#pasdeclimatsanseau Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu’avec le dérèglement climatique, il n’y aura pas moins d’eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l’hiver et sécheresse l’été, exactement le scénario qui s’installe durablement en France et partout dans le monde. Une pluie même forte n’est pas un raz de marée mais elle le devient automatiquement quand on ne régule pas les ruissellements en amont des bassins versants. Le bon sens aurait voulu qu’on anticipe en construisant des retenues en amont des villes pour maintenir un débit acceptable et plus régulier en aval tout au long de l’année, mais depuis quelques années l’administration ordonne la destruction des ouvrages sur les rivières au nom de la continuité écologique, ce qui a amplifié massivement un phénomène parfaitement prévisible : quand l’eau s’écoule plus vite elle s’écoule moins longtemps ! La France et l'Europe font systématiquement et méthodiquement l'inverse de ce qu'il faut faire, à commencer par détruire les barrages quand on manque d'eau et d'énergie ...
#pasdeclimatsanseau Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu’avec le dérèglement climatique, il n’y aura pas moins d’eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l’hiver et sécheresse l’été, exactement le scénario qui s’installe durablement en France et partout dans le monde. Une pluie même forte n’est pas un raz de marée mais elle le devient automatiquement quand on ne régule pas les ruissellements en amont des bassins versants. Le bon sens aurait voulu qu’on anticipe en construisant des retenues en amont des villes pour maintenir un débit acceptable et plus régulier en aval tout au long de l’année, mais depuis quelques années l’administration ordonne la destruction des ouvrages sur les rivières au nom de la continuité écologique, ce qui a amplifié massivement un phénomène parfaitement prévisible : quand l’eau s’écoule plus vite elle s’écoule moins longtemps ! La France et l'Europe font systématiquement et méthodiquement l'inverse de ce qu'il faut faire, à commencer par détruire les barrages quand on manque d'eau et d'énergie ...
Bonjour, Il est vrai que la répartition des précipitations évolue et continuera à évoluer. La création de retenue pourrait apparaitre comme une solution logique. Cependant ces retenues modifient profondément l’équilibre des écosystèmes naturels (perte d’habitat, évaporation, réchauffement de l’eau…). Les enjeux d’un territoire ne peuvent se résumer à un enjeu économique de production d’énergie. Certains plans d’eau ne présentent plus aucun usage ou enjeu économique, et peuvent parfois être à l’abandon. Dans ces cas il parait normal d’évaluer la possibilité de supprimer l’ouvrage pour permettre au cours d’eau de retrouver son fonctionnement hydrologique naturel. De plus, les problèmes de continuité écologiques ne se limitent pas au plan d’eau. Par exemple, sur les têtes de bassin de Haute - Corrèze les ouvrages de voiries « anciens » de type buses vont également fragmenter les milieux et ainsi empêcher les truites d’accéder à leurs zones de fraies. Avec le dérèglement climatique, les événements extrêmes sont effectivement amenés à se multiplier. Ralentir les écoulements depuis l’amont pour limiter les dommages dans les zones plus urbanisées en aval est un enjeu primordial. Le reméandrage des cours d’eau ou encore le dé-drainage des zones anciennement humides, sont des solutions (fondées sur la Nature) au problème que vous évoquez : l’écoulement trop brutal et rapide des eaux. Le service eau et milieux naturels - Haute-Corrèze Communauté
#pasdeclimatsanseau Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu’avec le dérèglement climatique, il n’y aura pas moins d’eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l’hiver et sécheresse l’été, exactement le scénario qui s’installe durablement en France et partout dans le monde. Une pluie même forte n’est pas un raz de marée mais elle le devient automatiquement quand on ne régule pas les ruissellements en amont des bassins versants. Le bon sens aurait voulu qu’on anticipe en construisant des retenues en amont des villes pour maintenir un débit acceptable et plus régulier en aval tout au long de l’année, mais depuis quelques années l’administration ordonne la destruction des ouvrages sur les rivières au nom de la continuité écologique, ce qui a amplifié massivement un phénomène parfaitement prévisible : quand l’eau s’écoule plus vite elle s’écoule moins longtemps ! La France et l'Europe font systématiquement et méthodiquement l'inverse de ce qu'il faut faire, à commencer par détruire les barrages quand on manque d'eau et d'énergie ...
#pasdeclimatsanseau Depuis plus de 30 ans les climatologues disent bien, qu’avec le dérèglement climatique, il n’y aura pas moins d’eau mais une dégradation de la répartition annuelle des pluies : inondations l’hiver et sécheresse l’été, exactement le scénario qui s’installe durablement en France et partout dans le monde. Une pluie même forte n’est pas un raz de marée mais elle le devient automatiquement quand on ne régule pas les ruissellements en amont des bassins versants. Le bon sens aurait voulu qu’on anticipe en construisant des retenues en amont des villes pour maintenir un débit acceptable et plus régulier en aval tout au long de l’année, mais depuis quelques années l’administration ordonne la destruction des ouvrages sur les rivières au nom de la continuité écologique, ce qui a amplifié massivement un phénomène parfaitement prévisible : quand l’eau s’écoule plus vite elle s’écoule moins longtemps ! La France et l'Europe font systématiquement et méthodiquement l'inverse de ce qu'il faut faire, à commencer par détruire les barrages quand on manque d'eau et d'énergie ...
Bonjour,
Il est vrai que la répartition des précipitations évolue et continuera à évoluer. La création de retenue pourrait apparaitre comme une solution logique. Cependant ces retenues modifient profondément l’équilibre des écosystèmes naturels (perte d’habitat, évaporation, réchauffement de l’eau…). Les enjeux d’un territoire ne peuvent se résumer à un enjeu économique de production d’énergie.
Certains plans d’eau ne présentent plus aucun usage ou enjeu économique, et peuvent parfois être à l’abandon. Dans ces cas il parait normal d’évaluer la possibilité de supprimer l’ouvrage pour permettre au cours d’eau de retrouver son fonctionnement hydrologique naturel. De plus, les problèmes de continuité écologiques ne se limitent pas au plan d’eau. Par exemple, sur les têtes de bassin de Haute - Corrèze les ouvrages de voiries « anciens » de type buses vont également fragmenter les milieux et ainsi empêcher les truites d’accéder à leurs zones de fraies.
Avec le dérèglement climatique, les événements extrêmes sont effectivement amenés à se multiplier. Ralentir les écoulements depuis l’amont pour limiter les dommages dans les zones plus urbanisées en aval est un enjeu primordial. Le reméandrage des cours d’eau ou encore le dé-drainage des zones anciennement humides, sont des solutions (fondées sur la Nature) au problème que vous évoquez : l’écoulement trop brutal et rapide des eaux.
Le service eau et milieux naturels - Haute-Corrèze Communauté