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Bataille d'Alger. شهداء المقصلة,تواتي، Saïd Touati.سعيدBataille d'Alger. شهداء المقصلة,تواتي، Saïd Touati.سعيد
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AFIN QUE NUL N'OUBLIE, LES HEROS NE MEURENT JAMAIS.
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Bataille d'Alger.شهداء المقصلة ,كاب عبد الرحمان, Kab AbderrahmaneBataille d'Alger.شهداء المقصلة ,كاب عبد الرحمان, Kab Abderrahmane
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ความคิดเห็น

  • @hocinefarhi8674
    @hocinefarhi8674 17 ชั่วโมงที่ผ่านมา

    Gloire à nos martyrs

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 18 วันที่ผ่านมา

    Comment peut on ignorait un tel Moudjahid, le chahid Abderahmane Kab et son groupe de choc les premiers combattants de la casbah et de l'Algérois qui furent notre exemple pour intensifier la révolution et allumer le feu du Djihad prèconisé par le Chahid Larbi Ben Mhidi, Tous ce premier groupe armé de Moudjahidine était ignorer par les responsables des services concernés, plus et c'est ce qui nous (une toute petite minorité qui ont survécu et qui ont fait partie de ce valeureux groupe), fait très mal qd on entend ses fauts historiens psytatiques, cité du n'importe quoi pour se faire valoir ou faire valoir leurs proches . A un moment donné le groupe Kab et Azzouzi était complètement ignoré Alhamdoulilah grâce à la reprise du flambeau des proches de certains chouhadas dont les neuveux de Kab et de si Ahmed oucherif..tèmoignage moudjahid Boualem Laoudia

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 24 วันที่ผ่านมา

    Comment peut on ignorait un tel Moudjahid, le chahid Abderahmane Kab et son groupe de choc les premiers combattants de la casbah et de l'Algérois qui furent notre exemple pour intensifier la révolution et allumer le feu du Djihad prèconisé par le Chahid Larbi Ben Mhidi, Tous ce premier groupe armé de Moudjahidine était ignorer par les responsables des services concernés, plus et c'est ce qui nous (une toute petite minorité qui ont survécu et qui ont fait partie de ce valeureux groupe), fait très mal qd on entend ses fauts historiens psytatiques, cité du n'importe quoi pour se faire valoir ou faire valoir leurs proches .A un moment donné le groupe Kab et Azzouzi était complètement ignoré Alhamdoulilah grâce à la reprise du flambeau des proches de certains chouhadas dont les neuveux de Kab et de si Ahmed oucherif..tèmoignage moudjahid Boualem Laoudia

  • @jamelberi
    @jamelberi หลายเดือนก่อน

    الفيديو خلاص قبل ما يخلاص الفيلم

  • @jamelberi
    @jamelberi หลายเดือนก่อน

    اولاد تبان في جنوب سطيف جوايه عين ولمان ،قاعد تكذب ، بويرة غرب سطيف بعد يشير

  • @jamelberi
    @jamelberi หลายเดือนก่อน

    ملايين اللي شاركوا و جاهدوا وماتوا وما تكلم و ما سمع عليهم ، اولاد تبان سطيف ماشي الاوراس يا كذاب

  • @boudjhamar7525
    @boudjhamar7525 2 หลายเดือนก่อน

    ارزقي لوني من منطقة ازفون قرية( كانيس ) وهو نسيب السعدي ياساف

  • @AbderrahmaneGhezali-j9n
    @AbderrahmaneGhezali-j9n 2 หลายเดือนก่อน

    Filme maricane allah yarehame alli matou yakhi aadjabe tounes rouhe ataze taze

  • @AbderrahmaneGhezali-j9n
    @AbderrahmaneGhezali-j9n 3 หลายเดือนก่อน

    Les oubliés de la ZAA mon pere était très intime avec kabaili touati notre maison servait de refuge au 60 rue de la casbah amnésiques les oubliés resterons oubliés

  • @AbderrahmaneGhezali-j9n
    @AbderrahmaneGhezali-j9n 3 หลายเดือนก่อน

    Est il toujours vivants puis je avoir son contact pour information

  • @AbderrahmaneGhezali-j9n
    @AbderrahmaneGhezali-j9n 3 หลายเดือนก่อน

    Koul wahed yahki baade ma matou redjel il fallait parler lors de leur vivant yawe marlou toze kabaili said touati ect étais amis intimes de mon défunt t père ai si que rachid 1raide ghayatte ou table ce mr est il toujours vivant puis je savoir

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 3 หลายเดือนก่อน

    الحمد لله لقد تم اصدار كتاب"الصندوق و البندقية" من تاليف اﻻستاد عاشور الرايس و هو متواجد حاليا في معرض الكتاب بالصنوبر البحري éditions CASBAH حيت روى المؤلف احدات من الواقع حول مسيرة فوج عزوزي قدور اول من استشهد و بيده سلاح في القصبة و شهيد المقصلة كاب عبدالرحمان واخرون الذين يشهد لهم التاريخ وابناء الشعب البسطاء بانهم من اﻻوائل اللذين حملو السلاح قبل ،اثناء و بعد اندﻻع تورة نوفمبر الخالدة رحم الله ارواحم الطاهرة والمجد و الخلود لشهدائنا الأبرار ،و تتقدم كل من عائلتي الشهيدين بالتحية الخالصة للاستاد عاشور الرايس و دار القصبة و كل من ساهم في انشاء و اتمام هذا العمل الذي يعتبر مصدر تاريخيي هام... Dans la nuit du mercredi 24 août 1955, une sentinelle armée d’un fusil se tient à l’entrée d’une guérite. Dans la cour se trouvent trois fourgons de couleur bleue dont les feux allumés éclairent une partie de la caserne. Le soldat quitte la guérite, lève la barrière, les fourgons sortent. Plus bas que la gendarmerie, prés de la cité des eucalyptus, trois tractions avant citroén apparaissent au sortir d’un virage. Les véhicules roulent sans faire de bruit. Deux fourgons de police les suivent de près. Les trois fourgons et les trois tractions avant réapparaissent sur le boulevard de verdun et empruntent la route menant vers le boulevard de la victoire (Bab Jdid), sur les hauteurs de la casbah. Les véhicules s’arrêtent dans l’ordre, tout près du café «El Maghreb», propriété de Bouzourène. Les portières s’ouvrent sans bruit. Plusieurs hommes investissent les lieux. Ils sont en tenues de CRS ou de policiers et sont armés de pistolets-mitrailleurs. Dans cette armada qui a investi la nuit, on reconnait les inspecteurs Claude-Mestre, Santiago,Joseph, Varo et Graziani, vêtus eux de gabardines et coiffés de chapeaux mous. Le commissaire Ben Hammou descend et se dirige vers le groupe d’un pas rapide. Il inspecte ses hommes et leur distribue les rôles avec des gestes nets et précis. Les inspecteurs sont rassemblés à part, les CRS sont au premier rang en tant que corps d’élite prêt à donner l’assaut. Quant aux policiers, ils forment l’aile droite du chef.Ce dernier rejoint son véhicule, ouvre la portière arrière…Deux individus sorts dont un cagoulé. Policiers, CRS et inspecteurs les suivent. Une chape de silence plombe ce lieu, on n’entend que les pas des forces de l’ordre. Le cortège martial s’engouffre dans les escaliers de la rue Porte Neuve. Du haut du minaret de la petite mosquée de «Sidi Abdallah» le muezzin appelle à la prière du «Fadjr».Le jour se lève sur Alger éclairant la progression des policiers rue kleber, vers le refuge qu’ils s’apprêtent à investir. Les deux individus dont l’homme cagoulé et le commissaire sont toujours en tête. Le premier s’arrête et désigne de la main la porte d’entrée du refuge. Les hommes prennent position de façon à ne pas être repérés. Un passant matinal débouchant sur les lieux et tout surpris de se trouver soudainement face à des hommes armés jusqu'aux dents qui lui intiment par des gestes nerveux mais sans un mot, l’ordre de rebrousser chemin. Dans le makhzen, Abderrahmane, Kaddour et Brihmat sont plongés dans un profond sommeil. Ils sont réveillés brutalement par des coups violents sur la porte. Kaddour est le premier à se lever. Torse nu et pieds nus, il secoue ses compagnons : vous entendez? Abderrahmane : Qu’est ce qu’il y a? Kaddour : La porte ! De nouveaux coups résonnent, l’homme à la cagoule continue de tambouriner sur la porte. Les policiers sont toujours en position.Tandis que, Abderrahmane et Brihmat s’habillent rapidement, Kaddour s’engouffre dans le coin de la pièce où sont cachées les armes. Il s’empare d’une grenade «Milks», d’une mitraillette «Sten», d’un P38 et d’un colt 11,43 qu’il dépose sur un matelas. Dans la ruelle mitoyenne, la rue du lion, l’homme à la cagoule se retire rapidement entendant actionner la serrure et rejoint les CRS et les policiers dissimulés. La porte du makhzen s’entrouvre et Brihmat apparait. Ne voyant personne. Il s’aventure avec précaution à l’extérieur. Il n’a pas fait deux pas que les inspecteurs surgissent, lui sautent dessus et le ceinturent. A l’intérieur du makhzen Kaddour s’écrie :On nous a dénoncés! Aussitôt le local est encerclé par les CRS et les policiers. Ces derniers sont accueillis par des rafales de mitraillettes. La grenade lancée par Kaddour oblige les assaillants à se mettre à l’abri, mais l’engin n’explose pas. En même temps Kaddour surgit en maillot de corps, pieds nus, une mitraillette «sten» dans une main et un P38 dans l’autre. Il se met à tirer dans toutes les directions avec les deux armes à la fois, dans l’espoir insensé d’ouvrir une brèche dans le dispositif il est immédiatement rejoint par Abderrahmane brandissant son colt 11,43 et qui ouvre le feu à son tour. Le quartier n’est plus qu’une scène de bataille. Les rafales d’armes automatiques incessantes sont ponctuées de fortes détonations d’engins explosifs.Tous les habitants sont à présents réveillés. Non loin de là, à quelques pâtés de maisons, le brigadier (Sah), brutalement arraché à son sommeil, bondit hors du lit (bounk el kobba) qu’il partage avec son épouse. Enfilant prestement ses pantoufles, il ne prend pas la peine de s’habiller. En pyjama à rayures, sa casquette de policier hâtivement jetée sur la tête, il se précipite dehors, l’arme au poing. Dans la rue il regarde de tous les côtés pour voir d’où viennent les bruits de coups de feu et finit par apercevoir les policiers et CRS ainsi que ses collègues inspecteurs dont certains s’emploient à récupérer les blessés et les morts tandis que d’autres font face aux résistants retranchés.Dans les rues adjacente, Abderrahmane touché à la jambe et perdant son sang, trouve encore la force de lancer à l’adresse de Kaddour :«Eloigne-toi d’ici ! Mort pour mort, c’est moi qui vais les affronter ! Kaddour :où fuir? Nous sommes encerclés !».De l’autre côté de la rue, le brigadier (Sah) prête main forte à ses collègues. D’un signe de la main, il invite le commissaire à le suivre. Sur les terrasses, les habitants du quartier assistent impuissants à la fusillade. Dans une ruelle, le commissaire et le brigadier (Sah) marches à pas pressés, on n’est pas loin d’eux, explique le brigadier à son compagnon qui ne connaît pas les lieux. Rue kléber, Kaddour et Abderrahmane sont encore coincés. Remontés d’une maison dont brigadier (Sah) a forcé l’entrée, ce dernier et le commissaire apparaissent sur la terrasse l’arme à la main et ouvrent le feu sur les deux assiégés. Les apercevant, Kaddour riposte mais il trébuche sur des bidons de lait qui se renversent, il tente de se relever et réussit à faire quelques pas jusqu’à l’angle de la rue kléber et de la rue de lion, mais il est blessé et a perdu beaucoup de sang, ses forces le trahissent, c’est alors que deux autres policiers tirent sur lui en même temps. Mortellement atteint, il s’écroule et Santiago a du mal à arracher les deux armes sur lesquelles ses mains sont encore crispées. Son sang se mêle au lait répandu sur les pavés. Depuis les terrasses voisines, des hommes et des femmes assistent le cœur meurtri, aux derniers instants de vie de AZZOUZI Kaddour «Si Mohamed» dont l’histoire retiendra qu’il est le premier martyrs de la casbah.Le commissaire est toujours sur la terrasse d’où il a surpris les deux héros. Désignant du doigt un endroit, il lance à ses hommes :«Allez de ce côté, il y a un deuxième terroriste !» Caché dans son repaire, Abderrahmane souffre, sa jambe, saigne de plus en plus, il se débarrasse de son arme en la jetant par-dessus un muret donnant sur une impasse.Graziani, Varo et Mestre courent dans la direction indiquée par le commissaire et y trouvent KAB Abderrahmane plié en deux. Varo s’apprête à l’achever mais Mestre l’arrête:Ne le tue pas, on a toujours besoin d’un survivant.Puis s’adressant à Abderrahmane : avance ! Les trois inspecteurs emmènent le prisonnier. Le commissaire et le brigadier (Sah) rejoignent en courant leurs hommes près de «Koucht El Khendeq» où ils entourent le corps sans vie de Kaddour criblé de balles. Le brigadier (Sah) tire le coup de grâce en vidant son chargeur sur AZZOUZI et conclut, du ton de l’assassin qui vient d’accomplir sa mission : «Les tueurs finissent toujours ainsi». AZZOUZI Kaddour, fervent militant nationaliste,est le premier chahid tombé au champ d'honneur à la suite d'un sanglant accrochage avec les forces de l'ordre colonial, le 25 août 1955 au lever du jour, entre la rue kleber et la rue du lion,en plein casbah. KAB Abderrahmane, autre militant de la cause nationale faisait partie du groupe de choc de AZZOUZI a été guillotiné le 09 octobre 1957. Le Brigadier(Sah), félon de la première heure, a été exécuté le 19 avril 1956 à proximité du n°28 de la rue IBrahim Fateh au coeur même de la casbah, sous le tir combiné du duo Omar Hamadi et Ali la pointe. Ouvrage "La Boîte et le Fusil" récit de Achour Rais- Novembre 2018

  • @SaidMed-y9q
    @SaidMed-y9q 4 หลายเดือนก่อน

    اغلب شهداء العاصمة من أصل قبايلي

    • @akirayoki8687
      @akirayoki8687 3 หลายเดือนก่อน

      طالب عبد الرحمن ..أرزقي لوني ..مقران ياسف...عمر ياسف...ادير ياسف ...سعيد تواتي...مصطفى واقنوني ....علي باسطة...محمد زكال....علي رابية ...سعيد عمارة....عليلو عمارة ( فرشوخ )....سيدعلي كاب .... Ali yeux bleu ..أرزقي بوزرينة...فرنان الحنفي ...الاخوة عودية...السعيد حمدين....دبيح شريف....خليفة بوخالفة ....مليكة قايد....وريدة مداد ....مقران زواوي ....كي دور فالعاصمة شغل راك فتيزي وزو ...جل اسماء الشهداء قبايل و يجي بوخنونة القهوي يخون منطقة كاملة خخخخ😂

  • @SaidMed-y9q
    @SaidMed-y9q 4 หลายเดือนก่อน

    La majorité des chouhadas algerois sont d'origine kabyle

  • @Fat-x8h
    @Fat-x8h 4 หลายเดือนก่อน

    Bouhired moussouni et meudjber sont originaires de bejaia

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 4 หลายเดือนก่อน

    Le CHAHID Abderahmane KAB qui restera pour l'éternité notre guide révolutionnaire Guillotiné à l'âge de 24ans n'en déplaise aux adeptes de la culture de l'OUBLIE et de l'INGRATITUDE..Tèmoignage moudjahid Boualem Laoudia

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 4 หลายเดือนก่อน

    Le CHAHID Abderahmane KAB qui restera pour l'éternité notre guide révolutionnaire Guillotiné à l'âge de 24ans n'en déplaise aux adeptes de la culture de l'OUBLIE et de l'INGRATITUDE..Tèmoignage moudjahid Boualem Laoudia

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 4 หลายเดือนก่อน

    La fin hèroique du 1er chahid de la casbah, Azzouzi kaddour dit Si Mohamed عزوزي قدور المدعو سي محمد. L'histoire retiendra un acte de bravoure avant de gravé en lettre ďor son nom dans le marbre...

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 4 หลายเดือนก่อน

    La fin hèroique du 1er chahid de la casbah, Azzouzi kaddour dit Si Mohamed عزوزي قدور المدعو سي محمد. L'histoire retiendra un acte de bravoure avant de gravé en lettre ďor son nom dans le marbre...

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 4 หลายเดือนก่อน

    Voilà ce que nous raconte un historien sur les exactions commises durant l'occupation française . Je la publie pour information. Vous pouvez revenir aux rapports écrits par les français de cette époque eux-mêmes...L'histoire de "la Place des martyrs d'Alger"..Beaucoup pensent que cette place doit son nom à la mémoire des martyrs de la révolution Algérienne...c'est à la mémoire des martyrs mais pas ceux de la Révolution... L'histoire des 4000 martyrs, morts en même temps.. En 1832 le Duc de Rovigo est fraîchement nommé commandant en chef du corps d’occupation d’Afrique...Il n'avait aucun respect pour la vie humaine surtout s'il s'agissait de musulmans, il était cruel, avide de sang et n'avait foi qu'en la force et le langage des armes !! Rovigo, donc, décide de réquisitionner une mosquée au profit du culte catholique. son choix était tombé sur la plus belle mosquée et la plus grande..la mosquée Ketchaoua..Bâtie en 1612 à l’époque Ottomane, agrandit en 1794 pour devenir un vrai joyau et la fierté des Algérois !! Le Duc de Rovigo entre, soit disant, dans des négociations avec les musulmans( Muftis, notables,cadis.) pour légitimer ses actes, mais ces derniers avaient refusé catégoriquement que la mosquée soit réquisitionnée pour l'affecter au culte catholique, elle est une mosquée et elle doit le rester.. Face à leur refus, Rovigo entre dans une colère noire. Il décida de réquisitionner la mosquée Ketchaoua par la force et de couper la route et la gorge à tous ceux qui s'opposaient à sa décision qui était définitive !! Il commença par donner l'ordre de brûler tous les livres, manuscrits et les livres sacrés du saint Coran sur une placette appelée (Kit..Chawa) Kit= en turc veut dire "Placette" et Chawa= en turc veut dire " Chèvre".Devant une telle barbarie et une telle arrogance, les musulmans d'Alger ne se sont pas laissés faire..Ils ont tout fait pour protéger leur mosquée et empêcher qu'elle soit prise par les colonisateurs !! 4000 Algérois avaient prit place dans la mosquée et autour, et s'y étaient retranchés en croyant que Rovigo allait avoir pitié d'eux..l'impitoyable Duc Rovigo plein de haine et de mepris envers les musulmans, avait donné l'ordre à son artillerie de tirer..une vraie tuerie, d'une barbarie sans précédent a eu lieu autour et à l'intérieur de la mosquée..les portes furent explosées par les tirs des canons, la panique bâtait son plein à l’intérieur et à l’extérieur de la mosquée ou s’étaient barricadé plus de 4000 musulmans d'Elmahroussa..une bousculade avait causé beaucoup de morts écrasés ou étouffés ou tués par les tirs de canons..la mort les guettait de partout, c'était un un véritable enfer !! Le Duc sanguinaire n'avait eu aucune pitié pour ces fidèles qui n'avaient pour unique arme que leur foi..il n'a ordonné le cesser le feu que lorsqu'il a vu que le calme était revenu !! 4000 âmes innocentes exécutées en même temps et au même endroit, par celui qui se prétendait chrétien, et ce juste pour satisfaire sa haine et sa colère !! La prise de la mosquée était faite, arrachée de force aux musulmans par un ennemi qui vient conquérir leur patrie et spolier leurs biens, y compris les lieux de leurs cultes !! Le Duc de Rovigo fit camper dans la mosquée une compagnie d’infanterie pour empêcher toute autre tentative de la part des musulmans !! Durant toute l’occupation française en Algérie, Ketchaoua, n’était plus ce qu'elle était, elle fût baptisée cathédrale Saint Philippe..et a été inaugurée le jour de Noël 1832 !! Aucune protestation n'avait été faite par le pape de l’époque, bien au contraire, il a béni cette réquisition d'un lieu de culte ou des fidèles priaient paisiblement durant des siècles..Ce qui a été pris de la façon la plus sanglante et la plus atroce, le pape considéra que c’était une victoire de l’église et il a même envoyé son représentant le jour de l'inauguration !! C'est pour cette raison que cette place porte le nom " Place des martyrs" Allah yerham echouhadas.. Le 02 novembre 1962 les Algérois ont pu effectuer la prière du vendredi dans la mosquée Ketchaoua pour la première fois depuis des horribles événements et ce fut une grande fête qu'elle redevienne une mosquée après 132 ans..L'imam qui avait fait le sermon du vendredi ce jour là était le Cheikh Bachir Ibrahimi ALLAH yarhmou...Gloire à nos martyrs 🇩🇿 Témoignage moudjahid Boualem Laoudia

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 4 หลายเดือนก่อน

    Voilà ce que nous raconte un historien sur les exactions commises durant l'occupation française . Je la publie pour information. Vous pouvez revenir aux rapports écrits par les français de cette époque eux-mêmes..L'histoire de "la Place des martyrs d'Alger"..Beaucoup pensent que cette place doit son nom à la mémoire des martyrs de la révolution Algérienne..c'est à la mémoire des martyrs mais pas ceux de la Révolution... L'histoire des 4000 martyrs, morts en même temps... En 1832 le Duc de Rovigo est fraîchement nommé commandant en chef du corps d’occupation d’Afrique..Il n'avait aucun respect pour la vie humaine surtout s'il s'agissait de musulmans, il était cruel, avide de sang et n'avait foi qu'en la force et le langage des armes !! Rovigo, donc, décide de réquisitionner une mosquée au profit du culte catholique. son choix était tombé sur la plus belle mosquée et la plus grande..la mosquée Ketchaoua..Bâtie en 1612 à l’époque Ottomane, agrandit en 1794 pour devenir un vrai joyau et la fierté des Algérois !! Le Duc de Rovigo entre, soit disant, dans des négociations avec les musulmans( Muftis, notables,cadis.) pour légitimer ses actes, mais ces derniers avaient refusé catégoriquement que la mosquée soit réquisitionnée pour l'affecter au culte catholique, elle est une mosquée et elle doit le rester... Face à leur refus, Rovigo entre dans une colère noire. Il décida de réquisitionner la mosquée Ketchaoua par la force et de couper la route et la gorge à tous ceux qui s'opposaient à sa décision qui était définitive !! Il commença par donner l'ordre de brûler tous les livres, manuscrits et les livres sacrés du saint Coran sur une placette appelée (Kit..Chawa) Kit= en turc veut dire "Placette" et Chawa=en turc veut dire " Chèvre"..Devant une telle barbarie et une telle arrogance, les musulmans d'Alger ne se sont pas laissés faire..Ils ont tout fait pour protéger leur mosquée et empêcher qu'elle soit prise par les colonisateurs !! 4000 Algérois avaient prit place dans la mosquée et autour, et s'y étaient retranchés en croyant que Rovigo allait avoir pitié d'eux..l'impitoyable Duc Rovigo plein de haine et de mepris envers les musulmans, avait donné l'ordre à son artillerie de tirer..une vraie tuerie, d'une barbarie sans précédent a eu lieu autour et à l'intérieur de la mosquée..les portes furent explosées par les tirs des canons, la panique bâtait son plein à l’intérieur et à l’extérieur de la mosquée ou s’étaient barricadé plus de 4000 musulmans d'Elmahroussa..une bousculade avait causé beaucoup de morts écrasés ou étouffés ou tués par les tirs de canons..la mort les guettait de partout, c'était un un véritable enfer !! Le Duc sanguinaire n'avait eu aucune pitié pour ces fidèles qui n'avaient pour unique arme que leur foi..il n'a ordonné le cesser le feu que lorsqu'il a vu que le calme était revenu !! 4000 âmes innocentes exécutées en même temps et au même endroit, par celui qui se prétendait chrétien, et ce juste pour satisfaire sa haine et sa colère !! La prise de la mosquée était faite, arrachée de force aux musulmans par un ennemi qui vient conquérir leur patrie et spolier leurs biens, y compris les lieux de leurs cultes !! Le Duc de Rovigo fit camper dans la mosquée une compagnie d’infanterie pour empêcher toute autre tentative de la part des musulmans !! Durant toute l’occupation française en Algérie, Ketchaoua, n’était plus ce qu'elle était, elle fût baptisée cathédrale Saint Philippe..et a été inaugurée le jour de Noël 1832 !! Aucune protestation n'avait été faite par le pape de l’époque, bien au contraire, il a béni cette réquisition d'un lieu de culte ou des fidèles priaient paisiblement durant des siècles..Ce qui a été pris de la façon la plus sanglante et la plus atroce, le pape considéra que c’était une victoire de l’église et il a même envoyé son représentant le jour de l'inauguration !! C'est pour cette raison que cette place porte le nom " Place des martyrs" Allah yerham echouhadas.. Le 02 novembre 1962 les Algérois ont pu effectuer la prière du vendredi dans la mosquée Ketchaoua pour la première fois depuis des horribles événements et ce fut une grande fête qu'elle redevienne une mosquée après 132 ans..L'imam qui avait fait le sermon du vendredi ce jour là était le Cheikh Bachir Ibrahimi ALLAH yarhmou..Gloire à nos martyrs Témoignage moudjahid Boualem Laoudia

    • @akirayoki8687
      @akirayoki8687 4 หลายเดือนก่อน

      يا الاخ....الشهيد علي لعبادي اصلو منين لو سمحت ؟؟؟؟

    • @نقولويقولون
      @نقولويقولون 4 หลายเดือนก่อน

      @@akirayoki8687 الله يعلم، أن المجاهد علي لعبادي الله يرحموا كان يقطن بأعالي باب الواد بالضبط في حي الزغارة و أنه كان محكوم عليه بالأعدام و مسجون مع خالي كاب عبدالرحمان شهيد المقصلة بسجن سركاجي (برباروس).

    • @akirayoki8687
      @akirayoki8687 4 หลายเดือนก่อน

      @@نقولويقولون الله يبارك خو ....ربي يرحم البطل كاب عبد الرحمن ....كاب الله يعلم من دلس لالا ؟؟؟

  • @SuperA1960
    @SuperA1960 5 หลายเดือนก่อน

    ربي يرحم الشهداء

  • @BouazzaBouazza-m6r
    @BouazzaBouazza-m6r 6 หลายเดือนก่อน

    Salem alikoum. Je veux savoir d'où vient le nom de kadiria svp merci

    • @نقولويقولون
      @نقولويقولون 5 หลายเดือนก่อน

      Le nom de kadiria ćest parapport au chahid Kada natif de cette règion ce dernier à rejoint le maquis durant les annèes quarante, tombè au champs ďhonneur arme à la main au cours ďun accrochage contre ľennemi.

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 6 หลายเดือนก่อน

    في دار الشهيد علي بجاني ربي يرحموا لاعب المولودية سابقا يوجد المخزن أول شهيد بالقصبة عزوزي قدور و شهيد المقصلة كاب عبدالرحمان بكوشة الخندق حاليا شارع سعيد عمارة ،لماذا لم يتحول هذا المخزن إلى متحف للشهداء؟

  • @Saïd-x9p4n
    @Saïd-x9p4n 6 หลายเดือนก่อน

    Les infiltrations ont été l'outils efficace utilisé par le colonisateur c'est pour ca que le malg ete tres sévère avec les nouvel recrus allah ghaleb Il fallait mettre une stratégie et un plan pour contrer

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 7 หลายเดือนก่อน

    A couchet el khendek on passe devant la maison des Ben m'gherif très belle demeure aussi La boutique de Bouchekara ce personnage ètant cèlèbre dans la casbah pour ses gâteaux ronds (quei-queaât) croissant algèrois, il a emportè son secret avec lui comme beucoup ďautres artisans. Entre le magasin et la porte ďune banale cave ègalement fermèe rien ńindique que ćest ľun des premiers refuges des fidayine ćest là où Azzouzi kaddour a ètè tuè en 1955 rien ńèvoque les souvenirs.

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 8 หลายเดือนก่อน

    Je profite de ce débat (finalement pour une fois constructif ) pour remercier les FRÉRES HAMID DALI et ALI LABADI pour leurs témoignages véridique que je confirme ayant été a cette époque de l'épopée de nos valeureux CHOUHADAS malgré mon trés jeune âge acteur comme éclaireur en suite FIDAÎ .Je confirme aussi que BEAUCOUPS de CHOUHADAS de la casbah sont rester inconnu malgré les grande action .je rend un fervent HOMMAGE À HAMID DALI cet authentique MOUDJAHID (qui est entrain de poursuivre un dure combat contre la maladie avec courage, comme d'habitude)...Une émouvante pensés au frére ABDELGHANI MARSALI du réseau bombe durant la BATAILLE d'Alger plusieurs fois COMDAMNÉ ã mort qui est partie mourir en silence (Comme à son habitude ).Très souvent je reviens en arrière pour essayer de comprendre notre histoire je faisais partie d'un groupe groupe de FIDAÎS dont l'âge étaient-entre 16 et 22ans auteur de plusieurs actions de FIDAÎ dont l'attaque de la gendarmerie NF de BAB djedid , des gendarmes du centre de torture de Birtraria etc..je ne peux les citer tous dont certains ont été dispatcher par ceux qui ce sont emparés des archives dès la libération.Je crois mème que c'est la cause du mutisme de certains responsable . Je rend hommage aussi au enfants de la famille KAB et SI AHMED OUCHERIF QUI SE DÉMÈNENT avec rage contre l'oublie,n'en déplaise à ses "historiens"aux ordre. je vais peut-être lever un grand lièvre LE PREMIER CHAHID DE LA CASBAH EST BELKESSA MAHFOUD Qui Habite au beau Marché El KOUDIA authentique CASBAOUI abattu par la gendarmerie à la rampe VALÉE dés le début de la RÈVOLUTION Aujourdhui LOUNIS AREZKI, un enterrement historique dont les scouts ont déployé plusieurs étendard Algérien . Sans vouloir atteindre ã la mèmoire et l'héroïsme de AZZOUZI KADDOUR. Témoignage moudjahid Boualem Laoudia

  • @AchrafBelakhdar-tm5uz
    @AchrafBelakhdar-tm5uz 9 หลายเดือนก่อน

    Allah yarahmo

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 10 หลายเดือนก่อน

    الله اختارهم ليكرمهم بوسام الشهادة...

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 10 หลายเดือนก่อน

    الله اختارهم ليكرمهم بوسام الشهادة...

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 11 หลายเดือนก่อน

    S'il aurait voulu choisir la date de son DECES c'est ce qu'il aurait choisi la veille du 1er Novembre .En effet Le VALEUREUX HADJ HAMID DALI est parmi ceux qui ont allumè le FEUX de la Révolution. Avant cette date notre HEROS a débutè celle ci sous l'autorité de Abderahmane KAB guillotiné à serkadji le chef des groupes de choc qui ont commencer à nettoyer la casbah de ses indicateurs et d'autres truands .Il a participé à l'organisation du FLN dès la naissance de celle çi sous l'autorité directe de Yacef Saadi d'abord comme agent de liaisan et ensuite comme FIDAÏ parmis les premiers groupe FIDAÏ ,auteur de plusieurs actions armés . Enfant de la casbah il en connaissait le LABYRENTE des ruelles .Il ètait le seul ã Guider LARBI BENMHIDI et toute la maîtrise de la ZAA.Il etait mon exemple en ce qui concerne les ficelles notre guérilla ,dont sans le savoir j'ai participé à plusieurs actions armée .Etrangler par les nombreuses arrestations du ã la gréve des 8 jours et les assassinats aux ordres du sanguinaire Massu et les agents du monstre capitane léger et Surtout les nombreuse arrestations .Il a du son salue que par l'obtention d'un laisser passè pour la W4 où il a terminé la guerre Avec le grade de lieutenant (bien que suite à son parcours ,il mérite plus) Par son courage, son obstination et Surtout l'amour de la Patrie il a réussi malgrés sa grave blèssure lors d'un accrochage avec l'armèe de fafa .S'était un vrais livre de notre Hitoire que nos "HISTORIENS " ont superbement ignoré . ElHamdoulillah , j'ai eu l'honneur d'avoir été reçu. En Famille chez Lui .INNA LILLAHI OU INA ILLAIHI RADJIOUNE ÀLLAH Y DJAALOU MEN EHL ERRACHIDDINES OU CHOUHADAS FEL DJANA INCHAALLAH .A TOUTE SA FAMILLE VEUILLEZ TROUVER ÇI JOINT TOUTE MA COMPASSION ET SOUTIEN À MON FRERE DE COMBAT HAMID DALI OULID HOUMTI OU KHOUYA . Message de condolèance du moudjahid Boualem Laoudia à l'occasion du dècès moudjahid Hamid Dali le 29 octobre 2023

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 11 หลายเดือนก่อน

    S'il aurait voulu choisir la date de son DECES c'est ce qu'il aurait choisi la veille du 1er Novembre .En effet Le VALEUREUX HADJ HAMID DALI est parmi ceux qui ont allumè le FEUX de la Révolution. Avant cette date notre HEROS a débutè celle ci sous l'autorité de Abderahmane KAB guillotiné à serkadji le chef des groupes de choc qui ont commencer à nettoyer la casbah de ses indicateurs et d'autres truands .Il a participé à l'organisation du FLN dès la naissance de celle çi sous l'autorité directe de Yacef Saadi d'abord comme agent de liaisan et ensuite comme FIDAÏ parmis les premiers groupe FIDAÏ ,auteur de plusieurs actions armés . Enfant de la casbah il en connaissait le LABYRENTE des ruelles .Il ètait le seul ã Guider LARBI BENMHIDI et toute la maîtrise de la ZAA.Il etait mon exemple en ce qui concerne les ficelles notre guérilla ,dont sans le savoir j'ai participé à plusieurs actions armée .Etrangler par les nombreuses arrestations du ã la gréve des 8 jours et les assassinats aux ordres du sanguinaire Massu et les agents du monstre capitane léger et Surtout les nombreuse arrestations .Il a du son salue que par l'obtention d'un laisser passè pour la W4 où il a terminé la guerre Avec le grade de lieutenant (bien que suite à son parcours ,il mérite plus) Par son courage, son obstination et Surtout l'amour de la Patrie il a réussi malgrés sa grave blèssure lors d'un accrochage avec l'armèe de fafa .S'était un vrais livre de notre Hitoire que nos "HISTORIENS " ont superbement ignoré . ElHamdoulillah , j'ai eu l'honneur d'avoir été reçu. En Famille chez Lui .INNA LILLAHI OU INA ILLAIHI RADJIOUNE ÀLLAH Y DJAALOU MEN EHL ERRACHIDDINES OU CHOUHADAS FEL DJANA INCHAALLAH .A TOUTE SA FAMILLE VEUILLEZ TROUVER ÇI JOINT TOUTE MA COMPASSION ET SOUTIEN À MON FRERE DE COMBAT HAMID DALI OULID HOUMTI OU KHOUYA . Message de condolèance du moudjahid Boualem Laoudia à l'occasion du dècès moudjahid Hamid Dali le 29 octobre 2023

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 11 หลายเดือนก่อน

    S'il aurait voulu choisir la date de son DECES c'est ce qu'il aurait choisi la veille du 1er Novembre .En effet Le VALEUREUX HADJ HAMID DALI est parmi ceux qui ont allumè le FEUX de la Révolution. Avant cette date notre HEROS a débutè celle ci sous l'autorité de Abderahmane KAB guillotiné à serkadji le chef des groupes de choc qui ont commencer à nettoyer la casbah de ses indicateurs et d'autres truands .Il a participé à l'organisation du FLN dès la naissance de celle çi sous l'autorité directe de Yacef Saadi d'abord comme agent de liaisan et ensuite comme FIDAÏ parmis les premiers groupe FIDAÏ ,auteur de plusieurs actions armés . Enfant de la casbah il en connaissait le LABYRENTE des ruelles .Il ètait le seul ã Guider LARBI BENMHIDI et toute la maîtrise de la ZAA.Il etait mon exemple en ce qui concerne les ficelles notre guérilla ,dont sans le savoir j'ai participé à plusieurs actions armée .Etrangler par les nombreuses arrestations du ã la gréve des 8 jours et les assassinats aux ordres du sanguinaire Massu et les agents du monstre capitane léger et Surtout les nombreuse arrestations .Il a du son salue que par l'obtention d'un laisser passè pour la W4 où il a terminé la guerre Avec le grade de lieutenant (bien que suite à son parcours ,il mérite plus) Par son courage, son obstination et Surtout l'amour de la Patrie il a réussi malgrés sa grave blèssure lors d'un accrochage avec l'armèe de fafa .S'était un vrais livre de notre Hitoire que nos "HISTORIENS " ont superbement ignoré . ElHamdoulillah , j'ai eu l'honneur d'avoir été reçu. En Famille chez Lui .INNA LILLAHI OU INA ILLAIHI RADJIOUNE ÀLLAH Y DJAALOU MEN EHL ERRACHIDDINES OU CHOUHADAS FEL DJANA INCHAALLAH .A TOUTE SA FAMILLE VEUILLEZ TROUVER ÇI JOINT TOUTE MA COMPASSION ET SOUTIEN À MON FRERE DE COMBAT HAMID DALI OULID HOUMTI OU KHOUYA . Message de condolèance du moudjahid Boualem Laoudia à l'occasion du dècès moudjahid Hamid Dali le 29 octobre 2023

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 11 หลายเดือนก่อน

    الله يرحموا المجاهد حميد دالي توفي يوم 29 أكتوبر و دفن يوم 30 أكتوبر 2023 بمقبرة دالي ابراهيم...

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 11 หลายเดือนก่อน

    الله يرحموا المجاهد حميد دالي توفي يوم 29 أكتوبر و دفن يوم 30 أكتوبر 2023 بمقبرة دالي ابراهيم...

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون 11 หลายเดือนก่อน

    الله يرحموا المجاهد حميد دالي توفي يوم 29 أكتوبر و دفن يوم 30 أكتوبر 2023 بمقبرة دالي ابراهيم...

  • @MawiaDahim
    @MawiaDahim 11 หลายเดือนก่อน

    رحمه الله وليد خال أبي، يحكيلي عليه الساعيد الروجي السمغوني ربي يرحم شهداء الجزائر

  • @SlimRikio
    @SlimRikio ปีที่แล้ว

    الله يرحم الشهداء وتحيا الجزائر وفلسطين

  • @mehdi.alger-1977
    @mehdi.alger-1977 ปีที่แล้ว

    الله يرحمو ويجعل مثواه الجنة

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون ปีที่แล้ว

    Article paru dans La Dépêche quotidienne d’Algérie, le 25 août 1955. Responsable d’autres attentats Le tueur, Azzouzi Kaddour après avoir lancé une grenade accueillit, une arme dans chaque main ceux qui venaient l’arrêter Trois complices appréhendés dont un revêtu d’un uniforme américain neuf Un important dépôt d’armes saisi Le hasard, dit-on, est le dieu des policiers. Pourtant, c’est après une préparation des plus minutieuses que les représentants algérois de l’ordre ont vu leurs efforts couronnés de succès. Les soupçons, les preuves détenus, les déclarations de certains témoins, amenaient jour après jour, une certitude : les auteurs des attentats perpétrés à Alger contre plusieurs particuliers se trouvaient quelque part dans la Casbah, terrés dans leur repaire. Les policiers orientèrent leurs recherches dans cette direction. Les hors-la-loi soupçonnés étaient-ils ceux qui n’avaient pas hésité à abattre successivement M. Aich Mohamed, au Bd Cervantès ; M. Radji Mohamed, rue Barberousse ; M. Moussaoui, gargotier à Bab-el-Oued ; M. Lazib Hadj Mohamed, agent spécial rue Vialar ; M. Mohamed ben Mohamed, marchand de beignets, rue Annibal et tout dernièrement MM. Baiche Arezki et Mohamed, boulevard de la Victoire? Comme on peut s’en rendre compte le champ d’action des tueurs, - car il s’agit bien là de tueurs, - s’étendait surtout sur la Casbah. Les méthodes, le calibre des armes employées, les personnes visées, tout faisait penser qu’il s’agissait, sinon du même individu, du moins de la même bande. Sur la piste Le champ des recherches entreprises était assez restreint, il est vrai. Dans une région comme la Kabylie, les auteurs possèdent des hectares et des hectares pour pouvoir se terrer et échapper aux recherches. Dans une ville comme Alger, les cachettes ne se trouvent pas à foison et un suspect, même bien dissimulé, finit toujours par être démasqué et tomber dans les filets des policiers. Après six mois de recherches, des constatations puis des certitudes dénonçant certains individus prouvèrent aux enquêteurs que le gibier n’était pas loin. Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 23h des indications parvenaient aux policiers qui apprenaient par la même occasion qu’un repère se trouvait au numéro 1 de l’impasse du Lion, en plein coeur de la Casbah. A 2h du matin, les derniers doutes étaient dissipés et quelques instants plus tard, les services de police, renforcés de plusieurs CRS se dirigeaient avec plusieurs voitures vers la partie haute de la ville. Le repaire est assiégé Par la rue Kléber, les forces de l’ordre s’égaillèrent à l’entour, envahissant mètre par mètre les ruelles qui se trouvent autour de l’impasse du Lion. Le gibier était enfermé dans le piège ; il ne restait qu’à l’y faire tomber. L’un des assiégeants appela par son nom un des occupants que l’on savait se trouver derrière la porte. Celle-ci ne fut pas ouverte. Par contre une rafale de mitraillette, tirée à travers l’huis, obligea les policiers à se mettre à l’abri et à ouvrir le feu. Traqués jusque dans leur refuge, les terroristes allaient jouer leur dernière carte. C’est d’ailleurs ce qu’ils firent. Un véritable déluge de feu et de fer s’abattit sur les policiers qui ripostèrent. Au bruit saccadé des PM 38 et des pistolets, venait se mêler l’aboiement furieux d’une Sten qui crachait derrière la porte. L’engagement fut très bref, et fort heureusement sans perte pour les assiégeants. Mais les terroristes décidèrent de jouer le tout pour le tout : la porte s’ouvrit et par l’ouverture passa une grenade « Mills » de fabrication anglaise ; l’engin manié précipitamment tomba sur le pavé de la ruelle étroite et n’explosa pas. Les assiégeants s’attendaient au pire ; Il arriva. Par le trou sombre de la porte envahi par la fumée, un homme en effet fit irruption. Pieds nus le terroriste serrait dans la main droite une mitraillette « Sten » et dans la gauche un pistolet automatique P 38 ; il fit feu de ses deux armes, cherchant à se frayer un passage parmi l’étau qui se resserrait autour de l’immeuble. Ses chargeurs vidés, l’individu s’enfuit à toutes jambes en direction de la rue Kléber, mais n’alla pas loin. Après avoir parcouru une dizaine de mètres, le fuyard s’abattit, atteint mortellement par les policiers. L’homme mort, les représentants de l’ordre se retournèrent vers l’entrée de la cave où personne ne donnait signe de vie. Un terroriste en « uniforme » Quelqu’un se trouvait-il encore à l’intérieur du repaire? Pour plus de précaution, trois grenades lacrymogènes furent lancées par l’ouverture. Puis prudemment, les policiers pénétrèrent dans la cave munis de masques à gaz. La pièce enfumée, où l’atmosphère était irrespirable, était vide : dans un coin, quatre matelas, à côté desquels on retrouva 7 pistolets automatiques, 3 poignards de scout, une baïonnette, un poing américain. Les CRS ramassaient des corps de bombe et du matériel pour leur fabrication ; le repaire servait par la même occasion de dépôt d’armes. Les efforts de six mois d’investigation étaient couronnés d’un succès mérité. Dans la journée, les policiers réussissaient à mettre la main au collet de trois comparses, dont le rôle exact n’a pas été défini. L’un des inconnu était vêtu d’un uniforme neuf de l’armée américaine. Sur la manche de sa chemise kaki, deux galons en usage dans l’armée U.S. étaient surmontés d’un écusson rouge fait de gros drap. Quel but recherchait cet homme? Passer dans les rues d’Alger dans une telle tenue n’aurait certainement pas servi son intention (si facile à comprendre) de demeurer dans l’anonymat. Il est pourtant permis de supposer que la présence de cet homme en uniforme kaki n’est pas étrangère à la diffusion ces derniers temps de certains tracts et qui annonçaient la venue à Alger de l’ « Armée de la libération nationale ». Les enquêteurs cherchent actuellement à expliquer le rôle du « soldat ». Azzouzi le « tueur » Le cadavre photographié, puis identifié par les services de l’identité judiciaire, révélait qu’il s’agissait de Azzouzi Kaddour, sit « Si Mohamed » né le 27 juillet 1929 au douar Sli, C.M. du Chélif. Azzouzi, polisseur d’orfèvrerie se promenait dans Alger avec des papiers d’identité en règle. « Si Mohamed » est pourtant indéniablement l’auteur des attentats perpétrés contre les commerçants algérois et contre MM. Lazib et Baiche. Attentants à main armée, car rien ne prouve que la bande de l’impasse du Lion est reliée aux attentats à la bombe. Le calibre des armes employées correspond à celui de celles retrouvées dans le repaire de la Casbah. Azzouzi était un tueur au sens propre du mot ; son signalement répond à celui des meurtriers vus plusieurs fois au moment des attentats. Azzouzi tuait pour tuer et il était certainement le chef du petit groupe qui se terrait avec lui, impasse du Lion. Pour quelques jours au moins, l’organisation terroriste se trouve frappée en plein coeur. Ce répit permettre aux policiers, qui ont réussi là un magnifique coup de filet, de parer à toute éventualité.

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون ปีที่แล้ว

    Article paru dans La Dépêche quotidienne d’Algérie, le 25 août 1955. Responsable d’autres attentats Le tueur, Azzouzi Kaddour après avoir lancé une grenade accueillit, une arme dans chaque main ceux qui venaient l’arrêter Trois complices appréhendés dont un revêtu d’un uniforme américain neuf Un important dépôt d’armes saisi Le hasard, dit-on, est le dieu des policiers. Pourtant, c’est après une préparation des plus minutieuses que les représentants algérois de l’ordre ont vu leurs efforts couronnés de succès. Les soupçons, les preuves détenus, les déclarations de certains témoins, amenaient jour après jour, une certitude : les auteurs des attentats perpétrés à Alger contre plusieurs particuliers se trouvaient quelque part dans la Casbah, terrés dans leur repaire. Les policiers orientèrent leurs recherches dans cette direction. Les hors-la-loi soupçonnés étaient-ils ceux qui n’avaient pas hésité à abattre successivement M. Aich Mohamed, au Bd Cervantès ; M. Radji Mohamed, rue Barberousse ; M. Moussaoui, gargotier à Bab-el-Oued ; M. Lazib Hadj Mohamed, agent spécial rue Vialar ; M. Mohamed ben Mohamed, marchand de beignets, rue Annibal et tout dernièrement MM. Baiche Arezki et Mohamed, boulevard de la Victoire? Comme on peut s’en rendre compte le champ d’action des tueurs, - car il s’agit bien là de tueurs, - s’étendait surtout sur la Casbah. Les méthodes, le calibre des armes employées, les personnes visées, tout faisait penser qu’il s’agissait, sinon du même individu, du moins de la même bande. Sur la piste Le champ des recherches entreprises était assez restreint, il est vrai. Dans une région comme la Kabylie, les auteurs possèdent des hectares et des hectares pour pouvoir se terrer et échapper aux recherches. Dans une ville comme Alger, les cachettes ne se trouvent pas à foison et un suspect, même bien dissimulé, finit toujours par être démasqué et tomber dans les filets des policiers. Après six mois de recherches, des constatations puis des certitudes dénonçant certains individus prouvèrent aux enquêteurs que le gibier n’était pas loin. Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 23h des indications parvenaient aux policiers qui apprenaient par la même occasion qu’un repère se trouvait au numéro 1 de l’impasse du Lion, en plein coeur de la Casbah. A 2h du matin, les derniers doutes étaient dissipés et quelques instants plus tard, les services de police, renforcés de plusieurs CRS se dirigeaient avec plusieurs voitures vers la partie haute de la ville. Le repaire est assiégé Par la rue Kléber, les forces de l’ordre s’égaillèrent à l’entour, envahissant mètre par mètre les ruelles qui se trouvent autour de l’impasse du Lion. Le gibier était enfermé dans le piège ; il ne restait qu’à l’y faire tomber. L’un des assiégeants appela par son nom un des occupants que l’on savait se trouver derrière la porte. Celle-ci ne fut pas ouverte. Par contre une rafale de mitraillette, tirée à travers l’huis, obligea les policiers à se mettre à l’abri et à ouvrir le feu. Traqués jusque dans leur refuge, les terroristes allaient jouer leur dernière carte. C’est d’ailleurs ce qu’ils firent. Un véritable déluge de feu et de fer s’abattit sur les policiers qui ripostèrent. Au bruit saccadé des PM 38 et des pistolets, venait se mêler l’aboiement furieux d’une Sten qui crachait derrière la porte. L’engagement fut très bref, et fort heureusement sans perte pour les assiégeants. Mais les terroristes décidèrent de jouer le tout pour le tout : la porte s’ouvrit et par l’ouverture passa une grenade « Mills » de fabrication anglaise ; l’engin manié précipitamment tomba sur le pavé de la ruelle étroite et n’explosa pas. Les assiégeants s’attendaient au pire ; Il arriva. Par le trou sombre de la porte envahi par la fumée, un homme en effet fit irruption. Pieds nus le terroriste serrait dans la main droite une mitraillette « Sten » et dans la gauche un pistolet automatique P 38 ; il fit feu de ses deux armes, cherchant à se frayer un passage parmi l’étau qui se resserrait autour de l’immeuble. Ses chargeurs vidés, l’individu s’enfuit à toutes jambes en direction de la rue Kléber, mais n’alla pas loin. Après avoir parcouru une dizaine de mètres, le fuyard s’abattit, atteint mortellement par les policiers. L’homme mort, les représentants de l’ordre se retournèrent vers l’entrée de la cave où personne ne donnait signe de vie. Un terroriste en « uniforme » Quelqu’un se trouvait-il encore à l’intérieur du repaire? Pour plus de précaution, trois grenades lacrymogènes furent lancées par l’ouverture. Puis prudemment, les policiers pénétrèrent dans la cave munis de masques à gaz. La pièce enfumée, où l’atmosphère était irrespirable, était vide : dans un coin, quatre matelas, à côté desquels on retrouva 7 pistolets automatiques, 3 poignards de scout, une baïonnette, un poing américain. Les CRS ramassaient des corps de bombe et du matériel pour leur fabrication ; le repaire servait par la même occasion de dépôt d’armes. Les efforts de six mois d’investigation étaient couronnés d’un succès mérité. Dans la journée, les policiers réussissaient à mettre la main au collet de trois comparses, dont le rôle exact n’a pas été défini. L’un des inconnu était vêtu d’un uniforme neuf de l’armée américaine. Sur la manche de sa chemise kaki, deux galons en usage dans l’armée U.S. étaient surmontés d’un écusson rouge fait de gros drap. Quel but recherchait cet homme? Passer dans les rues d’Alger dans une telle tenue n’aurait certainement pas servi son intention (si facile à comprendre) de demeurer dans l’anonymat. Il est pourtant permis de supposer que la présence de cet homme en uniforme kaki n’est pas étrangère à la diffusion ces derniers temps de certains tracts et qui annonçaient la venue à Alger de l’ « Armée de la libération nationale ». Les enquêteurs cherchent actuellement à expliquer le rôle du « soldat ». Azzouzi le « tueur » Le cadavre photographié, puis identifié par les services de l’identité judiciaire, révélait qu’il s’agissait de Azzouzi Kaddour, sit « Si Mohamed » né le 27 juillet 1929 au douar Sli, C.M. du Chélif. Azzouzi, polisseur d’orfèvrerie se promenait dans Alger avec des papiers d’identité en règle. « Si Mohamed » est pourtant indéniablement l’auteur des attentats perpétrés contre les commerçants algérois et contre MM. Lazib et Baiche. Attentants à main armée, car rien ne prouve que la bande de l’impasse du Lion est reliée aux attentats à la bombe. Le calibre des armes employées correspond à celui de celles retrouvées dans le repaire de la Casbah. Azzouzi était un tueur au sens propre du mot ; son signalement répond à celui des meurtriers vus plusieurs fois au moment des attentats. Azzouzi tuait pour tuer et il était certainement le chef du petit groupe qui se terrait avec lui, impasse du Lion. Pour quelques jours au moins, l’organisation terroriste se trouve frappée en plein coeur. Ce répit permettre aux policiers, qui ont réussi là un magnifique coup de filet, de parer à toute éventualité.

  • @karimalleg901
    @karimalleg901 ปีที่แล้ว

    عليلو فرشوخ الله يرحمو كان زعيم او فذاءي شرس عمرو ولاكان بياع سبابو هوا ياسف سعدى خذعو حت طاح في يدين لبارى عذبوه عداب كبير

  • @karimalleg901
    @karimalleg901 ปีที่แล้ว

    هدا مجاهد حقيقي الله يطول في عمرو والله يرحم الشهذاء

    • @BouazzaBouazza-m6r
      @BouazzaBouazza-m6r 5 หลายเดือนก่อน

      Allah yarhmou ou iwasah alih ncha Allah

  • @edenverseaupaix3476
    @edenverseaupaix3476 ปีที่แล้ว

    Maintenant c est le neocolonialisme pire que le colonialisme. Pays actuel ou regne la corruption la tyrannie la violence et les injustices. Tozzz tozzz. Triste Algérie dirigee par des traitres qui ont trahi la mémoire des martyrs et du peuple. Ils se sont bien gaves apres 62. Arreter de nous endormir avec vis mensonges et propagandes sur fond de religion.

  • @paulettedantony5108
    @paulettedantony5108 ปีที่แล้ว

    Après l'indépendance beaucoup d'algeriens se disaient '''martyre ''' ce qui était faut beaucoup ont collaboré avec l'armée francaise de près ou de loin ?😂😂😂

  • @paulettedantony5108
    @paulettedantony5108 ปีที่แล้ว

    Les terroristes qui posaient des bombes dans les lieux publics pour massacrer des innocents ce sont des crapules des criminels c ,est la guillotine qu'ils méritaient ,comment peuvent-ils ce regarder dans une glace sans avoir honte ,comment peuvent-ils dormir avec tous les horreurs qu'ils ont provoqués .?

  • @paulettedantony5108
    @paulettedantony5108 ปีที่แล้ว

    C'est un ancien terroriste criminel du FLN responsables d'avoir posé des bombes dans des lieux publics pour massacrer des innocents ,comment peut il se regarder dans une glace, comment peut-il dormir tranquille alors qu' à cause de lui beaucoup sont morts et d'autres handicapés à vie avec de terribles séquelles psychologiques, d'autres comme lui ont étés guillotines ils ont eu ce qu'ils méritaient car le terrorisme c'est la méthode des lâches et des couards sournois ! 😂😂😂

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون ปีที่แล้ว

    Dèfunt Docteur Hachemi Larabi tèmoigne dans son ouvrage "Chronique ďun Algèrien heureux" -Les chefs qui ont dècidè la rèvolution ont eu chacun plus au moins la reconnaissance ne serait ce que morale de la nation, Mais les autres, tous les autres ,la famille DIDOUCHE ,la famille DEBBIH ,la famille KAB et bien ďautres ,qui sait dans la gènèration actuelle ce que porte ces noms ,ces familles de sacrifices ,ďabnègation et de poids dans ľhistoire de ce pays-.

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون ปีที่แล้ว

    Notre HEROS Et guide Abderahmane KAB. Je dis une partie mais la réalité est tout autre car votre oncle son Histoire est immence et ã débuter bien avant le 1er novembre 1954. En principe Il est parmis les CHOUHADAS qui ont ècrit l'Hitoire en lettre d'or et éternelle de notre RÈVOLUTION El Madjida . je vous félicite pour votre militantisme et d'avoir sus reprendre le Flambeau pour que nul n'oublie Abderahmane KAB et SAÎD SIAHMED OUCHERIF qui étaient les dignes fils de l'Algérie combattante ,autant pour tous les authentique Moudjahiddines et nos CHOUHADA.Tèmoignage moudjahid Boualem Laoudia

  • @نقولويقولون
    @نقولويقولون ปีที่แล้ว

    Notre HEROS Et guide Abderahmane KAB. Je dis une partie mais la réalité est tout autre car votre oncle son Histoire est immence et ã débuter bien avant le 1er novembre 1954. En principe Il est parmis les CHOUHADAS qui ont ècrit l'Hitoire en lettre d'or et éternelle de notre RÈVOLUTION El Madjida .Je vous félicite pour votre militantisme et d'avoir sus reprendre le Flambeau pour que nul n'oublie Abderahmane KAB et SAÎD SIAHMED OUCHERIF qui étaient les dignes fils de l'Algérie combattante ,autant pour tous les authentique Moudjahiddines et nos CHOUHADA.Tèmoignage moudjahid Boualem Laoudia