Les melos j'ai failli faire un voyage astral la vie! pour les drums, dommage j'ai trouvé un petit manque d’énergie au niveau des drums mais chacun ces gouts :P t'a un drum kit bg ?
Intro (0:00 - 0:26) J’arrive en fond de cinquième, j’arrive tout à l’heure, Numéro neuf capitaine, dans la tchop, on la monte en l’air. Sur le sac, je dépose toute ma haine, Et vu que je dépose toute ma haine, J’en ai plus quand je sors prendre l’air. 1er Couplet (0:27 - 1:08) Dans l’bloc, ça pue l’échec, ça sent la misère, Les murs parlent, mais personne veut entendre la guerre. Les p’tits rêvent de ca$h, les grands tombent sous terre, Et moi, j’suis là, dans le noir, en train d’perdre mes repères. Les jours se répètent, tout s’fait en sous-marin, Trop d’choses sur la conscience, j’sens le feu dans mes mains. J’fais des tours, tête baissée, comme si j’fuyais le vent, Mais c’est l’bloc qui me hante, comme un fantôme vivant. Pré-Refrain (1:09 - 1:22) Le silence, il tue, mais j’l’entends parler, Chaque cri du cœur, on finit par l’étouffer. La rue, elle frappe, et on sait encaisser, Mais dans nos rêves, c’est toujours là qu’on veut s’barrer. Refrain (1:23 - 1:50) Le bloc, c’est que du stress, les nuits sont trop longues, On cherche la lumière, mais on s’perd dans l’ombre. Les frères tombent, mais personne n’reste debout, À force d’vivre ici, on devient des loups. Le bloc, c’est la peine qu’on porte sur nos dos, Des sourires forcés, des cœurs en morceaux. Dans ce décor, y’a pas de miracles, Juste des âmes perdues qui rêvent de s’faire la malle. 2e Couplet (1:51 - 2:31) J’ai grandi dans le béton, les yeux vers le ciel, Mais les étoiles, ici, elles brillent jamais pareil. Les anciens nous disent : “Fais gaffe à tes choix”, Mais comment t’expliquer qu’on vit avec le poids ? Le bloc te change, il te rend aigri, Les cœurs s’enferment, même l’amour se délit. Y’a plus de joie, juste des rêves qui s’cassent, Et des âmes qui traînent, perdues dans la crasse. Chaque soir, j’me perds dans des pensées sombres, Le temps défile, et mes cauchemars répondent. On a tous des cicatrices qu’on veut pas montrer, Mais dans le bloc, la tristesse, c’est devenu inné. Pré-Refrain 2 (2:32 - 2:45) Le silence, il tue, mais j’l’entends parler, Chaque cri du cœur, on finit par l’étouffer. La rue, elle frappe, et on sait encaisser, Mais dans nos rêves, c’est toujours là qu’on veut s’barrer. Refrain (2:46 - 3:12) Le bloc, c’est que du stress, les nuits sont trop longues, On cherche la lumière, mais on s’perd dans l’ombre. Les frères tombent, mais personne n’reste debout, À force d’vivre ici, on devient des loups. Le bloc, c’est la peine qu’on porte sur nos dos, Des sourires forcés, des cœurs en morceaux. Dans ce décor, y’a pas de miracles, Juste des âmes perdues qui rêvent de s’faire la malle. Outro (3:13 - 3:29) J’arrive en fond de cinquième, j’arrive tout à l’heure, Dans ce bloc, chaque jour, c’est la même douleur. Sur le sac, je dépose toute ma haine, Mais demain, j’reviens, car y’a pas d’échappatoir
salut j'essaye de me lancer dans la drill et j'aimerais bien utiliser ta prod mais j'ai jammais ecrit de textes de rap et je ais pas comment faire, ma question est la suivante peut tu m'aider s'il te plait
une vérité c'est pour défendre une cause... toi t'a su osé t'avais pas miser gros dans les yeux tu aurais déclaré forfait ne perd pas le nord sans ton étincelle beaucoup voudrai que tu cèdes laisse les parler c'est que des apprentis nous, ont s'est fait tout petit, avant de crier colère : limite à franchise, plus de ranson, pour se mettre d'accord plus de raisons pour qu'ont se raccorde de la chance on s'est accordé ça à tourner en sens inverse, est qu'est-ce qu'il en reste des bouts brisés par milliers enchaîné, déformées la réalité sans en récolter tous ce qui est éparpillés face contre terre, colère contre moi-même colère contre moi-même toute est bousillé, toute est bousillé ×2 - de la chance on s'est accordé ça à tourner en sens inverse, est qu'est-ce qu'il en reste des bouts brisés par milliers enchaîné, déformées la réalité sans en récolter tous ce qui est éparpillés face contre terre, colère contre moi-même colère contre moi-même toute est bousillé, _". " comme mon revolver qui m'attend sous terre je tiendrai tête face à moi-même avant de déclencher une guerre sans chaîne me re voilà à me rattraper avant de toucher par terre, beaucoup voudrais que je cède, genoux à terre, beaucoup voudrais que je quitte le game consciences en prise de tête on s'est condamné jusqu'à se blesser à mort de la trahison à y remédier à tort de son passé à la réalité pas beaucoup de présage qui ressort comme une balle récitant tout mes passages il la fallut d'une seule obstacle pour qu'on se dévisage portant un masque sur son vrai visage de cette belle image que tu donnais de toi ×2 instru de malade 🤯 incroyable...
❤❤❤
Hésitez pas à liker et à vous abonner 🔥🔥
T’es juste trop fort. L’instru elle est tellement puissante ma parole t’es une machine 🤝
Merci Fréro 💪🏼🔥
T’es le meilleur j’veux rien savoir pouaaaaah
merci fréro 🦾
Grosse force bebou je t’aime
👀🔥
l'instruisant est incroyable je vaiss direct la prendre
l'instru pas l'instruisant
instrumental pas instru
🔥
Niwory
Les melos j'ai failli faire un voyage astral la vie! pour les drums, dommage j'ai trouvé un petit manque d’énergie au niveau des drums mais chacun ces gouts :P t'a un drum kit bg ?
Oh hell yeah iv found the one
Intro (0:00 - 0:26)
J’arrive en fond de cinquième, j’arrive tout à l’heure,
Numéro neuf capitaine, dans la tchop, on la monte en l’air.
Sur le sac, je dépose toute ma haine,
Et vu que je dépose toute ma haine,
J’en ai plus quand je sors prendre l’air.
1er Couplet (0:27 - 1:08)
Dans l’bloc, ça pue l’échec, ça sent la misère,
Les murs parlent, mais personne veut entendre la guerre.
Les p’tits rêvent de ca$h, les grands tombent sous terre,
Et moi, j’suis là, dans le noir, en train d’perdre mes repères.
Les jours se répètent, tout s’fait en sous-marin,
Trop d’choses sur la conscience, j’sens le feu dans mes mains.
J’fais des tours, tête baissée, comme si j’fuyais le vent,
Mais c’est l’bloc qui me hante, comme un fantôme vivant.
Pré-Refrain (1:09 - 1:22)
Le silence, il tue, mais j’l’entends parler,
Chaque cri du cœur, on finit par l’étouffer.
La rue, elle frappe, et on sait encaisser,
Mais dans nos rêves, c’est toujours là qu’on veut s’barrer.
Refrain (1:23 - 1:50)
Le bloc, c’est que du stress, les nuits sont trop longues,
On cherche la lumière, mais on s’perd dans l’ombre.
Les frères tombent, mais personne n’reste debout,
À force d’vivre ici, on devient des loups.
Le bloc, c’est la peine qu’on porte sur nos dos,
Des sourires forcés, des cœurs en morceaux.
Dans ce décor, y’a pas de miracles,
Juste des âmes perdues qui rêvent de s’faire la malle.
2e Couplet (1:51 - 2:31)
J’ai grandi dans le béton, les yeux vers le ciel,
Mais les étoiles, ici, elles brillent jamais pareil.
Les anciens nous disent : “Fais gaffe à tes choix”,
Mais comment t’expliquer qu’on vit avec le poids ?
Le bloc te change, il te rend aigri,
Les cœurs s’enferment, même l’amour se délit.
Y’a plus de joie, juste des rêves qui s’cassent,
Et des âmes qui traînent, perdues dans la crasse.
Chaque soir, j’me perds dans des pensées sombres,
Le temps défile, et mes cauchemars répondent.
On a tous des cicatrices qu’on veut pas montrer,
Mais dans le bloc, la tristesse, c’est devenu inné.
Pré-Refrain 2 (2:32 - 2:45)
Le silence, il tue, mais j’l’entends parler,
Chaque cri du cœur, on finit par l’étouffer.
La rue, elle frappe, et on sait encaisser,
Mais dans nos rêves, c’est toujours là qu’on veut s’barrer.
Refrain (2:46 - 3:12)
Le bloc, c’est que du stress, les nuits sont trop longues,
On cherche la lumière, mais on s’perd dans l’ombre.
Les frères tombent, mais personne n’reste debout,
À force d’vivre ici, on devient des loups.
Le bloc, c’est la peine qu’on porte sur nos dos,
Des sourires forcés, des cœurs en morceaux.
Dans ce décor, y’a pas de miracles,
Juste des âmes perdues qui rêvent de s’faire la malle.
Outro (3:13 - 3:29)
J’arrive en fond de cinquième, j’arrive tout à l’heure,
Dans ce bloc, chaque jour, c’est la même douleur.
Sur le sac, je dépose toute ma haine,
Mais demain, j’reviens, car y’a pas d’échappatoir
salut j'essaye de me lancer dans la drill et j'aimerais bien utiliser ta prod mais j'ai jammais ecrit de textes de rap et je ais pas comment faire, ma question est la suivante peut tu m'aider s'il te plait
Salut fréro si tu veux envoie moi un message sur insta
une vérité c'est pour défendre une cause...
toi t'a su osé t'avais pas miser gros
dans les yeux tu aurais déclaré forfait
ne perd pas le nord sans ton étincelle
beaucoup voudrai que tu cèdes
laisse les parler c'est que des apprentis
nous, ont s'est fait tout petit, avant de crier colère :
limite à franchise,
plus de ranson, pour se mettre d'accord
plus de raisons pour qu'ont se raccorde
de la chance on s'est accordé
ça à tourner en sens inverse,
est qu'est-ce qu'il en reste
des bouts brisés par milliers
enchaîné,
déformées la réalité sans en récolter tous ce qui est éparpillés
face contre terre,
colère contre moi-même
colère contre moi-même
toute est bousillé,
toute est bousillé ×2
- de la chance on s'est accordé
ça à tourner en sens inverse,
est qu'est-ce qu'il en reste
des bouts brisés par milliers
enchaîné,
déformées la réalité sans en récolter tous ce qui est éparpillés
face contre terre,
colère contre moi-même
colère contre moi-même
toute est bousillé,
_". "
comme mon revolver qui m'attend sous terre
je tiendrai tête face à moi-même
avant de déclencher une guerre
sans chaîne me re voilà à me rattraper
avant de toucher par terre,
beaucoup voudrais que je cède,
genoux à terre,
beaucoup voudrais que je quitte le game
consciences en prise de tête
on s'est condamné
jusqu'à se blesser à mort
de la trahison à y remédier à tort
de son passé à la réalité
pas beaucoup de présage
qui ressort comme une balle
récitant tout mes passages
il la fallut d'une seule obstacle
pour qu'on se dévisage
portant un masque sur son vrai visage
de cette belle image que tu donnais de toi ×2
instru de malade 🤯
incroyable...
Merci Fréro 💪🏼
Slt ça va chef tu pourrais m aide à écrire pour un rap stp
974