La machine s’élève, prête à rugir, Dans son cœur d’acier, le feu veut surgir. Des rouages huilés, des rêves alignés, Mais un frisson, une faille, vient tout enrayer. Un soupir mécanique, un battement étouffé, Le début d’un monde, qui s’est déjà brisé. Un grain de sable dans l’engrenage, Un souffle court, et c’est l’orage. Elle démarrait, pleine d’espoir, Mais voilà qu’elle sombre dans le noir. Un grain de sable, rien qu’un mirage, Et c’est déjà le naufrage. Les visions dans la vapeur s’effacent, Les promesses rouillées cèdent leur place. Des rêves trop lourds pour l’équilibre, Quand tout s’effondre, plus rien n’est libre. Une étincelle éteinte, un dernier cri, La machine succombe à son propre défi. Un grain de sable dans l’engrenage, Un souffle court, et c’est l’orage. Elle démarrait, pleine d’espoir, Mais voilà qu’elle sombre dans le noir. Un grain de sable, rien qu’un mirage, Et c’est déjà le naufrage. C’est dans l’élan qu’on oublie l’instant, Quand tout va trop vite, rien ne tient longtemps. Un petit rien, un détail, un éclat, Et l’immense s’efface, ne reste que le froid. Un grain de sable dans l’engrenage, Le futur se dissout dans le naufrage. Elle démarrait, prête à rêver, Mais un soupçon l’a désenchantée. Un grain de sable, fin du voyage, Et tout revient au silence des âges. La machine s’éteint, l’espoir s’efface, Dans l’engrenage, le temps trépasse.
La machine s’élève, prête à rugir,
Dans son cœur d’acier, le feu veut surgir.
Des rouages huilés, des rêves alignés,
Mais un frisson, une faille, vient tout enrayer.
Un soupir mécanique, un battement étouffé,
Le début d’un monde, qui s’est déjà brisé.
Un grain de sable dans l’engrenage,
Un souffle court, et c’est l’orage.
Elle démarrait, pleine d’espoir,
Mais voilà qu’elle sombre dans le noir.
Un grain de sable, rien qu’un mirage,
Et c’est déjà le naufrage.
Les visions dans la vapeur s’effacent,
Les promesses rouillées cèdent leur place.
Des rêves trop lourds pour l’équilibre,
Quand tout s’effondre, plus rien n’est libre.
Une étincelle éteinte, un dernier cri,
La machine succombe à son propre défi.
Un grain de sable dans l’engrenage,
Un souffle court, et c’est l’orage.
Elle démarrait, pleine d’espoir,
Mais voilà qu’elle sombre dans le noir.
Un grain de sable, rien qu’un mirage,
Et c’est déjà le naufrage.
C’est dans l’élan qu’on oublie l’instant,
Quand tout va trop vite, rien ne tient longtemps.
Un petit rien, un détail, un éclat,
Et l’immense s’efface, ne reste que le froid.
Un grain de sable dans l’engrenage,
Le futur se dissout dans le naufrage.
Elle démarrait, prête à rêver,
Mais un soupçon l’a désenchantée.
Un grain de sable, fin du voyage,
Et tout revient au silence des âges.
La machine s’éteint, l’espoir s’efface,
Dans l’engrenage, le temps trépasse.