วีดีโอ

Dommage que la chanson ne reprenne pas tous les vers de la poésie si succulente!

Magnifique dans quel année date cet archive du grand échiquier ?

ce sont les donneurs d'ordre de l'armée auraient du être passés par les armes

"L'est pas dégueu le p'tit coco."

Gran artista Charles Trenet😊

21 /11/2024 Troisième jeudi de novembre . Le Beaujolais nouveau est arrivé ! Toujours à cette date , je pense à René .

On n'a jamais fait mieux. 😢

Merci, merci😂

Une des rares personnes à interpréter Brassens de manière personnelle tout en conservant un fond de l’intention de l’auteur

La télé d'hier. La transmission de la vraie vie, de l'Histoire, du respect. La télé d'aujourd'hui, que je zappe, que j'efface : de l'abrutissement total des télespectateurs, abrutis, qui regardent encore, et, maleheuresement, des émissions abêtissantes. Une télé qui nivelle le bas-peuple par le bas;

Quand je lis les commentaires qui se trouvent en dessous de chacune des publications de monsieur Schuller Je me rends compte qu’il fait du bien au moral de beaucoup de gens . Mais est-ce qu’il a conscience qu’il risque de mettre au chômage beaucoup de psy ?

Quel homme exceptionnel

Fantastique !!

Merveilleux,.!

I am somewhere

L'Hymne officieux de la France...

Extraordinaire. La poésie pure et intemporelle, portée par des poètes, artistes et hommes d'exception. Sublime.

Mais en Catalogne nord on parle de plus en plus catalan

Georges Brassens chante "Tu t'en iras les pieds devant" (paroles Maurice Boukay, musique de Marcel Legay ) publiée le 16 juin 1895 dans Gil Blas Illustré. Charles Couyba fut député, sénateur, plusieurs fois ministres et chansonnier sous le nom de Maurice Boukay. Extrait de l'émission « Le cabaret de l'histoire », 1ère chaîne, le 26 février 1971.

Je constate qu'à cette époque il n'y avait pas beaucoup de femmes qui participaient à ce genre d'émission. On parlait des femmes mais on ne les voyait pas beaucoup.

Je constate qu'à cette époque il n'y avait pas beaucoup de femmes qui participaient à ce genre d'émission.

Trousse chemise : Le drame d'un amour insouciant Qui vire au cauchemar, au tourment Lorsque sous l'effet de l'alcool les sens déraisonnent, perdant le contrôle le jeune homme pris d'une pulsion ignorant les cris , les gestes de protestation commet l'acte terrible : un viol . La jeune fille de douleur, de honte Quitte à jamais l'endroit valise à la main Et lui dessoulé après se rend compte de la gravité de son acte qui a meurtri un destin. " On était partis la fleur à l'oreille avec des bouteilles de vrai muscadet" " Et j'ai renversé à Trousse chemise malgré tes prières à corps défendant et j'ai renversé le vin de nos verres ta robe légère et tes dix- sept ans " " T'as fait ta valise t'es jamais revenue ."

MERCIIIIIII .!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ça se passe chez Adamo, on y voit son épouse Nicole.

Tout ressemble à la musique que c’est comme Let it be ! Et afouna ve gezer ! Et Beethoven ! Et La Cucaracha ! Et Alouette Gentille Alouette ! Et Cancan! Et les comédiens de Aznavour! Et Malbrough ! Et Kirikou ! Et la chanson paillarde de David Bowie ! Et l’autruche de Émilie Jolie ! Et l’extraterrestre de Émilie Jolie ! Et Halloween ! Et J’aime La Galette ! Et Tchaikovsky! Et Rossini! Et La cadence andalouse ! Et la panthère noire en peluche du soldat Rose ! Et Tetris ! Et Jingle Bells! Et vive le vent ! Et Let it snow! Et Le Tango! Et l’opérette ! Et Brassens !

Ce chant est né à Londres en mai 1943. La musique, composée par Anna Marly, viendrait d'une mélodie russe. L'air plut à Joseph Kessel, qui cherchait un indicatif à l'émission « Honneur et Patrie ». Il décida donc, avec Maurice Druon, d'écrire de nouvelles paroles.

Chanteuse hors pair et comédienne en même temps....

dommage qu il ne connais pas les paroles

Ne jamais oublier 😢Yves Montand ,interprète cette chanson, magnifiquement,..Cela donne le frisson

Très belle interprétation bravo à la chanteuse et musiciens

La femme qui possède tout en elle Pour donner le goût des fêtes charnelles La femme qui suscite en nous tant de passion brutale La femme est avant tout sentimentale Main dans la main les longues promenades Les fleurs, les billets doux, les sérénades Les crimes, les foli’s que pour ses beaux yeux l'on commet La transportent, mais... Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l’œuvre de chair Elle est souvent triste, peuchèr’ ! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas Sauf quand elle aime un homme avec tendresse Toujours sensible alors à ses caresses Toujours bien disposé’, toujours encline à s'émouvoir Ell’ s'emmerd' sans s'en apercevoir Ou quand elle a des besoins tyranniques Qu'elle souffre de nymphomani’ chronique C'est ell' qui fait alors passer à ses adorateurs De fichus quarts d'heure Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l’œuvre de chair Elle est souvent triste, peuchèr’ ! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas Les "encore", les "c'est bon", les "continue" Qu'ell' cri’ pour simuler qu'ell' monte aux nues C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont En général que de pieux mensonges C'est à seule fin que son partenaire Se croie un amant extraordinaire Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus Ne soit pas déçu Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l’œuvre de chair Elle est souvent triste, peuchèr’ ! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas J'entends aller bon train les commentaires De ceux qui font des châteaux à Cythère : "C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit Qu'elle conserve toujours son sang-froid." Peut-être, mais si les assauts vous pèsent De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos Chantez in petto... Quatre-vingt-quinze fois sur cent La femme s'emmerde en baisant Qu'elle le taise ou le confesse C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses Les pauvres bougres convaincus Du contraire sont des cocus À l'heure de l’œuvre de chair Elle est souvent triste, peuchèr’ ! S'il n'entend le cœur qui bat Le corps non plus ne bronche pas

Les champs élysées. Paroles- Pierre Delanoë et non Claude Lemesle comme le dit le merveilleux Marcel Amont. Adaptation de Waterloo road

Le pauvre ! Il ne savait pas valser !!!

Il avait faim George!

Maravilloso..ha sido para mi el mejor rapsoda

Selon moi la plus belle des interprétations de ce chant

Quelle merveille ! ❤

B R A V I SS I M O !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Pays et non pahys 😅😅

Magnifique 😢

Trés aimable Salvatore, (né à Comiso en Sicile, comme mon arrière grand père), Georges semble apprécier sa compagnie.

Bellísima interpretación. 👏👏

🥰🥰🫶🫶👍👍👍👏👏👏👏👏

Merci un moment rare

J'avais horreur de cette bonne femme quand j'étais petit !!...

Я фанат Шарля ...бравооооооо маэстро..я вас обожаю...великий певец

Merci un petit peu de bonheur

Notre Georges 😮😂😂est vraiment le meilleur, génial ce truc 😊😊😊

Brilliant performance, Trenent and sparkling piano.

Merci pour le mervielleux video!