Il y a 45 ans Marien Ngouabi assassiné par Sassou sur instruction de la France et accord d'Houphouët

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  • เผยแพร่เมื่อ 21 ธ.ค. 2024
  • DOCUMENT EXCLUSIF A SUIVRE
    L’assassinat de Marien Ngouabi était prémédité par Sassou Nguesso qui a provoqué l’isolement de ce dernier avec l’extermination de la bande d’Ange Diawara. Sassou assassine Marien Ngouabi sur instruction de Jacques Foccart à cause des nouvelles modalités de calcul des recettes pétrolières exigées en mai 1976 à la France par Ngouabi. Ce dernier, trois jours avant son assassinat avait délégué Rodolphe Adada de parapher le nouveau protocole. Ce qu'il n'a pas fait moyennant une grosse prime des français. Suivez comment Sassou agent des services a préparé le complot.et a fait exécuter les innocents. C'est un document déchirant et exclusif à conserver pour les générations futures et pour un véritable procès des assassinats de mars 1977.
    Suivez les récits des acteurs témoins de ces crimes odieux que Sassou n'arrive pas à assumer depuis mars 1977.Soutenez le développement de FRTDH dans toute l'Afrique via patreon sur / frtdh pour la promotion et la protection des droits de l'homme (extrait dans le site www.frtdh.org).
    La décision de l’élimination physique du Commandant Marien Ngouabi fut arrêtée à Abidjan, sur instructions des services français par Monsieur Houphouët Boigny en présence de Sassou à l’époque Ministre de la défense. Jean François Probst homme politique français proche de Jacques Chirac dont il a été chargé de mission dans les années 1977, confirme dans son ouvrage intitulé Chirac mon ami de trente ans publié en 2007 à Paris aux éditions Denoël la responsabilité de Sassou dans la mort de Marien Ngouabi. Il précise en effet que c’est la France à travers les services de Jacques Koch Foccart, qui avait donné l’ordre à Sassou Nguesso de procéder à l’exécution du Président Marien Ngouabi le 18 mars 1977. Jacques Foccart n’allait pas voir Denis Sassou Nguesso (…) C’est lui qui venait rue de Prony, voir Foccart ». Jean-François Probst ajoute : « À cette époque, Jacques Foccard m’avait confié pour mission de m’occuper de Denis Sassou Nguesso, le Président du Congo-Brazzaville. »
    Probst précise dans quelles conditions l’entretien a eu lieu : « Est-ce-que vous connaissez Sassou ? » m’avait demandé Foccart. J’avais connu le dictateur-président, alors marxiste-léniniste « pur et dur », en 1982. Je lui avais rendu visite avec Jerôme Monod à propos de la gestion des eaux de Brazzaville…J’avais pris connaissance de son dossier au Quai d’Orsay. Sassou et ses amis avaient amené au pouvoir un premier Président marxiste orthodoxe, Marien Ngouabi, en 1968. Quelques années plus tard, ils l’avaient éliminé.
    Selon le dossier du quai d’Orsay, Sassou avait été l’exécutant «. Car le Sous-officier de réserve Sassou Denis envoyé en stage par Fulbert Youlou en septembre 1962 avait été recruté en 1963 par les services français quand il était en formation à l’Ecole d’application de l’Infanterie de saint Maixent en France.
    L’assassinat de Marien Ngouabi était prémédité par Sassou qui a provoqué l’isolement de ce dernier avec l’extermination de la bande d’Ange Diawara.
    Mais en dehors de la politique, un conflit personnel opposait gravement ces deux personnalités. Sassou pour faire payer au Lieutenant Ange Diawara le ridicule dont il le couvrait durant les réunions du Bureau politique du fait de ses insuffisances idéologiques, décidait d’humilier la famille Diawara.
    En effet pour faire payer à Diawara la gifle qu’il a reçue. En 1971, il détournait à une semaine de leur mariage, l’épouse de Kader Diawara, l'oncle de Diawara. Avec l’assassinat du lieutenant Ange Diawara, Dénis Sassou gagnait la partie, en plus il fera de la belle tante du défunt membre du bureau politique son épouse. Antoinette Tchibota, prend la place de Dirat la mère de ses enfants, Edith, Ninelle, Julienne, etc.
    Ngouabi a fini par faire de Sassou l’homme le plus puissant de son régime : d’abord Directeur de la Sécurité d’État, le KGB, la stasi du Congo. Au 2è Congrès du PCT du 27 au 30 décembre 1974, Sassou est parmi les douze membres du Bureau Politique et Secrétaires du Comité Central du PCT. Après la déclaration du 12 décembre 1975, Sassou devient Ministre de la Défense et Membre de l’État Major Spécial Révolutionnaire en 1976 aux côtés de Ngouabi, de Jean Pierre Thystère Tchicaya et de Jean Pierre Ngombé.
    Sassou est pratiquement le numéro 2 du régime,. Il est l’homme le plus renseigné de la République, en contact avec tous les officiers et il a placé toutes les personnalités sous écoute, y compris Marien Ngouabi le Chef de l’État.
    En agent des services secrets français, recruté par Jacques Foccard,, Sassou adresse toutes les informations aux Français.
    À ses différents postes, Sassou « démantèle », tous les 6 à 9 mois, une tentative d’atteinte à la sécurité intérieure et extérieure de l’État. Le but principal est d’isoler Marien Ngouabi pour l’abattre plus facilement le moment arrivé.
    Genève, le 19 mars 2022 l'an 45 de la 1ère déclaration du putschiste Sassou
    Me Maurice Massengo-Tiassé

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