Extrait du livre "GEORGES GARVARENTZ ET LA MUSIQUE DE FILM" (Ed Ménadès) de Daniel Bastié Scénariste, réalisateur et producteur, Sergio Gobbi s’était mis en tête de rassembler quelques valeurs sûres pour donner vie à « Le temps des loups » (1970), polar à la française qui oppose l’amitié au sens du devoir. Deux copains d’enfance ont bien grandi, empruntant chacun une voie différente. Si Kramer (Charles Aznavour) a choisi celle de la justice en devenant commissaire de police, Robert (Robert Hossein) surnommé « Dillinger » s’est retrouvé à la tête d’un gang qui multiplie les braquages audacieux. Après un casse lucratif, la bande se retire sur la Côte d’Azur, afin de prendre du bon temps et mener la grande vie. Au casino de Nice, le cerveau du groupe s’éprend de Stella Manzoni (Virna Lisi) qui, par amour, décide de le suivre dans son existence d’homme recherché par tous les flics de France. Après un temps de romance passionnée, Dillinger sent qu’il doit se remettre en activité. Malheureusement, l’opération ne se déroule pas selon les plans. Deux de ses hommes sont abattus. Contraints de prendre la fuite, le truand et sa compagne se réfugient dans une auberge. Dénoncés, ils n’ont guère de choix que celui d’ouvrir le feu sur les gendarmes, espérant une nouvelle fois échapper aux menottes. Fauchée par un tir, Stella s’écroule, tandis que Robert est présenté à un juge d’instruction. Transféré au Palais de Justice, il parvient néanmoins à se faire la belle, en empruntant une robe d’avocat. Besogneux, Kramer connaît ses habitudes et préfère l’arrêter en douceur plutôt que de laisser ses collègues s’en charger. Acculé, son ancien compagnon d’école serait prêt à tout. Lui seul pourrait, peut-être, l’amener à un minimum de discernement. Difficile de se séparer de souvenirs vivaces, en feignant les oublier. Traqué, Dillinger se retrouve coincé sur un quai de gare. Que faire ? Lâcher son revolver et lever les bras ou tenter une ultime salve ? Sans réfléchir, il vise ceux qui lui font face et abat une mère et son enfant. Kramer comprend qu’il n’a pas d’autre choix que celui d’éviter un carnage. Il pointe son arme et tire.
Film excellent du duo Robert hossein et virna lizi
They don't make em like this no more. This is coming from a young dude too haha
Extrait du livre "GEORGES GARVARENTZ ET LA MUSIQUE DE FILM" (Ed Ménadès) de Daniel Bastié
Scénariste, réalisateur et producteur, Sergio Gobbi
s’était mis en tête de rassembler quelques valeurs sûres pour donner vie à
« Le temps des loups » (1970), polar à la française qui oppose
l’amitié au sens du devoir. Deux copains d’enfance ont bien grandi, empruntant
chacun une voie différente. Si Kramer (Charles Aznavour) a choisi celle de la
justice en devenant commissaire de police, Robert (Robert Hossein) surnommé
« Dillinger » s’est retrouvé à la tête d’un gang qui multiplie les
braquages audacieux. Après un casse lucratif, la bande se retire sur la Côte
d’Azur, afin de prendre du bon temps et mener la grande vie. Au casino de Nice,
le cerveau du groupe s’éprend de Stella Manzoni (Virna Lisi) qui, par amour,
décide de le suivre dans son existence d’homme recherché par tous les flics de
France. Après un temps de romance passionnée, Dillinger sent qu’il doit se
remettre en activité. Malheureusement, l’opération ne se déroule pas selon les
plans. Deux de ses hommes sont abattus. Contraints de prendre la fuite, le
truand et sa compagne se réfugient dans une auberge. Dénoncés, ils n’ont guère
de choix que celui d’ouvrir le feu sur les gendarmes, espérant une nouvelle
fois échapper aux menottes. Fauchée par un tir, Stella s’écroule, tandis que
Robert est présenté à un juge d’instruction. Transféré au Palais de Justice, il
parvient néanmoins à se faire la belle, en empruntant une robe d’avocat.
Besogneux, Kramer connaît ses habitudes et préfère l’arrêter en douceur plutôt
que de laisser ses collègues s’en charger. Acculé, son ancien compagnon d’école
serait prêt à tout. Lui seul pourrait, peut-être, l’amener à un minimum de
discernement. Difficile de se séparer de souvenirs vivaces, en feignant les oublier. Traqué, Dillinger se retrouve
coincé sur un quai de gare. Que faire ? Lâcher son revolver et lever les
bras ou tenter une ultime salve ? Sans réfléchir, il vise ceux qui lui
font face et abat une mère et son enfant. Kramer comprend qu’il n’a pas d’autre
choix que celui d’éviter un carnage. Il pointe son arme et tire.
superbe film !
I really love this kind of shit. Any stores you recommend for finding these soundtracks on vinyl or more just pure pot luck?
Better late than never but I heard this for the first time on an album called Shake Sauvage. That's as good a start as any.
Garvarentz- Armenian
Nous vous conseillons le livre "Georges Garvarentz et la musique de film"(Daniel Bastié) paru aux Editions Ménadès.
Bon film et bonne BO...Ce qui n'existe plus...
@armhumanbeing Well sort of but not really- Georges Garvarents was born in Athens, Greece, to a family of Armenian immigrants.
not just now. I am always proud being an Armeian.
what do you mean sort of?
I can feel that with my Armenian sole. And your words are proving that too .
so not sort of -100 percent!!!
with love
you tell me!
different soles- different music. WHY?
this music is written by Armenian sole