A. van Reeth a dû aller hurler dans les toilettes du Sénat - elle bouillait intérieurement, d'autant qu'elle croyait pouvoir jouer Manent contre Badiou, ce qui n'a vraiment pas marché... Il faut voir comment elle tance à mots à peine retenus ces deux philosophes dont le moindre battement de cils vaut plus que la "meilleure" de ses phrases alambiquées...
A. van Reeth d'une abyssale mauvaise foi... Se satisfaire de 2 milliards d'errants, de 800 millions de sous-nourris, etc. ? Y a-t-il là le motif d'une saine résignation à l'état de choses ?
Alain Badiou est très intéressant à écouter,et à lire.....mais la journaliste est simplement insupportable. Il a bien de la patience et une intelligence à la française que j'adore....
@@aurelienbaude8646 Mdrr. Ma chaîne est une chaîne troll hein... Enfin bref, vous êtes le genre de personne à penser que les contradictions ne sont bonnes que quand elles vont dans le sens de l'intéressé à savoir Badiou. (Et donc dans votre sens visiblement). Tant pis pour vous, la journaliste a au contraire le mérite d'essayer de le pousser dans ses réflexions en apportant un point de vue différent, ce qui est une très bonne chose. D'autant plus qu'elle n'est pas aggressive et ni débile d'ailleurs. Elle essaie juste de trouver les objections qui pourraient passer par la tête du spectateur lambda connaissant peu ce marxiste 68tard.
@@saint-elohim6623 la non-journaliste est connu pour son libéralisme. France culture 10hoo 11hoo. Mettez compte sponville a la limite, au moins ça sera intéressant.
Quel est le prix de la vie humaine, au regard de la pensée révolutionnaire, c'est la question naïve que je poserais volontiers à Badiou, révérence gardée.
Outre-Atlantique. Je découvre cette émission et apprécie l'intelligence des entrevues. Sylvain Tesson, Emmanuel Klein, André Comte-Sponville, fantastique. Alain Badiou... patatras, la journaliste laisse poindre la polémiste, laisse poindre le mépris. En gentleman, Alain Badiou ne relève pas, ou plutôt reste au-dessus. Un "mon petit, vous ne savez pas ce que vous dites" ou un "avez-vous, dans votre vie, sauter beaucoup de repas faute de nourriture?" l'aurait mis là où elle a tenté de l'amener. Belle vitrine, trompeuse. Dommage.
Il est toujours comme ça Badiou, imperturbable. Mais Adèle Van Reeth elle a su montrer plus de rigueur et de professionnalisme par le passé, même face à Badiou dans certaines émission des Nouveaux Chemins de la Connaissance. Je pense que c'est le passage à la télévision qui l'a poussé à définitivement revêtir l'armure de la pensée libérale dominante.
La journaliste pose des question téléologiques : "Se révolter, mais ...pour aller vers quoi" ? Ce n'est PAS une question révolutionnaire, parce que la révolution ne définit pas une prédestination ! Au contraire ! C'est l'histoire, ce sont les peuples qui - au fur et à mesure - forment ce qui vient au même rythme. La seule chose qui préexiste à la révolution, c'est la réflexion, la façon dont on est - encore - capable de discerner le présent.
Merci et respects Monsieur Badiou !pour moi, les Révolutions sont fruits de et sont faites par les révoltes. Et la ...prochaine est à présent annoncée !Nous sommes, en effet, passés de l' "indignation" à la "protestation" !
Aie aie aie La journaliste semble pouvoir s'accomoder facilement de l'etat actuel des choses comme horizon ultime : Guerre-pauvreté-liberalisme. A croire que sa condition bourgeoise l'empeche de penser des changement comme autre chose qu'un risque pour sa positions
Les populations ont non seulement raison de se révolter, mais en ont le devoir. La déréliction emporte naturellement, spontanément la violence. En sus, il n'est pas de "raison" qu'une minorité d'ineptes camés déviants perchés nouveau monde s'autorisent à violenter, à torturer le peuple. Pour mai 1968 dont il m'insupporte d'entendre les théories fumeuses, si les miliciens n'avaient pas été envoyés pour casser de l'étudiant comme les bourrins éborgneurs gonflés au "jaune 45° plutôt pur" qu'ils sont toujours, les parents les grands frères les adultes qui n'approuvaient pas alors forcément le chahut des "jeunes", ne seraient pas descendus dans la rue. Il est vrai que les ci-devant avaient fait la guerre, 39/45, Indochine, Algérie, étaient aussi couillus que physiques, étaient doués de l'esprit d'appartenance et de la fierté de classe, avaient connus la période blousons noirs et la baston, travaillaient durs avaient les muscles bien faits et de grosses mains calleuses, s'entrainaient volontiers dans les salles de sports de combat de l'époque, boxe française canne savate et anglaise, lutte, lutte gréco-romaine, pancrace, avaient connus les grèves violentes précédentes de 48/58, et n'entendaient pas voir leurs rejetons se faire baffer, bastonner au bidule et tabasser. J'ai vécu cette période de transition dans l'Est de la France, le pays des mines, des usines de métallurgie et de sidérurgie. J'ai vu fuir les miliciens devant les charges de mineurs enragés de colère pics et manches de pioches à la main, noirs du charbon ou de la poussière de la minette, tels que bruts de travail sortis équipés casqués des bennes de fin de poste. Il est vrai que ceux-là, virils, ne caressaient pas amoureusement le nègre.
La maxime républicaine DOIT être réécrite (depuis longtemps) :"Tous les êtres (...) humains doivent être reconnus libres et égaux en droits, quelles que soient leurs lieux ne naissance, leur sexe, leur couleur de peau ou leur conviction personnelle, partout, toujours et en tout. Tout droit sociétal doit être inféodé à ce droit général imprescriptible".
La révolution française demeure une impasse, d'autant plus désastreuse qu'elle a réussi à éloigner l'homme de son créateur. Que les masses fassent l'histoire, on reste rêveur ... demande aux ouvriers du 19ème siècle s'ils se sont émancipés après la fin de la monarchie. Quant à mai 68, il est temps qu'on arrête cette gabegie. Badiou, ex maoïste, c'est dire que 100 millions de morts dus au communisme ne valent rien par rapport à ses idéaux morbides.
Je suis toujours étonné de voir que personne des grands intellectuel se donne la peine de faire l'apologie de la gratuité, pourtant la vie a été pour tous gratuite, l'air respirée est gratuit, faut-il croire que la bêtise aussi est gratuite et que beaucoup d'humains s'en goinfrent?
"Ce sont les masses qui font l'histoire." Hahahaha Il faut vraiment avoir une poutre dans l'oeil, depuis l'aube de l'humanité il y a toujours des élites, des aristocraties, des castes, etc... qui sont hiérarchiquement au dessus de la masse populaire, par leur culture, savoir, ou maintenant par leur argent avec le capitalisme. Ce sont elles qui guident les masses et les poussent à la révolte volontairement ou involontairement. Ce sont les élites qui font l'histoire, que se soient des élites révolutionnaires, conservatrices ou légitimées par l'état. Les révoltent marquent l'histoire par inertie, par la force du nombre mais elle ne sont que la force physique des idées véhiculées par les élites ou les bourgeois en capacité de diffuser la propagande.
Qu on soit accord, le pouce bleu c est pour Badiou , pas pour public sénat...........
A. van Reeth a dû aller hurler dans les toilettes du Sénat - elle bouillait intérieurement, d'autant qu'elle croyait pouvoir jouer Manent contre Badiou, ce qui n'a vraiment pas marché... Il faut voir comment elle tance à mots à peine retenus ces deux philosophes dont le moindre battement de cils vaut plus que la "meilleure" de ses phrases alambiquées...
"On peu concevoir la politique de manière mois... idéaliste", dit-elle dans le cadre d'une bibliothèque historique.
A. van Reeth d'une abyssale mauvaise foi... Se satisfaire de 2 milliards d'errants, de 800 millions de sous-nourris, etc. ? Y a-t-il là le motif d'une saine résignation à l'état de choses ?
Alain Badiou est très intéressant à écouter,et à lire.....mais la journaliste est simplement insupportable. Il a bien de la patience et une intelligence à la française que j'adore....
il faut bien que la journaliste le contredise un peu !
@@aurelienbaude8646 Mdrr. Ma chaîne est une chaîne troll hein...
Enfin bref, vous êtes le genre de personne à penser que les contradictions ne sont bonnes que quand elles vont dans le sens de l'intéressé à savoir Badiou. (Et donc dans votre sens visiblement).
Tant pis pour vous, la journaliste a au contraire le mérite d'essayer de le pousser dans ses réflexions en apportant un point de vue différent, ce qui est une très bonne chose. D'autant plus qu'elle n'est pas aggressive et ni débile d'ailleurs. Elle essaie juste de trouver les objections qui pourraient passer par la tête du spectateur lambda connaissant peu ce marxiste 68tard.
@@saint-elohim6623 la non-journaliste est connu pour son libéralisme. France culture 10hoo 11hoo.
Mettez compte sponville a la limite, au moins ça sera intéressant.
Elle a l'air sûre de "bien voter".....
Voter sur, c'est souvent voter mal..
Adele Van Reeth, on la présente et se présente elle-même comme philosophe, l'est-elle vraiment ? la réponse saute aux oreilles
Absolument pas.
Philologue peut-être.
@@virgiledrand8128mène une enquête
Quel est le prix de la vie humaine, au regard de la pensée révolutionnaire, c'est la question naïve que je poserais volontiers à Badiou, révérence gardée.
Réponse : zéro , peanuts !
Seul compte le Grand Soir ! Hahaha... C'est pas pour rien qu'on les appelle " les Rouges" !
Outre-Atlantique. Je découvre cette émission et apprécie l'intelligence des entrevues. Sylvain Tesson, Emmanuel Klein, André Comte-Sponville, fantastique. Alain Badiou... patatras, la journaliste laisse poindre la polémiste, laisse poindre le mépris. En gentleman, Alain Badiou ne relève pas, ou plutôt reste au-dessus. Un "mon petit, vous ne savez pas ce que vous dites" ou un "avez-vous, dans votre vie, sauter beaucoup de repas faute de nourriture?" l'aurait mis là où elle a tenté de l'amener. Belle vitrine, trompeuse. Dommage.
Il est toujours comme ça Badiou, imperturbable. Mais Adèle Van Reeth elle a su montrer plus de rigueur et de professionnalisme par le passé, même face à Badiou dans certaines émission des Nouveaux Chemins de la Connaissance. Je pense que c'est le passage à la télévision qui l'a poussé à définitivement revêtir l'armure de la pensée libérale dominante.
La journaliste pose des question téléologiques : "Se révolter, mais ...pour aller vers quoi" ? Ce n'est PAS une question révolutionnaire, parce que la révolution ne définit pas une prédestination ! Au contraire ! C'est l'histoire, ce sont les peuples qui - au fur et à mesure - forment ce qui vient au même rythme. La seule chose qui préexiste à la révolution, c'est la réflexion, la façon dont on est - encore - capable de discerner le présent.
Le point de Badiou c'est justement qu'il faut définir ce qui est souhaitable avant de faire la révolution.
n'importe quoi. Dans ce cas c'est la loi du plus fort et on tombe dans le totalitarisme.
@@lubo7699qu’on le nomme ministre il brillera moins
Queen à la fin ça m'a bien fait marrer.
Cette femme est ignorante.
Mr Badiou ne merite pas une telle interlocuteur
Merci et respects Monsieur Badiou !pour moi, les Révolutions sont fruits de et sont faites par les révoltes. Et la ...prochaine est à présent annoncée !Nous sommes, en effet, passés de l' "indignation" à la "protestation" !
Aie aie aie
La journaliste semble pouvoir s'accomoder facilement de l'etat actuel des choses comme horizon ultime : Guerre-pauvreté-liberalisme. A croire que sa condition bourgeoise l'empeche de penser des changement comme autre chose qu'un risque pour sa positions
Les populations ont non seulement raison de se révolter, mais en ont le devoir. La déréliction emporte naturellement, spontanément la violence. En sus, il n'est pas de "raison" qu'une minorité d'ineptes camés déviants perchés nouveau monde s'autorisent à violenter, à torturer le peuple. Pour mai 1968 dont il m'insupporte d'entendre les théories fumeuses, si les miliciens n'avaient pas été envoyés pour casser de l'étudiant comme les bourrins éborgneurs gonflés au "jaune 45° plutôt pur" qu'ils sont toujours, les parents les grands frères les adultes qui n'approuvaient pas alors forcément le chahut des "jeunes", ne seraient pas descendus dans la rue. Il est vrai que les ci-devant avaient fait la guerre, 39/45, Indochine, Algérie, étaient aussi couillus que physiques, étaient doués de l'esprit d'appartenance et de la fierté de classe, avaient connus la période blousons noirs et la baston, travaillaient durs avaient les muscles bien faits et de grosses mains calleuses, s'entrainaient volontiers dans les salles de sports de combat de l'époque, boxe française canne savate et anglaise, lutte, lutte gréco-romaine, pancrace, avaient connus les grèves violentes précédentes de 48/58, et n'entendaient pas voir leurs rejetons se faire baffer, bastonner au bidule et tabasser. J'ai vécu cette période de transition dans l'Est de la France, le pays des mines, des usines de métallurgie et de sidérurgie. J'ai vu fuir les miliciens devant les charges de mineurs enragés de colère pics et manches de pioches à la main, noirs du charbon ou de la poussière de la minette, tels que bruts de travail sortis équipés casqués des bennes de fin de poste. Il est vrai que ceux-là, virils, ne caressaient pas amoureusement le nègre.
Les questions de la journaliste ne sont pas circonstancielles, sinon dans une tentative formelle.
La maxime républicaine DOIT être réécrite (depuis longtemps) :"Tous les êtres (...) humains doivent être reconnus libres et égaux en droits, quelles que soient leurs lieux ne naissance, leur sexe, leur couleur de peau ou leur conviction personnelle, partout, toujours et en tout. Tout droit sociétal doit être inféodé à ce droit général imprescriptible".
Elle ressemble à Aurore Bergé. Ce n’est pas un compliment..
La révolution française demeure une impasse, d'autant plus désastreuse qu'elle a réussi à éloigner l'homme de son créateur. Que les masses fassent l'histoire, on reste rêveur ... demande aux ouvriers du 19ème siècle s'ils se sont émancipés après la fin de la monarchie. Quant à mai 68, il est temps qu'on arrête cette gabegie. Badiou, ex maoïste, c'est dire que 100 millions de morts dus au communisme ne valent rien par rapport à ses idéaux morbides.
Quelle question idiote !
Je suis toujours étonné de voir que personne des grands intellectuel se donne la peine de faire l'apologie de la gratuité, pourtant la vie a été pour tous gratuite, l'air respirée est gratuit, faut-il croire que la bêtise aussi est gratuite et que beaucoup d'humains s'en goinfrent?
Hegel, l'émancipation vient du travail. La base.
"Ce sont les masses qui font l'histoire." Hahahaha Il faut vraiment avoir une poutre dans l'oeil, depuis l'aube de l'humanité il y a toujours des élites, des aristocraties, des castes, etc... qui sont hiérarchiquement au dessus de la masse populaire, par leur culture, savoir, ou maintenant par leur argent avec le capitalisme. Ce sont elles qui guident les masses et les poussent à la révolte volontairement ou involontairement. Ce sont les élites qui font l'histoire, que se soient des élites révolutionnaires, conservatrices ou légitimées par l'état. Les révoltent marquent l'histoire par inertie, par la force du nombre mais elle ne sont que la force physique des idées véhiculées par les élites ou les bourgeois en capacité de diffuser la propagande.
ah bon ? lecture à peine simpliste de l'histoire
Pas la Russie, l'Union Soviétique.