Enki Bilal : « Bug, Tome 2 » de l'an 2041

L’avenir de l’humanité à l’ère du numérique, c’est aussi ce qu’explore Enki Bilal. Le dessinateur revient sur notre plateau pour le tome 2 de sa bande dessinée « Bug » (Casterman BD). Il interroge notre dépendance croissante au numérique, mais aussi les risques du transhumanisme et la folie des hommes dans leur course au pouvoir.

[@montagne_74]

Quelle clarté d'esprit et intelligence ! un Grand Homme

[@moussait5709]

Mr ,ENKI BILAL , LE GRAND FUTURISTE ,DE LA PEINTURE . IL ME RESSEMBLE A J .C. VAN .DAMME. BRAVO Mr, BILAL .

[@fredericignaczak6686]

ENKI...Merci...je souhaite juste que tu interviennes plus souvent dans des émissions..

[@laurentturpin5490]

Là, peut être ? : th-cam.com/video/78veWAde66c/w-d-xo.html

[@lucywilliams5069]

Fascinant sujet qu'est celui de la mémoire et de sa perte, aussi bien individuelle que collective...Bravo pour cette intervention Enki, vous soulevez des questions importantes que peu d'entre nous prenons le temps de considerer. Fonce-t-on vers un Alzeihmer collectif? Bien que les chances d'un BUG planétaire soit infimes dû à la configuration de nos réseaux, le risque zéro n'existe pas. Si la mémoire est ce qui fait le lien entre nos expériences, ce qui fait le ciment de notre identité, individuelle et collective, qu'adviendra-t-il d'une société qui s'en retrouve dépourvue? Bonne question...pas de réponse.

[@tichakay4865]

Le décalage de compréhension avec les êtres est complexe quand on ne voit pas, non pas qu'avec la saga mais aussi avec ta parole mon frère. expliquer avec des mots est une grande difficulté lorsque l'on aimerait la partager, cette voix est également une évidance pour d'autre qui n'on nul besoin de mots. Fixer les yeux de l'un ses yeux sont osmose et tout est évidence. Avec ceux qui sont née ensemble, dans un même moment est inévitable. 25 ans.... Jusqu'à 2041 le chemin du hasard droit vers son but ultime . Bientot, Le voile aura fini d'exister, sur tout ce qui est et qui saura. . Si l'incompri ne parvient pas à ressortir les mots, les mots seront compris quand l'heure sera venu. On crois car on connais, on connais car on à vécu, le vécu créé connaissance personnelle et universelle. J'ai des malaises quand je te vois là , la solitude me pèse sur cet instant. Une sœur te le rappelle, tout mot n'est pas hazard,, la tâche bleu non plus.

[@yolandar7148]

Pues algo hay, porque yo he percibido y pensado en esa posibilidad.... Seguro que leo tu historia Enki un abrazo

[@joechip8666]

Dommage que Bilal soit constamment interrompu par le babil insignifiant de Fred Vargas qui enchaine platitudes et lieux communs. C'est toujours frappant de constater à quel point ceux qui n'ont rien n'a dire sont toujours ceux qui parlent le plus.

[@huibio3816]

faut qu'elle reprenne ses antidepresseur la Vargas hein

[@cimiez1]

je suis entrain de lire sa bd

[@abejafragil2766]

dommage François Busnel parle ur les auteursfaut dire que le thème est touffu

[@derdreschildzer3540]

,Fred Vargas fait peur, drogue ou sénilité ? Elle ne gagne pas à passer à l'écran et à parler. Ça fait un peu maison de retraite.

[@baldwinyeah7042]

Fred Vargas dit n’importe quoi. Elle est ridicule mais sur quelle planète vie t’elle?

[@ludwiglavergne2550]

Il ne restera que des femmes Tome 3

[@lechacalnounours]

Envi est une source d'information...

[@HLGfilms]

on ne dit pas des choses comme ça.

[@tonysukhanov7324]

à périr d'ennui

[@mattkhan3658]

alors péri puisque tu es inutile !

[@tonysukhanov7324]

@@mattkhan3658
"péri (sic) puisque tu es inutile"
Un amateur de littérature qui ne sait pas conjuguer le verbe périr, ça la fout mal