Marylin Maeso et Norman Ajari - Où commence le racisme ?
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- เผยแพร่เมื่อ 24 ส.ค. 2023
- Un débat animé pas Martin Legros, rédacteur en chef de philosophie magazine.
👉Norman Ajari et Marylin Maeso, philosophes tous deux engagés contre les nouveaux visages du racisme, n’ont pas forcément les mêmes avis sur cet enjeu. Pourtant, ils vous proposent d’assister à un échange où ils exposeront leurs points de vue, parfois leurs désaccords, sur les interrogations suivantes : Comment expliquer qu’au moment où la notion de race a perdu toute légitimité́, on n’a jamais autant parlé d’individus « racisés » ? Peut-il y avoir un racisme « sans races », un racisme identitaire, ethnique ou culturel ? L’antisémitisme est-il un racisme comme les autres ?
🦋Les invités
🐛 Norman Ajari est docteur en philosophie. Il a notamment enseigné à l’université Villanova de Philadelphie avant de rejoindre en 2022 l’université d’Edimbourg, y investissant le champ disciplinaire des Black Studies francophones. Norman Ajari est en effet spécialisé dans l’histoire de la « pensée noire » francophone et anglophone. Il est également membre du bureau exécutif de la Fondation Frantz-Fanon.
🐛Marylin Maeso est philosophe, spécialiste de l’œuvre d’Albert Camus. Diplômée de l’ENS, elle intervient depuis 2019 pour la chaire de philosophie à l’hôpital (Paris) en plus de son métier d’enseignante dans le secondaire. Présidente de l’association teteatexte , elle collabore avec les magazines l’Express et Lire-Le Magazine littéraire.
📚Lire Norman Ajari :
→ Noirceur - Race, genre, classe et pessimisme dans la pensée africaine-américaine au XXIe siècle - éditions divergences 2022
→ La dignité ou la mort. Ethique et politique de la race - éditionsladecouverte 2019.
📚Lire Marylin Maeso :
→ La Petite fabrique de l’inhumain editions de l’Observatoire2021
→ L’Abécédaire d’Albert Camus Éditions de l’Observatoire 2020.
Lire Marylin Maeso et Norman Ajari : Où commence le racisme ? Philosophie Magazine éditeur - บันเทิง
Mon tweet envoyé à Marylin Maeso (à défaut de pouvoir le faire parvenir à Norman Ajari).
Le voici :
"Je viens d'écouter vos propos tenus à l’émission "Répliques" d'Alain Finkielkraut du 2 septembre 2023. Si les gens comme vous dites sont parfois remontés de voir des gens de couleurs (ce sont vos mots) dans les transports en commun, ce n’est pas parce que ce sont des gens de couleur différente (raccourci démagogique fondé sur un présupposé qui vous permet de pouvoir ensuite asséner en toute confiance le mot de racisme). Si des gens affirment qu’ils se sentent de moins en moins en France, c’est avant tout parce que ces personnes de "couleur" (je ne fais que reprendre vos mots) d’une part sortent en groupe homogène (symptôme patent de communautarisme) et ne s’identifient donc qu’à ceux qui leur ressemblent (je pourrais inverser les rôles en suivant votre propre argumentaire et les accuser de "racisme") et d’autre part parce que, bien au-delà de la couleur, la négligence vestimentaire crade (combien de jeans à mi-fesses avec les slips sortis), le comportement souvent tonitruant et parfois violent (les exemples sont légion), pour ne pas parler de l’hygiene (sujet tabou chez les politiciens de gauche) sont autant de moteurs de production mécanique d’intolérance. Faudra-t-il fermer les yeux sur le phénomène des racailles au motif que celles-ci sont "aussi" (non pas "fatalement" bien sûr) le fait de gens de couleur ? La racaille, la vulgarité et la violence urbaines ne sont pas l’apanage d’une catégorie chromatique. En revanche, s’enfermer dans une mansuétude intellectuelle d’une telle hypocrisie en se fermant volontairement les yeux sur des faits qui parlent d’eux-même est d’une niaiserie confondante, à terme dangereuse (car vous portez une responsabilité publique). Vos commentaires lors de cette émission de radio, et plus encore ceux de Norman Ajari, m’ont été souvent insupportables. Sachant que le catalogage politique dans la gauche doctrinaire supplée souvent à une absence d’arguments, je précise que je suis totalement réfractaire à l’extrême-droite depuis toujours".
@paulwoaert Les personnes de couleur blanche ne sont pas des racailles, ne sont pas vulgaires, ne se rendent pas coupables de délits ou même de crimes, c'est bien connu (!). Je vis dans un endroit où je suis entourée de personnes blanches. Le PB des odeurs, d'une hygiène bucco-dentaire discutable existe partout et dans mon expérience, globalement, ce sont des personnes blanches (mathématiquement, on y vient, puisqu'ils sont majoritaires en France, et c'est légitime !).
Votre propos, que vous le reconnaissiez ou non, tutoie le racisme puisque vous lisez votre réalité par ce prisme-là. Je le regrette.
En revanche, je peux vous dire que comme vous, je suis incommodée par tous ceux qui ne respectent pas autrui et qui impose un comportement déplacé aux autres. Ça m'horripile, qu'ils soient blancs, noirs ou autre. Ça m'agace. Mais je ne me dis pas "Encore des blancs qui ne savent pas se laver!" Ou "Encore un noir qui blablabla etc."
Mon propos ne tutoie pas le racisme, il tutoie les faits, rien que les faits, juste les faits. J’en suis le témoin régulier, autant au Québec (où je réside souvent) qu’en France. C’est un phénomène sociologique et culturel. La racaille des «quartiers» (sa violence gratuite, son obscurantisme et son refus d’intégration - et autre indigénisme) est une réalité, point barre. Regarder d’un mauvais oeil ces gens n’est que normal pour un occidental le moindrement épanoui. Le reste n’est que du bavardage bourdieusien purement idéologique. @@amanilourose5305
@@paulwoaert En gros vous êtes raciste (surement sans le savoir) mais ne voulez pas être traiter comme tel.
Il n'est pas normal de mettre tout le monde dans le même panier, non. C'est raciste.
"Regarder d’un mauvais oeil ces gens n’est que normal pour un occidental le moindrement épanoui." est bien evidement pas un fait mais une idée que vous vehiculer.
Ce n'est pas parce qu'il y a plus de crime parmis la population originaire de l'immigration que l'on doit mettre ces populations dans le même sac que ceux qui commettent ces crimes.
Bordel, c'est tout le sujet de cette video. Avec le fameux passage du "vous les noirs, vous les juifs, ....", en fesant cela on nie les individus qui ont commis la faute et on accole a ces fautifs, ces criminels, ceux qui n'ont rien commit. C'est ca qui est fondamentalement raciste et vous êtes ici vecteur de cela. Il y a clairement une negation de l'individualité des deux coté, du coté du criminel de couleur et de l'autre coté, des gens ordinaire de couleur, de cette extreme majorité de gens de couleur. Comme si au fond, les criminels racisé etait criminel parce qu'ils sont racisé et non pas a cause de leur trajectoire individuelle, comme on le fait avec un criminel blanc. (et avec toute les retomber nefaste que cela a sur ces gens ordinaire de couleur qui n'ont commis aucun crime)
Votre tweet aurait dû rester dans la fenge de ce réseaux social.
@@markAurel1602 Fange s’écrit avec un «a». Apprenez déjà à écrire correctement. La fange c’est principalement la racaille destructrice des quartiers. La couleur m’importe peu, vous vous méprenez. Je ne faisais que reprendre la «mots» utilisés par Marylin Maeso, et d’ailleurs j’ai fait cette précision dans mon texte.
D'après Einthoven , la vérité n'a aucune importance et d'après le philosophe qui fait des phrases aussi fines qu'elles crottent , elle n'existe pas ., carrément .
Croient eux mêmes à leurs inepties ?
VOUS AVEZ OUBLIÉ LE RACISME ANTI BLANC 😠🍍