En 1967, l'écrivain James Baldwin parle de sa vie et des tensions raciales aux États-Unis
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- เผยแพร่เมื่อ 9 มิ.ย. 2020
- En septembre 1967, l'écrivain James Baldwin, natif des États-Unis, mais expatrié en France dès 1948, raconte sa vie et les aléas de la condition noire dans son pays d'origine. Il commente les récentes émeutes qui ont lieu dans plusieurs villes américaines depuis l'été. Il est entre autres question de son enfance à Harlem, des raisons qui l'ont amené à quitter son pays, de l'histoire des États-Unis, des raisons qui l'ont poussé à devenir écrivain, de l'attitude des américains blancs face aux Afro-Américains, de sa définition de la violence en Amérique et de la juste colère des Afro-Américains.
Source : Le sel de la semaine, 4 septembre 1967
Animateur : Fernand Seguin
Encore plus de nos archives : ici.radio-canada.ca/archives/...
Quel être fascinant que James Baldwin! J'ai passé la semaine à regarder des vidéos le concernant. Je me promets de lire ses ouvrages également.
Impressionant l’effort qu’il fait pour parler le Français, homme brillant ❤
Je suis très content que cette vidéo est ma pratique pour français aujourd’hui
Magnifique écrivain quel grand homme
Excellent.
Merci beaucoup.
Comme il a raison ! et c'est toujours vrai !!!
Je comprends se qu'il explique un jour je suis allée chercher un ami chez lui j'avais 11 ans il m a dit quand tu viens ne te mets pas en face de la maison jai pas compris cest après quand j'ai vu ses parents que le puzzle c'est mise en place.
his manners, his behaviour, his style of talking are all french. safe the accent
Ouai ce se tient..
Hotep James Baldwin !
un des grands leaders de la cause khemit .
Je suis d'accord . Ce n'est pas un pays chrétien. Qu'ils arrêtent de se mentir.
Tous les noirs ont une spiritualité mais sont tout le temps dans les églises ! Il faut bcq de temps pour comprendre le monde. L' Occident tel qu'on le connaît aujourd'hui n'a que 1000 ans. Donc pour sauver la planète, il faut écouter les autres peuples. Merci
C'est vrai, " quand on se met à haïr quelqu'un, on se détruit soi même"
Mon père m'a toujours dit : la haine et la vengeance entraînent le - non - retour du bâton, pcq le juge suprême est IMANA.
Mon père toujours, on l' a toujours appelle: MUGUFI ASUMBA BAREBARE ! Je m'y du temps pour comprendre tout cela mais il nous avait inculqué l' AMOUR et cela est toujours valable !