Merci pour cet éclairage. Merci pour ce partage qui fait prendre réellement conscience et qui donne du sens sur l'intérêt du cheminement pour soi et par ricochet pour les autres ❤
Merci beaucoup Frédérique !!! Comme toujours, vos mots résonnent en moi et m’aident à comprendre d’avantage le monde qui m’entoure et ma propre vie 🙏🏻❤️ J’avance tout doucement grâce à vous !
Merci 🌷 moi je suis consciente de tout ça, j'observe et connais les conséquences mais je n'arrive pas à changer mes habitudes vis à vis de moi, plus j'essaye plus il y a une résistance forte. 😢
Bonjour et merci pour votre message. Oui, c'est un cheminement de toute une vie de tenter de comprendre ce que nous avons à comprendre de nous-même et ensuite de changer. La prise de conscience est la première étape et ensuite le plus long et difficile reste à faire : le changement. C'est pour cette raison que j'explique que notre volonté est la partie la plus inconsciente et qui a donc le plus de prises sur nous. Ainsi, le fait de mettre de plus en plus de conscience sur un geste, un acte et de consciemment faire différemment est un exercice à faire tous les jours. Et à propos de la résistance, Carl Gustav Jung disait en effet : "tout ce à quoi l'on résiste, persiste". Il ne s'agit donc pas de vouloir changer en force, mais bien de le faire avec une conscience de plus en plus accrue. Exemple : par rapport à la nourriture, si je me dis : "manger des produits trop caloriques n'est pas bon pour mon corps et ma santé, je ne dois plus en manger", alors, je crée une résistance qui va entraîner inévitablement un effet balancier à la hauteur de ma résistance. Si, par contre, j'ai une réelle prise de conscience (et pas seulement le fait de savoir que c'est mauvais pour mon corps) que je ne souhaite pas atteindre l'intégrité de mon corps, car il est le bien le plus précieux dans lequel réside mon âme qui souhaite vivre des expériences pour faire grandir précisément ma conscience ; alors, cela devient plus facile de ne pas manger des produits néfastes et là vous ne faites pas de la résistance, mais au contraire un acte de lâcher prise qui est d'une certaine façon une véritable acceptation du fait d'une véritable prise de conscience. J'espère avoir pu éclairer vos questionnements. Bien à vous.
@@farrahborreanaz1414 Bonjour et merci pour votre message, j'ai répondu à la personne à qui vous avez fait un commentaire. Je vous invite à lire la réponse. Bien à vous.
Oui c'est bien de prendre de plus conscience de nos actes et des conséquences. Quand cet acte vient de l'autre: exemple simple : mon voisin tape fort des pieds. Vu qu'il ne tient pas compte de ma demande je finis par faire pareil ! Quelles conséquences ? Et pour qui ?? Merci.
Bonjour et merci pour votre question. Je ne détiens pas de réponse absolue, vous vous doutez. Toutefois, je vais tenter une réponse qui m'est personnelle. Si j'ai un voisin qui tape du pied et qu'il ne tient pas compte de mes demandes ; de deux choses l'une, ou il veut m'embêter volontairement, ou bien il est très égoïste et ne tient pas compte des autres. Me venger ne fera qu'aggraver parce que je ne peux envisager raisonnablement donner des leçons de conscience à qui que ce soit, surtout si la personne n'en a que faire. Alors, cela veut dire que si je ne peux pas agir sur la situation extérieure, il me reste à agir sur moi, intérieurement. C'est-à-dire, comment faire en sorte de ne plus être moi-même gêné(e) par ce bruit. Plus je cristallise mon attention sur le bruit, plus cela va m'être insupportable avec en plus des pensées comme : "Il y a vraiment des gens qui ne tiennent pas compte des autres, on vit dans un monde d'égoïstes..." alors, cela va décupler mon irritation, voire ma colère qui vont aggraver la situation (c'est la même chose avec les douleurs chroniques). Je vais lui en vouloir de plus en plus, avoir envie de faire pareil... jusqu'à, peut-être un jour, en venir aux mains... Si, j'apprends plutôt à me détacher de ce bruit irritant, déjà en défocalisant (en apprenant par exemple à diriger mon attention autrement), puis en n'aggravant pas avec des pensées de surcroit, je peux retrouver ma sérénité et ne plus être affecté(e) par cela. Je parle en connaissance de cause 🙂. Je ne dis pas que c'est simple, mais c'est pour moi le meilleur chemin. J'espère avoir pu vous apporter des éléments de réponse. Bien à vous.
@@Frederique.Le-Cann Merci pour votre réponse. Je comprends le détachement aux événements, personnes ou situations extérieures sur lesquels nous n'avons pas contrôle. Mais je ne peux m'empêcher de penser que se détourner du problème revient à se "soumettre" ! Et cela peut se retrouver dans tellement de situations qu'au final je me dis que la seule façon de remédier à tout ce qui dérange serait de vivre dans une maison entourée de 5000 ha de nature. Bon, j'exagère un peu, néanmoins je pense déménager car mon corps a vraiment besoin de calme et de nature. Mais forcément l'autre face et la crainte de l'isolement. Pas simple tout ça quand on commence à réellement écouter son corps. Bon Lundi de Pâques et encore Merci. Sophie
@@papivolensoi Bonjour, trouver une solution extérieure peut fonctionner mais pas toujours, si nous devons travailler intérieurement pour trouver une liberté intérieure et non nécessairement extérieure. Le problème peut très souvent revenir d'une façon ou d'une autre, la vie est très créative pour cela 😃. Nous ne pouvons échapper au développement de notre conscience, qu'on le veuille ou non, que l'on en est conscient ou non (à ce moment-là ce sont les épreuves de vie qui s'en mêlent). Quant au fait de se soumettre, c'est une vision, mais rappelez-vous que nous pouvons avoir une attitude de force intérieure qui nous permet de ne pas se soumettre à la tyrannie extérieure, surtout si vous ne pouvez l'empêcher (et malheureusement c'est souvent le cas, plus ou moins selon les périodes de l'histoire ou le pays). Regardez l'exemple, peut-être un peu galvaudé mais bien réel, du Matamaha Gandhi, qui par la non violence à fait cesser 200 ans de colonisation anglaise. Il ne s'agit pas de ne rien faire et de se sentir impuissant totalement. Nous pouvons l'être s'une certaine façon par rapport à l'agresseur, mais intérieurement rien ne peut être atteint. Il y a d'autres exemples dans ce sens : Epictète, esclave disait déjà qu'on pouvait contraindre son corps mais pas son âme, plus proche de nous, Alexandre Soljenitsyne qui a été 8 ans dans un Goulag ou encore Nelson Mandela qui, enfermé 27 ans, est toujours resté libre intérieurement. Certes, nous ne sommes pas tous de grandes âmes comme celles-ci, qui ont marqué l'histoire, mais nous pouvons nous en inspirer ou tout au moins se dire qu'intérieurement il est possible d'avoir de vraies belles et grandes ressources. C'est de toute façon une attitude qui, selon moi, nous préserve le mieux. Bien à vous.
Merci pour cet éclairage. Merci pour ce partage qui fait prendre réellement conscience et qui donne du sens sur l'intérêt du cheminement pour soi et par ricochet pour les autres ❤
Merci pour ce partage ❤Toujours tellement pertinent.
Une piqûre de rappel ca ne peut faire que du bien...😇🙏
Merci beaucoup Frédérique !!!
Comme toujours, vos mots résonnent en moi et m’aident à comprendre d’avantage le monde qui m’entoure et ma propre vie 🙏🏻❤️ J’avance tout doucement grâce à vous !
Merci🙏🙏🙏
Merci pour cette très belle vidéo!
Merci ❤
Merci 🙏 infiniment !
Merci ! 😊
Merci 🌷 moi je suis consciente de tout ça, j'observe et connais les conséquences mais je n'arrive pas à changer mes habitudes vis à vis de moi, plus j'essaye plus il y a une résistance forte. 😢
Oui c'est pareil pour moi plus j'essaye moins cela fonctionne...
Bonjour et merci pour votre message. Oui, c'est un cheminement de toute une vie de tenter de comprendre ce que nous avons à comprendre de nous-même et ensuite de changer. La prise de conscience est la première étape et ensuite le plus long et difficile reste à faire : le changement. C'est pour cette raison que j'explique que notre volonté est la partie la plus inconsciente et qui a donc le plus de prises sur nous. Ainsi, le fait de mettre de plus en plus de conscience sur un geste, un acte et de consciemment faire différemment est un exercice à faire tous les jours.
Et à propos de la résistance, Carl Gustav Jung disait en effet : "tout ce à quoi l'on résiste, persiste". Il ne s'agit donc pas de vouloir changer en force, mais bien de le faire avec une conscience de plus en plus accrue. Exemple : par rapport à la nourriture, si je me dis : "manger des produits trop caloriques n'est pas bon pour mon corps et ma santé, je ne dois plus en manger", alors, je crée une résistance qui va entraîner inévitablement un effet balancier à la hauteur de ma résistance. Si, par contre, j'ai une réelle prise de conscience (et pas seulement le fait de savoir que c'est mauvais pour mon corps) que je ne souhaite pas atteindre l'intégrité de mon corps, car il est le bien le plus précieux dans lequel réside mon âme qui souhaite vivre des expériences pour faire grandir précisément ma conscience ; alors, cela devient plus facile de ne pas manger des produits néfastes et là vous ne faites pas de la résistance, mais au contraire un acte de lâcher prise qui est d'une certaine façon une véritable acceptation du fait d'une véritable prise de conscience. J'espère avoir pu éclairer vos questionnements. Bien à vous.
@@farrahborreanaz1414 Bonjour et merci pour votre message, j'ai répondu à la personne à qui vous avez fait un commentaire. Je vous invite à lire la réponse. Bien à vous.
❤❤❤❤❤❤
Oui c'est bien de prendre de plus conscience de nos actes et des conséquences.
Quand cet acte vient de l'autre: exemple simple : mon voisin tape fort des pieds. Vu qu'il ne tient pas compte de ma demande je finis par faire pareil ! Quelles conséquences ? Et pour qui ??
Merci.
Bonjour et merci pour votre question. Je ne détiens pas de réponse absolue, vous vous doutez. Toutefois, je vais tenter une réponse qui m'est personnelle. Si j'ai un voisin qui tape du pied et qu'il ne tient pas compte de mes demandes ; de deux choses l'une, ou il veut m'embêter volontairement, ou bien il est très égoïste et ne tient pas compte des autres. Me venger ne fera qu'aggraver parce que je ne peux envisager raisonnablement donner des leçons de conscience à qui que ce soit, surtout si la personne n'en a que faire. Alors, cela veut dire que si je ne peux pas agir sur la situation extérieure, il me reste à agir sur moi, intérieurement. C'est-à-dire, comment faire en sorte de ne plus être moi-même gêné(e) par ce bruit.
Plus je cristallise mon attention sur le bruit, plus cela va m'être insupportable avec en plus des pensées comme : "Il y a vraiment des gens qui ne tiennent pas compte des autres, on vit dans un monde d'égoïstes..." alors, cela va décupler mon irritation, voire ma colère qui vont aggraver la situation (c'est la même chose avec les douleurs chroniques). Je vais lui en vouloir de plus en plus, avoir envie de faire pareil... jusqu'à, peut-être un jour, en venir aux mains...
Si, j'apprends plutôt à me détacher de ce bruit irritant, déjà en défocalisant (en apprenant par exemple à diriger mon attention autrement), puis en n'aggravant pas avec des pensées de surcroit, je peux retrouver ma sérénité et ne plus être affecté(e) par cela. Je parle en connaissance de cause 🙂. Je ne dis pas que c'est simple, mais c'est pour moi le meilleur chemin. J'espère avoir pu vous apporter des éléments de réponse. Bien à vous.
@@Frederique.Le-Cann Merci pour votre réponse. Je comprends le détachement aux événements, personnes ou situations extérieures sur lesquels nous n'avons pas contrôle. Mais je ne peux m'empêcher de penser que se détourner du problème revient à se "soumettre" ! Et cela peut se retrouver dans tellement de situations qu'au final je me dis que la seule façon de remédier à tout ce qui dérange serait de vivre dans une maison entourée de 5000 ha de nature. Bon, j'exagère un peu, néanmoins je pense déménager car mon corps a vraiment besoin de calme et de nature. Mais forcément l'autre face et la crainte de l'isolement.
Pas simple tout ça quand on commence à réellement écouter son corps.
Bon Lundi de Pâques et encore Merci.
Sophie
@@papivolensoi Bonjour, trouver une solution extérieure peut fonctionner mais pas toujours, si nous devons travailler intérieurement pour trouver une liberté intérieure et non nécessairement extérieure. Le problème peut très souvent revenir d'une façon ou d'une autre, la vie est très créative pour cela 😃. Nous ne pouvons échapper au développement de notre conscience, qu'on le veuille ou non, que l'on en est conscient ou non (à ce moment-là ce sont les épreuves de vie qui s'en mêlent).
Quant au fait de se soumettre, c'est une vision, mais rappelez-vous que nous pouvons avoir une attitude de force intérieure qui nous permet de ne pas se soumettre à la tyrannie extérieure, surtout si vous ne pouvez l'empêcher (et malheureusement c'est souvent le cas, plus ou moins selon les périodes de l'histoire ou le pays). Regardez l'exemple, peut-être un peu galvaudé mais bien réel, du Matamaha Gandhi, qui par la non violence à fait cesser 200 ans de colonisation anglaise. Il ne s'agit pas de ne rien faire et de se sentir impuissant totalement. Nous pouvons l'être s'une certaine façon par rapport à l'agresseur, mais intérieurement rien ne peut être atteint. Il y a d'autres exemples dans ce sens : Epictète, esclave disait déjà qu'on pouvait contraindre son corps mais pas son âme, plus proche de nous, Alexandre Soljenitsyne qui a été 8 ans dans un Goulag ou encore Nelson Mandela qui, enfermé 27 ans, est toujours resté libre intérieurement. Certes, nous ne sommes pas tous de grandes âmes comme celles-ci, qui ont marqué l'histoire, mais nous pouvons nous en inspirer ou tout au moins se dire qu'intérieurement il est possible d'avoir de vraies belles et grandes ressources. C'est de toute façon une attitude qui, selon moi, nous préserve le mieux. Bien à vous.
@@Frederique.Le-Cann Bon, je vais m'inspirer de votre réponse. Merci pour cet échange.