❤ Macha Allah Macha Allah superbe charmante voix et charmante chanson à l'époque excellent et magnifique dieu protège tout les chanteurs et chanteuses à l'époque Amen inchallah ❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤🥰🌹🌹🌹🌹🌹🥰
Beaucoup de gens n'arrivent pas à déchiffrer le message profond de la joute poétique chantée par Fatma Zohra intitulée "Ô Mohend, mon fils" (A Mohend, a mmi). Ce poème nous plonge, sans préavis, dans l'univers de la famille kabyle d'antan où la belle-mère incite son fils à répudier sa femme. Pour se faire, la vieille accuse, à tors ou à raison, la bru de tout ce qui constitue à l'époque des manquements impardonnables pour une jeune mariée. Mais le mari prend, indiscutablement, la défense de sa jeune femme avec des arguments simples, concis et qui traduisent la bonté d'une âme pure et l'intelligence d'un esprit conscient. À l'image du Prophète, le personnage s'appelle Mohend, l'une des variantes kabyles du nom du prophète Mohamed. La mère au début accuse la belle-fille de ne pas savoir préparer les principaux plats traditionnels berbères (le couscous et barkoukes) ce qui est, à cette époque, une défaillance grave pour une femme, car son rôle principal c'est de maintenir la maison...et comment prétendre la maintenir lorsqu'on est incapable d'offrir un repas chaud pour ses membres, notamment les enfants: l'insécurité totale !!! "Ô Mohend, mon fils, Ta femme ne sait guère Préparer le couscous". (A Moḥend, a mmi Ur tessin ad terr seksu). À cette accusation, pourtant grave, le fils, avec calme et respect pour sa mère, il évoque l'intimité qu'il partage avec cette "étrangère" devenu maintenant un membre de la famille. Il faut rappeler qu'à l'époque, il y a absence totale de relations entre les garçons et les filles. L'intimité, étant quelque chose de précieux qu'on ne partage que par le lien sacré du mariage. "Laisse-là, laisse-là, ô chère mère Elle m'a offert son giron". (Anef-as anef-as a yemma Deg irebbi-s ay-id tessu ). Voyant son accusation tomber à l'eau, la mère tente quelque chose de plus grave : elle l'accuse dans sa droiture, dans son intégrité morale : " Ô Mohend, mon fils Elle (ta femme) m'a volé Un litre de l'huile d'olive ". (A Moḥend a mmi Tuker-iyi ritla n zzit). Le vole étant un acte répréhensible, et l'huile d'olive est l'élément le plus précieux, avec la semoule, dans les économies des familles paysannes. Et voler sa propre maison, chez la femme kabyle, voulait dire " ne pas demander l'autorisation auprès de celle qui a autorité sur la gestion du foyer. Et la mère étant la cheffe de la maison, et la première responsable de l'économie familiale. Voler donc, c'est n'avoir aucune considération pour cette maison : moralement, cette femme n'est pas liée à nous, voulait-elle lui dire !! Le fils, ne remet pas en cause sa mère, n'a pas cherché à faire une enquête pour établir la véracité du récit de sa mère...il lui a seulement rappeler qu'elle ne connaissait pas encore les règles de la maison, il lui a seulement dit : "Laisse-là, Laisse-là, ô chère mère C'est une nouvelle mariée Elle vient juste d'arriver". (Anef-as anef-as a yemma Iḍelli id-tedda tislit). Ne sachant quoi faire, la mère tente une dernière accusation : " Ô Mohend, mon fils Ta femme est moche" (A Moḥend a mmi Tameṭṭut-ik d taberkant) Et le fils lui répondais : "Laisse-là, Laisse-là, ô chère mère Pour moi, elle est plus belle Qu'une actrice américaine". (Anef-as anef-as a yemma Nekk ɣur-i d tamarikant).
"Ô Mohend, mon fils, Ta femme ne sait guère Préparer le couscous". "Laisse-là, laisse-là, ô chère mère Elle m'a offert son giron". Refrain : Ô Sidi Aberehmane, au pouvoir surnaturel Ramène l'exilé à sa famille. Ô Mohend, mon fils, Ta femme ne sait guère Préparer le barkoukes" "Laisse-là, laisse-là, ô chère mère Elle est désormais entre mes bras" " Ô Mohend, mon fils Elle (ta femme) m'a volé Un litre de l'huile d'olive ". "Laisse-là, Laisse-là, ô chère mère C'est une nouvelle mariée Elle vient juste d'arriver". " Ô Mohend, mon fils Ta femme est moche (nègre)". "Laisse-là, Laisse-là, ô chère mère Pour moi, elle est plus belle Qu'une américaine".
en écoutant cette chanson , j'ai l'impression de rrenaitre totalement , un moment éternel et immortel et le temps s'est vraiment arrété , une paix totale m'envahit compplètement et je me sens un long moment immortel , car cela évoque mon enfance et le commencement de toit qui se transforme en un moment éternel et immortel
vive notre race , notre culture et tous nos bons exemples kabyles , les vrais , pas les faux de maintenant ceux qui ont fusionné avec la culture et l'idéologie des salams alikoums et les arabes et qui ont aussi passé un pacte avec les arabes , les kabyles de services , je les maudits et les bannis éternellement
منذ سنة واحدة (تم التعديل) «يا مهند يا ابني. زوجتك بالكاد تعرف تحضير الكسكس. "اتركيها، اتركيها يا أمي العزيزة لقد قدمت لي حضنها. جوقة: يا سيدي عبد الرحمان، بقوة خارقة إعادة المنفى إلى عائلته. «يا مهند يا ابني هي (زوجتك) سرقت مني لتر واحد من زيت الزيتون. "اتركيها، اتركيها يا أمي العزيزة إنها عروس جديدة لقد وصلت للتو." «يا مهند يا ابني زوجتك قبيحة (زنجية)." "اتركيها، اتركيها يا أمي العزيزة بالنسبة لي هي أجمل من أمريكي
❤ Macha Allah Macha Allah superbe charmante voix et charmante chanson à l'époque excellent et magnifique dieu protège tout les chanteurs et chanteuses à l'époque Amen inchallah ❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤🥰🌹🌹🌹🌹🌹🥰
Beaucoup de gens n'arrivent pas à déchiffrer le message profond de la joute poétique chantée par Fatma Zohra intitulée "Ô Mohend, mon fils" (A Mohend, a mmi).
Ce poème nous plonge, sans préavis, dans l'univers de la famille kabyle d'antan où la belle-mère incite son fils à répudier sa femme.
Pour se faire, la vieille accuse, à tors ou à raison, la bru de tout ce qui constitue à l'époque des manquements impardonnables pour une jeune mariée.
Mais le mari prend, indiscutablement, la défense de sa jeune femme avec des arguments simples, concis et qui traduisent la bonté d'une âme pure et l'intelligence d'un esprit conscient.
À l'image du Prophète, le personnage s'appelle Mohend, l'une des variantes kabyles du nom du prophète Mohamed.
La mère au début accuse la belle-fille de ne pas savoir préparer les principaux plats traditionnels berbères (le couscous et barkoukes) ce qui est, à cette époque, une défaillance grave pour une femme, car son rôle principal c'est de maintenir la maison...et comment prétendre la maintenir lorsqu'on est incapable d'offrir un repas chaud pour ses membres, notamment les enfants: l'insécurité totale !!!
"Ô Mohend, mon fils,
Ta femme ne sait guère
Préparer le couscous".
(A Moḥend, a mmi
Ur tessin ad terr seksu).
À cette accusation, pourtant grave, le fils, avec calme et respect pour sa mère, il évoque l'intimité qu'il partage avec cette "étrangère" devenu maintenant un membre de la famille.
Il faut rappeler qu'à l'époque, il y a absence totale de relations entre les garçons et les filles. L'intimité, étant quelque chose de précieux qu'on ne partage que par le lien sacré du mariage.
"Laisse-là, laisse-là, ô chère mère
Elle m'a offert son giron".
(Anef-as anef-as a yemma
Deg irebbi-s ay-id tessu ).
Voyant son accusation tomber à l'eau, la mère tente quelque chose de plus grave : elle l'accuse dans sa droiture, dans son intégrité morale :
" Ô Mohend, mon fils
Elle (ta femme) m'a volé
Un litre de l'huile d'olive ".
(A Moḥend a mmi
Tuker-iyi ritla n zzit).
Le vole étant un acte répréhensible, et l'huile d'olive est l'élément le plus précieux, avec la semoule, dans les économies des familles paysannes. Et voler sa propre maison, chez la femme kabyle, voulait dire " ne pas demander l'autorisation auprès de celle qui a autorité sur la gestion du foyer. Et la mère étant la cheffe de la maison, et la première responsable de l'économie familiale.
Voler donc, c'est n'avoir aucune considération pour cette maison : moralement, cette femme n'est pas liée à nous, voulait-elle lui dire !!
Le fils, ne remet pas en cause sa mère, n'a pas cherché à faire une enquête pour établir la véracité du récit de sa mère...il lui a seulement rappeler qu'elle ne connaissait pas encore les règles de la maison, il lui a seulement dit :
"Laisse-là, Laisse-là, ô chère mère
C'est une nouvelle mariée
Elle vient juste d'arriver".
(Anef-as anef-as a yemma
Iḍelli id-tedda tislit).
Ne sachant quoi faire, la mère tente une dernière accusation :
" Ô Mohend, mon fils
Ta femme est moche"
(A Moḥend a mmi
Tameṭṭut-ik d taberkant)
Et le fils lui répondais :
"Laisse-là, Laisse-là, ô chère mère
Pour moi, elle est plus belle
Qu'une actrice américaine".
(Anef-as anef-as a yemma
Nekk ɣur-i d tamarikant).
Merci
C,est formidable les leçons du passé bsur les chansons
Bravo l'artiste pour ces explications chapeau bas
Très belle interprétation ❤
Merci beaucoup pour ce texte bien détaillé
Une Kabyle d'Alger avec son accent algérois et sa référence à Sidi Abderahmane ! atirham rebbi.
C'est comme Wardia Hmitouch quand elle parle kabyle rebbi yerhamhom ajma3in
Vrai chaabi c, est la nostalgie des années passées que dieu ait son âme , à cette chanteuse kabyle qui a vécue à à alger
Chanson écrite par...
tenez-vous bien !
Hocine Ait Ahmed en personne
avec l'autre chanson
''ay a khelekhal a jedide''.
Magnifique chanson
C est l une des meilleurs voix de la chanson kabyle.
L artiste Drifa
Souvenirs souvenirs.....
une chanson qu a repris jamal alam allah y rahmo
Traduction svp
"Ô Mohend, mon fils,
Ta femme ne sait guère
Préparer le couscous".
"Laisse-là, laisse-là, ô chère mère
Elle m'a offert son giron".
Refrain :
Ô Sidi Aberehmane, au pouvoir surnaturel
Ramène l'exilé à sa famille.
Ô Mohend, mon fils,
Ta femme ne sait guère
Préparer le barkoukes"
"Laisse-là, laisse-là, ô chère mère
Elle est désormais entre mes bras"
" Ô Mohend, mon fils
Elle (ta femme) m'a volé
Un litre de l'huile d'olive ".
"Laisse-là, Laisse-là, ô chère mère
C'est une nouvelle mariée
Elle vient juste d'arriver".
" Ô Mohend, mon fils
Ta femme est moche (nègre)".
"Laisse-là, Laisse-là, ô chère mère
Pour moi, elle est plus belle
Qu'une américaine".
La nostalgie
jj'aime bien tu pe mètre des autres merci
en écoutant cette chanson , j'ai l'impression de rrenaitre totalement , un moment éternel et immortel et le temps s'est vraiment arrété , une paix totale m'envahit compplètement et je me sens un long moment immortel , car cela évoque mon enfance et le commencement de toit qui se transforme en un moment éternel et immortel
ma première chanson avec anouyass aman a khali de djamila qui ont complètement marqué mon enfance et toute ma vie
vive notre race , notre culture et tous nos bons exemples kabyles , les vrais , pas les faux de maintenant ceux qui ont fusionné avec la culture et l'idéologie des salams alikoums et les arabes et qui ont aussi passé un pacte avec les arabes , les kabyles de services , je les maudits et les bannis éternellement
@@hocinechebhi9770Savez-vous qui est l'auteur de ces paroles ?
@@hocinechebhi9770
Pourquoi haïssez-vous tant les Arabes ?
منذ سنة واحدة (تم التعديل)
«يا مهند يا ابني.
زوجتك بالكاد تعرف
تحضير الكسكس.
"اتركيها، اتركيها يا أمي العزيزة
لقد قدمت لي حضنها.
جوقة:
يا سيدي عبد الرحمان، بقوة خارقة
إعادة المنفى إلى عائلته.
«يا مهند يا ابني
هي (زوجتك) سرقت مني
لتر واحد من زيت الزيتون.
"اتركيها، اتركيها يا أمي العزيزة
إنها عروس جديدة
لقد وصلت للتو."
«يا مهند يا ابني
زوجتك قبيحة (زنجية)."
"اتركيها، اتركيها يا أمي العزيزة
بالنسبة لي هي أجمل
من أمريكي
Merci pour la traduction ❤
Une algeroise