1980 : J. M. G. Le Clezio dans "Apostrophes" | Archive INA
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- เผยแพร่เมื่อ 12 เม.ย. 2020
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Apostrophes | A2 | 19/09/1980
Pour cette 250ème émission, Bernard Pivot interviewe chez eux deux écrivains Jean Marie Gustave Le Clezio et Jorge Luis Borges.
Premier entretien avec JMG Le Clezio qui parle de son dernier ouvrage "Désert", fait de deux histoires distinctes mais complices par l'origine des personnages, leur fuite d'eux-mêmes, la géographie : Le Désert, lieu magique, de silence, pour Le Clezio. Bernard PIVOT le questionne également sur son livre "Trois Villes saintes". Il évoque "Les séparés", groupe maya ayant refusé l'intégration, et de leurs villes saintes, à l'est du Yucatan. Pivot fait parler Le Cleziot (très réticent devant les caméras) sur son goût pour les "déambulations", les enfants, son rejet des villes, de l'argent, son personnage assez secret.
Bernard Pivot présente ensuite Jorge Luis Borges (fondation del Duca) et le questionne sur ses nombreux prix et récompenses, sa conception de l'écrivain (pas un homme d'action). Borges parle de sa cécité, de la "symétrie magique" avec son père, son passé de bibliothécaire, sa passion pour les langues, les grammaires.
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Merci INA pour cette merveilleuse archive. Merci Monsieur Le Clezio.
Cet écrivain me plaît énormément et je vois en lui l'incarnation du desert il est calme doux ne parle pas beaucoup c'est un homme naturel
Perle rare, cet interview. Merci infiniment!
Merci INA ! J'aime beaucoup la pensée de Le Clezio, c'est aussi merveilleux d'écouter Monsieur Borges.
JMG Le Clézio, l'humaniste par excellence
quelle classe ce monsieur...............; tout en douceur dans un monde cruel brutal. Il a tout pour lui: beauté , succès : une vie de rêve !
"Les nuages, là-bas, là-bas, Les merveilleux nuages !" L'Étranger, Baudelaire...
Merci beaucoup d'avoir invité Monsieur Jorge Luis Borges le maître des forges comme dans les mots qu'il connaissait divinement bien, un saludo asta las estrellas con todo el corazón merci
Les propos de JMG Le Clézio me rappellent singulièrement "Le Parasite" de Michel Serre - un texte qui m'a beaucoup frappé lorsque je l'ai lu, il y a bien longtemps
Les temps changent...
Magnifique contenu. Merci. A diffuser. Une remarque cependant sur les dernières secondes : les monteurs, les valideurs de contenu de l'INA ont-ils remarqué l'abysse entre l'esprit des interviews, poursuivi jusqu'au "c'était..." + système sonore de type non-profitable (2 secondes - coupé) et le système sonore publicitaire final (6 secondes - fondu), hâché par un bit crade, relevé d'un "Abonnez-vous" orange et animé. Diffusez donc l'esprit de vos contenus jusqu'au bout...
Lire, tisser...
Merci pour le partage, le Monsieur écrivain, il dit des choses très juste , à propos de la nature au Mexique et dans d'autres endroits il y a de très grands arbres vous êtes minuscule comme une fourmi , vous dites bonjour à l'arbre immense et avec admiration un jour j'ai toqué, " il y a quelqu'un et un grand homme c'est montré il était sans doute le gardien il avait une couronne de plumes de toutes les couleurs, et des dessins sur le corps avec un pagne j'étais toute petite à côté de lui , ça n'a pas duré longtemps ensuite il est retourné dans l'arbre , une autre fois en République dominicaine en 1996 avant mon installation à New-York je marchais au bord d'une route et tout à coup un indien est venu sur l'autre trottoir il m'a montré quelque chose vers le sol son intervention était très rapide distraite Vla qu'une écharde me rentre au dessus du pied elle était grosse , donc quand un messager vient ne soyez pas distrait , je me suis fait soigner par la dame qui tenait le bungalow , elle m'a fait un plasma avec une plante qui s'appelle aloevera une plante à grosse tige pleine de liquide épais ça a duré quelque jour et ma blessure a été guérie, avant de reprendre l'avion j'avais un peut la trouille et je regardais dans la chambre dites moi que tout va bien se passer , et bien une luciole a tourné au-dessous de la lampe et je me suis endormie et le voyage en avion c'est bien passé, la nature dont nous faisons partie si ont l'écoute ont l'a regarde avec respect et calme parfois vous seriez étonné, nous n'avons pas le droit de vie et de mort sur la nature, et pourtant les grands de ce monde nous font souffrir en tuants les habitats et tous les êtres qui y vivent , même les nuages d'ailleurs j'ai une superbe photo d'un nuage il était gris et avait pris la forme d'un personnage qui coure c'était en 2016 , une grande solitude de l'esprit et nous allons très mal , un jour un philosophe a écrit dieu dans la nature, et maintenant nous souffrons à mettre des masques, voilà la vérité, il dit juste sur les mendiants ils et elles savent eux aussi ont les faits disparaître comme pour les tziganes obligé à ce sédentarité, mais nous apprenons vite , comme disait ma mère salvaje, merci
Vous mentez.
La cécité, mon dieu... Et moi qui me plains d'un œil qui fatigue.
Est-ce que c'est chopin au début de la vidéo?
Merci.
C est le concerto no 1 de Rachmaninov...debut du premier mouvement.
Très actuelle….très sauf de la libération
Personnellement je respecte tous les penseurs du monde parceque ils véhiculent la reflection et la sagesse. Certains d'entre eux arrivent à sortir du tunnel vers la lumiére parceque ils ont la volenté de chercher la vérité. Je souhaiterai que cet ecrivain puisse étudié l'islam et le coran peut etre il répondra à toutes ses question
abdelmadjid charif de quel auteur parles tu ?
Fous nous la paix avec l'islam.