LA NOUVELLE PHYSIQUE | YANN MAMBRINI
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- เผยแพร่เมื่อ 22 เม.ย. 2024
- " Yann Mambrini avait déjà montré ses talents de vulgarisateur [...] il récidive en livrant encore un ouvrage très clair [...] On est comblé." Le Monde
Deux questions ne cessent de hanter l’être humain depuis qu’il a porté son regard vers le ciel : de quoi est fait le cosmos et quelles sont ses lois ?
La physique a tenté d'y répondre tout au long du XXe siècle en redéfinissant des notions-clés comme l’espace, le temps et l’atome. Aujourd’hui, elle semble marquer le pas : saviez-vous que les particules élémentaires connues ne représentent que 5% du contenu de l’Univers ? Qu'il est en expansion accélérée sous l’effet d’une insaisissable énergie sombre ? Que l’on ignore toujours pourquoi le neutrino possède une masse ?
Dans cette synthèse magistrale, Yann Mambrini pointe les failles qui limitent notre compréhension de l’infiniment grand comme de l’infiniment petit. Il montre surtout que ces carences constituent les indices d’une « nouvelle physique », au-delà des modèles admis de nos jours. De la théorie des cordes aux trous noirs primordiaux en passant par l’inflaton, la 5e force ou la matière noire, il nous explique les théories ultimes qui pourraient conduire à rebâtir, demain, tout l’édifice.
« J’ai eu un très grand plaisir à lire ce livre. Yann Mambrini nous met au cœur de la nouvelle physique dans un langage simple, accessible à tous. » Alain Aspect, prix Nobel de physique.
Yann Mambrini est directeur de recherche au CNRS, théoricien au Laboratoire de physique des 2 infinis Irène Joliot-Curie à Orsay, et scientifique associé au CERN.
Auteur notamment de Newton à la plage (Dunod, 2021), il est aussi magicien à ses heures. - วิทยาศาสตร์และเทคโนโลยี
Merci pour ce partage de connaissances. Je vais sûrement recommander le livre.
Merci bien!
Je viens de commander le livre… merci pour l’effort que vous déployez pour nous aider à y comprendre un peu plus chaque jour, et certainement à partager cette passion qui vous anime !
Merci bien monsieur. N’hésitez pas à me contacter si vous avez des interrogations suite à la lecture du livre.
merci monsieur
❤ captivant 🎉
Merci pour votre agréable commentaire!
Bonjour
Merci pour cette vidéo!
Pourriez vous interroger Jean Pierre PETIT sur sa théorie Janus qui répond, notamment, aux questions des trous noirs et des neutrinos ?
Bonjour monsieur. Merci pour votre commentaire qui mérite un éclaircissement.
Le modèle Janus est un modèle basé sur des idées assez anciennes, des années 1920. L’idée de base est, je trouve, intéressante.
Ce sont des modèles dits bimetriques, c’est à dire doublant le nombre d’équations, dont une moitié a une métrique “négative” qui permet de mimiquer une expansion accélérée. Malheureusement, afin de fitter avec les données expérimentales, notamment celles du fond diffus cosmologique, il est nécessaire que dans chacune des métriques la vitesse de la lumière soit différente et… non-constante, ce qui est contraire au principe de relativité de base (même si on peut s’y adapter). De plus, l’évolution de chacune des vitesses doit être artificiellement accordée pour correspondre aux données. Donc deux vitesses de la lumière, chacune évoluant de manière adhoc pour respecter des données expérimentales.
Dans la plus récente version du modèle, les auteurs ont corrigé une erreur rendant (malheureusement) les équations non covariantes, ce qui est aussi contraire à l’esprit de la relativité générale. Et enfin, il est assez facile de montrer avec un peu d’algèbre que ce système bimetrique est équivalent à avoir l’univers avec une seule métrique rempli d’un gaz à pression négative (mais pas de même nature que l’énergie noire cependant).
Le model Lambda CDM lui ne requiert que l’équation originale d’Einstein de 1917 et (par exemple) des neutrinos droits dont on sait par ailleurs leur existence. Le principe du rasoir d’Ockham nous pousse donc à aller vers les modèles simples qui fonctionnent avant d’étudier des modèles adhoc qui nécessitent trop de remises en cause (constantes fondamentales ni constantes ni fondamentales, complexification inutiles des équations..). Mais il existe énormément de modèles bimetriques sur le marché, bien plus simples et plus motivés que nous étudions également. J’en parle justement dans mon livre.
Grishka Bogdanov, de son vivant, voulait me présenter à Yann Mambrini. J'espère un jour le rencontrer, car en effet il est un physicien très intéressant !
Haaa… Grishka. De la haut il a sûrement toutes les réponses à ces questions..
Il est chercheur, mais pourquoi cherche t'il quelque chose qui existe déjà: le modèle Janus!
😊
Bonjour monsieur. Merci pour votre commentaire.
Le modèle Janus est un modèle basé sur des idées assez anciennes, des années 1920. L’idée de base est, je trouve, intéressante.
Ce sont des modèles dits bimetriques, c’est à dire doublant le nombre d’équations, dont une moitié a une métrique “négative” qui permet de mimiquer une expansion accélérée. Malheureusement, afin de fitter avec les données expérimentales, notamment celles du fond diffus cosmologique, il est nécessaire que dans chacune des métriques la vitesse de la lumière soit différente et… non-constante, ce qui est contraire au principe de relativité de base (même si on peut s’y adapter). De plus, l’évolution de chacune des vitesses doit être artificiellement accordée pour correspondre aux données. Donc deux vitesses de la lumière, chacune évoluant de manière adhoc pour respecter des données expérimentales.
Dans la plus récente version du modèle, les auteurs ont corrigé une erreur rendant (malheureusement) les équations non covariantes, ce qui est aussi contraire à l’esprit de la relativité générale. Et enfin, il est assez facile de montrer avec un peu d’algèbre que ce système bimetrique est équivalent à avoir l’univers avec une seule métrique rempli d’un gaz à pression négative (mais pas de même nature que l’énergie noire cependant).
Le model Lambda CDM lui ne requiert que l’équation originale d’Einstein de 1917 et (par exemple) des neutrinos droits dont on sait par ailleurs leur existence. Le principe du rasoir d’Ockham nous pousse donc à aller vers les modèles simples qui fonctionnent avant d’étudier des modèles adhoc qui nécessitent trop de remises en cause (constantes fondamentales ni constantes ni fondamentales, complexification inutiles des équations..). Mais il existe énormément de modèles bimetriques sur le marché, bien plus simples et plus motivés que nous étudions également. J’en parle justement dans mon livre.
Donc il est hors de question de remettre en cause complètement le modèle standart… on est foutu.
Cette "nouvelle physique" pourrait-elle apporter du crédit à des hypothèses comme le modèle Orch-Or de Penrose, dans laquelle la place de la conscience est repensée ?
Les modèles de Penrose sont assez intéressants, mais pour l’instant manquent de réelles motivations à hautes énergies.
Que pensez vous du modèle cosmologique Janus ? Merci.
C'est bullshit
Bonjour. J’ai répondu à cette question dans un autre commentaire ci dessus.
Cette secte janusienne lààààà 😭
@@yannmambrini5750je ne vois pas ce commentaire. Vérifiez qu'il n'est pas supprimé. L'un des miens en rapport avec Janus a été supprimé ...
Le modèle Janus est un modèle basé sur des idées assez anciennes, des années 1920. L’idée de base est, je trouve, intéressante.
Ce sont des modèles dits bimetriques, c’est à dire doublant le nombre d’équations, dont une moitié a une métrique “négative” qui permet de mimiquer une expansion accélérée. Malheureusement, afin de fitter avec les données expérimentales, notamment celles du fond diffus cosmologique, il est nécessaire que dans chacune des métriques la vitesse de la lumière soit différente et… non-constante, ce qui est contraire au principe de relativité de base (même si on peut s’y adapter). De plus, l’évolution de chacune des vitesses doit être artificiellement accordée pour correspondre aux données. Donc deux vitesses de la lumière, chacune évoluant de manière adhoc pour respecter des données expérimentales.
Dans la plus récente version du modèle, les auteurs ont corrigé une erreur rendant (malheureusement) les équations non covariantes, ce qui est aussi contraire à l’esprit de la relativité générale. Et enfin, il est assez facile de montrer avec un peu d’algèbre que ce système bimetrique est équivalent à avoir l’univers avec une seule métrique rempli d’un gaz à pression négative (mais pas de même nature que l’énergie noire cependant).
Le model Lambda CDM lui ne requiert que l’équation originale d’Einstein de 1917 et (par exemple) des neutrinos droits dont on sait par ailleurs leur existence. Le principe du rasoir d’Ockham nous pousse donc à aller vers les modèles simples qui fonctionnent avant d’étudier des modèles adhoc qui nécessitent trop de remises en cause (constantes fondamentales ni constantes ni fondamentales, complexification inutiles des équations..). Mais il existe énormément de modèles bimetriques sur le marché, bien plus simples et plus motivés que nous étudions également. J’en parle justement dans mon livre.
A 23:00. Je ne pense pas qu’une particule soit uniquement une onde, que l’on crée en excitant un matériau dans un espace donné, une particule est probablement composée à la fois d’un corpuscule en mouvement et d’une onde intrinsèque (grossissante et rétrécissante plusieurs milliers ou millions de fois par seconde) qui émane de ce dernier.
La nature est subtile, il est possible qu'une tentative d'unification par trop d'imitation de l'électromagnétisme pour la gravitation conduise à des échecs.
Bonjour monsieur. Merci bien pour votre commentaire.
C’est en effet tout à fait possible!!
Oui que pensez-vous du modèle Janus? Pourquoi n'est il pas considérée?
C'est bullshit
@@OhPuree42 Un argument ou une source peut-être pouvant étayer votre analyse?
@@xiaopan5673 à chaque fois que des scientifiques avzc autorité dans le domaine regardent ces travaux ils disent que c'est pas sérieux. À un moment donné il faut arrêter de relayer l'imaginaire complotiste de JPP. À l'écouter ils sont tous nuls/ corrompus et contre lui.
@@xiaopan5673visiblement ma réponse a été supprimé ...
@@xiaopan5673la présence de JeanPierre Petit, c’est déjà un gros indice.
A 22:00 il y a peut etre une confusion, l’espace n’est pas physiquement vide puisqu’il est constitué d’espace, un espace vide est une absence d’espace.
Bonjour monsieur. Votre remarque est pertinente. Pour être plus précis, la courbure de l’espace est équivalent à une forme d’énergie. Le type de courbure nous dit le type d’énergie (matière, radiation ou constante). Ce sont les équations d’Einstein qui nous le définissent.
@@yannmambrini5750 ,,, merci pour votre réponse, c’est un honneur de pouvoir échanger avec vous.
En effet, par définition l’espace ne peut être vide, celui-ci étant a minima parcouru par des photons, des radiations, et soumis inévitablement à un champ gravitationnel.
D’ailleurs un trou noir peut logiquement caractériser la contraction, voire l’annihilation de l’espace dans lequel la matière et/ou toute particule évoluent, la 5eme dimension pourrait bien être celle de la disparition des 4 dimensions précédentes
@@aurelienmartineau119 c’est exactement cela.
Qu'est-ce que l'absence d'espace ?
@@cyberlopo2478 c’est un espace de dimension nulle
Est-ce que Yann peut nous donner son avis sur Idriss Aberkane ? 😂😂❤
Est-ce que je peux éviter de répondre à la question 😊.
A 16:00 l’explication des deux fourmis qui remontent le long de la citrouille pour se rejoindre au pôle est fallacieuse, si vous mettez les deux fourmis l’une à côté de l’autre et les reliez entre elles par un bâton sur leurs dos, elles vont remonter la citrouille de manière parallèle sans jamais se rencontrer au pôle. Pourtant chacune va bien suivre une droite.
Notre cerveau a des géodésiques mais aussi des dès.
Ça ferait juste une grosse fourmi à 12 pattes.
@@dormirdeboutaoneiropoledda7587 ,,, quel rapport ?
Bonjour monsieur. Merci bien pour votre commentaire. Si vous reliez les fourmis avec un bâton elles ne vont pas « aller tout droit » J’entends “ aller tout droit » comme « le chemin parcouru le plus court pour aller de A à B », soit une géodésique. Si elles ont un bâton sur elles, l’une arrivera au pôle nord, pas l’autre. Ce serait une autre problème.
@@yannmambrini5750 ,,, Je ne suis pas convaincu, si les deux fourmis sont mises en parallèle l’une de l’autre en partant cote à cote depuis l’equateur, les deux vont bien aller tout droit sans jamais se rencontrer, l’une passera par le pôle mais pas l’autre.
la clé de l'unification c'est la decoherence quantique et la théorie d'Elran Valceka. Et le temps c'est juste de la Transformation...
J'ai quelques idées pour faire avancer le schmilblick et j'aimerais bien les confronter à un avis scientifique. Mais à la fois je me dis que si c'était si simple ça aurait déjà été découvert, et j'y crois un peu quand même car elles m'ont permis de prédire l'accélération de l'expansion de l'univers avant sa découverte, et actuellement d'expliquer les observations étonnantes du JWST.
Ce mec se la raconte avec ses petits airs de réflexion intense, c'est vraiment très drôle, évidemment l'écouter n'a aucun intérêt quand on a pas fait de physique, ce domaine est trop complexe, ça permet même de raconter n'importe quoi. Notre ami ne manque pas de modestie, il faudrait qu'il parle avec Jean-Pierre Petit en quelques secondes il serait calmé voire ridiculisé. Il le sait et va jamais y aller.
Vous le dites vous même : on a pas fait assez de physique pour pouvoir dire si cette personne qui nous parle ou non dit des choses censées ou non. Mais pourquoi faire confiance Jean Pierre Petit plus que les autres ?
Vous le dites vous même : on est pas assez bon en physique pour dire si cette personne nous raconte des choses censées ou non. Pourquoi faire confiance à Jean Pierre Petit plus qu'à lui ou les autres ?
@@4cemils Concernant Jean-Pierre Petit, je n'évoque pas le modèle Janus auquel je ne comprends strictement rien, mais plutôt ces travaux sur la magnéto hydrodynamique qui sont reconnus mondialement et dont les Russes se sont servis abondamment. Concernant le modèle cosmologique Janus, je note juste que les réponses de Jean-Pierre Petit lors de conférences semblaient rencontrer une certaine approbation des spécialistes présents. Jean-Pierre Petit fait montre d'une grande modestie.
Vous tentez de faire une attaque ad hominem sur un sujet que personne ne maîtrise totalement, sinon il n’y aurait plus de chercheurs scientifiques. Votre commentaire est déplacé et vide de tout raisonnement scientifique, vous pouvez contredire ce physicien, mais encore faudrait-il que vous ayez des arguments cohérents.
@@aurelienmartineau119 Un argumentum ad hominem est un argument de rhétorique qui consiste à attaquer son adversaire sur la cohérence de ses propos en lui opposant ses propres paroles ou ses propres actions (Wikipédia). Vous voulez utiliser une locution latine sans en comprendre le sens, cette erreur sur le terme ad hominem est très classique notamment dans les médias. Au moins mon commentaire n'aura pas été inutile puisque vous aurez appris une locution latine. Mais c'est quand même drôle de voir des gens qui veulent péter plus haut que leur cul en utilisant du latin.
Il n y a pas de symétrie puisque les particules sont soit gauchères soit droitières, si symétrie il y avait elles seraient les deux à la fois et n’auraient pas de spins asymétriques.
La force electrofaible brise la symétrie (dite chirale) entre les gauchers et les droitiers puisqu’elle n’agit pas sur les droitier.
@@yannmambrini5750 ,,,, Vous disiez que vous recherchiez la symétrie, l’élégance, tant expérimentale (physique) que mathématique (théorique), sauf que les particules (electrons) adoptent des comportements asymétriques à l’instar de leurs spins.
@@aurelienmartineau119oui, exactement. Prenons le cas de l’électron dont seuls les gauchers interagissent. Comme vous, et comme tous mes collègues, nous considérons cela comme disymetrique. C’est pour cela que nous travaillons à la recherche d’une nouvelle physique. Dans ce cas particulier, la théorie s’appelle SO(10) ou SU(5), et j’en parle dans mon livre. Pour rétablir la symétrie avec les droitiers, on pense qu’il y a une force supplémentaire qui n’agit que sur les droitiers, pour compenser. Et on propose aux expérimentateurs de la trouver. Ils la recherche activement au CERN. Cela peut paraître fou, mais la majorité de particules ont été découvertes en se basant sur ce principe de symétrie.. Surprenant. Comme si la Nature était fondamentalement symétrique.
@@yannmambrini5750 Les arbres et les minéraux sont asymétriques, pourquoi les particules qui les composent seraient symétriques ? La division cellulaire humaine pleinement symétrique aux premières secondes de la fécondation, finit par une asymétrie de nos organes internes, foie et vésicule biliaire à droite, coeur, estomac et pancréas à gauche. Est-ce à dire que nous ne répondons pas à l’ordre naturel, ou vous ne pensez cela que pour les particules subatomiques ?
((Suite)
Pour moi, la variable cachée dont parlait Einstein existe belle et bien, elle résulte de l’impossibilité de déterminer à l’avance une volumétrie constante et générale du photon. Le photon est probablement évolutif. Contrairement à l’Ecole de Copenhague (Bohr, Heisenberg, etc…) pour laquelle un photon reste un photon qui ne varie pas dans sa composition, dans son volume, et qui ne saurait être autrement que parfaitement identique à tout autre photon.
Important : si ma théorie est juste alors deux hypothèses, la première le corpuscule du photon se déplace à une vitesse inférieure à la vitesse de la lumière, la vitesse de la lumière n’étant atteinte qu’avec le cumul de la vitesse de l’onde du corpuscule en phase grossissante, les vitesses se cumulant. Deuxième hypothèse, le corpuscule se déplace à la vitesse de la lumiere, et son onde dépasse la vitesse de la lumière.
Mon expérience de pensée n’est certes pas une étude scientifique, mais je donne déjà une explication statistique du phénomène (or la statistique est une des disciplines des Mathématiques):
En effet, si l’onde du photon augmente au maximum d’admettons 100 fois plus que le diamètre du corpuscule, et que l’onde rétrécit jusqu’au diamètre du corpuscule, si l’on considère que le phénomène se produit plusieurs millions de fois par seconde, alors le diamètre MOYEN de son onde sera 50 fois plus gros que le diamètre du corpuscule, et si les filtres laissent passer 50% de lumière, cela veut dire qu’un photon sur deux franchira l’obstacle.
Plus les filtres polariseurs sont puissants (donc avec des « mailles » plus resserrées pour schématiser) moins les photons, dont le volume moyen quelques soient leurs phases d’expansion sera admettons 50x plus gros que la taille du corpuscule, pourront franchir les mailles dudit filtre.
C’est proportionnel, statistique, donc mathématique.
Pour confirmer ou infirmer ma théorie il faudrait pouvoir analyser la composition du photon et vérifier si sa volumétrie est constante ou non suivant son état (naturel ou manipulé),
S’agissant de l’inconstance ou de la variabilité de la vitesse de la lumière, les dernières etudes récemment publiées semblent corroborer ma théorie de la variabilité intrinsèque du photon:
Dans chacune de ces études TRÈS RÉCENTES, la vitesse des photons est constatée comme variable, ce qui corrobore ma théorie du photon évolutif déposée le 27 septembre 2022, donc antérieure à ces publications :
Tapez dans google :
1. « Science express spacially structured photons that travel in free space slower than the speed of light »
2. « Trustmyscience des chercheurs découvrent un phénomène qui rend les atomes transparents »
3. « Trustmyscience chercheurs sur le point de manipuler la lumière quantique »
4. Etude qui demontre le paradoxe EPR et la non intrication quantique :« Einstein-Podolsky-Rosen Experiment with Two Bose-Einstein Condensates - Paolo Colciaghi, Yifan Li, Philipp Treutlein, and Tilman Zibold. Phys. Rev. X 13, 021031 - Published 30 May 2023
5. Etude sur le partage d’informations entre particules « techno-science paradoxe intrication quantique défie réalité grande échelle »
6. « enerzine prouesse scientifique des impulsions plus courtes que la lumiere »
Que de bla bla et d'approximations ! Comment fait il pour ne pas parler du model COSMOLOGIQUE JANUS de JEAN PIERRE PETIT qui répond à toutes les observations et toutes ses questions ?
Bonjour monsieur. Merci bien pour votre commentaire et le temps que vous avez pris à voir la vidéo.
Le modèle Janus est un modèle basé sur des idées assez anciennes, des années 1920. L’idée de base est, je trouve, intéressante.
Ce sont des modèles dits bimetriques, c’est à dire doublant le nombre d’équations, dont une moitié a une métrique “négative” qui permet de mimiquer une expansion accélérée. Malheureusement, afin de fitter avec les données expérimentales, notamment celles du fond diffus cosmologique, il est nécessaire que dans chacune des métriques la vitesse de la lumière soit différente et… non-constante, ce qui est contraire au principe de relativité de base (même si on peut s’y adapter). De plus, l’évolution de chacune des vitesses doit être artificiellement accordée pour correspondre aux données. Donc deux vitesses de la lumière, chacune évoluant de manière adhoc pour respecter des données expérimentales.
Dans la plus récente version du modèle, les auteurs ont corrigé une erreur rendant (malheureusement) les équations non covariantes, ce qui est aussi contraire à l’esprit de la relativité générale. Et enfin, il est assez facile de montrer avec un peu d’algèbre que ce système bimetrique est équivalent à avoir l’univers avec une seule métrique rempli d’un gaz à pression négative (mais pas de même nature que l’énergie noire cependant).
Le model Lambda CDM lui ne requiert que l’équation originale d’Einstein de 1917 et (par exemple) des neutrinos droits dont on sait par ailleurs leur existence. Le principe du rasoir d’Ockham nous pousse donc à aller vers les modèles simples qui fonctionnent avant d’étudier des modèles adhoc qui nécessitent trop de remises en cause (constantes fondamentales ni constantes ni fondamentales, complexification inutiles des équations..). Mais il existe énormément de modèles bimetriques sur le marché, bien plus simples et plus motivés que nous étudions également. J’en parle justement dans mon livre.
@@yannmambrini5750 Bonjour, merci pour cette réponse. L'équation originale est en vérité une équation que david HILBERT a présenté quelques temps avant Einstein et que HILBERT a cédé à EINSTEIN. Vous ne voulez pas remettre en question le model qui s'appuie sur l'équation originale. Mais c'est pourtant le propre de la science de ne pas rester dans un faux consensus et les dogmes. L'équation de HILBERT est incomplète et ce n'est que par des artifices que le modèle LAMBDA CDM survit. (neutrino, énergie noire et toutes ces sotises). Faites une vidéo dans la quelle vous échangerez avec Jean pierre PETIT, et tous nous grandirons !!! Ayez ce courage ! Appliquer le principe du rasoir d'OCKAM , revient bien souvent à se complaire dans le sophisme et la totologie. C'est de l'anti science ou du moins, c'est de la science du confort pour les paresseux et ceux qui manquent d'esprit novateur. Un livre, si son contenu est construit selon ce principe du rasoir d'ockam n'offre pas de perspectives et se contente de redites et de bla, bla. Respectueusement.