Claude Dubois. Robert Lageat. Jo Privat (Page 189)

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  • เผยแพร่เมื่อ 27 ส.ค. 2024
  • Entretien proposé par Olivier Bailly, réalisé par Alain Caron.

ความคิดเห็น • 11

  • @mathurinpopeye5120
    @mathurinpopeye5120 10 ปีที่แล้ว +1

    Chers amis,
    De longue lutte, hier soir, 20 décembre 2013, Claude DUBOIS a reçu le premier Prix littéraire du " Balajo " pour son livre :
    " JO PRIVAT - Le frisson de Paname ", publié aux Editions de Paris - Max Chaleil.
    En présence d'une nombreuse assistance, Emmanuel Pierrat, président du jury composé d'Elisabeth Lévy, Pierre Bouteiller, Dominique Jamet, Alain Paucard, Jacques Pessis et Paul Wermus, a remis le Prix à l'heureux récipiendaire.
    Une soirée très " Balajo " où, sur l'estrade, Dubois n'a pas manqué de rappeler, comme ici, et Robert Lageat, et JO PRIVAT, le sujet de son livre...
    Muriel au micro et JO PRIVAT jr au "biniou " on animé la soirée... Celles et ceux qui avaient eu la chance d'être là ont apprécié.

  • @mathurin-lesepinardsfrais8949
    @mathurin-lesepinardsfrais8949 10 ปีที่แล้ว +1

    Le 10/11/2013, Pierre Bouteiller, amateur de jazz et connaisseur entre tous, a invité Claude Dubois sur " TSF-Jazz " pour évoquer
    " JO PRIVAT - Le frisson de Paname", son livre,
    et JOJO que Dubois fait ressusciter dans les 180 pages de l'ouvrage.
    On peut, bien sûr, écouter cette émission en "post-cast". En sourdine, bien souvent derrière l'échange entre Bouteiller et Dudu, c'est la boîte à frissons de JO qu'on entend...
    Dubois le dit ici : " JO était un génie de l'accordéon ". L'instrument chantait, clamait Paname. Autant ceux qui tricotaient leurs airs au coin des rues que les autres, les cadors, qui se produisaient dans les grandes taules. Qui préfère-t-on, tonton et tontaine, du tiercé gagnant Viseur-Muréna-Privat ? Muréna improvisant sur " Café au lait ", le mec Tony, ça, il y va au badaboum ! Et Viseur, Tatave, dans "Swing Valse" !... Bouteiller a fait passer un très beau " Nuages " interprété par JO, avec Didier Roussin à la guitare et Juju, le fils de JO - Jo Privat Jr désormais -, à la basse d'accompagnement...
    " JO PRIVAT - Le frisson de Paname" raconte l'histoire de ces morceaux, la manière dont JO et Didier Roussin, " Buffalo ", les ont mis en boite... Dans les années 80, trente pigettes déjà...
    Ah ! ma moitié m'appelle pour aller briser la mie : je fonce becter mes épinards ! Les poteaux, salut... et bon coup de fourchette à vos-zigues,
    Mathurin !

  • @mathurin-lesepinardsfrais8949
    @mathurin-lesepinardsfrais8949 10 ปีที่แล้ว +1

    L'émission de Pierre Bouteiller sur TSF Jazz s'appelle " Si Bémol & Fadaises ", je précise. A la date du 10 novembre 2013, on peut écouter en postcast, le dialogue Bouteiller-Dubois sur " JO PRIVAT - LE FRISSON DE PANAME ".
    Ceci mérite d'être dit car, longtemps, jazz et accordéon, dans les années 50 et 60, ont dormi dans le même lit, mais à " l'hôtel du cul tourné " !... Cette fâcherie est aujourd'hui obsolète.
    Bravo à Pierre Bouteiller qui, en matière de jazz, en connaît un rayon, d'avoir invité Claude Dubois.

  • @mathurinpopeye5120
    @mathurinpopeye5120 10 ปีที่แล้ว +1

    Une chose est certaine en notre Paris de plus en plus incertain et sans substance : en récompensant
    " JO PRIVAT - Le frisson de Paname " ( Editions de Paris-Max Chaleil ) de Claude Dubois,
    le Prix littéraire du " BALAJO " a célébré Paris. Ou plutôt Paname, le Paris populaire mâtiné voyou dont Dubois est le chantre inlassable.
    Longtemps, ce Paris-là s'est imposé, il rayonnait. On le sent en lisant, en écoutant JO PRIVAT raconter les mille péripéties de sa vie, son enfance à Ménilmontant puis son adolescence au hasard des bals-musette. Ce qu'on appelait l' "argot parisien ", le parler à la va comme j'te pousse du populo, s'employait partout... Les Simonin, le Breton, Boudard et Audiard ont été les derniers écrivains ou dialoguistes à porter ce langage spontané au pinacle... JO PRIVAT ne s'exprimait pas autrement : quelle " bagoulette " !
    Alors, " obligeman ", le Prix du " BALAJO " a été décerné à un ouvrage qui, à chaque ligne, salue cet argot que tous, 9, rue de Lappe, utilisaient, et JO PRIVAT, mieux que quiconque...
    Maintenant que le populo a été prié d'habiter ailleurs qu'à Paris, qu'une nouvelle bourgeoisie l'a remplacé dans les quartiers jadis calamiteux qui étaient les siens, l'âme de Paname est passée de vie à trépas.
    Une dernière fois, ces messieurs Lageat et Chartol - Jacques et ses petits-fils Fabien et Nicolas - ont voulu saluer un monde qui, comme disait Robert Lageat - père de Jacques et arrière grand-père de Fabien et Nicolas -, " s'est fait la paire... " Ces dame et messieurs du jury ont bien compris l'esprit de ce premier Prix du " BALAJO "...
    C'est pourquoi le " JO PRIVAT - Le frisson de Paname " de Claude Dubois a été primé.
    Qu'on se le dise !

  • @mathurinpopeye5120
    @mathurinpopeye5120 10 ปีที่แล้ว +1

    Vous qui paraissez bien aimer ce sacré Jo Privat et, du même coup, Claude Dubois, son biographe, si le coeur vous en dit, allez donc faire un tourniquet - sur TH-cam - sur :
    Claude Dubois " piaf de Rambuteau " biographe de l ...
    www.francemusique.fr › emission
    Le 22 février, à 11 heures sur France-Musique donc, Benoît Duteurtre, dans son émission " Appelez-moi Benoît ", a consacré une heure à "JO PRIVAT - Le Frisson de Paname " en présence de Claude Dubois qu'il avait invité.
    L'émission est parsemée de morceaux de musique, dont une version assez longue de "La Mimile-Java " d'Emile Vacher... Jo Privat manie souvent le soufflet à douleurs et, à plusieurs reprises, on l'entend jacter de sa " voix pleine de rustines... "
    Mine de rien, articles et émissions s'enchaînent et, bientôt dix-huit ans après sa mort, Jo Privat connaît un regain... sa mémoire du moins... Dans " Accordéon & Accordéonistes" de mars 2014, Philippe Krumm a consacré un beau papier au bouquin...
    Les gens vous répètent sans cesse que, dans la vie actuelle, plus que jamais il faut se battre... Eh bien ! ceux qui aiment Jo Privat, qui l'ont connu, font chorus autour de ce livre que lui a consacré Dubois et s'acharnent à le faire savoir... Ce qui n'est pas de la nougatine car, quelquefois, à évoquer les bals-musette de l'avant-guerre, Dubois fait penser à un diplodocus qui, par on ne sait quel miracle, aurait réussi à survivre...
    Enfin, puisque vous lisez ces lignes, vous aimez bien les diplodocus et autres dinosaures parisiens... Bref ! ce Paname dont Jo Privat a été l'un des fers-de-lance...
    Saint-Cloud Ménilmuche ( thank you very much ) et, là-dessus, puisqu'il se fait tard, bonne noïe car mézigo, je vais me faire dormir les yeux !
    Salut les poteaux !
    Votre dévoué, pas Blake ( vous vous rappelez le film avec Eddie Constantine ? ), mais Mathurin.

  • @mathurin-lesepinardsfrais8949
    @mathurin-lesepinardsfrais8949 10 ปีที่แล้ว

    Mon Dudu,
    J'ai lu ton
    " JO PRIVAT - LE FRISSON DE PANAME "
    qui sort le 8 novembre 2013 aux Editions de Paris-Max Chaleil.
    A ceux qui, ici, t'esgourdent en train de raconter Lageat et JO PRIVAT, je conseille ce livre !
    Cette fois, tu ne parles pas, tu écris et, mieux, c'est JO qui jacte car le bouquin est rédigé à la 1ère personne.
    En jaspinant, JO servait l'extraordinaire champ' extra-brut de derrière ses cordes vocales... A l'égal d'Audiard, il bécotait la langue verte !
    A lire !

  • @Reizel89
    @Reizel89 13 ปีที่แล้ว

    Michto mon Poto
    Bonheur

  • @mathurinpopeye5120
    @mathurinpopeye5120 10 ปีที่แล้ว

    Nouveauté :
    Claude Dubois de Rambuteau au Balajo TH-cam

  • @mathurinpopeye5120
    @mathurinpopeye5120 10 ปีที่แล้ว +1

    Allez donc faire un petit tourniquet sur :
    Le style Privat You Tube
    car, là, je vous le dis tout de go, je vais me pieutarès-du-jars... " me pieuter ", quoi... Une façon de déformer les mots, " arès-du-jars... " Manière de vous cloquer au parfum, décarrer un peu le soir ne vous ferait pas de mal, les gars !...
    Ah ! le Robert Lageat se pointant au "Balajo" sous les sourires de Jacky Corn, de Daniel Schmid, de Claude Dubois et consorts et répondant à :
    - Alors, Robert ?...
    par :
    - Robert... la bite en l'air !...
    On était tous écroul'mandouilles, comme jactait Schmid, Schmitago, un Rémois, lui...
    Vieilles salades trop vinaigrées, les larmes me montent...