Merci pour ce… non, ce n'est pas un documentaire, mais un poème en images. Bravo pour le sans-paroles & le choix des musiques. La séquence des deux pêcheurs qui relèvent la nasse est très émouvante : quelle fragilité ! quelle ténacité ! Le premier oiseau était bien une grive ? D'abord, il m'a paru plus petit, mais avec le gros plan, j'ai bien eu l'impression d'une grive ; content de retrouver les craves à bec rouge, que j'avais découverts à Belle-Ile (côté océan). Et ces plans du scintillement de la mer ! Indispensable si l'on veut restituer la magie de la visite. Une seule critique, toute petite : renoncez aux accélérés, svp ! Cette précipitation des rides de la mer qui avancent à tout vitesse par temps calme, est un peu une profanation de sa majesté Je conçois qu'on soit impatient devant le coucher du soleil ; mais ne vaut-il pas mieux une succession de plans fixes ? De toute façon, au mois d'août, vous ne l'aurez jamais, ou alors vous êtes des heureux élus du rayon vert ! Il y aura toujours une barre de nuages à l'horizon qui nous empêchera de vérifier son existence. À propos, jamais trop longs, les plans fixes,, en vue plongeante sur le bas des falaises, pour nous fasciner au jeu de l'eau sur les rochers, tous ces remuements sublimes ; vous pourriez m'y faire rester des minutes & des minutes, même en mode web-cam ! Finalement, la pointe du Van est plus photogénique que la pointe du Raz, dont il est bien difficile de rendre le sentiment d'horreur sacrée : celui d'un monstre qui s'enfonce dans les flots, dont seul émerge le dos crêté ; plus photogénique, & plus classique, la pointe du Van, & plus généreuse, qui donne tout à voir ; mais justement : après la visite, toujours un peu frustrante, à la pointe du Raz, inaccessible au fond, cela fait du bien d'aller faire des photos à la pointe du Van ! À propos de monstre, vous avez bien fait de vous attarder sur le lézard, qui a un côté dinosaurien accentué ; un vieil individu, ou une espèce à part ? Merci encore, & bravo.
Merci pour ce… non, ce n'est pas un documentaire, mais un poème en images. Bravo pour le sans-paroles & le choix des musiques. La séquence des deux pêcheurs qui relèvent la nasse est très émouvante : quelle fragilité ! quelle ténacité ! Le premier oiseau était bien une grive ? D'abord, il m'a paru plus petit, mais avec le gros plan, j'ai bien eu l'impression d'une grive ; content de retrouver les craves à bec rouge, que j'avais découverts à Belle-Ile (côté océan). Et ces plans du scintillement de la mer ! Indispensable si l'on veut restituer la magie de la visite.
Une seule critique, toute petite : renoncez aux accélérés, svp ! Cette précipitation des rides de la mer qui avancent à tout vitesse par temps calme, est un peu une profanation de sa majesté Je conçois qu'on soit impatient devant le coucher du soleil ; mais ne vaut-il pas mieux une succession de plans fixes ? De toute façon, au mois d'août, vous ne l'aurez jamais, ou alors vous êtes des heureux élus du rayon vert ! Il y aura toujours une barre de nuages à l'horizon qui nous empêchera de vérifier son existence. À propos, jamais trop longs, les plans fixes,, en vue plongeante sur le bas des falaises, pour nous fasciner au jeu de l'eau sur les rochers, tous ces remuements sublimes ; vous pourriez m'y faire rester des minutes & des minutes, même en mode web-cam !
Finalement, la pointe du Van est plus photogénique que la pointe du Raz, dont il est bien difficile de rendre le sentiment d'horreur sacrée : celui d'un monstre qui s'enfonce dans les flots, dont seul émerge le dos crêté ; plus photogénique, & plus classique, la pointe du Van, & plus généreuse, qui donne tout à voir ; mais justement : après la visite, toujours un peu frustrante, à la pointe du Raz, inaccessible au fond, cela fait du bien d'aller faire des photos à la pointe du Van !
À propos de monstre, vous avez bien fait de vous attarder sur le lézard, qui a un côté dinosaurien accentué ; un vieil individu, ou une espèce à part ?
Merci encore, & bravo.
merci
Quel est le titre de la musique utilisée ?
l'homme n'est pas fait pour vivre là ( flaubert ); dans ces jeux de forces l'humain est une incongruité.