@@leodepuydt308 Another worthy but mostly ignored composer is Ludwig LeBrun. He composed six excellent oboe concertos that I think are the best by any classical composer. If you are curious just search for Lebrun oboe concerto played by Bart Schneemann who has the best recording of these masterpieces.
Elegante e raffinato compositore ,per il quale ci siamo consentiti di elaborare per orchestra di fiati alcune Overture ,tra le quali ARTEMISIA,sua ultima opera rimasta incompiuta. IMG ED. MUSICALI.
Thankyou for introducing my unknown work and composer. Contact with works other than the well−known works is fresh and stimulates curiosity. My impression is unfathomable depths From Tokyo
Never heard of Cimerosa, just discovered him, I love his music - so simple in structure, and melodic - easy to listen to - but touches your soul with its dignity and simplicity
Beautiful! I wasn't entirely aware that L'Arte dell'Arco played the classical repertoire. They're normally lean, one-to-a-part group. This music sounds very lean indeed.
wunderschönes Konzert, wonderfull, bella musica. Cimaros wird leider zuwenig gespielt, er war auch Opernkomponist. Wir haben soviel, wirklich hochwertige, schöne Musik aber man bringt meist nur Schund. In vergangenen Jahrhunderten war diese Musik fester Kulturbestandteil (auch im allgemeinem Volk), heute verdirbt man die Musikkultur und die Zuhörer indem man viel zuwenig gute Musik bringt und das Volk mit "Kitsch" vollfüttert !
the third mvt of this to me was very much Mozart like. Had you told me a teenage/20s Mozart composed that movement... I wouldn't have questioned it. it amazes me how many composers back then sounded alike at times
Domenico Cimarosa Compositeur italien, Né le 17 décembre 1749 à Aversa (royaume de Naples), Décédé le 11 janvier 1801 à Venise. Biographie Domenico Cimarosa Ses parents sont pauvres (le père est maçon et la mère fait des ménages), mais ils veulent lui donner la meilleure instruction possible. Lorsqu'ils s'installent à Naples ils l'envoient dans une école religieuse dépendant du monastère San Severo dei Patri Conventuali. Il y a là un organiste, le père Polcano, qui, frappé par les dons musicaux et l'intelligence du jeune garçon, prend à cœur de lui apprendre les bases de la musique ainsi que la littérature italienne, ancienne et moderne. Grâce à lui, Cimarosa est admis comme élève au conservatoire de Santa Maria di Loreto, où il reste onze années, étudiant particulièrement l'œuvre des grands compositeurs italiens. Il apprend le chant, le violon et les instruments à clavier. Grâce au castrat Giuseppe Aprile qui s'est pris d'amitié pour lui, il étudie les œuvres de Pergolese, Piccini et Sacchini. À 23 ans, Cimarosa débute sa carrière de compositeur avec un opéra-bouffe intitulé Le Stravaganze del Conte1 dont la première représentation a lieu en 1772 au Teatro dei Fiorentini de Naples. Cette œuvre est suivie la même année par Le Pazzie di Stelladaura e di Zoroastro, une farce marquée par l'humour et la fantaisie qui rencontre le succès. La renommée du jeune compositeur commence à se répandre dans toute l'Italie. On l'invite à Rome pour qu'il y produise un opéra pour la saison théâtrale de cette année-là. Ce fut une autre œuvre comique L'Italiana in Londra (1749) Pendant les treize années suivantes, aucun fait marquant n'est à noter dans la vie et la carrière de Cimarosa, sinon qu'il écrit de nombreux opéras pour les différentes scènes italiennes, résidant à Rome, Naples ou là où l'appelle son travail. De 1784 à 1787, Cimarosa vit à Florence et se consacre entièrement à composer pour l'opéra de cette ville. Les œuvres de cette période sont nombreuses, principalement des opéras, comiques ou seria, des cantates, et d'autres compositions sacrées parmi lesquelles un très beauRequiem (Missa pro Defunctis), l'opéra seria Caio Mario, des oratorios bibliques Assalone, La Giuditta et Il Sacrificio d'Abramo, ainsi que Il Convito di Pietra et La Ballerina amante, opéra comique créé à Venise et plus de 80 sonates pour clavecin dont 32 seront publiées pour la première fois à Paris par F. Boghen en 1926 ; elles obtiendront un grand succès. Au cours du voyage en Italie, Goethe assiste à une représentation de L'Impresario in Angustie5, petit chef-d'œuvre d'opéra bouffe en un acte qui met en scène un directeur d'opéra aux prises avec les caprices de ses divas. De retour en Allemagne l'illustre écrivain traduit le livret et fait jouer l'œuvre en 1791 au théâtre de Weimar dont il est devenu directeur. Entre temps, la renommée de Cimarosa s'est répandue dans toute l'Europe et plusieurs souverains désirent l'attirer à leur cour. Vers 1788, Cimarosa se rend àSaint-Pétersbourg à l'invitation de Catherine II. Il y restera quatre ans, obtenant la nationalité autrichienne et russe et composant énormément. On estime à 70 le nombre d'opéras qu'il aurait composés dont les noms de certains sont perdus. En 1792, Cimarosa quitte Saint-Pétersbourg pour Vienne à la demande de Leopold II. C'est devant l'empereur et toute la Cour qu'il produit son chef d'œuvre, Il matrimonio segreto6, sur un livret de Giovanni Bertati, pétillant d'humour et de finesse, qui prend rang parmi les compositions les plus achevées de la musique vocale profane. Fait unique dans l'histoire de l'opéra, l'œuvre sera bissée intégralement le soir même de la première à la demande de l'empereur. En 1793, Cimarosa retourne à Naples, où Il Matrimonio segreto et ses autres opéras sont acclamés par une foule de connaisseurs enthousiastes. Il faudra attendre Rossini pour retrouver un tel succès. Parmi les compositions du dernier séjour napolitain de Cimarosa on doit mentionner le charmant opéra Le Astuzie femminili 7. Cette période de sa vie est assombrie par les intrigues d'envieux dont son vieux rival Paisiello. Républicain convaincu, partisan de l'unité italienne, Cimarosa salue la proclamation de l'éphémère République parthénopéenne par les troupes françaises (1799) et compose un hymne patriotique pour une cérémonie durant laquelle on brûle symboliquement le drapeau des Bourbons. Lors de la restauration de la monarchie, il s'empresse de composer un hymne dédié au roi Ferdinand IV ce qui n'empêche pas lle cardinal Ruffo de le faire emprisonner durant quatre mois. Grâce à l'intercession d'admirateurs influents, sa sentence est commuée en bannissement, et il quitte Naples avec l'intention de retourner à Saint-Pétersbourg. Mais sa santé est déclinante et il meurt à Venise d'une inflammation des intestins le 11 janvier 1801. Une plaque sur la façade du Palais Duodo, Campo Sant'Angelo, commémore son décès. La popularité de Cimarosa, sa réputation d'opposant politique et la nature du mal qui l'a emporté firent naître une rumeur tenace d'empoisonnement. Une enquête officielle menée par le docteur Piccioli, médecin personnel du pape, viendra bientôt la démentir. Un demi-siècle avant Verdi, Cimarosa fut le plus engagé politiquement des musiciens italiens. Son dernier opéra, Artemizia, restera inachevé. Une remarquable faculté d'invention mélodique, la maîtrise de la forme, une utilisation parfaite et sans excès de l'instrument vocal soutenu par une orchestration sans faille, font de Cimarosa le plus parfait exemple du musicien classique de qualité. Il fut aussi un des premiers compositeurs d'opéra à attacher beaucoup d'importance à la qualité de l'intrigue et du livret. Entre les Noces de Figaro de Mozart et le Barbier de Séville de Rossini, Le Mariage secret, chef-d'œuvre de Domenico Cimarosa, occupe une place privilégiée. fr.wikipedia.org/wiki/Domenico_Cimarosa Pour écouter une autre publication de cet artiste se reporter au lien ci-dessous : th-cam.com/video/7o_athU1mN0/w-d-xo.html
Cimarosa composed 61 piano sonatas and a piano concerto. As a pianist, I can only vote for him. Rossini was an excellent pianist and wrote great piano music, but only very little of it.
Some parts of the starting of the second movement of this piano concerto reminds me the fourth movement of Beethoven's 9th symphony. I mean the Recitativo "O freunde, nicht diese Töne".
Sticking my $0.02(US) into the "period instruments" discussion: I think is Karl Haas (Adventures in Good Music, a daily program on WQXR in the 60's) once played a movement from one of the Mozart horn concertos, first played on a modern valve horn, then on a Mozart-era horn, where the performer changed the pitch by sticking his fist into the bell. The latter sounded a LOT better - more exciting and spirited. My bias is showing, no doubt, but I do tend to favor period instruments. On the other hand, in *this* performance, the pianoforte is overpowered by the orchestra, like in an unbalanced guitar concerto. It gives me the impression that the piano and orchestra parts were recorded separately and dubbed.
I would agree. Had to keep cranking up the volume for the piano, and backing it down for the rest. Still a great piece though. Karl Haas was a great influence on me. Always listened to him, but this was the 80's in my case. My mom still has many cassette recordings of his programs. Thanks for posting.
I have fond memories of Karl Haas's program as well. It really fueled my love of classical music. He told so many wonderful stories about classical music.
I listened to Karl Hass every opportunity that I could. I learned a lot from him. I once wrote to him suggesting that he should do an "Adventures in Bad Music" for an April Fool's day program but apparently his sense of humor was lacking. I still listened anyway.
CAMBIARON EL CONCIERTO DEE PIANO DE CIMAROSA ESTE ES OTRO EL OTRO ERA MAS MARAVILLOSO LO TENGO EN LA MEMORIA LO ESCUCHE MUCHO EL OTRO.................................DE CHILE
A quei tempi non esisteva il concetto di "plagio" come lo intendiamo noi. E sí, Mozart prese tantissimo dai compositori di scuola italiana e napoletana
@@federicocapobianco9450 il plagio... già solo questa affermazione sarebbe motivo per un TSO. La profondità, le geniali novità delle composizioni mozartiane non sono nemmeno lontanamente comparabili alle pur valide melodie dei vari Cimarosa e compagnia. Abbiate almeno un po' di pudore se non vergogna....
@@paolo.s1756novità? Genialitá, sí, certo. Ma novitá, dove? Mozart non inventò un bel niente. E prese tantissimo da questi compositori della scuola italiana e napoletana, altro che no.
Che freschezza di idee! questa si che è musica! grande Cimarosa!
Cimarosa'a music is never dull and has lots of vigor and upbeat tunes. A very talented composer who should be heard more often.
Cimarosa was mainly known for his operas, but he also wrote some fine concertos for flute and other instruments.
Brian Knapp z
Better than Mozart, a composer who should be heard less often.
@@leodepuydt308 Another worthy but mostly ignored composer is Ludwig LeBrun. He composed six excellent oboe concertos that I think are the best by any classical composer. If you are curious just search for Lebrun oboe concerto played by Bart Schneemann who has the best recording of these masterpieces.
Elegante e raffinato compositore ,per il quale ci siamo consentiti di elaborare per orchestra di fiati alcune Overture ,tra le quali ARTEMISIA,sua ultima opera rimasta incompiuta. IMG ED. MUSICALI.
Among the first composers i had ever listened. Magnifico. The golden age of art!
Thankyou for introducing my unknown work and composer.
Contact with works other than the well−known works is fresh and stimulates curiosity.
My impression is unfathomable depths
From Tokyo
Never heard of Cimerosa, just discovered him, I love his music - so simple in structure, and melodic - easy to listen to - but touches your soul with its dignity and simplicity
Beautiful! I wasn't entirely aware that L'Arte dell'Arco played the classical repertoire. They're normally lean, one-to-a-part group. This music sounds very lean indeed.
Armonioso virtuosismo.!!
Belíssimo exemplo da Escola Napolitana, é pura diversão giocosa!
Wonderful composition, beautifully played ... Thank you very much for the upload
UNA JOYA MUSICAL DE EXQUISITA SENSIBILIDAD CREO QUE DE ESTA PIEZA APRENDIO MOZART MUCHO.........................DE CHILE
wunderschönes Konzert, wonderfull, bella musica. Cimaros wird leider zuwenig gespielt, er war auch Opernkomponist. Wir haben soviel, wirklich hochwertige, schöne Musik aber man bringt meist nur Schund. In vergangenen Jahrhunderten war diese Musik fester Kulturbestandteil (auch im allgemeinem Volk), heute verdirbt man die Musikkultur und die Zuhörer indem man viel zuwenig gute Musik bringt und das Volk mit "Kitsch" vollfüttert !
Er war vor allem Komponist von Opern, überwiegend von Opere Buffe.
Selfie with a pop-star was popular even back then. (painter + Farinelli)
What a magnificent concerto.
Another fine piece from this composer that I only know about from your precious posts. Thanks for another one KD. 👏👏🎶😊
bellisimo concierto, gracias
Thank you very much. A huge new discovery for me.
linda y refinada obra
magnifisent
Sounds like ELECTRONIC performance
Gracias !
Cimarosa is 'n regte staatmaker. Altyd mooi musiek.
Thank you
DC wrote 88 keyboard sonatas and I performed and recorded some. DC was living in St.Petersburg, Russia
Hey, i'm again here. Sad to see not many is in to classics....
Pergolesi, Jommelli, Paisiello, Cimarosa
Napoli!
COOL
the third mvt of this to me was very much Mozart like. Had you told me a teenage/20s Mozart composed that movement... I wouldn't have questioned it. it amazes me how many composers back then sounded alike at times
Domenico Cimarosa
Compositeur italien,
Né le 17 décembre 1749 à Aversa (royaume de Naples),
Décédé le 11 janvier 1801 à Venise.
Biographie
Domenico Cimarosa
Ses parents sont pauvres (le père est maçon et la mère fait des ménages), mais ils veulent lui donner la meilleure instruction possible. Lorsqu'ils s'installent à Naples ils l'envoient dans une école religieuse dépendant du monastère San Severo dei Patri Conventuali. Il y a là un organiste, le père Polcano, qui, frappé par les dons musicaux et l'intelligence du jeune garçon, prend à cœur de lui apprendre les bases de la musique ainsi que la littérature italienne, ancienne et moderne. Grâce à lui, Cimarosa est admis comme élève au conservatoire de Santa Maria di Loreto, où il reste onze années, étudiant particulièrement l'œuvre des grands compositeurs italiens. Il apprend le chant, le violon et les instruments à clavier. Grâce au castrat Giuseppe Aprile qui s'est pris d'amitié pour lui, il étudie les œuvres de Pergolese, Piccini et Sacchini.
À 23 ans, Cimarosa débute sa carrière de compositeur avec un opéra-bouffe intitulé Le Stravaganze del Conte1 dont la première représentation a lieu en 1772 au Teatro dei Fiorentini de Naples. Cette œuvre est suivie la même année par Le Pazzie di Stelladaura e di Zoroastro, une farce marquée par l'humour et la fantaisie qui rencontre le succès. La renommée du jeune compositeur commence à se répandre dans toute l'Italie. On l'invite à Rome pour qu'il y produise un opéra pour la saison théâtrale de cette année-là. Ce fut une autre œuvre comique L'Italiana in Londra (1749)
Pendant les treize années suivantes, aucun fait marquant n'est à noter dans la vie et la carrière de Cimarosa, sinon qu'il écrit de nombreux opéras pour les différentes scènes italiennes, résidant à Rome, Naples ou là où l'appelle son travail. De 1784 à 1787, Cimarosa vit à Florence et se consacre entièrement à composer pour l'opéra de cette ville.
Les œuvres de cette période sont nombreuses, principalement des opéras, comiques ou seria, des cantates, et d'autres compositions sacrées parmi lesquelles un très beauRequiem (Missa pro Defunctis), l'opéra seria Caio Mario, des oratorios bibliques Assalone, La Giuditta et Il Sacrificio d'Abramo, ainsi que Il Convito di Pietra et La Ballerina amante, opéra comique créé à Venise et plus de 80 sonates pour clavecin dont 32 seront publiées pour la première fois à Paris par F. Boghen en 1926 ; elles obtiendront un grand succès.
Au cours du voyage en Italie, Goethe assiste à une représentation de L'Impresario in Angustie5, petit chef-d'œuvre d'opéra bouffe en un acte qui met en scène un directeur d'opéra aux prises avec les caprices de ses divas. De retour en Allemagne l'illustre écrivain traduit le livret et fait jouer l'œuvre en 1791 au théâtre de Weimar dont il est devenu directeur. Entre temps, la renommée de Cimarosa s'est répandue dans toute l'Europe et plusieurs souverains désirent l'attirer à leur cour. Vers 1788, Cimarosa se rend àSaint-Pétersbourg à l'invitation de Catherine II. Il y restera quatre ans, obtenant la nationalité autrichienne et russe et composant énormément. On estime à 70 le nombre d'opéras qu'il aurait composés dont les noms de certains sont perdus. En 1792, Cimarosa quitte Saint-Pétersbourg pour Vienne à la demande de Leopold II. C'est devant l'empereur et toute la Cour qu'il produit son chef d'œuvre, Il matrimonio segreto6, sur un livret de Giovanni Bertati, pétillant d'humour et de finesse, qui prend rang parmi les compositions les plus achevées de la musique vocale profane. Fait unique dans l'histoire de l'opéra, l'œuvre sera bissée intégralement le soir même de la première à la demande de l'empereur. En 1793, Cimarosa retourne à Naples, où Il Matrimonio segreto et ses autres opéras sont acclamés par une foule de connaisseurs enthousiastes. Il faudra attendre Rossini pour retrouver un tel succès. Parmi les compositions du dernier séjour napolitain de Cimarosa on doit mentionner le charmant opéra Le Astuzie femminili 7. Cette période de sa vie est assombrie par les intrigues d'envieux dont son vieux rival Paisiello. Républicain convaincu, partisan de l'unité italienne, Cimarosa salue la proclamation de l'éphémère République parthénopéenne par les troupes françaises (1799) et compose un hymne patriotique pour une cérémonie durant laquelle on brûle symboliquement le drapeau des Bourbons. Lors de la restauration de la monarchie, il s'empresse de composer un hymne dédié au roi Ferdinand IV ce qui n'empêche pas lle cardinal Ruffo de le faire emprisonner durant quatre mois. Grâce à l'intercession d'admirateurs influents, sa sentence est commuée en bannissement, et il quitte Naples avec l'intention de retourner à Saint-Pétersbourg. Mais sa santé est déclinante et il meurt à Venise d'une inflammation des intestins le 11 janvier 1801. Une plaque sur la façade du Palais Duodo, Campo Sant'Angelo, commémore son décès. La popularité de Cimarosa, sa réputation d'opposant politique et la nature du mal qui l'a emporté firent naître une rumeur tenace d'empoisonnement. Une enquête officielle menée par le docteur Piccioli, médecin personnel du pape, viendra bientôt la démentir. Un demi-siècle avant Verdi, Cimarosa fut le plus engagé politiquement des musiciens italiens. Son dernier opéra, Artemizia, restera inachevé.
Une remarquable faculté d'invention mélodique, la maîtrise de la forme, une utilisation parfaite et sans excès de l'instrument vocal soutenu par une orchestration sans faille, font de Cimarosa le plus parfait exemple du musicien classique de qualité. Il fut aussi un des premiers compositeurs d'opéra à attacher beaucoup d'importance à la qualité de l'intrigue et du livret. Entre les Noces de Figaro de Mozart et le Barbier de Séville de Rossini, Le Mariage secret, chef-d'œuvre de Domenico Cimarosa, occupe une place privilégiée.
fr.wikipedia.org/wiki/Domenico_Cimarosa
Pour écouter une autre publication de cet artiste se reporter au lien ci-dessous :
th-cam.com/video/7o_athU1mN0/w-d-xo.html
Heitere Musik - liebe ich - da kommt keine Depri auf ;-)
Cimarosa composed 61 piano sonatas and a piano concerto. As a pianist, I can only vote for him. Rossini was an excellent pianist and wrote great piano music, but only very little of it.
私の未知の作品の紹介に感謝します。
very nice
The first opera with a singing keyboard
Ahahah that's true!
mARAVILLOSO aqui ya esta gestandose mozart............................... de chile
Some parts of the starting of the second movement of this piano concerto reminds me the fourth movement of Beethoven's 9th symphony. I mean the Recitativo "O freunde, nicht diese Töne".
👏👏👏👏👏👏👏👏🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹
Sticking my $0.02(US) into the "period instruments" discussion:
I think is Karl Haas (Adventures in Good Music, a daily program on WQXR in the 60's) once played a movement from one of the Mozart horn concertos, first played on a modern valve horn, then on a Mozart-era horn, where the performer changed the pitch by sticking his fist into the bell. The latter sounded a LOT better - more exciting and spirited.
My bias is showing, no doubt, but I do tend to favor period instruments. On the other hand, in *this* performance, the pianoforte is overpowered by the orchestra, like in an unbalanced guitar concerto. It gives me the impression that the piano and orchestra parts were recorded separately and dubbed.
I would agree. Had to keep cranking up the volume for the piano, and backing it down for the rest. Still a great piece though. Karl Haas was a great influence on me. Always listened to him, but this was the 80's in my case. My mom still has many cassette recordings of his programs. Thanks for posting.
I have fond memories of Karl Haas's program as well. It really fueled my love of classical music. He told so many wonderful stories about classical music.
I listened to Karl Hass every opportunity that I could. I learned a lot from him. I once wrote to him suggesting that he should do an "Adventures in Bad Music" for an April Fool's day program but apparently his sense of humor was lacking. I still listened anyway.
W Cimarosa
CAMBIARON EL CONCIERTO DEE PIANO DE CIMAROSA ESTE ES OTRO EL OTRO ERA MAS MARAVILLOSO LO TENGO EN LA MEMORIA LO ESCUCHE MUCHO EL OTRO.................................DE CHILE
it is a pity one finds n o w h e r e his Maestro di Capella.
Bellissimo, großartig, geweldig, прекрасная, etc., you can say... except that it's only a bit less boring than Czerny, sorry. It is, though.
But it is not good as Mozart. Sorry,
Mozart copiava da CImarosa?
Sì, lo ha sempre fatto, sin da quando aveva 2 anni
però non paragoniamo questo concerto ai migliori di Mozart...
A quei tempi non esisteva il concetto di "plagio" come lo intendiamo noi. E sí, Mozart prese tantissimo dai compositori di scuola italiana e napoletana
@@magbag70 Why not?
nulla da invidiare a mozart.
Infatti. Del resto Mozart ha plagiato vari musicisti di scuola napoletana in particolare Anfossi.
...solo la genialità !
@@federicocapobianco9450 il plagio... già solo questa affermazione sarebbe motivo per un TSO. La profondità, le geniali novità delle composizioni mozartiane non sono nemmeno lontanamente comparabili alle pur valide melodie dei vari Cimarosa e compagnia. Abbiate almeno un po' di pudore se non vergogna....
@@paolo.s1756novità? Genialitá, sí, certo. Ma novitá, dove? Mozart non inventò un bel niente. E prese tantissimo da questi compositori della scuola italiana e napoletana, altro che no.