Voilà ce qu'on appelle un vrai chanteur.Des paroles propres et bien pesées qui font réveiller les morts. Aujourd'hui,les chanteurs qui restent sont des balance fesses et des remu-culs. Felak yafou Rabi a Ait Meslayen.
Traduction mélodique de : Ajenoui (Le coutelas) Un fusil, qui le prend Ensuite, le reposant Tel celui qui divorce d'une femme Et épouse de nouveau la même femme Nous, les Kabyles, on a Une coutume, bonne Et, pas bonne On se reconnaît seulement Dans le désarroi Chacun comment la nouant Et l'autre, la gardant L'autre, sur la chaise, l'édifiant Et l'allumant Un autre la construisant Sur l'argent Et, la surveillant Les poches, les remplissant Qui vient, l'emportant Tant que la fumée restant Le feu demeurant Ils reste des ennuis à l'avenir Qui, le sommeil, vont adoucir Les poches se remplissent, et Endormis, on nous a laissés Ah, ton temps, s’il pouvait revenir, ô coutela C’est jusqu’à l’os que tous, on t’enfoncera Ah, si Amirouche revenir voir, il pouvait Ahmed Oumeri … Villages, dignité enlevée Notre pays, pour le brave, muée en laurier* Lorsqu’il parle, nous le laissons esseulé Ils sont tous morts, les hommes chez qui on se plaignait Et nous, ni morts, ni vivants, nous sommes restés Tel un figuier de sentier Tout passager peut cueillir, se régaler Notre blessure qui guérissait, rechutant Notre bride usée, et l'arbitraire abusant Notre sang, comme l'eau d'une outre, est si froid On dégringole, et où tenir, pas d'endroit Notre honneur, à la rigole, il est lavé Et, en chemin, de l'opprobre, accompagné Où sont ceux qui, la parole, la ravivant Et qui recherchent le droit pour le déterrer Où sont ceux qui refusaient l'iniquité Et ne craignaient l'arbitraire à rencontrer Comme si, nous sommes une progéniture De poubelle ou des cheveux dans les ordures Ce jour, moins de cran que les veuves, ayant On est frappés, et pas encore, terminé. *Laurier rose N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Voilà ce qu'on appelle un vrai chanteur.Des paroles propres et bien pesées qui font réveiller les morts.
Aujourd'hui,les chanteurs qui restent sont des balance fesses et des remu-culs.
Felak yafou Rabi a Ait Meslayen.
Salut mes amis(es). Un poète est plus proche du prophète. Des paroles en or .paix a ton âme au grand artiste
Si des paroles en or repose en paix l'artiste
Paix à son âme inoubliable c'est une chanson de l'actualité un visionnaire repose en Paix 😢
Ayan al idyann 3:28 ak nabbadh ghorras athirham rabbi ❤❤♓♓🌷🌷🌷🌳🌳🌳
Un grand chanteur qui avait une avance à son époque. Un artiste à ne peut oublier ❤
C'était un grand artiste et un grand monsieur que dieu l'accueille en son vaste paradis
❤
Vraiment il a résumé tout respect la philosophie kabyle akirhem rebi i3foyak inchallah amkanik DH ljeneth
Des paroles en or , ar yarhem rebi inch'Allah
Il faut lui rendre un très grand HOMMAGE malheureusement on ne parle plus de ce géant artiste
Un grand chanteur.mais malheureusement aujourd'hui personne parle de lui
Thanmirth ik ayizeme
Un grand chanteur son Analyse est veridique ats rahm rabbi inchallah
C'est le meilleur. A mon avis
Repose toi en paix cher amis
Paix a son ame üne.voix extra domage
Paix à son âme
Athirham rebi
Athirhem Rabi
الله يرحمك
Traduction mélodique de : Ajenoui (Le coutelas)
Un fusil, qui le prend
Ensuite, le reposant
Tel celui qui divorce d'une femme
Et épouse de nouveau la même femme
Nous, les Kabyles, on a
Une coutume, bonne
Et, pas bonne
On se reconnaît seulement
Dans le désarroi
Chacun comment la nouant
Et l'autre, la gardant
L'autre, sur la chaise, l'édifiant
Et l'allumant
Un autre la construisant
Sur l'argent
Et, la surveillant
Les poches, les remplissant
Qui vient, l'emportant
Tant que la fumée restant
Le feu demeurant
Ils reste des ennuis à l'avenir
Qui, le sommeil, vont adoucir
Les poches se remplissent, et
Endormis, on nous a laissés
Ah, ton temps, s’il pouvait revenir, ô coutela
C’est jusqu’à l’os que tous, on t’enfoncera
Ah, si Amirouche revenir voir, il pouvait
Ahmed Oumeri … Villages, dignité enlevée
Notre pays, pour le brave, muée en laurier*
Lorsqu’il parle, nous le laissons esseulé
Ils sont tous morts, les hommes chez qui on se plaignait
Et nous, ni morts, ni vivants, nous sommes restés
Tel un figuier de sentier
Tout passager peut cueillir, se régaler
Notre blessure qui guérissait, rechutant
Notre bride usée, et l'arbitraire abusant
Notre sang, comme l'eau d'une outre, est si froid
On dégringole, et où tenir, pas d'endroit
Notre honneur, à la rigole, il est lavé
Et, en chemin, de l'opprobre, accompagné
Où sont ceux qui, la parole, la ravivant
Et qui recherchent le droit pour le déterrer
Où sont ceux qui refusaient l'iniquité
Et ne craignaient l'arbitraire à rencontrer
Comme si, nous sommes une progéniture
De poubelle ou des cheveux dans les ordures
Ce jour, moins de cran que les veuves, ayant
On est frappés, et pas encore, terminé.
*Laurier rose
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.