Claude Dubois. Le style Privat (Page 189)

แชร์
ฝัง
  • เผยแพร่เมื่อ 27 ส.ค. 2024
  • Claude Dubois évoque Jo Privat a l'occasion de la sortie du livre "Jo Privat, le frisson de paname ".

ความคิดเห็น • 2

  • @jeanmaury9946
    @jeanmaury9946 ปีที่แล้ว

    Claude j'aime bien tes documentaires sur jo privat et les gitans très très bien j'adore merci . Petit jean

  • @mathurinpopeye5120
    @mathurinpopeye5120 10 ปีที่แล้ว

    Jo Privat a réellement fait frissonner le "Balajo" et, au-delà, Paname dans sa totalité...
    Sa grande époque se situe après la Libération. Il a 25 ans... La guerre s'achève, à nouveau les gens ont l'envie de s'amuser... Pourtant, l'ambiance sera moins folle qu'à l'Armistice de 1918. Certains, pendant l'Occup', se l'étaient faite belle et crapuleuse...
    Fin des années 40, Jo atteint le zénith de son art. Dans la mémoire, c'est Saint-Germain-des-Prés qui demeure mais, nom d'un chien, les coins populaires de Paris s'étaient remis à gambiller !... Les bals étaient interdits pendant l'Occup'...
    La Bastoche a alors retrouvé son faste des dernières années d'avant la déclaration de guerre. Jo avait été engagé au "Balajo" à la fin 1937, sept ans avaient passé, tout naturellement il a retrouvé l'estrade du 9, rue de Lappe... En dépit du jazz, l'accordéon était encore le roi de la fête. D'ailleurs - il faut aller entendre Jo sur You Tube -, avec son ensemble swing du "Balajo", Privat ne se cantonnait pas au musette. Il a enregistré "Hey ba be re bop " de Lionel Hampton !... Ah ! qui aurait encore le morceau, j'aimerais l'entendre !
    L'accordéon vivait ses derniers beaux jours. Vers 1955, l'engouement du rock rangerait pour longtemps la boîte à frissons dans le placard aux balais... Jo en a souffert, je sais...
    Ce " JO PRIVAT - Le frisson de Paname " ( Editions de Paris - Max Chaleil ) retrace l'histoire de ce Paris du soufflet à douleurs... Un Paris qui, autrement, se serait endormi à tout jamais... Bravo Dubois, bravo Jo de remettre les points sur les " i " du Paris du populo !