sib do ré bécarre mi bécarre fa, mineur mélodique descendant: fa mib réb do si b lab sol fa. En général, dans un devoir, on demande le mineur harmonique, il faut donc signaler la seconde augmentée.CordialementJLF
Gradus ad Parnassum merci pour ce mail
Bien qu'un peu magistral très bien mené. Je regretterais ,peut être, plus de matérialisations sonores. Les intervention pianistiques me semblent parfois manquantes au milieu de toutes ces explications au risque de perdre l'auditeur
L'accord de sensible.
La corde sensible.
Trop rapide sur certaines notions, trop de digressions pour d’autres.
Bonjour. Il y a bien évidemment des choses très intéressantes dans ce cours. Mais pourquoi vouloir à tout prix transposer la simplicité du majeur au mineur? Le mineur est bien évidemment plus " délicat" à théoriser que le majeur et vouloir à tout prix avoir une SEULE gamme de référence est une chose qui selon moi, n'est pas en phase avec la réalité musicale. Il y a en permanence une intrication des différentes échelles et pas seulement dans la musique classique du 19e siècle. La marche harmonique de la Chaconne démontre que le mineur naturel et le mineur harmonique cohabitent sans cesse. La mineur- Mi mineur (3ce à la basse) Ré mineur (3ce à la basse) Mi majeur ( avec retard de la tierce) . Cette suite de 4 accords chère à Bach est impossible à réduire au seul mineur harmonique. La cadence Flamenco utilisant la même basse ( mais pas exactement les mêmes accords) le prouve aussi. Dans le concerto de guitare de Rodrigo, on trouve fréquemment le Ve degré avec sensible et le Ve sans sensible qui cohabitent parfois à quelques mesures de distance. Dans la musique de Jazz, le Ve degré comporte toujours la sensible. Mais dans la musique pop ou variétés, ça n'est pas vrai. idem pour les autres degrés : le IIIe degré avec la quinte juste et le VIIe degré sur sous-tonique sont des accords très fréquents. Je ne comprends donc pas comment il est possible de réduire le mode mineur à 4 accords. Cela limite fortement les possibilités et je n'en vois pas la raison. Cordialement.
J'ai écrit une bêtise, confondant dominante et tonique !
09
Le groupe le Parnasse au moyen-âge
56:26 lool
Gagner un prof de musique en tant qu'eveque ? L'octave de noel père Teillet... La teille de la vie éternelle vigne Saint Martin ou rien.. Le temps de Saint Martin TOURS et du père Gallard.