Rien ne se passe comme tu l’as annoncé, Ton plan parfait s’écroule, tout est décalé. Je cours, je change, je plie sans rompre, Mais y’a des limites, faut pas que je sombre. Encore une fois tu reviens, tu modifies, Un nouveau détour, c’est jamais fini. Mais j’suis là, j’m’accroche, je refais les traits, Quand tout vacille, je m’invente des retraites. Pause clope, le vent dans mes poumons, Besoin d’un instant loin de tes tensions. Un souffle pour moi, juste un petit répit, Avant qu’on reprenne ce foutu circuit. Tu changes les règles, et je dois m’adapter, Je tire des fils, mais je vais pas casser. Sous ma couette, j’me dis faut durer, Mais arrête de bouger les pièces sans crier. Les mots que tu dis, des promesses instables, Je les entends se briser sur la table. Chaque détour, chaque virage imprévu, Je m’efforce, mais parfois j’suis perdu. Je repeins les murs que t’as abîmés, Je recouds le tissu d’une vie rafistolée. T’as encore changé, sans prévenir, c’est clair, Mais moi j’ai besoin d’air, juste un peu d’air. Pause clope, le vent dans mes poumons, Besoin d’un instant loin de tes tensions. Un souffle pour moi, juste un petit répit, Avant qu’on reprenne ce foutu circuit. Tu changes les règles, et je dois m’adapter, Je tire des fils, mais je vais pas casser. Sous ma couette, j’me dis faut durer, Mais arrête de bouger les pièces sans crier. Faut pas abuser, ma patience s’effrite, Un instant de calme, une trêve dans la fuite. Laisse-moi souffler, redresser mon cap, Avant que tout ça, ce soit juste un naufrage. Tu changes les règles, mais j’suis pas un jouet, Je répare, je tiens, mais ça peut pas durer. Sous ma couette, je rêve d’équilibrer, Mais toi, tu bouges encore, sans te poser. Pause clope, le vent dans mes poumons, Une lueur dans la brume des déceptions. Je m’adapte, je tiens, mais jusqu’à quand ? Tu changes encore, moi je perds mon élan.
Rien ne se passe comme tu l’as annoncé,
Ton plan parfait s’écroule, tout est décalé.
Je cours, je change, je plie sans rompre,
Mais y’a des limites, faut pas que je sombre.
Encore une fois tu reviens, tu modifies,
Un nouveau détour, c’est jamais fini.
Mais j’suis là, j’m’accroche, je refais les traits,
Quand tout vacille, je m’invente des retraites.
Pause clope, le vent dans mes poumons,
Besoin d’un instant loin de tes tensions.
Un souffle pour moi, juste un petit répit,
Avant qu’on reprenne ce foutu circuit.
Tu changes les règles, et je dois m’adapter,
Je tire des fils, mais je vais pas casser.
Sous ma couette, j’me dis faut durer,
Mais arrête de bouger les pièces sans crier.
Les mots que tu dis, des promesses instables,
Je les entends se briser sur la table.
Chaque détour, chaque virage imprévu,
Je m’efforce, mais parfois j’suis perdu.
Je repeins les murs que t’as abîmés,
Je recouds le tissu d’une vie rafistolée.
T’as encore changé, sans prévenir, c’est clair,
Mais moi j’ai besoin d’air, juste un peu d’air.
Pause clope, le vent dans mes poumons,
Besoin d’un instant loin de tes tensions.
Un souffle pour moi, juste un petit répit,
Avant qu’on reprenne ce foutu circuit.
Tu changes les règles, et je dois m’adapter,
Je tire des fils, mais je vais pas casser.
Sous ma couette, j’me dis faut durer,
Mais arrête de bouger les pièces sans crier.
Faut pas abuser, ma patience s’effrite,
Un instant de calme, une trêve dans la fuite.
Laisse-moi souffler, redresser mon cap,
Avant que tout ça, ce soit juste un naufrage.
Tu changes les règles, mais j’suis pas un jouet,
Je répare, je tiens, mais ça peut pas durer.
Sous ma couette, je rêve d’équilibrer,
Mais toi, tu bouges encore, sans te poser.
Pause clope, le vent dans mes poumons,
Une lueur dans la brume des déceptions.
Je m’adapte, je tiens, mais jusqu’à quand ?
Tu changes encore, moi je perds mon élan.