Ce qui est incroyable pour moi qui habite en Suisse et qui a travaillé pendant plus de 30 ans dans le domaine des Addictions (Drogue; Alcool; Écrans; Jeu) c’est qu’il n’y ai pas au moins une salle de consommation dans chaque arrondissement de Paris et aussi une au moins dans chaque ville de banlieue parisienne (St. Denis; Sarcelles; Marne la Vallée; Versailles; etc.) En Suisse il y en a presque dans chaque ville y compris 2 dans un canton comme Soleure qui compte 60’000 habitants 😉
Sur beaucoup de points la France est malheureusement arriérée par rapport aux autres pays occidentaux : prise en charge de l’autisme, attitude face aux drogues et notamment au cannabis, violences conjugales et situation des femmes. On a pris beaucoup de retard, et vu la séquence politique dans laquelle on est et vers où on va, les perspectives ne sont pas réjouissantes.
Merci d'avoir cité les psychotraumas et les troubles psy. Il n'y a pas consommation régulière de drogue dure sans raison. Lorsqu'on en arrive là, c'est qu'on a eu à vivre des parcours terribles et reçu extrêmement peu de soutien. La répression ne sera jamais une solution face à la détresse des gens. Nous avons besoin d'une réelle prise en charge psychologique en france, avec de vrais suivis, débarrassé de la psychanalyse. Nous n'avons surtout pas besoin d'être, nous, junkies et neuroatypiques, balayés/parqués un peu plus loin. Nous avons besoin de tout sauf de cette marginalisation dans laquelle on nous a mis.
J’ai aussi de la peine à comprendre la dame de l’association des riverains qui dit en résumé « Ce que vous faites c’est très bien mais pas vers chez moi. ». On ne peut pas être de gauche, se prétendre humaniste et dire ça. Les riverains ont toujours peur de ce genre de structures mais à l’usage ils réalisent qu’elles permettent une meilleure qualité de la vie dans le quartier où elles sont installées mais évidemment il ne faut pas faire une structure pour Paris, il faut en faire une pour 50´000 habitants au minimum or Paris compte 6 millions d’habitants j’imagine. Il faut faire des structures à taille humaine qui puisse accueillir une centaine de personnes par jour en prenant le temps avec les usagers. Il faut les accueillir sans exigence on dit « à seuil bas » et proposer une vaste palette de services peut-être répartis dans plusieurs endroits mais où ils sont suivis et accompagnés par les mêmes travailleurs sociaux et évidemment à terme il faudra faire comme le Portugal et dépénaliser toutes les drogues pour casser le marché noir.
Si ton enfant tombe dans l'addiction un jour, tu préfères qu'il existe des lieux sûrs pour la prise avec du matos à usage unique stérile, des box propres, de quoi désinfecter, de quoi se poser en sécurité quoi...bref pas risquer agressions et maladies, et se sentir moins exclu du monde, avec une écoute possible, des conseils disponibles, un lien de confiance qui peut se créer avec le temps avec des bénévoles et pros de santé non jugeants... Ou qu'il soit dans des endroits risqués, avec le stigma, sans de quoi éviter de chopper une maladie grave, sans écoute possible, sans main tendue ni juste le fait de pas se faire encore plus enfoncer psychologiquement? Réfléchissez y les gentes :)
Donc… ton avis… c’est d’utiliser l’argent d’honnêtes travailleurs français pour entretenir des déchets humains qui ne se préoccupe que d’avoir leur dose au détriment d’un travail honnête qui ferait tourner l’économie ? Donc on rajoute du poids dans la charrette à détritus quoi…
@@kowalskyofficiel6363 L'argent d'honnêtes travailleurs français part en partie dans les paradis fiscaux. Donc déjà, on résout ce problème qui produit de graves inégalités, et il est possible que le problème de la drogue soit grandement réduit.
Tout le monde sait qu’on finit en épave avec certaines drogues. Donc faut s’assumer. Ou se limiter a la marijuana qui fait moins de dégâts que l’alcool ou la clope. Deux solutions: enfermement avec sevrage ou enfermement avec distribution gratuite de crack ou même de drogue crocodile, ça réglerait le Pbm plus vite
@@kowalskyofficiel6363 ces gens sont malade ils ont baissé les bras et n'ont plus d'espoir ni aucune satisfaction ni motivation et la drogue pour eux c'est la seul chose qui les fassent vibrer alors s imaginer que la répression et la pression sur les Modou va changer quoi que ce soit c'est se mentir à soit même... le crack sa s'achète à la colline ok mais si on n'en trouve plus rien de plus facile d'en fabriquer... C'est juste de la coke et du bica ou de l ammoniaque... Alors bon courage pour régler le problème par ce bout...
ce crack et autres drogues font bien gagner de l'argent , beaucoup d'argent , à certain qui eux ,je suppose , n'en consomment pas ?...qui sont-ils ,les cherche-t-on vraiment ?
La police arrête des dealers '' surnommés modous '' quasiment tout les jours , le problème est qu'une fois qu'un dealer ,est arrêter , un autre le remplace .Le balais entre partants et arrivants dure depuis le début des années 90 .
Nobody has a shred of courage to question the reasons why people take drugs in the first place. A society (built based on racism, colonialism and exploitation) in decline, I am up for it!
@@clem844 I haven't heard anyone pointing out how meaningless and painful this increasingly materialistic existence really is to so many people. In case you missed it, inequality, poverty, precarity are not exclusive to 'developed' societies, like France's! ... which is aa phenomenon that cuts across class (countless are the celebrities who OD or drink themselves to death, although they have reached the pinnacle of fame and wealth). Where I come from, these problems are on an industrial scale and if we were to seek refuge in drugs, I doubt you would find one of us still standing. What I have heard are well-intentioned people who are trying to solve a problem by making it worse instead of tackling the root causes.
Ils en parlent dans le débat justement : l'impossibilité de faire de la prévention des risques sur un milieu désinséré si t'es pas sous leur nez. Ils prendront pas le métro pour aller à la salle. Une fois qu'on a dit ça, on peut aussi regarder l'effort énorme fait par les quartiers riches pour NE PAS prendre leur part du problème, pas juste sur la question de la drogue mais de l'accueil des publics "problématiques" en général : refuser d'installer des centres d'accueil d'urgence par exemple, ou je vous invite à comparer le nombre de sanitaires publics par habitants entre le 20ème et le 16ème, belle illustration d'une stratégie visant à rendre un quartier inaccessible aux sdf.
Les services doivent être là où sont les consommateurs. Mais je suis partiellement d’accord avec vous ce qui est incroyable pour moi qui habite en Suisse et qui a travaillé plus de 30 ans dans le domaine des Addictions (Drogues Alcool Écrans) c’est qu’il n’y ait pas une salle comme ça au moins dans chaque arrondissement de Paris.
@@Zaslawsky on fait tout pour depuis des années, cher collègue, mais ici, le nombre de réactionnaires et de gens qui raisonnent par l'émotionnel semble si important qu'on n'arrive même pas à formuler nos arguments...
Je suis vraiment dégouté qu'un sujet si important avec des intervenants si intéressants prennent la forme d'un débat comme ça avec une logique de clash tout droit importé de la tv. La composition du plateau et le nombre d'invités nuit au développement et à la subtilité des propos. Je trouve ça dommage et je suis fâché.
Totalement d'accord. Les avis sont globalement irréconciliables (du moins dans ce format). Et cette manie de dire "on a plus le temps".... C'est internet, elle peut durer quatre heures cette table avec un entracte... PS : je me range plutôt du côté de l'adjointe à la Maire et des deux spécialistes des drogues. La porte parole du collectif avait cette posture très "pas dans mon jardin" que je trouve complètement hypocrite, et sans la moindre empathie et ambition politique.
N'importe quoi le crack comme la coke d'ailleurs n'ont pas besoin de traitement de substitution car il ne provoque pas de manque comme pour l héroïne avec laquelle on essai de palier avec des traitement a base de méthadone ou subutex... Ce qui est compliqué c'est de ne pas y penser quand on a fait l erreur de tester le plaisir que sa procure... C'est psychologique pas physiologique... C'est un problème d addiction psychologique pas de manque
@@hadrienbernard6899 j'ai vu tellement de fois des ignares penser que c'était deux choses différentes, j'suis plus sensible à tout ça. "On la fume ?.. - euh gros ça en fait du crack... - pff n'importe quoi !" Du coup désolé mais j'ai été épidermique
Debunk : ils sont pas absolument pris en charge dans les salles de consommations à moindre risque (en tout cas actuellement) La salle de Gaïa qui existe est interdite au non injecteurs Y'a 0 études comparatives sur les effets des salles de consommations à moindre risque.
Les riverains respectent la loi et payent leurs impôts et méritent la tranquillité, que cela plaise ou non à ce monsieur. Les drogués enfreignent la loi et n'apportent rien à la société, il faudrait les sortir de Paris et les mettre au travail quelque part aux champs pour les rendre utiles et les libérer de la drogue
@@GB-um9oc Laisses-le se pendre tout seul. Ce genre de dynosaure se reproduit et on peut donc s'attendre qu'il ait des rejetons, or c'est la nature même d'un jeune de tester son ou ses parent(s) et le jour où ça arrivera je lui souhaite à celui-là de s'rappeler que les dynosaure ont un jour disparu pendant que la chair de sa chair lui fera éventuellement la guerre, à moins d'un lavage de cerveau... En espérant que la victime d'un tel endoctrinement ne pousse personne à poser un geste désespéré irréparable, comme à la suite d'une pseudo-thérapie à saveur de scientologie et j'en passe des meilleurs. Bref, pour développer davantage faudrait rechercher des mots-cléf de ce genre-ci: "Fix-my-Kid", "Kids-for-Cash", "Narconon Trois-Rivières"... Bonne journée & au plaisir!!
@@GB-um9oc Les drogués n'ont pas le monopole de la souffrance. Et eux, est-ce qu'ils pensent un peu aux autres quand ils ne sont pas à s'empoisonner toute la journée ?
Ce qui est incroyable pour moi qui habite en Suisse et qui a travaillé pendant plus de 30 ans dans le domaine des Addictions (Drogue; Alcool; Écrans; Jeu) c’est qu’il n’y ai pas au moins une salle de consommation dans chaque arrondissement de Paris et aussi une au moins dans chaque ville de banlieue parisienne (St. Denis; Sarcelles; Marne la Vallée; Versailles; etc.)
En Suisse il y en a presque dans chaque ville y compris 2 dans un canton comme Soleure qui compte 60’000 habitants 😉
Sur beaucoup de points la France est malheureusement arriérée par rapport aux autres pays occidentaux : prise en charge de l’autisme, attitude face aux drogues et notamment au cannabis, violences conjugales et situation des femmes. On a pris beaucoup de retard, et vu la séquence politique dans laquelle on est et vers où on va, les perspectives ne sont pas réjouissantes.
Singapour y'a pas ce probleme. Drogue interdite.
@@sarahsaubry2922 🤣🤣🤣 A Saingapour, y'a des tradeurs... Donc très certainement de la cocaïne. Sans parler des médicaments...
@@sarahsaubry2922 Ce n'est pas parce que la drogue y est interdite qu'il n'y en a pas.
Merci d'avoir cité les psychotraumas et les troubles psy. Il n'y a pas consommation régulière de drogue dure sans raison. Lorsqu'on en arrive là, c'est qu'on a eu à vivre des parcours terribles et reçu extrêmement peu de soutien.
La répression ne sera jamais une solution face à la détresse des gens. Nous avons besoin d'une réelle prise en charge psychologique en france, avec de vrais suivis, débarrassé de la psychanalyse.
Nous n'avons surtout pas besoin d'être, nous, junkies et neuroatypiques, balayés/parqués un peu plus loin. Nous avons besoin de tout sauf de cette marginalisation dans laquelle on nous a mis.
Bien d'accord. Merci pour votre témoignage. Et courage à vous!!! 💚
J’ai aussi de la peine à comprendre la dame de l’association des riverains qui dit en résumé « Ce que vous faites c’est très bien mais pas vers chez moi. ». On ne peut pas être de gauche, se prétendre humaniste et dire ça. Les riverains ont toujours peur de ce genre de structures mais à l’usage ils réalisent qu’elles permettent une meilleure qualité de la vie dans le quartier où elles sont installées mais évidemment il ne faut pas faire une structure pour Paris, il faut en faire une pour 50´000 habitants au minimum or Paris compte 6 millions d’habitants j’imagine.
Il faut faire des structures à taille humaine qui puisse accueillir une centaine de personnes par jour en prenant le temps avec les usagers. Il faut les accueillir sans exigence on dit « à seuil bas » et proposer une vaste palette de services peut-être répartis dans plusieurs endroits mais où ils sont suivis et accompagnés par les mêmes travailleurs sociaux et évidemment à terme il faudra faire comme le Portugal et dépénaliser toutes les drogues pour casser le marché noir.
Un vrai débat intelligent et intelligible !
Bof on apprend rien
3:34 Debut
Merci Malik !
@@OlivierDufour
😄
Si ton enfant tombe dans l'addiction un jour, tu préfères qu'il existe des lieux sûrs pour la prise avec du matos à usage unique stérile, des box propres, de quoi désinfecter, de quoi se poser en sécurité quoi...bref pas risquer agressions et maladies, et se sentir moins exclu du monde, avec une écoute possible, des conseils disponibles, un lien de confiance qui peut se créer avec le temps avec des bénévoles et pros de santé non jugeants...
Ou qu'il soit dans des endroits risqués, avec le stigma, sans de quoi éviter de chopper une maladie grave, sans écoute possible, sans main tendue ni juste le fait de pas se faire encore plus enfoncer psychologiquement?
Réfléchissez y les gentes :)
Donc… ton avis… c’est d’utiliser l’argent d’honnêtes travailleurs français pour entretenir des déchets humains qui ne se préoccupe que d’avoir leur dose au détriment d’un travail honnête qui ferait tourner l’économie ? Donc on rajoute du poids dans la charrette à détritus quoi…
@@kowalskyofficiel6363 L'argent d'honnêtes travailleurs français part en partie dans les paradis fiscaux. Donc déjà, on résout ce problème qui produit de graves inégalités, et il est possible que le problème de la drogue soit grandement réduit.
Tout le monde sait qu’on finit en épave avec certaines drogues. Donc faut s’assumer. Ou se limiter a la marijuana qui fait moins de dégâts que l’alcool ou la clope. Deux solutions: enfermement avec sevrage ou enfermement avec distribution gratuite de crack ou même de drogue crocodile, ça réglerait le Pbm plus vite
@@kowalskyofficiel6363 ces gens sont malade ils ont baissé les bras et n'ont plus d'espoir ni aucune satisfaction ni motivation et la drogue pour eux c'est la seul chose qui les fassent vibrer alors s imaginer que la répression et la pression sur les Modou va changer quoi que ce soit c'est se mentir à soit même... le crack sa s'achète à la colline ok mais si on n'en trouve plus rien de plus facile d'en fabriquer... C'est juste de la coke et du bica ou de l ammoniaque... Alors bon courage pour régler le problème par ce bout...
"mais on est des humanistes la preuve on vote a gauche" WTF ???
Hahaha c'est tellement ça !
Il suffit pas de le dire.
C’était passionnant. Merci
ce crack et autres drogues font bien gagner de l'argent , beaucoup d'argent , à certain
qui eux ,je suppose , n'en consomment pas ?...qui sont-ils ,les cherche-t-on vraiment ?
marché du crack Paris tenu par leurs "frères" africains - sénégalais
La police arrête des dealers '' surnommés modous '' quasiment tout les jours , le problème est qu'une fois qu'un dealer ,est arrêter , un autre le remplace .Le balais entre partants et arrivants dure depuis le début des années 90 .
Nobody has a shred of courage to question the reasons why people take drugs in the first place.
A society (built based on racism, colonialism and exploitation) in decline, I am up for it!
They do talk about the reasons leading to drug consumption in the debate
@@clem844 I haven't heard anyone pointing out how meaningless and painful this increasingly materialistic existence really is to so many people.
In case you missed it, inequality, poverty, precarity are not exclusive to 'developed' societies, like France's! ... which is aa phenomenon that cuts across class (countless are the celebrities who OD or drink themselves to death, although they have reached the pinnacle of fame and wealth).
Where I come from, these problems are on an industrial scale and if we were to seek refuge in drugs, I doubt you would find one of us still standing.
What I have heard are well-intentioned people who are trying to solve a problem by making it worse instead of tackling the root causes.
stopper l’immigration ? je pose ça là prenez le temps d’y réfléchir… vous concernant cela devrait prendre 15 à 20 ans mais c’est un début…
*Cachez ces pauvres que l'on ne saurait voir...*
Faut vraiment que vous trouviez un truc pour le début, la c'est juste super chiant
Il faut une *répartition de la précarité* , pourquoi ne pas faire ces salles dans des quartiers moins précaires que ceux de l'est parisien
Truth. 8 ème et 16 ème !
Ils en parlent dans le débat justement : l'impossibilité de faire de la prévention des risques sur un milieu désinséré si t'es pas sous leur nez. Ils prendront pas le métro pour aller à la salle.
Une fois qu'on a dit ça, on peut aussi regarder l'effort énorme fait par les quartiers riches pour NE PAS prendre leur part du problème, pas juste sur la question de la drogue mais de l'accueil des publics "problématiques" en général : refuser d'installer des centres d'accueil d'urgence par exemple, ou je vous invite à comparer le nombre de sanitaires publics par habitants entre le 20ème et le 16ème, belle illustration d'une stratégie visant à rendre un quartier inaccessible aux sdf.
Les services doivent être là où sont les consommateurs.
Mais je suis partiellement d’accord avec vous ce qui est incroyable pour moi qui habite en Suisse et qui a travaillé plus de 30 ans dans le domaine des Addictions (Drogues Alcool Écrans) c’est qu’il n’y ait pas une salle comme ça au moins dans chaque arrondissement de Paris.
@@Zaslawsky on fait tout pour depuis des années, cher collègue, mais ici, le nombre de réactionnaires et de gens qui raisonnent par l'émotionnel semble si important qu'on n'arrive même pas à formuler nos arguments...
Union européenne :20 ans d'échec,
Comment en sortir ?
Je suis vraiment dégouté qu'un sujet si important avec des intervenants si intéressants prennent la forme d'un débat comme ça avec une logique de clash tout droit importé de la tv.
La composition du plateau et le nombre d'invités nuit au développement et à la subtilité des propos. Je trouve ça dommage et je suis fâché.
En même temps, ya pas 30.000 solutions : LES DEALERS EN TAULE !
Mediapart est une opposition contrôlée
@@Lewis3521 ce sont des illuminatis. Regardez bien les yeux d'Edwy, ils brillent bizarrement, ça veut tout dire.
Totalement d'accord. Les avis sont globalement irréconciliables (du moins dans ce format).
Et cette manie de dire "on a plus le temps".... C'est internet, elle peut durer quatre heures cette table avec un entracte...
PS : je me range plutôt du côté de l'adjointe à la Maire et des deux spécialistes des drogues.
La porte parole du collectif avait cette posture très "pas dans mon jardin" que je trouve complètement hypocrite, et sans la moindre empathie et ambition politique.
@@protana788 La guerre à la drogue, ça fait 50 ans qu'on la mène et on a eu de très mauvais résultats
N'importe quoi le crack comme la coke d'ailleurs n'ont pas besoin de traitement de substitution car il ne provoque pas de manque comme pour l héroïne avec laquelle on essai de palier avec des traitement a base de méthadone ou subutex... Ce qui est compliqué c'est de ne pas y penser quand on a fait l erreur de tester le plaisir que sa procure... C'est psychologique pas physiologique... C'est un problème d addiction psychologique pas de manque
Vous oubliez une chose, le crack n a pas substitut. Au contraire de l'hero
Y a la coke
@@vincentk0rg t'es sérieux ou quoi ? C'est pareil ; crack = coke basée
@@BooshFonky ça s apelle de l humour
C’est la raison pour laquelle il est judicieux de proposer des lieux de consommation à risque réduit pour ces personnes très pauvres
@@hadrienbernard6899 j'ai vu tellement de fois des ignares penser que c'était deux choses différentes, j'suis plus sensible à tout ça. "On la fume ?..
- euh gros ça en fait du crack...
- pff n'importe quoi !"
Du coup désolé mais j'ai été épidermique
la rafle du prefet
Le XXeme vote à gauche ou à gôche????
Fred Bladou
Qui dit faire économie souterraine .
Souyris c'est déconnecté complétement.
Debunk :
ils sont pas absolument pris en charge dans les salles de consommations à moindre risque (en tout cas actuellement)
La salle de Gaïa qui existe est interdite au non injecteurs
Y'a 0 études comparatives sur les effets des salles de consommations à moindre risque.
bref, y'a 0 arguments.
Les commerces doivent vendre du crack à bas prix .(carrefour) genre 20 euro le gramme.
Des éléments ?
des 7 balles la galette hien? lol
C est 12 la galette
6.15 la seule masquée. Cela en dit sur Hidalgo.
Il est très nerveux le premier intervenant , le gars avec Fianso
Les riverains respectent la loi et payent leurs impôts et méritent la tranquillité, que cela plaise ou non à ce monsieur. Les drogués enfreignent la loi et n'apportent rien à la société, il faudrait les sortir de Paris et les mettre au travail quelque part aux champs pour les rendre utiles et les libérer de la drogue
@@GB-um9oc Laisses-le se pendre tout seul. Ce genre de dynosaure se reproduit et on peut donc s'attendre qu'il ait des rejetons, or c'est la nature même d'un jeune de tester son ou ses parent(s) et le jour où ça arrivera je lui souhaite à celui-là de s'rappeler que les dynosaure ont un jour disparu pendant que la chair de sa chair lui fera éventuellement la guerre, à moins d'un lavage de cerveau... En espérant que la victime d'un tel endoctrinement ne pousse personne à poser un geste désespéré irréparable, comme à la suite d'une pseudo-thérapie à saveur de scientologie et j'en passe des meilleurs. Bref, pour développer davantage faudrait rechercher des mots-cléf de ce genre-ci: "Fix-my-Kid", "Kids-for-Cash", "Narconon Trois-Rivières"... Bonne journée & au plaisir!!
@@GB-um9oc Les drogués n'ont pas le monopole de la souffrance. Et eux, est-ce qu'ils pensent un peu aux autres quand ils ne sont pas à s'empoisonner toute la journée ?
@@Egzoset Qu'est-ce que tu racontes toi.
et les 15 millions d alcoolo idem alors?
@@mdbx3887 Allez hop ! Pourquoi pas.