L'étagère à mangas
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- เผยแพร่เมื่อ 6 ส.ค. 2023
- Pour faire suite à la vidéo de la semaine dernière sur GTO, on s'attaque aujourd'hui à un autre gros morceau, mais pour lequel j'ai beaucoup moins d'affection : Shonan Junaï Gumi, ou Young GTO! par chez nous.
Cette série en 31 tomes, publiée en France par Pika, n'est pas la préquelle de GTO, comme beaucoup de lecteurs le pensent, mais plutôt son origine, GTO étant, en termes de publication, sa suite, au Japon !
Ce sera également l'occasion pour nous de parler plus largement de la carrière de Tôru Fujisawa, son auteur, et des (trop) nombreuses séries dérivées de GTO qui existent aujourd'hui...
Sont aussi abordés dans cette vidéo :
- la carrière de Tôru Fujisawa (Momoider, Rose Hip Rose, Tokkô...)
- les séries dérivées de GTO (GT-R, Shonan 14 Days, Ino-Head Gargoyle & Paradise Lost)
- les bosozokus
- le précepte du "show, don't tell"
- la région de Shonan
- le concept de "prime" dans la carrière d'un artiste
- le défunt magazine Collection Shônen, des éditions Pika
- les excuses qu'on trouve aux oeuvres qu'on aime
- l'intérêt ou non de la quête d'objectivité
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bonne review on donne pas assez de credit a ce manga qui en vaut tres tres largement la peine c'est pas seulement de la baston et se taper sur la gueule mais il y a de la moral derriere et un sens je trouve ça magnifique il faut faire perdurer cette oeuvre dans le temps
Je trouve que vers la fin et aussi le moment ou on entre dans le monde de Masaki le manga prend une tournure plus sérieuse. Surtout la fin ou le sujet de la transexualités est traite de manière très subtile. Young GTO c'est une œuvre qu'on apprécie dans le temps.
Je me rappelle plus des noms des personnages alors ça va pas être très clair, mais l'une des choses qui m'a le plus choqué dans ce manga c'est le moment où un boug à donné sa meuf comme objet sexuel a une "grosse frappe" on va dire, et même en sachant ça la meuf le pardonne et ils continuent de vivre heureux comme si de rien était, c'est une dinguerie bordel
Après y'a des choses sympathique quand même, j'ai bien aimé l'espèce d'antagoniste rockeur vers la fin il me semble, j'ai bien aimé la grosse romance d'onizuka vers la fin aussi (c'était assez surprenant d'avoir une représentation assez positive de la transidentité dans ce genre de manga honnêtement, avec une réaction positive de Onizuka qui était sincèrement amoureux et compagnie)
Oui, y a clairement un énorme problème sur le traitement de persos décrits et montrés comme agresseurs sexuels, ni plus ni moins. C'est quand même vaguement désigné comme "mal" par la morale du récit, mais en vrai, à la fin, si le mec regrette ses actions, c'est bon, ça passe, ça peut devenir un pote.
Ca arrive plusieurs fois dans le manga, et c'est à chaque fois très dérangeant.
Et effectivement, je suis d'accord avec toi, le traitement assez cool de la transidentité dans l'un des derniers arcs du manga est très surprenant, venant d'une série quand même assez beauf et machiste... Peut-être qu'il faut aller en chercher la raison à la vision plus globale de la transidentité au Japon, qui est (un peu) plus acceptée qu'en Occident ?
Okubo on oublie pas Hein
La collection Shonen, c'est avec ça que j'ai découvert young GTO et d'autres (air gear...). Quand j'étais jeune j'avais déjà deviné que Young GTO avait été dessiné avant GTO, suffit de voir la qualité des dessins. Merci pour la nostalgie, j'étais tellement dégouté quand ils ont arrêté la publication de shonen magasine.
Y’a aussi eu bad company ?
Aie aie aie ça détruit les souvenir nostalgique mais je garde quand meme beaucoup d'amour. En lisant ça a 15 ans je voyais pas trop les problèmes mais c'est clair que ça passe plus trop
En tout cas merci t'as tres bien décrit les meilleurs aspects de la série ça m'a rappelé plein de souvenirs
Désolé pour tes souvenirs d'adolescence 😅
franchement chapeau bas pour ton analyse vive GTO.^^
Je demeure profondément convaincu que l'appréciation d'une œuvre d'art ne saurait être exempte de subjectivité. En effet, notre lien émotionnel avec une création artistique prévaut bien souvent sur notre approche analytique et critique.
De plus, le contexte de la découverte joue un rôle considérable dans notre perception. Je me souviens distinctement de l'époque où, à un âge tendre, aux alentours de 10-11 ans, j'ai fait la rencontre d'une série coréenne. Bien que je l'aie revue ultérieurement et qu'elle ait suscité en moi un nouvel élan d'admiration, je ne peux m'empêcher de reconnaître que ce sont les souvenirs de ces après-midis passés à la visionner en compagnie de ma mère qui ont profondément enrichi mon point de vue sur ladite série.
En revisitant l'œuvre, il se peut qu'elle ne possède pas d'attributs spéciaux intrinsèquement, se manifestant comme une simple série romantique coréenne des débuts des années 2000. Malgré cela, une dimension émotionnelle persiste dans ma critique, bien que celle-ci puisse être teintée de partialité. Néanmoins, cette résonance émotionnelle authentique demeure, et je suis en droit de la ressentir et de la partager.
Je suis porté à croire que tu partages des similitudes de sentiment envers "GTO", et que ce même écheveau complexe d'émotions et d'analyse t'accompagne.
les émotions d'une œuvre font partie de l'analyse critique que l'on porte à celle ci comme on a pu regarder naruto en grandissant avec lui et en se reconnaissant à travers le personnage.
young gto c'est la même chose surtout lorsque tu lis l'œuvre lorsque tu as environ le même âge que le perso principal. (en tout cas le lien émotionnel est amplifié)
Rip c est mon manga préféré 😅
la meme
Pour info il faut commencer par le one shot Bad Compagnie (très sérieux), après Young GTO puis GTO. Et les autres sans ordre précis, et enfin Paradis Lost.
Merci pour cette vidéo très intéressante.
Je possède la série GTO et ta vidéo me permet de découvrir les séries dérivées et la série Young GTO.
Malgré ta critique, je vais sûrement m’intéresser à Young GTO.
Continue comme ça c’est top 👍.
Et tu as bien raison car les goûts et les couleurs... Par exemple moi, j'adore Young GTO, même chose pour Ino Head Gargoyle et ce sont des mangas que je recommande.
Young gto est tout simplement incroyable je trouve je te le conseille vivement !
Bonne vidéo !
Dommage que Toru Fujisawa n'arrive pas à se détacher de la série GTO. Peut-être qu'il fait des spin offs de GTO liés à des contraintes financières un peu comme l'auteur de Captain Tsubasa qui fait des spin offs lorsqu'il a besoin d'argent même s'il a fait d'autres mangas qui n'ont pas trop marché non plus.
Concernant les autres mangas j'avais bien aimé Rose Hip Rose ou Kamen Teacher qui étaient très courts mais il a tenté des trucs. Ne connaissant pas les autres spin offs post GTO j'avais entendu que c'était sur le déclin. C'était intéressant d'aborder la notion de prime pour parler d'un auteur et notamment avec la tentation de développer l'univers étendu d'une œuvre à succès. Des auteurs sont dans ce cas-ci mais restent inventifs comme par exemple Hiroyuki Takei avec Shaman King.
Merci pour cette vidéo !
ta été dure avec Shonan Junai Gumi, certe les blague ne sont plus de notre époque mais si on parle de la période publié sa reste très potable. N'oublions pas que ce n'est pas des gentilhommes mais des bosozoku donc normal beaucoup de vulgarité et des traitement de femme inacceptable. Je trouve que Young gto et presque mieux que gto grâce au côté sérieux de young gto et de l'histoire des personnage (que ce soit Onizuka ou même Séijima). On vois qu'Onizuka grandit dans cette oeuvre et nous voyons beaucoup de référence qui viens de young gto qu'on retrouve dans GTO.
#Onibakucombi
très bonne vidéo et très intéressante cependant je te trouve dur dans ton jugement de la série qui encore actuellement (je la relis en ce moment même) plutôt bonne avec certes des défauts comme la multiplication des fois excessives des personnages. Certains aspects que tu décris comme des défauts s'expliquent par le contexte des personnages. pour la place des femmes on voit bien dans la série qu'ils pensent comme ça du fait de leur expérience et de leur condition social et qu'ils ont donc certes des avis peu moraux ou une vision un peu réductrice des femmes mais que ce n'est pas un avis figé et qu'ils comprennent leur erreur au fur et à mesure.
Le point sur lequel je suis par contre vraiment d'accord avec toi c'est 'ambiance des bandes la nuit et des ados un peu perdu, c'est de loin le point le plus interessant du manga.
Mais bon je conçois que ce manga a un peu vieilli et c'est peut être ma nostalgie qui me pousse à trouver des qualités à YGTO.
Oui, je suis plus dur avec YGTO qu'avec GTO, parce que ma nostalgie à moi va plutôt vers le second !
Bien le bonjour,
J'aime bien ces vidéos sur GTO, mais je ne comprends pas certains de tes avis.
Notamment quand tu parles de sexualisation des personnages.
C'était déjà le cas dans shonan junai gumi.
GTO reste dans la lignée.
Et quand tu parles de paradise Lost, je ne te comprends pas (et celà n'est que mon avis personnel) 😅
Mais concernant ce dernier, je trouve que le dessin "épuré" correspond à une forme de réalité plus concrète avec un Onizuka en prison, même si cela reste parfois caricatural, c'est assez proche de la réalité.
Et pour le coup, je sais de quoi je parle, je travaille dans l'administration pénitentiaire.
Excellente vidéo en tout cas.
Bonne continuation 😊
Salut 👋 chouette vidéo ! Parfaite pour les insomnies 😉
Il n’y a pas aussi bad company et shonan seven dans les séries dérivées ?
Pour te donner une autre exemple de série dont la suite est sortie avant la série originale, il y a Baki.
Et pour ce qui est manga autobiographique bosozoku il y a Bakuon Retto. C’est du Tsutomu Takahashi je ne sais pas si ça te parle.
Merde, t'as raison, j'en ai oublié deux ! Ca ne s'arrête jamais, les spin-off de GTO :-D
Bad Company est en fait intégré aux derniers tomes de Young GTO!, dans l'édition que j'ai, ce qui fait que je l'ai inconsciemment zappé, et Shonan Seven, je ne l'ai jamais lu ! C'est le seul qui n'est pas dessiné par Fujisawa, ça peut peut-être, paradoxalement, le rendre plus intéressant ? Mais j'avoue qu'à ce stade, je n'ai pas un immense espoir :-D
Et merci pour la recommandation de Bakuon Retto ! J'avais déjà croisé les couvertures, que je trouve vraiment jolies, mais je ne m'y étais pas encore intéressé, je le garde en tête :-)
Vraiment très bonne recommandation Bakuon Retto! Et pourtant je ne suis adepte de furyo ni du monde des motard (ici bosozoku). Mais j'ai trouvé que c'était beaucoup plus une série qui parle du malaise adolescent, parfois de manière violente et sans concession mais aussi de manière très touchante. A rapprocher d'une ambiance à la "Himizu" ou " poison quotidien" peut-être. En passant encore une très chouette vidéo.
C'est comme pour Gunnm, les series dérivées last order et mars chronicles sont beaucoup moins bonnes et pourtant du même auteur. L'amélioration du dessin ne remplace pas le scenario.
J’aimerais corroborer et infirmer plusieurs éléments que tu as évoqués, soit en tant que défauts, soit en tant qu’affirmations.
Tout d’abord, je rejoins ton avis concernant la place des femmes dans Shōnan Junai Gumi. Leur fonction se réduit, la plupart du temps, à n’être qu’un désir de conquête pour les protagonistes, ce qui fait que leur caractérisation est quasi-inexistante. Des exceptions existent évidemment, telles que Ayumi, Nagisa ou Fujisaki, mais il faut admettre que leur traitement est loin d’être relativement poussé. La vision de la femme du mangaka est représentative de la majorité des shonen des années 1990 : les personnages féminins sont réduits à leur corps, idéalisés et sexualisés.
Ensuite, il est vrai que le dessin est très rude dans les premiers tomes, un reproche que l’on peut aussi faire à la narration en elle-même et au découpage des cases. Shōnan Junai Gumi étant la première longue série de Fujisawa, il lui a fallu un certain temps pour affiner son trait et trouver la meilleure façon d’exprimer son talent. La lecture devient nettement plus digeste et agréable à partir des tomes 11-12.
De même qu’il est aussi véridique que l’auteur se perd dans son casting. Énormément de personnages installés et développés lors d’un arc narratif deviennent ponctuels par la suite, voire disparaissent totalement (ex : Abe). Beaucoup d’entre-eux auraient mérité un meilleur approfondissement, quitte à prendre un peu de lumière à l’Onibaku Combi, ce que Fujisawa a su faire de rares fois (ex : avec
Tsuyoshi) mais pas suffisamment.
A propos des intrigues que tu trouves répétitives, je ne suis pas d’accord avec toi. Shōnan Junai Gumi étant un manga furyo qui est un genre très codifié, il est normal de retrouver énormément de similarités dans les constructions narratives des différents arcs, ce qui se vérifie pour tous les mangas de ce genre (ex : Crows, Clover, Tokyo Revengers). Les intrigues sont certes prévisibles mais les thématiques abordées diffèrent d’un arc à un autre et Fujisawa réussit toujours à nous surprendre par la manière avec laquelle il met en valeur les sens moraux de celles-ci. Les conclusions sont parfois hâtives mais les aventures ne sont pas monotones, elles ont chacune leur singularité, leur personnalité. Cela ne me dérange pas que l’on me raconte la même histoire tant que cela est fait différemment, avec un minimum d'originalité et d'intelligence, ce qui est le cas en l’espèce.
Au sujet de l’humour, ceci est propre à la sensibilité de chacun donc je peux tout à fait comprendre que Shōnan Junai Gumi ne t’ait pas fait rire autant que moi, sa perception est subjective. Toutefois, je conteste lorsque tu dis qu’il est daté. Le caractère humoristique de ce manga ne se résume pas à son côté graveleux/grossier, car plus l’histoire avance et plus les personnages sont développés, plus Fujisawa fait preuve de subtilités pour les tourner en dérision. Et puis sincèrement, même si l’humour peut manquer de finesse, lorsque tu lis cette œuvre avec un esprit d’adolescent masculin, il y a des passages totalement hilarants : Onizuka dans la chambre d’hôtel avec un Yakuza, Danma bloqué contre le mur de son appartement, l’arc avec Nanno, pour ne citer qu’eux... Donc non, l’humour n’est pas daté et si vous avez conservé un tant soit peu votre âme d’adolescent, il est garanti que vous allez rire.
« Le vrai héros c’est Ryuji » désolé mais non. Dans les premiers tomes, Fujisawa ne met pas plus en avant l’un des deux de l’Onibaku Combi au détriment de l’autre, ils ont chacun leur moment de briller à chaque arc. Cependant, Danma se retrouve par la suite relégué un cran derrière Onizuka qui obtient une dimension plus grandiose : c’est lui qui avait hérité de la veste de combat de Masaki, c’est lui qui a vaincu les Midnight Angels à lui seul, c’est lui qu’on considère, à la fin, comme challenger au titre du plus fort voyou de Shōnan (avec Nakajo), etc.
« Onizuka est un débile absolu qui ne pense qu’à se battre » alors sans aucune condescendance de ma part, je te conseille vivement de relire le manga. Si Fujisawa a décidé de le mettre un peu plus sous les feux des projecteurs dans cette œuvre, jusqu’à se focaliser seulement sur lui dans sa suite, ce n’est pas pour rien. Tout l’intérêt de Shōnan Junai Gumi réside dans le fait qu’Onizuka n’est pas seulement un gamin libidineux qui ne s’exprime qu’avec ses poings, mais bien un jeune homme lassé de cette vie de voyou et souhaitant simplement la tranquillité. Il est mandataire de nombreuses valeurs morales (loyauté, intégrité, altruisme, etc) et est toujours prêt à se sacrifier pour ses camarades. Tout ceci vaut évidemment pour Danma mais leur traitement est différent : Fujisawa se focalise sur les premières romances durant l’adolescence avec ce dernier, tandis qu’il façonne Onizuka avec son esprit de liberté à la fois intense et complexe.
« Shōnan Junai Gumi c’est vraiment pas terrible, ça a très mal vieilli » j’espère que mon commentaire a convaincu certains que cette assertion est fausse. Shōnan Junai Gumi ne vieillira pas aussi bien que GTO, qui est une œuvre atemporelle, mais il reste encore à l’heure actuelle agréable à lire. Certains arcs sont hilarants, d’autres sont plus sérieux et tous traitent de l’ennemi invisible auquel nous avons tous fait face : l’adolescence, l'âge où l'inconscience couvre nos responsabilités naissantes.
J’espère que mon commentaire a pu contribuer à réviser ta perception de Shōnan Junai Gumi et à en pousser certains à découvrir ce manga qui mérite d’être apprécié à sa juste valeur. Bonne continuation.
Merci pour ton commentaire !
Ca ne m'a pas fait revoir mon avis sur Young GTO! (même si je te rejoins quand même un peu sur ce que tu dis concernant l'importance d'Onizuka, là-dessus, effectivement, j'ai peut-être été sévère), mais je trouve ça bien que les gens qui passent voir la vidéo puissent avoir un autre son de cloche que le mien.
Merci, donc, pour le temps et le soin que tu as pris à rédiger cette réponse !
J'ai découvert Young GTO en étant adolescent (j'ai 31 ans maintenant).
L'ode à l'amitié (Aventure, fidélité, solidarité) de ce manga est tout juste incroyable comme signalé par mon compère eikichi.
L'humour avait également beaucoup marché pour moi.
Vive ygto!
T'es juste un abruti tes avis sont vraiment degeulasse comment on peut limiter Onizuka a un voyou qui veut se tape alors que c'est tout l'inverse et qu'il en a marre de la vie de voyou , tout ce qu'il fait c'est protégé ces potes en se battant c'est le hero, celui qui porte tout sur son dos pour préserver leur ville ne touche plus jamais un manga de ta vie
@@SurvivreLaNuit
GTR c’est plus rare je me le suis procuré sur Amazon et y’en a encore en stock
Tant mieux ! J'avais l'impression que c'était devenu difficile à choper.
l'avis est catastrophique
*Promo SM* 😅
Tu dis de la merde , il ya pas de violeur qui ont rejoins la bande