Berlioz - La Damnation de Faust / Hungarian March + Presentation (reference rec. : Sir Colin Davis)

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  • เผยแพร่เมื่อ 12 มิ.ย. 2024
  • Hector Berlioz (1803-1869) - La Damnation de Faust / Fausts Verdammnis
    Légende dramatique en 4 parties / Dramatische Legende in 4 Teilen
    Partie 1
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    Le vieil hiver (00:00)
    Les bergers quittent leurs troupeaux (06:23)
    Mais d’un éclat guerrier (09:44)
    Marche hongroise / Hungarian march (10:44)
    Partie 2
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    Sans regrets j’ai quitté les riantes campagnes (15:41)
    Christ vient de ressusciter ! (21:18)
    Hélas ! doux chant du ciel (27:16)
    Ô pure émotion ! (28:23)
    A boire encor ! (30:37)
    Certain rat, dans une cuisine / Amen (33:11)
    Vrai Dieu, messieurs (36:54)
    Une puce gentille (38:04)
    Assez ! fuyons ces lieux (39:30)
    Voici des roses (41:52)
    Dors ! heureux Faust (44:31)
    Ballet des Sylphes (51:21)
    Margarita ! (53:51)
    Villes entourées (55:04)
    Partie 3
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    Présentation en français : voir premier commentaire épinglé.
    Prélude : La retraite (1:00:13)
    Merci, doux crépuscule (1:01:20)
    Je l’entends ! (1:06:10)
    Que l’air est étouffant (1:07:12)
    Autrefois un roi de Thulé (1:10:23)
    Esprits des flammes inconstantes (1:16:02)
    Menuet des Follets / Maintenant chantons à cette belle (1:17:58)
    Devant la maison (1:24:05)
    Grands dieux ! .. Ange adoré (1:26:11)
    Allons, il est trop tard ! / Je connais donc enfin (1:31:56)
    Partie 4
    Click to activate the English subtitles for the presentation (1:36:35-1:17:58)
    Présentation en français : voir premier commentaire épinglé.
    D’amour l’ardente flamme (1:36:35)
    Au son des trompettes (1:45:12)
    Nature immense (1:47:32)
    A la voûte azurée (1:53:10)
    Dans mon choeur retentit sa voix (1:56:21)
    Has ! Irimiru Karabrao (1:59:53)
    Tradioum marexil (2:04:17)
    Alors, l’Enfer se tut (2:05:38)
    Laus! Laus! .. Remonte au ciel, âme naïve (2:05:38)
    Faust : Nicolai Gedda
    Méphistophélès : Jules Bastin
    Marguerite : Josephine Veasey
    Brander : Richard Van Allan
    Voix Céleste : Gillian Knight
    London Symphony Orchestra & Chorus
    Chorus Master : Arthur Oldham
    Ambrosian Singers / Master : John McCarthy
    Wandsworth School Boy’s Choir / Master : Russell Burgess
    Viola : Alexander Taylor
    Englisch-Horn : Geoffrey Browne
    Conductor’s Assistant : Maurits Sillem
    French Language Coach : Janine Reiss
    Sir Colin DAVIS
    Recorded in 1973, at London
    Find CMRR's recordings on Spotify: spoti.fi/3016eVr
    Paradoxe : l’oeuvre lyrique la plus connue de Berlioz, et la plus jouée au théâtre, n’est pas véritablement un opéra. C’est une légende dramatique inspiré du « Faust » de Goethe développant une succession de scènes et de tableaux qui forment des récits en même temps que des climats. Il faut donc à la fois des chanteurs propres à rendre justice à la dimension lyrique, et un orchestre, des choeurs, un chef sachant insuffler ces climats, ces atmosphères successives.
    Sir Colin Davis est ce magicien des effets sonores, qui fait claquer la ‘Marche hongroise’ (10:44), se déployer dans une transparence, une évanescence subtile le ‘Ballet des Sylphes’ (51:21) et pousser les feux de la ‘Course à l’abîme’ (1:56:21) avant de communiquer sa flammé aux choeurs du ‘Pandémonium’ (1:59:53). Et le choix de ses chanteurs est tout aussi idéal, de Nicolaï Gedda superbe et comme suspendu dans ‘Merci, doux crépuscule’ (1:01:20) à Jules Bastin, sarcastique à souhait dans la ‘Chanson des puces’ (38:04) comme dans la maléfique berceuse ‘Voici les roses’ (41:52), ou en dépit d’un problème d’intelligibilité, la Marguerite de Joséphine Veasey dont le mélancolique et tragique air ‘D’amour, l’ardente flamme’ (1:36:36) est un des grands moments de l’enregistrement. Le sentiment berliozien est rendu là, jusqu’au bout de chaque nuance, de chaque inflexion, avec une sorte de génie sonore.
    Hector Berlioz PLAYLIST (reference recordings) : • Hector Berlioz (1803-1...
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ความคิดเห็น • 35

  • @classicalmusicreference
    @classicalmusicreference  6 ปีที่แล้ว +15

    Hector Berlioz (1803-1869) - La Damnation de Faust / Fausts Verdammnis
    Légende dramatique en 4 parties / Dramatische Legende in 4 Teilen
    Partie 1
    *Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-00:42)
    Une aube de printemps dans une plaine de Hongrie. Faust chante la beauté et la solitude du paysage. Tandis qu'à l'orchestre le mouvement s'amplifie en un véritable hymne lumineux, on entend au loin quelques bruits de fête en même temps que des rythmes militaires. Une foule de paysans danse en l'honneur du printemps. Incapable de partager ces émotions simples, Faust s'écarte et rencontre des soldats allant au combat. Faust admire leur courage et leur maintien orgueilleux mais reste insensible à leur soif de gloire et se retire à nouveau tandis que l'armée défile aux sons de la Marche de Rakoczy.
    Le vieil hiver (00:00)
    Les bergers quittent leurs troupeaux (06:23)
    Mais d’un éclat guerrier (09:44)
    Marche hongroise / Hungarian march (10:44)
    Partie 2
    *Click to activate the English subtitles for the presentation* (15:41-17:30)
    C'est la nuit dans le cabinet de travail de Faust, quelque part dans le Nord de l'Allemagne où il est revenu, mené par l'ennui qui l'avait poursuivi jusque dans les plaines lointaines. Il décide d'en finir et veut absorber quelque poison lorsque les volées de cloches d'une église voisine le retiennent. Une procession chante en chœur la joie de Pâques et la victoire du Christ.
    Jetant la coupe fatale, Faust évoque alors les dévotions de son enfance tandis qu'une paix nouvelle se répand dans son âme. Méphistophélès surgit alors, tournant en dérision ces espoirs pieux. Il offre à Faust de réaliser ses rêves, de l'emmener tout au travers du monde et de lui révéler des merveilles qu'il n'avait pu imaginer dans son cabinet de philosophe. Sur le champ, les voici transportés dans la taverne souterraine d'Auerbach, à Leipzig. Une bruyante assemblée de bambocheurs y est en train de boire.
    L'un d'eux, Brander, entonne quelque ballade assez grasse à propos d'un rat „qui a vraiment l'amour au corps". Toute la compagnie utilisera le thème de la ballade en un „magistral" Amen fugué, parfaitement blasphématoire.
    L'apparition soudaine de Méphistophélès dégrise pourtant les convives. Ils n'en applaudiront que plus chaleureusement lorsqu'il relève le défi de Brander en lançant la fameuse Chanson de la Puce. Tandis que l'assistance acclame ces couplets, Faust manifeste son dégoût et son découragement. La scène s'évanouit et Méphistophélès entraîne sa proie sur les rives boisées de l'Elbe. Faust est alors endormi par des centaines de voix exquises tandis que les sylphes l'éventent. Faust voit alors Marguerite en rêve. Les sylphes ayant disparu, il se réveille et demande à Méphistophélès de le conduire vers elle. Chemin faisant ils croiseront une bande turbulente de soldats et d'étudiants se pressant vers la ville où vit Marguerite.
    Sans regrets j’ai quitté les riantes campagnes (15:41)
    Christ vient de ressusciter ! (21:18)
    Hélas ! doux chant du ciel (27:16)
    Ô pure émotion ! (28:23)
    A boire encor ! (30:37)
    Certain rat, dans une cuisine / Amen (33:11)
    Vrai Dieu, messieurs (36:54)
    Une puce gentille (38:04)
    Assez ! fuyons ces lieux (39:30)
    Voici des roses (41:52)
    Dors ! heureux Faust (44:31)
    Ballet des Sylphes (51:21)
    Margarita ! (53:51)
    Villes entourées (55:04)
    Partie 3
    *Click to activate the English subtitles for the presentation* (1:00:13-1:01:31)
    Le soir dans la ville. Tambours et trompettes sonnent la retraite. Seul dans la chambre de Marguerite, Faust absorbe l'atmosphère tranquille. Mais, à la demande de Méphistophélès, il doit se cacher. Marguerite entre, bouleversée par un rêve au cours duquel elle a vu son futur amant. Tandis qu'elle peigne ses cheveux, elle se chante une vieille ballade mélancolique.
    La scène se déplace alors dans le jardin de la maison où Méphistophélès somme les Esprits du Feu d'ensorceler Marguerite endormie. Par une, sérénade diabolique, il l'incite alors à se précipiter dans les bras de Faust juste sorti de sa cachette. Les amants se reconnaissent, s'abandonnent à leur passion, mais Méphistophélès les dérange brutalement, venant les avertir que la mère de Marguerite a été réveillée. On entend les voisins cogner à la porte. Faust et Marguerite se disent un adieu précipité. Méphistophélès se réjouit que Faust doive être si rapidement sien.
    Prélude : La retraite (1:00:13)
    Merci, doux crépuscule (1:01:20)
    Je l’entends ! (1:06:10)
    Que l’air est étouffant (1:07:12)
    Autrefois un roi de Thulé (1:10:23)
    Esprits des flammes inconstantes (1:16:02)
    Menuet des Follets / Maintenant chantons à cette belle (1:17:58)
    Devant la maison (1:24:05)
    Grands dieux ! .. Ange adoré (1:26:11)
    Allons, il est trop tard ! / Je connais donc enfin (1:31:56)
    Partie 4
    *Click to activate the English subtitles for the presentation* (1:36:35-1:17:58)
    Seule, Marguerite attend désespérément le retour de Faust sans lequel sa vie n'a plus de sens. Dans le lointain, des tambours et des sonneries de trompettes, rappelant les chants des soldats et des étudiants, interrompent sa reverie. Mais Faust ne revient pas: dans une forêt sauvage il invoque la Nature dont la puissance invincible peut seule combler ses aspirations.
    Méphistophélès apparaît et annonce que Marguerite a été condamnée au gibet, ayant causé la mort de sa mère par les somnifères qu'elle lui administrait chaque fois que Faust lui rendait visite. Désespéré, Faust signe un papier par lequel il accepte de servir Méphistophélès si ce dernier sauve la vie de Marguerite. Enfourchant des chevaux noirs, les voici galopant à bride abattue.
    Un groupe de paysans priant à la croisée de deux chemins s'enfuit à leur approche. Des spectres pourchassent Faust, de grands oiseaux l'effleurent de leurs ailes, un orage éclate et, d'une voix de tonnerre, Méphistophélès commande aux légions de l'Enfer de commencer leur orgie. Faust est précipité aux abysses. Les démons portent Méphistophélès en triomphe tandis que l'âme rachetée de Marguerite est reçue au Paradis par les Séraphins.
    D’amour l’ardente flamme (1:36:35)
    Au son des trompettes (1:45:12)
    Nature immense (1:47:32)
    A la voûte azurée (1:53:10)
    Dans mon choeur retentit sa voix (1:56:21)
    Has ! Irimiru Karabrao (1:59:53)
    Tradioum marexil (2:04:17)
    Alors, l’Enfer se tut (2:05:38)
    Laus! Laus! .. Remonte au ciel, âme naïve (2:05:38)
    Faust : Nicolai Gedda
    Méphistophélès : Jules Bastin
    Marguerite : Josephine Veasey
    Brander : Richard Van Allan
    Voix Céleste : Gillian Knight
    London Symphony Orchestra & Chorus
    Chorus Master : Arthur Oldham
    Ambrosian Singers / Master : John McCarthy
    Wandsworth School Boy’s Choir / Master : Russell Burgess
    Viola : Alexander Taylor
    Englisch-Horn : Geoffrey Browne
    Conductor’s Assistant : Maurits Sillem
    French Language Coach : Janine Reiss
    Sir Colin DAVIS
    Recorded in 1973, at London
    Find CMRR's recordings on *Spotify* : spoti.fi/3016eVr
    Paradoxe : l’oeuvre lyrique la plus connue de Berlioz, et la plus jouée au théâtre, n’est pas véritablement un opéra. C’est une légende dramatique inspiré du « Faust » de Goethe développant une succession de scènes et de tableaux qui forment des récits en même temps que des climats. Il faut donc à la fois des chanteurs propres à rendre justice à la dimension lyrique, et un orchestre, des choeurs, un chef sachant insuffler ces climats, ces atmosphères successives.
    Sir Colin Davis est ce magicien des effets sonores, qui fait claquer la ‘Marche hongroise’ (10:44), se déployer dans une transparence, une évanescence subtile le ‘Ballet des Sylphes’ (51:21) et pousser les feux de la ‘Course à l’abîme’ (1:56:21) avant de communiquer sa flammé aux choeurs du ‘Pandémonium’ (1:59:53). Et le choix de ses chanteurs est tout aussi idéal, de Nicolaï Gedda superbe et comme suspendu dans ‘Merci, doux crépuscule’ (1:01:20) à Jules Bastin, sarcastique à souhait dans la ‘Chanson des puces’ (38:04) comme dans la maléfique berceuse ‘Voici les roses’ (41:52), ou en dépit d’un problème d’intelligibilité, la Marguerite de Joséphine Veasey dont le mélancolique et tragique air ‘D’amour, l’ardente flamme’ (1:36:36) est un des grands moments de l’enregistrement. Le sentiment berliozien est rendu là, jusqu’au bout de chaque nuance, de chaque inflexion, avec une sorte de génie sonore.
    Hector Berlioz PLAYLIST (reference recordings) : th-cam.com/video/A1JBdePepGo/w-d-xo.html

    • @MrSherproust
      @MrSherproust 6 ปีที่แล้ว

      Classical Music/ /Reference Recording

  • @lionelthiebaud7081
    @lionelthiebaud7081 10 หลายเดือนก่อน +3

    Peut-être la meilleure version de la Damnation de Faust , en tout cas une référence absolue vocalement, orchestralement, une merveilleuse interprétation, merci Colin Davis, et surtout merci infini Hector Berlioz

  • @fulviopolce9785
    @fulviopolce9785 ปีที่แล้ว +6

    Una composizione gloriosa,del miglior Berlioz e grandiosamente romantica nella strumentazione e parte vocale.Sublime la registrazione così come gli interpreti offrono una prova eccezionale.

  • @michaelzurkinden116
    @michaelzurkinden116 ปีที่แล้ว +5

    Totally insane cast: Bastin, the others and…. Gedda! Davis at his best. There is no best version. Music’s inspiration / interpretation never ends. This one is insightful, well-balanced and inspired. I’m grateful. And homage to the author: BERLIOZ!

    • @bloodgrss
      @bloodgrss 9 หลายเดือนก่อน +1

      Markevitch is pretty wonderful too...

  • @paullewis2413
    @paullewis2413 6 ปีที่แล้ว +5

    Josephine Veasey, the best Marguerite on record! I saw/heard her in a performance of Les Troyens (as Didon) conducted by Colin Davis in 1968 but was too young to fully appreciate what a fine singer she was. Thanks for the upload.

  • @enricorossi4909
    @enricorossi4909 4 ปีที่แล้ว +6

    Una delle mie composizioni preferite . Per me la migliore performance. Mi piace il Berlioz di Colin Davis (grande la sua "Symphonie Fantastique")

  • @svabhavasunya
    @svabhavasunya 6 ปีที่แล้ว +6

    Superior!
    Supreme!
    Excellent!
    Amazing!
    One another blessing from Reference!

  • @gabrielmullen1682
    @gabrielmullen1682 4 ปีที่แล้ว +11

    Berlioz - wonderful composer..... well before his time!

    • @MrYorickJenkins
      @MrYorickJenkins 3 ปีที่แล้ว +3

      "Before his time" seems to imply that muisc produced today is inherently an advance over the music of yesterday. By that reckoning Berg is inherently superior to Bach

  • @innocenzobarrera1505
    @innocenzobarrera1505 2 ปีที่แล้ว +6

    L'amore degli inglesi per Berlioz si rafforzò e consolidò durante la 1 guerra mondiale, quando nelle numerose istituzione musicali fu nterdetto eseguire il repertorio austro-tedesco (quindi, - immaginate - niente Mozart, Beethoven , Schubert, Schumann. Mendelssohn, Brahms, Wagner, etc...) e allora si suppliva potenziando il repertorio inglese con Elgar, Holst etc.. e la musica degli alleati : la russa, gli italiani, i francesi, Sibelius etc... Oltre Saint-Saens, il sinfonista fu accreditato era Berlioz, che trovà parecchio spazio in repertorio, soprattutto poi per i testi inglesi di Shakespeare : Romeo e Giulietta, Beatrice et Bénédict, Re Lear etc... e Byron Le corsaire, Aroldo in Italia. Questo spiegherebbe che i migliori interpreti di Berlioz sono gli inglesi, più dei francesi, fateci caso ! Se poi mettete che Sir Colin Davis suonava bene il clarinetto e nel Trattato d'orchestrazione di Berlioz vi è ampio risalto, la frittata - come dire - era fatta. Tra gli interpreti inglesi ricordati almeno il folle di Thomas Beecham, penso Adrian Boult e John Barbirolli. E poi - la timbrica fantasmagorica dell'orchestrazione di Berlioz s'addiceva di più alle orchestre inglesi che a quelle austro.tedesche, orchestre inglesi laddove la sezione degli ottoni era in gran risalto con gli attacchi in gran pulizia come la London Symphony .

  • @jongilchrist7229
    @jongilchrist7229 ปีที่แล้ว +1

    Been flirting with Berlioz' music for 40 years now and, besides having had an early influence on Wagner, he interested me. But recently I've been listening very closely to Fantasque, The Trojans etc. Great composition.

  • @JoseMedina-sv8uy
    @JoseMedina-sv8uy 4 ปีที่แล้ว +2

    Excelente. Gracias por compartir esta obra de arte.

  • @josephmagil1149
    @josephmagil1149 ปีที่แล้ว +1

    The best recording.

  • @Jjozka
    @Jjozka 6 ปีที่แล้ว +1

    Pěkně zahrané a zazpívané.

  • @lsmith145
    @lsmith145 4 ปีที่แล้ว +6

    26:38 - 27:13. Also, Gedda's diminuendo on a high C#! at 1:27:45

  • @randallwithell6496
    @randallwithell6496 4 ปีที่แล้ว +1

    The Salzburg Festival presented Faust , staged as an opera. It was inspiring. The visuals & the acting were a brilliant accompaniment to the music & the vocals. It's still available on DVD. Become Berlioz! Become Mephistopheles! Become inspired! BUY BUY BUY!

  • @mariojaime5776
    @mariojaime5776 3 ปีที่แล้ว

    Supreme

  • @1r1eyesairiays30
    @1r1eyesairiays30 3 หลายเดือนก่อน

    Soy musulmana pero amo mucho a jesus y la musica clasica.Muy hermoso 😭😭😭😭💯

  • @lapintelaurent7956
    @lapintelaurent7956 4 ปีที่แล้ว +2

    140F, rue de Sault, 16 février 1999... :° 15:43... écoute donc la PUISSANCE ! 18:59...

  • @user-ar7_tv
    @user-ar7_tv 5 หลายเดือนก่อน +1

    It's just for me
    1:37:31 - 1:38:31
    1:47:45 - 1:49:26
    1:16:00 - 1:17:58
    10:44 - 11:15

  • @1968KWT
    @1968KWT ปีที่แล้ว

    Premiered #otd in 1846 🌺🌺🌺

  • @yat1215paris
    @yat1215paris 3 ปีที่แล้ว

    La 3ème 4 en sueur

  • @lapintelaurent7956
    @lapintelaurent7956 4 ปีที่แล้ว +2

    28:51 ! 777 29:21 !

  • @ekmke96
    @ekmke96 3 ปีที่แล้ว +1

    1:22:57

  • @lorenzoimperialeurbinati4626
    @lorenzoimperialeurbinati4626 3 ปีที่แล้ว +1

    2:02:00

  • @christophebertels6025
    @christophebertels6025 5 ปีที่แล้ว +5

    Merci messieurs c'était trèès bien, c'était trèèès bien... Non non non , c'est moi quiii...
    -Vous vous vous c'était bien.
    -Vous c'était bien comme ci comme ça
    -Dites-moi vous, on n'vous a pas entendu, on n'vous entend jamais, vous n'arrêtez pas de bavarder.
    Faites attention, faites très attention...

    • @ar3s15
      @ar3s15 3 ปีที่แล้ว

      c'était pas mauvais, c'était très mauvais !

    • @christophebertels6025
      @christophebertels6025 3 ปีที่แล้ว

      @@ar3s15 Exactement, allons, reprenons, .... Au 17

    • @lionelthiebaud7081
      @lionelthiebaud7081 10 หลายเดือนก่อน

      Pas subtil comme comparaison, assez minable même

  • @Velissiotisnikosvyahoocom
    @Velissiotisnikosvyahoocom 6 ปีที่แล้ว +3

    La version plus belle est cet de Prêtre avec Gedda,Horne,Soyer Rai Rome !!!!!!