Malgré mes 8 ans révolus d'expérience et ma veille continue, j'en apprends encore tous les jours. Merci Julien d'avoir mis des mots sur des concepts que je connaissais, et d'avoir raffraîchit ma mémoire avec des exemples concrets. L'une des meilleurs conf à ce sujet (IMO).
Merci pour cette vidéo ! J'aurai une question, avec l'utilisation d'une base de donnée telle que postgres, à quelle niveau dans l'architecture est-ce qu'on doit gérer l'atomicité des transactions ? Dans une application sans cet architecture généralement on les effectue au niveau des services mais dans notre cas où on veut éviter de mélanger les règles métiers et l'infrastructure base de donnée j'ai du mal à visionner cette partie.
Je n'ai jamais compris pourquoi mettre une interface pour un service ou un pojo, lorsqu'on a qu'une seule implémentation dans le projet. A part multiplier la complexité et le nombre de classe par 2, ca n'a aucun interet.
une référence, très bien préparé et expliqué !
Super intéressant merci !
Malgré mes 8 ans révolus d'expérience et ma veille continue, j'en apprends encore tous les jours. Merci Julien d'avoir mis des mots sur des concepts que je connaissais, et d'avoir raffraîchit ma mémoire avec des exemples concrets.
L'une des meilleurs conf à ce sujet (IMO).
Trop bien Fait ! Très clair
Merci pour cette vidéo !
J'aurai une question, avec l'utilisation d'une base de donnée telle que postgres, à quelle niveau dans l'architecture est-ce qu'on doit gérer l'atomicité des transactions ? Dans une application sans cet architecture généralement on les effectue au niveau des services mais dans notre cas où on veut éviter de mélanger les règles métiers et l'infrastructure base de donnée j'ai du mal à visionner cette partie.
super video avec une démarche concrete et claire
Super demo. Thx
Je n'ai jamais compris pourquoi mettre une interface pour un service ou un pojo, lorsqu'on a qu'une seule implémentation dans le projet. A part multiplier la complexité et le nombre de classe par 2, ca n'a aucun interet.
C'est pour respecter les bonnes pratiques, notamment réduire le couplage fort (2 ème règle du S.O.L.I.D.)