Toujours aussi fouillé et argumenté comme sujet. Merci ARTE pour ce travail de recherche de fond, et pour ce regard fanco-allemand qui nous fait sortir un peu d'un regard nombriliste franco-français. Il y a du boulot pour repenser notre manière de vivre ensemble et le fonder sur autre chose que la croissance de la consommation. Et ça commence par des formes d'organisation collective aujourd'hui!
Très bon documentaire encore une fois, bourré de problèmes bien posés et de propositions de solutions, certes assez légères dans le détail mais c’est compréhensible vu le format. Cependant je trouve ça tellement dommage que ce genre de documentaire ne soit pas partagé au plus grand nombre car pour réellement changer les choses il faut que beaucoup de gens soient au courant. Alors merci Arte pour votre travail et j’espère que votre communauté s’occupera de partager votre message. Gros bisous
Malheuresement de nombreux pays choisissent la fuite en avant plutôt que de chercher et d'appliquer des alternatives. Le sujet de la vidéo est très intéressant, serait-il possible d'en faire une pour aller plus en détail sur les mécanismes de la décroissance et les impacts réels sur la vie des citoyens ?
Je vous conseille un livre que je suis entrain de lire : "Ralentir ou périr. L'économie de la décroissance" de Timothée Parrique. Ou en anglais "The Future is Degrowth: A Guide to a World beyond Capitalism".
De nombreux pays, j'espère que vous incluez la France ? La moyenne annuelle d'équivalent CO2 par habitant français est de 11,9 tonnes. Cette donnée demeure souvent cachée par le chiffre de 5,2 tonnes du fait de la délocalisation de notre industrie. La Chine si souvent pointée du doigt à une empreinte moindre avec 6,7 t/an/hab. Pour approfondir, le sujet, je vous recommande les conférences Jean-Marc Jancovici et d'Arthur Keller.
Avant de parler de décroissance on doit absolument répondre aux problèmes de la pauvreté, à la mauvaise répartition des richesses. On doit comprendre les mécanismes qui ne marchent pas qui entrainent que dans un meme pays que des personnes gagnent des millions et environ 40% de la population des pays dévelopés vivent dans la pauvreté ou dans la marge, c'est à dire dans une condition stressante sans marge sufisante pour payer les obligations quotidiennes. Quand on aura fixer des politiques pour permettre à aux entrepreneurs de gagner de l'argent, que tous les ménages puissent vivre de manière décente, à ce moment on peut parler de décroissance ou de freiner la croissance. Déja je pense à deux choses qui tend à tirer une bonne partie de la population vers la pauvreté: 1) Il faut que la croissance ne soit plus reposée sur certains pans de l'économie, comme la santé, le loyer, l'éducation, ces secteurs ne doivent pas nécessairement obéir aux lois du marché, on peut appliquer des prix bloqués, des mécanismes incitatifs ou de freinage 2) Une redirection de l'aide ou de l'assistance sociale, peut etre qu'on doit consacrer une partie des revenus des plus fortunés, vers les personnes les moins fortunés par l'acquisition d' actions dans les grandes entreprises
Je rêvais depuis quelques années d un sujet avec ce titre fait par des gens sérieux,c est fait merci beaucoup ! Tant que nos dirigeants sont sous pression des lobbyistes industriels, notre Pacha Mama ne sera pas respectée ! De plus comment allons nous faire pour convaincre les pays émergents de ne pas gaspiller comme nous le faisons, nous allons encore nous positionner en donneurs de leçons ?
Pardon, mais c'est pas du tout, tant que dirigeants ne feront pas. etc etc , mais c'est plutôt largement tant que les masses (qui n'ont jamais dit non) persisteront à ne se voir qu'en éternelles victimes de tous les maux, tant qu'elles resteront stoïque et de faite complice par le fait de ne pas dire non, de ne pas boycotter, de ne pas disguer x y allant jusqu'à pense qu'elles n'ont ni pouvoir ni aucun devoir décisionnaire.. Le devoir du citoyein qui ce définit comme tel, ne s'arrête pas àau vote ou payer des impôts y a tous qu'il normalise par le simple non reffut les masse c dixaines millions les dirigeants quelque pinces quicpietine qui consomme quii consumle majoritairement? a x des millions acceu à quoi il vrontruvue lorsque sit paz non. Les masses en cœurs disent nous volons et lors du vote elles votent individuellement, c je veux (y déjà quelque chose qui va pas à ce niveau et qui ne pourra jamais dabs ces cinditions). Les gouvernements sont responsables oui, mais pas moins que les masses qui croquent dans les pommes. Et n"en deplais à toutes elles et ceux qui s'efforcent chaque jours de nier et ne parleant et encore à peine, que lorsque ça à rien. Sur les réseaux y a bien quev les entends mais là et plus prompt aux éloges confortables qu'aux critiques construivescseulement pour eux, critique ça a une conotationn négative. Seulement la negation du reelle je crois qu'il n'yca rien de plus negatif . Si nos antis corps faisaient la négation de leur rôle et de la presence virus on sait ce qui arriverait et lorsque les cellule perde la boule c comme elles devenaient complice, on appel ça un cancer.
Relis la phrase qui t as fait réagir et regarde a qui je mets des tords : les lobbies et le gouvernement un petit peu mais par la soif d argent du système babylonien dans lequel on est ( et que j essaie de fuir) Changer le monde commence par se changer soit même, n étant pas prétentieux je ne pense pas arriver à changer le monde pour autant j ai changé déjà depuis une dizaine d'années ma manière d acheter, ma manière de manger, ma manière de penser,ma manière de m informer,.... pour essayer d etre un mouton noir parmis ce troupeau de moutons blancs dont nous faisons tous partie bon gré mal gré . Ce n est pas de l agressivité, j aime bien le débat mais je pense que t as mal compris mon commentaire 😉Car je ne nie pas le réel du tout au contraire je constate et j agis. Bonne journée
Pour aller plus, je vous conseille de lire "Ralentir ou périr. L'économie de la décroissance", l'excellent essai de Timothée Parrique qui est un chercheur en économie et a travaillé plus de 6 ans sur le sujet de la décroissance.
En tant qu'africain, vivant dans un pays où la FMI ne cesse de nous féliciter de notre croissance annuelle, invisible et sans impact dans la vie de tous les jours, j'ai appris à détester ces termes du capitalisme américain : croissance, PIB, compétitivité, dynamisme économique... Pffff Ça ne servent qu'à ceux qui possèdent les dettes. Les dés sont joués d'avance
Le cas de certains pays africains est tout à fait parlant lorsque l'on songe que de nombreuses ressources naturelles sont privatisées par des gouvernements autoritaires ou des multinationales (étrangères) plutôt que de bénéficier à l'amélioration du niveau de vie des populations locales. Si ces ressources pouvaient être gérées de manière démocratique et transparente on aurait déjà fait un bon bout de chemin...
Beau contenu, je pense que la pandémie et la crise économique ont appris à tant de gens l'importance de multiples sources de revenus, malheureusement avoir un emploi ne signifie pas la sécurité financière. J'apprécie vraiment la transparence et le fait de donner aux gens une chance de se battre en ces temps troublés.
Il faut aller chercher d autres valeurs beaucoup plus importante que l argent dans toutes ses formes Celle qui peut sauver peut être un certain nombre de personnes et certains autres formes de vie pour celà il faut réapprendre à transmettre les vrais valeurs gratuitement avec gratitude en respectant certains encore ont ses valeurs il faut les partager à d autres le plutôt possible chaque êtres humains est normalement doter du bien et du mal à savoir qu le mal détruit dans toutes ses formes comme le bien qui construit la bienveillance et sur d autres formes
Merci à Arte pour ce reportage éclairant mais à mon humble avis incomplet. Une des économistes interviewées dit qu'il faut organiser la décroissance de ce qui est nuisible pour l'environnement et les humains et dans le même temps organiser la croissance de ce qui est vertueux. Davantage d'éducation, formations, d'enseignements, de culture, théâtre, santé, d'activités physiques participent aussi de la bonne croissance. J'aurais aimé que le reportage nous explique comment développer le tourisme vert en Équateur si on supprime les vols internationaux ou comment passer au bio et nourrir la planète . Plus fondamentalement, pour avoir co-dirigé entreprise en forte croissance pendant pas mal d'années (+25% / an sur 10 ans), je ne sais pas comment nous aurions piloté la boite avec une croissance de 2% / An car nous avons pris des risques, fait des erreurs qui nous ont coûté parfois 5 points de croissance. Mais nous avons maintenu le cap et la croissance nous a permis d'embaucher pour des postes intéressants et utiles. J'aurais aimé aussi que la piste du développement circulaire soit développée ainsi que l'impact sur les économies pauvres. En tout état de cause, une bonne invitation à réfléchit et à agir. Le problème est gigantesque et il faudrait changer de paradigme, ce n'est pas une raison pour ne pas innover et changer nos habitudes.
Sur bfm business il y'a aucun économiste qui y passe qui parle de croissance à l'infinie, en fait c'est tout le contraire, par contre il évoque souvent que la seule approche connu pour améliorer les conditions de vie c'est l'enrichissement des gens et donc il y'a besoin d'élévation et non de nivelage.
J'ai suivi des cours d'économie à l'université comme cours complémentaires (par plaisir) et aucun professeur n'a évoqué que la croissance économique infinie est possible. En fait, dès le 19e siècle, des économistes comme Thomas Malthus se penchaient sur la question du moment où on manquerait par exemple de surface agricole Les gouvernements recherchent la croissance économique pour deux raisons: 1) La population augmente. Puisque la population augmente et que personne n'est prêt à réduire sa consommation pour accomoder les nouveaux memvres de la société, alors il faut augmenter la production 2) Historiquement, on a toujours vu la hausse du niveau de consommation comme étant une hausse du bonheur, et c'est encore comme ça aujourd'hui. Les gens veulent constamment de nouveaux vêtements, de nouveaux souliers, voyager plus souvent par avion, une plus gross voiture, une plus grande maison, etc. Donc pour permettre au plus de gens d'atteindre leurs désirs, alors la production augmente. Un autre mythe est que la croissance économique serait unique au capitalisme, ce qui est faux. Par exemple, l'URSS a asséché la Mer d'Aral au complet pour augmenter sa production de coton, soit pour créer de la croissance économique
En traduisant une langue, on permet des erreurs de compréhension/traduction, au moins avec les sous titres et la bande son originale on peut certifier de l'authenticité.
Perso je pense qu'on devrait interdire ou au moins limiter le doublage, y compris pour les films. Lorsque j'étais petit, je ne comprenais pas pourquoi dans les films sur la guerre les américains, anglais, français et allemands parlaient tous en français ! Et avec tout ça ils n'arrivaient pas à se comprendre et à arrêter leur guerre ? Accessoirement, comment apprendre de nouvelles langues si on ne les entend jamais ? L'école ne peut pas tout, le cerveau fonctionne par apprentissage.
Je préfère nettement les sous-titres, au moins on peut se confronter à d'autres langues et on ne perd pas en qualité de compréhension. Par contre c'est problématiques pour les personnes malvoyantes.
20:47 L'interdiction des vols sur les courtes distances est plutôt un exemple de la force des lobbys de l'aviation, car pour mémoire cette mesure réclamée par la convention citoyenne a été complètement vidée de son sens et seuls quelques vols ont été impactés. Par exemple, c'est limité à une durée pour le trajet alternatif, surtout c'est caduc si le vol peut se poursuivre par un long courrier or quelque soit le vol il y a presque toujours des passagers qui vont continuer, surtout en regardant les chiffres sur l'année. Donc au final, l'impact a été nul. Mettre fin à la détaxation du kérosène serait bien plus efficace ; ainsi que la fin du subventionnement des équipements aéroportuaires par les États et les Régions, etc. Au final prendre le train revient souvent plus cher que l'avion, alors que les émissions d'un trajet en train sont très significativement plus faible que le même trajet en avion.
Arte, svp, pourriez-vous GROSSIR les sous-titres en français et ne pas les mettre en jaune, mais en BLANC ? En effet, il est très difficile de lire ces sous-titres.
Ce serait bien qu'il y ait un mode écoute seulement parce que les sous-titres c'est bien mais quand tu peux pas les lire et que tu entends que de l'allemand tu comprends pas la moitié du reportage
Pour le coup il y'a une petite erreur, les arbres ne cessent jamais de croître durant toute leur vie, leur croissance est juste plus lente lorsqu'ils atteignent une certaine taille.
Tous les arbres ont une taille maximale à maturité, à moins que ce soit différent pour certains types d'arbre, peut-être les Sequoia de l'Ouest Américain?. Ici au Canada, il y a de nombreuses forêts qui n'ont jamais été touchées par l'Homme, et lorsqu'on regarde une montagne, peu importe la région dans laquelle on se trouve, tous les arbres d'un même type ont à maturité la même taille (disons plus ou moins quelques dizaines de centimètres). Une fois à maturité, les arbres finissent éventuellement par mourir et le cycle de la forêt continue.
@@PG-3462 la croissance continue est une des caractéristiques des organismes végétaux. Il me semble que cette dernière est limité par des paramètres physique (plus un arbre est grand plus il est difficile d'acheminer la sève au sommet) ce qui ralentit leur croissance en hauteur. Mais le croissance se fait également par le système racinaire, branche etc et non pas uniquement en hauteur.
@@lhomoursporc7759 la croissance est "continue" car l'arbre s'appuie sur ses cellules mortes pour se redevelopper autour . Cependant loi de la thermodynamique oblige, un arbre a bien une croissance qui est limité par le nombre maximale de cellule vivante qu'il est capable d'entretenir via ses capacités de nutrition.
@@bobbobbob3847 je ne pensais pas que mon commentaire engendrerait autant de réponse. Je ne tenais pas compte des paramètres environnementaux (accès au ressources), les végétaux étant sessiles ils sont en effets fortement contraint par leur milieu. Disons qu'ils ont un potentiel de croissance qui n'est pas limité biologiquement. Je faisais surtout cette remarque car je trouvais que cette exemple de l'arbre desservait le propos car à l'image d'autre type de vivant comme les bactéries (plus fortement encore), sa croissance est limitée par sont milieu et par les lois physique. Et que paradoxalement, c'est plutôt un exemple qu'a l'image de l'homme il ne se limite que par une contrainte extérieur.
Hello! Merci pour tout ces docs… Il serait intéressa de doubler les intervenants parlant anglais ou allemand… pour permettre une meilleure transmission aux auditeurs en mode podcast 😉 Merci encore
J'ai pensé la même chose haha Ils parlent des méfaits de l'aviation et après "..Ils pourraient notamment développer le tourisme." Aaaah non ! Quelle contradiction ! Après on peut aussi imaginer un tourisme plus locale et pas forcément internationale avec des long courriers etc : ces pays ont une richesse culturelle importante, et les pays voisins sont des touristes potentiels
T'es bon public ^^ Quand on nous dit que le bonheur dépend d'un certains revenu ça me fait doucement rire. Le bonheur c'est el bien-être ,le bien de l'être, sensation intérieure de satisfaction permanente qui ne dépend pas de l'extérieur... Tout le contraire du plaisir, qui réside dans les avoirs, dans la consommation et qui s'oppose au bonheur, déjà car avoir et être sont 2 choses différentes, dans le sens où cela apporte toujours son lot d'insatisfaction de frustration lorsqu'on est repu ou lassé de ce qu'on a acheté. Mais cette absurdité est volontaire de la part de cette société, pour nous pousser à consommer : "bien manger c'est le début du bonheur" c'est faux c'est le début du plaisir. Bouddha disait : "le plaisir se ramasse, la joie se cueille et le bonheur se cultive" 3 choses très différentes mais dont i lest important de garder un équilibre. Et on ne peut vendre du bonheur d'où ce raisonnement fallacieux pour nous faire passer le plaisir pour du bonheur ;)
@@MalcomMitch Oui, je suis bon public du contenu d'Arte. En ce qui concerne le bonheur, je te rejoins plutôt (et j'ai d'ailleurs une vidéo sur ma chaine qui en parle sous cet angle, si tu as le temps et l'envie).
@@MalcomMitchMais t'a pas regardé la vidéo en fait?? À quel moment ils disent ça? Comme c'est possible de comprendre un truc complètement différent comme ça?? On nous explique qu'il existe un seuil de bonheur que l'argent apporte et au delà, il n'y a plus d'intérêt à gagner plus.
Un contenu très intéressant qui invite à réfléchir. Si l’approche était basée un peu plus sur l’histoire, ça aurait été mieux. La notion du PIB a été inventée pour quantifier la capacité de production des États Unis afin de mener la deuxième guerre mondiale d’une façon contrôlée et efficace. Dès lors, la notion est adoptée par toutes les nations. Et c’est aussi à partir là, les économistes entrent dans la scène politique. Du coup, la direction économique commence à jalonner et contrôler l’approche politique et sociale. C’est aussi par là, néo-liberalism devient une idéologie dominante chez les politicians. Maintenant, lors de la financialisation de l’économie mondiale, l’inégalité ne cesse pas de croître et les géants financiers ont proportionnellement de plus en plus de pouvoir politique. Est ce que on peut faire un changement radical tel que décrit dans ce vidéo sans changer cette dominance économiste dans notre politique?? Comme Piketty a dit, on doit sauver le capitalism depuis capitalistes.
*Pourquoi on pollue, qu'on épuise les ressources de la planète et qu'on met en danger notre écosystème ? Parce qu'on consomme trop et qu'on achète constamment et impulsivement tous les biens et services qui comblent nos besoins et nos désirs non indispensables. *Pourquoi on consomme trop ? Parce que les entreprises sont toujours encouragées à produire plus. *Pourquoi est ce qu'on veut produire toujours plus ? Parce qu'on veut atteindre une croissance indéfinie du PIB *Pourquoi est ce qu'on veut atteindre une croissance infinie du PIB ? Parce qu'on pense qu'une croissance infinie de la production = une croissance des dépenses une augmentation des crédits immo ou à la conso = une croissances des revenues par habitant => une augmentation du pouvoir d'achat [or la croissance du PIB n'est plus corrélée à une augmentation du bien être au delà d'un seuil : Paradoxe d'Easterlin]. *Pourquoi est ce qu'on souhaite une augmentation perpétuelle du pouvoir d'achat des citoyens ? Pour qu'ils aient constamment plus d'argent pour s'offrir les biens et les services qui comblent leurs besoins et leurs désirs. *Pourquoi est ce qu'il faut constamment plus d'argent ? Parce que dans le système capitaliste, l'argent est le fluide essentiel sans lequel on ne peut pas s'offrir les biens et les services qu'on est pas capable de produire soit même. Dans le système actuel, l'argent est ABSOLUMENT ESSENTIEL pour satisfaire ses besoins et ses désirs quotidiens. *Si l'argent est si important, et qu'il n'est pas une ressource rare, pourquoi est ce qu'on ne le crée pas et qu'on le partage de façon équitable à tout le monde pour que tout le monde puisse vivre décemment et s'offrir ce qu'il veut ? Parce que les banques de dépôt sont les seules institutions protégées par l'Etat pour créer de la monnaie et qu'en tant qu'entreprises privées, elle crée de la monnaie sur la base de demande de crédits des ménages, entreprises et Etat et qu'elles le font seulement pour toucher les intérêts et s'enrichir. *Pourquoi est ce qu'on a donné autant de pouvoir aux banques de dépôt qui sont des entreprises privées qui ne cherchent pas à augmenter le bien être mais à s'enrichir ? QUESTION IMPORTANTE ET REPONDE ESSENTIELLE POUR NOTRE FUTUR !
Effectivement, je trouve tout à fait absurde de nos jours de comptabiliser dans l'indicateur économique le plus communément utilisé (soit le P.I.B.) les recettes produites pour réparer ou compenser les effets pervers de la croissance économique. Il faudrait plutôt utiliser un autre indicateur que le P.I.B. comme un Produit Intérieur Net (ou P.I.N., si l'acronyme n'est pas déjà utilisé pour d'autres calculs économiques), par exemple, dans lequel on retrancherait du P.I.B. les recettes produites par la réparation des effets collatéraux connus de l'activité économique (soins médicaux sur les Hommes ou les animaux pour compenser des problèmes de santé publique, réparations des dommages et catastrophes faites sur l'environnement, etc., causés par l'activité économique), voire le coût global estimé des dommages causés par les activités économiques sur les personnes et leur l'environnement.
un tel indice existe (voir g giraud). il croise indice de développement humain et impact climatique. deux indices en général opposés : les pays riches ont un fort impact mais de bonnes conditions de vie, et les pays les plus pauvres c'est l'inverse.. selon ce critère, le pays à la pointe (meilleur développement humain pour le minimum d'impact) est cuba !
Non, nous n'avons pas besoin de la croissance économique, mais plutôt une stabilité économique harmonisé au taux de génération et de la régénération de la planète. En cas de manque, tout le monde se serre la ceinture, on ralentie l'économie, et on attend que la Terre produit le nécessaire pour se relancer progressivement ou on l'aide avec des techniques scientifiques comme l'Alchimie où on fait de la transformation de matière ou du développement des matières avec des organismes divers.
@@alidigitali9091 En même temps, il faudrait réindustrialiser l'occident pour garantir son indépendance face à la Chine et l'Inde. Malheureusement, certains patrons ont oublié ce qu'est d'être patriote et de prioriser leur pays avant celle des autres, et c'est ce qui est très dommage.
La décroissance serait une excellente idée si elle était applicable partout en même temps au niveau mondial. Réduire la technologie pour devenir un pays vertueux est impossible, sauf à considérer que la défense de ce pays n' aurait plus d' importance.. c' est un pari que personne ne prendra jamais. Il nous reste l' option de continuer à produire, mais pas les mêmes choses. Beaucoup d' objets utiles, de savoirs utiles, de soins, de services utiles.. l' option de partager l' emploi, de traviller moins d' heures hebdomadaires et en bannissant testostérone, compétition, pub, télés.. et tout loisir polluant ou destructeur lors de notre temps libre. Produire (localement !!) des petites autos sobres et légères, tout en nous laissant plus de temps pour nous déplacer... remettre les transports de marchandises sur les rails, isoler le bâti existant en cessant de bétonner la campagne, y planter des choses utiles, taxer et punir fortement tout dégât infligé à la nature ou à la beauté d' un paysage, rénover les canalisations d' eau, entretenir les centrales nucléaires sans en construire une de plus .. Et non !! Les cerveaux, ou les riches que nous taxerons ne s' enfuirons pas d' un pays devenu beau, instruit, où il fera bon vivre et qui redeviendra peut-être même un modèle aux yeux du monde... Mais tout changement restera impossible sans nous couper de ce système basé sur l' élection, par des vieux, d' un président prêt à toutes les violences pour prolonger, jusqu' au bout et sous perfusion, ce joli massacre capitaliste. Et on abordera pas le sujet de la véritable autonomie de la France ( c' est pas un gros mot !) enfermée dans cette UE endoctrinée et sous tutelle américaine.
Euh oui enfin quand on nous dit que le bonheur dépend d'un certains revenu ça me fait doucement rire. Le bonheur c'est el bien-être ,le bien de l'être, sensation intérieure de satisfaction permanente qui ne dépend pas de l'extérieur... Tout le contraire du plaisir, qui réside dans les avoirs, dans la consommation et qui s'oppose au bonheur, déjà car avoir et être sont 2 choses différentes, dans le sens où cela apporte toujours son lot d'insatisfaction de frustration lorsqu'on est repu ou lassé de ce qu'on a acheté. Mais cette absurdité est volontaire de la part de cette société, pour nous pousser à consommer : "bien manger c'est le début du bonheur" c'est faux c'est le début du plaisir. Bouddha disait : "le plaisir se ramasse, la joie se cueille et le bonheur se cultive" 3 choses très différentes mais dont i lest important de garder un équilibre. Et on ne peut vendre du bonheur d'où ce raisonnement fallacieux pour nous faire passer le plaisir pour du bonheur ;)
16:14 Je ne suis pas sûr que la mobilité électrique soit un bon exemple de l’illusion d'une croissance verte. En effet, la fin du moteur thermique est une nécessité face à la crise climatique, et lorsque la voiture est la seule solution possible, elle doit être électrique. Mais évidemment la priorité est de développer les transports en commun, le vélo et la marche, notamment en ville ; mais aussi les commerces et services de proximité, le télétravail, etc. Dans ma ville, je vois de plus en plus de voitures électriques, mais aussi de plus en plus de vélos et de transports en commun, et c'est très bien ainsi.
Ah bon? La voiture électrique n'est-elle pas très polluante à la fabrication? Les transports en communs c'est bien pour ceux qui habitent en ville, on ostracise ainsi bien gentiment les ruraux. Et pour finir un bus (par exemple) pollue moins que son équivalent voiture qu'à condition qu'il soit toujours très rempli et sans oublier les aller retour pour aller et partir du hangar à bus. Sans parler que cette électricité il faut la produire et que les énergies renouvelables ne peuvent pas suivre une telle explosion de la consommation électrique... donc on continue sur du nucléaire (au mieux) ou on fait comme l'Allemagne et on se remet au charbon (au pire). Donc bon je trouve que si : la mobilité électrique sent de plus en plus le "greenwashing" Par contre oui les services de proximité le télétravail etc parfaitement d'accord.
@@dragaudric9498 Tout ce qu'on fabrique pollue, notamment un véhicule, et c'est bien pourquoi il faut privilégier la marche, le vélo, et les transports en commun. Mais la pire voiture électrique pollue moins que la meilleure voiture thermique, et ce en incluant la fabrication. Hors des villes, la voiture électrique est juste parfaite, car installer un point de charge au domicile est souvent très facile, dès lors même les modèles les plus abordables sont très largement suffisants pour les besoins quotidiens. Cela dit, la ruralité c'est avant tout des villages, plutôt que des maisons isolées, dès lors il faut tout faire pour maintenir des commerces et services de proximité accessible à pied ou à vélo. Enfin, ne vous inquiétez pas pour la production électrique, un véhicule électrique peut se charger en heures creuses aussi aucun soucis, a fortiori avec des énergies renouvelables. Au pire, il ne faut pas une grosse surface de panneaux photovoltaïques pour couvrir les besoins quotidiens. Mais bon, tout cela est presque anecdotique face au danger de continuer à émettre du CO2, aussi si il s'avère que même la voiture électrique pollue trop, il faudra se passer de voitures individuelles, même en milieu rural, comme on l'a fait durant des millénaires.
C'est dommage que vous n'indiquiez pas les sources ainsi que quelques documents intéressant, que vous avez utilisé afin de produire cette vidéo, dans les commentaires.
Emission intéressante avec notamment l'interview de Dennis Meadows, mais dommage de ne pas aborder la croissance démographique effrénée intervenue dans le même temps : la population mondiale a été multipliée par 4 depuis 100 ans (source : INED Population et Sociétés n° 604, Octobre 2022)
Disons qu'on ne peut pas y faire grand chose, contrairement à notre consommation et à nos émissions. Par ailleurs, la crise n'est pas due aux pays dans lesquels la croissance démographie est "effrénée", mais bien aux pays les plus riches où la démographie est plutôt sur la pente décroissante. Donc "merci d'arrêter de faire des enfants pour que je puisse continuer à toujours davantage consommer et polluer" est un message qui risque d'avoir du mal à passer. En conclusion, il faut montrer l'exemple, afin que ces pays évitent nos erreurs, en montrant qu'un autre modèle de développement est possible. Et évidemment il faut investir sur l'éducation -- notamment des filles -- qui est le leur frein efficace à la croissance démographique. Dès lors la population devrait se stabiliser à 10 milliards puis décroître lentement, ce qui est tout à fait durable pour peu que ces 10 milliards d'humains ne vivent pas comme des européens ou des étasuniens de 2022.
@@didierpuzenat7280 Bonjour Monsieur, Il est faux de dire que nous ne pouvons pas faire grand chose contre l''explosion de la population mondiale. C'est en effet le plus grand péril: je cite le commandant Cousteau il y a au moins 25 ans qui disait que la plus grande menace sur la planète était la surpopulation, cela m'avait marqué à l'époque. Il y aura toujours plus de besoins si la population s'accroit car des besoins restent fondamentaux: se loger, se nourrir... Evidemment qu'il faut aussi et même d'abord que l'Europe montre l'exemple, en s'engageant vers une économie de croissance modérée et verte. La question n'est évidemment pas : arrêtez de faire des enfants que je puisse poluer...!! Il faut être raisonnable à TOUS les niveaux. Repensons la transition énergétique
@@naelm29 Très bien, alors que peut-on faire pour réduire la population mondiale ? Parceque franchement à part continuer à soutenir l'éducation dans les pays en développement, notamment des filles lorsque ça ne semble pas évident aux intéressés, je ne vois pas. Par contre on peut changer *nos* habitudes, réduire drastiquement *nos* émissions, montrer l'exemple car l'Europe a encore clairement ce potentiel. Mais évidemment ça demande des efforts. J'insiste, le problème est bien plus nos modes de vie que la taille de la population mondiale, une population qui devrait redescendre après un pic de 10 milliards. La surpopulation est bien trop souvent une excuse pour ne pas changer drastiquement nos habitudes. En pratique c'est tourner la page de la voiture en ville, passer à l'électrique si un véhicule individuel est indispensable, limiter sa consommation de viande, limiter ses déplacements, ne plus prendre l'avion pour des raisons futiles, adapter son habitat (isoler, limiter le chauffage, passer à la pompe à chaleur, etc.), consommer moins et mieux et autant que possible local, penser économie circulaire, etc. Autant de changements qui peuvent faire chuter nos émissions sans pour autant diminuer la qualité de nos vies.
TH-cam, ce n'est pas la télévision. Vous avez parfaitement le droit de citer vos sources dans la description. Ne pas le faire, c'est au mieux un signe de paresse, au pire, un doute sur votre probité.
Ils mettent des économistes avec leurs noms. Ils sont les sources. Les mots clefs sont de toutes façons disponibles dans la vidéo. Les experts et les personnes suffisamment motivées sauront s'y retrouver avec les éléments donnés. Je pense que les sources en description n'ont pas beaucoup d'intérêts, la vidéo se suffit à elle-même. Emettre un doute sur la probité sur la seule base de la non citation de source en description me semble également au mieux un signe de paresse, au pire de mauvaise foi. Je commencerais par vérifier que les économistes cités ne sont pas des guignols, et Meadow c'est clairement un gars sérieux et rigoureux de ce que je connais de lui. Si vous voulez aller plus loin, faut s'y plonger, mais là c'est rapidement hors de porté de la plupart des gens, essentiellement par manque de temps/volonté.
@@leturboctopus3002 Je suis désolé, mais mettre les sources, ça n'aurait pris pas plus de 30 minutes. Internet, c'est pas un journal papier. La place n'est pas vraiment limitée. Il y avait largement la possibilité de mettre deux ou trois liens pour les gens qui aiment bien passer du temps à se renseigner un peu plus à fond sans avoir besoin de réinventer la roue à chaque article lu. Alors oui, j'ai la flemme de faire les recherches moi-même. J'ai la flemme de reprendre toute la vidéo, sans transcription, de mettre la pause à chaque assertion pour essayer de démêler ce qui relève du fait, de la position politique, ou de l'amateurisme du journaliste. Mais le journaliste a commencé quelque chose, il doit le faire bien. Il va pas essayer de me rejeter la faute dessus. De plus, je le dis et je le répète, les journalistes ont tout à prouver. Ils ne sont experts pour rien, et non pas la formation nécessaire pour parler de beaucoup de sujets différents. Ils doivent donc non seulement faire un article cohérent mais aussi passer énormément de temps à se former eux-mêmes sur les sujets qu'ils traitent. Une fois la formation faite, ils doivent travailler aussi sur la méthodologie, et la rendre transparente. D'où les liens. Enfin, il m'est parfois arrivé d'essayer de citer des sources dans les commentaires des vidéos de journalistes. Elles sont systématiquement supprimés..Pas pour leur qualité, parce que généralement je ne cite que Wikipédia ou des sources largement reconnues. Peux-tu deviner pourquoi mes liens sont supprimés ? Parce que ça nuit à référencement de Google. Que voilà un bel exemple de probité écrasée par des impératifs économiques. (Fais toi-même le test, je t'en prie...) Encore une fois, comprends-tu pourquoi les journalistes ont ils tout à prouver ? Ne te sens pas obligé de répondre à ce message. Il n'est pas seulement pour toi mais pour les quelques personnes (pas beaucoup, il est vrai) qui reliront ces quelques lignes et essaieront d'aller au-delà de la doxa médiatique.
Les journalistes font pareil pour les présentations de projets de loi de macron, ils ont la flemme de regarder des vidéos de 2h, y'a qu'à voir tous les délire autour de la loi laicité qui correspondait pas à ce qui s'était passé dans la conférence 😅
@@NarakielLasagesse vous remarquerez que mon commentaire n'évoque pas la vidéo, que j'ai pris le temps de regarder. Que vous connaissiez le sujet une excellente chose pour vous. Que vous commentiez avant même d'avoir regardé est assez questionnant. Il se pourrait que la vidéo avec le titre "Avons-nous besoin de la croissance économique ?" parle en fait des lucioles que vous commenteriez quand même ce qui n'aurait aucun sens. Commenter avant de regarder n'est pas, de mon point de vue, approprié.
Je suis d'accord avec la décroissance, mais je ne crois pas que ca serait en nous privant toujours de plus en plus. Il y a trop de monde sur la terre. En controlant les naissances, on pourrait revenir à un mode de vie où l'activitée humaine ne nuirait pas à la planète.
Commencer par donner une réelle valeur économique aux ressources. Pas à leur transformation ou leur transport comme c'est le cas à l'heure actuelle serait un départ qui permettrait de changer nos systèmes de valeurs. Et que donc celui qui préserve ou augmente ces ressources soit plus valorisé, en augmentant ses profits, dans notre société que celui qui les pille pour en tirer profit. Ou taxer grandement, pas symboliquement, ces derniers afin de répartir cette richesse socialement et écologiquement - ce qui va souvent de pair.
Très bien, mais m'intéressant au sujet depuis longtemps, je n'ai rien appris de nouveau. Montrer la confrontation entre les multiples points de vue me semblerait plus convainquant.
Le probleme de la croissance idealisee, est dut, actuelement, aux endettements des pays. On est arrive á un point de non retour, du moment oú on finance des dettes par des credits, il sera tres dificile aux états de trouver une economie sostenible ...
C est comme je le dis souvent à mes amis la limite à plus l infini du bonheur existe pour chacun de nous au delà ce sont des problèmes! L exercice assez complexe c est de savoir définir cette limite objective!
Reportage intéressant et synthétique sur le temps imparti ! Juste un détail qui n'en est pas un, concernant la mise en parallèle du déclin de la biodiversité et de l'utilisation des sols : certes l'artificialisation est un facteur très important qu'il faut juguler, mais il ne faut pas oublier la surpêche dans les océans et surtout l'utilisation complètement folle des pesticides, qui sont probablement le facteur majeur. On déverse chaque année dans l'environnement des millions de tonnes de produits conçus pour tuer le vivant, qui se décomposent eux mêmes en produits qu'on ne maîtrise pas, et qui s'accumulent années après années partout autour de nous. De superbes inventions comme les graines enrobées causent un véritable carnage. Et on noie le poisson en finançant des études sur le frelon asiatique ou je ne sais quel parasite pour expliquer le déclin des abeilles. Je vous invite à regarder la conférence de Pierre-Henri Gouyon (une pointure française de la biologie) à ce sujet, c'est édifiant.
La croissance économique devrait pouvoir se mesurer par habitant, ainsi elle pourrait continuer d'augmenter tandis que l'on prônerait une politique de l'enfant unique pour sauver la planète...
C'est une très juste réflexion, mais faut savoir ce que l'on perd. Sans croissance il n'y a plus d'ascension sociale. Les positions sont figées. Il faut repenser le système de retraite aussi
Je conseille vivement « Ralentir ou Périr : l’économie de la décroissance, par Timothee Parique. Un ouvrage qui démontre qu’autre monde est possible sans croissance infinie qui de toute manière est un suicide à petit feu.
@Laurent De Lageneste en utilisant moins de ressources énergétiques on a besoin de plus de bras/jambes pour produire, notamment l'alimentation. C'est autant de gens qui ne peuvent aller étudier et progresser socialement. L'éducation gratuite c'est lié à la croissance, à l'utilisation toujours plus grande d'énergies pour produire plus et dégager du temps libre.
L'ascension sociale ? Ça fait longtemps que je n'observe plus cela. Ce serait bien de trouver des chiffres sur le phénomène. Je pense qu'on serait bien surpris.
@@cedriclejurassien oui justement, on est déjà dans une phase de stagnation économique, notre croissance est faible et artificielle (endettement, déficit commercial), donc moins de gens progressent socialement.
les autres indicateurs que le pib pourraient être l'espérance de vie, un indicateur de bonheur, les écarts de salaires entre travailleurs (l'idée est d'assurer un minimum), la proportion de personnes sans emploi en âge de travailler et sans incapacité qui font tout de même un travail à mi-temps en échange d'une aide (si le pays comme la France ne le propose pas, ce pourcentage est à 0%): en gros qu'autant que possible tous contribuent à la société et que les écarts existent mais ne soient pas trop grand
Noooon, pas besoin de croissance économique. Le mieux, c'est de faire comme les cocos. Ca fonctionne merveilleusement bien, comme on l'a constaté en 1989.
@@thierrydesu Faut revoir ses cours d'histoire, pendant presque 20 ans (de 45 aux années 60) la croissance de l'URSS a été superieur à celle des États Unis, produisant le tiers de l'industrie mondiale
@@raven252K Ha ha ha looooool. De la croissance, on peut toujours en produire en faisant n'importe quoi. Les Chinois aussi ont fait de la "croissance" en brûlant leur outils de travail pour entretenir les foyers des fours, mais après, ils sont morts de faim faute d'avoir pu travailler dans les champs.
@@thierrydesu C'est du troll ? En 1960 les US avaient 5 ans de retard sur le spatial, je voudrais pour rien au monde vivre en URSS stalinienne mais on ne peut pas non plus dire qu'ils faisaient n'importe quoi pour faire du chiffre.
L'écologie à l'échelle planétaire c'est que du business , déjà il serait bon de penser au niveau régional. Et comme chaque pays est un dominion d'une plus grande structure Bienvenue dans "Océania d'Orwell "
Aller vers la décroissance reviendrait à faire un grand saut dans le vide (sans parachute) En attendant continuons vers une Europe ouverte vers le developpement durable, et arrêtons de stigmatiser l'énergie nucléaire: c'est l'énergie la plus décarbonnée. Ce n'est pas un prétexte pour consommer plus, c'est une question de bon sens. Un peu de pragmatisme: à supprimer les centrales nucléaires, l'Allemagne les a remplacée pae les centrales au charbon: un désastre écologique ! La solution: le mix énergétique: du nucléaire plus performant grâce au progrès technique et des énergies renouvellables avec capacité de stocker l'énergie demain...toujours grâce au progrès technique. Une sobriété compatible avec le bien être de chacun. Le modèle qui pourrait nous sauver, nous, l'Europe et toute la planète demain...🍀
Oui toutes ces vidéos ne sont la que pour préparer les gens à la misère qui vient alors qu’un autre monde est possible par une Révolution mettant fin aux rapports capitalistes de production pour produire non pas pour rendre libre et super « riche » une classe de parasites mais pour produire en fonction des besoins humains qui se confondent à bien des égards avec les besoins de la nature, l’humain étant intégré à la nature.
@@nuwandalton oui. Ici c'est la patrie des lumières, pas de l'obscurantisme des Qanons et autres groupuscules fanatiques et embourbés dans leurs certitudes complotistes. Donc, si tu avances des choses aussi énormes, t'as intérêt à trouver ce qu'on appelle des arguments sourcés, avec chiffres issus d'organismes officiels (revues scientifiques par exemple, ou AIE, GIEC, UNSCEAR, OMS... Enfin bref, quelque chose de plus sérieux que ton beau-frère texan consanguin qui le dit sur Facebook dans une vidéo tournée depuis son bunker surarmé de flingue et de mauvaise bière)
Il faut revenir à l’étalon or pour restreindre la consommation en rapport à sa disponibilité. Ainsi la consommation sera limitée à la richesse limitée par la quantité d’or disponible. Ensuite il faut pouvoir la redistribuer d’une manière équitable dans le monde d’une façon évolutive des pays riches vers les pays pauvres. Ainsi chacun doit produire de plus en plus pour lui-même ses besoins de base trop dispendieux à l’achat soit faire son jardin son pain et son vin… nous devenons tous notre propre bonne à tout faire.
Quand est-ce quelqu'un parlera enfin du lien entre notre système financier basé sur l'argent dette à interets, et l'obligation de croître pour le rembourser ?
Macron réussit le pari fou d'à la fois de favoriser la croissance (de GeneralElectric, BlackRock, McKinsey et consorts) et la décroissance (d'EDF, du service public, des petites gens). Et en plus, qu'est-ce qu'il est beau 😍
Nous européens allons devoir balayer drastiquement devant notre porte en matière d'empreinte carbone. La moyenne annuelle d'équivalent CO2 par habitant français est de 11,9 tonnes. Cette donnée demeure souvent cachée par le chiffre de 5,2 tonnes du fait de la délocalisation de notre industrie. La Chine si souvent pointée du doigt à une empreinte moindre avec 6,7 t/an/hab. Pour approfondir, le sujet, je vous recommande les conférences Jean-Marc Jancovici et d'Arthur Keller.
Si il y'a une croissance démographique faut que sa s'accompagne d'une croissance économique, sinon c la misère, une croissance démographique sans croissance économique, c la misère
Les deux veulent dire la même chose. Cependant, l'humanité n'a aucunement besoin de la croissance économique, cas le principe d'une économie est la stabilité des échanges entre individus. Or, s'il n'y a plus de ressources, il n'y a plus d'échanges, et donc, l'économie se meurt. C'est ainsi.
Tu as l'air de lire beaucoup... La croissance démographique n'a pas besoin d'économie pour mettre la misère. Quand le neuneu de base aura compris qu'il faut arrêter de se reproduire comme des lapins, on avancera. En attendant, on se contente de voir des vidéos intéressantes et de lire ce genre de commentaires...
Ça c’est en supposant que les richesses sont correctement réparties. Or ce n’est pas le cas, donc on peut très bien accroître une population sans détériorer le niveau de vie. Ça peu même être l’inverse puisque à partir d’un certain niveau de vie, les individus font moins d’enfants, ce qui peut donc endiguer voir inverser le phénomène. De toute manière la population mondiale ne peut croître indéfiniment (au même titre que le PIB). De mémoire on ne dépassera jamais 10-12 milliard d’êtres humains sur terre. Par contre là où une chose et sur, c’est que si il y a plus d’individus, le stress sur les ressources naturelles augmente. Et pour le coup vu qu’il est limité et n’as pas le temps de se reconstituer, ça veut dire a terme une baisse du niveau de vie, voir de la population.
Ca tombe bien, les pays du Nord dont le mode de vie contribue majoritairement au dépassement des limites écologiques sont des pays qui ont deja achevé leur transition démographique, problème réglé du coup
c'est un "discours" infantiliste, niveau 5-6 ans d'âge, si on veut argumenter dans ce sens on peut dire que toute société qui s'arrête de progresser régresse. Il faut commencer par les journalistes d'Arte et les climatoécolocolapsologues, on arrête de rouler en Mercédes, Bmw, ils se déplacent à pied, ou en diligence, on arrête les salaires du genre 5 000 euros par mois , 100 euros par mois c'est largement suffisant, la nourriture c'est une bouillie d''avoine ou du riz ou du (quinoa , c'est à la mode) matin et soir. Il n'y a plus de portable ni de télé parce qu'il n'y a plus d'électricité. En fait ceux qui tiennent ce discours sont les premiers "profiteurs" du système, ils veulent "ce changement" bien sûr, pour les autres. Cette utopie "sociologique" n'est pas nouvelle, ça reviendrait à mettre en pratique le film d'anticipation des années 1920 (allemand d'ailleurs), Métropolis de Fritz Lang. Il y a l'élite qui vit , à la surface avec tout le confort et les miséreux qui vivent 500 mètres sous terre comme des animaux. !!!! Et j'allais l'oublier, le contribuable français arrêterait d'entretenir par ses impôts 50 000 si ce n'est pas 100 000 "fonctionnaires de l'audiovisuel" ça aurait au moins cet avantage.
Pour info la France ne représente que 1% de la pollution mondial, la Chine 25% et les États-Unis 20%. Nous ne sommes malheureusement pas maître de notre destin et nous pouvons faire tous les efforts possibles, tous cela ne servira à rien.
La France fait partie de l'Union Européenne, et l'UE c'est 100 millions de personnes de plus que les USA. Pour ce qui est de la Chine, rapporté à la population elle émet moins de CO2 que la France, l'Europe, les USA, etc. Sans compter que pour être honnête, on devrait compter dans notre bilan les émissions de la Chine lorsque c'est pour produire des biens qui nous sont destinés, a fortiori lorsque les entreprises responsables sont européennes. Polluer ailleurs pour notre propre confort, puis accuser les autres de cette pollution, c'est un peu hypocrite, non ? Enfin, il faut donner l'exemple, car sinon demain la Chine et l'Inde voudront faire comme nous, et là ce sera "bel et bien" foutu.
Article raté, vous oubliez que les 2/3 du monde (inde + chine notamment) veulent vivre aussi bien que nous et polluer donc autant (et ce n'est pas leur préoccupation). Le problème c'est la masse, 7, 8 , 9 ,10 Mds d'être humain. Si tout le monde aspire à notre qualité de vie, ce qui est légitime, c'est insoutenable. On s'en fout du PIB ou de l'économie. On est trop qui consomme trop. Même si les 7 Mds de terriens étaient irréprochable (recyclage, habitat bas carbone, ENR, alimentation raisonnée, transport doux...), il y a une consommation intrinsèque de ressource qui n'est pas soutenable avec notre nombre
Les choses se réguleront d’elles mêmes . La croissance tuera la croissance comme l’impôt tue l’impôt . De plus il n’y techniquement plus de croissance depuis le début des années 70 mais comme le système possède une inertie énorme il lui faut du temps pour se retourner , tu freines pas un vaisseau de la taille de la terre en accélération depuis 200 ans en juste 10 ans , un pétrolier à 30 km/h va commencer à couper ses moteurs 10 km avant le port alors qu’une barque c’est 10 mètres avant .
@@didierpuzenat7280 Sauf que nous n’avons pas tous les mêmes voitures . Concrètement je pense que l’économie va rentrer en décroissance jusqu’à ce que l’on réussisse à rendre commercialement viable la fusion nucléaire donc un petit siècle . Pendant ce temps là ,la population va très probablement être divisée par 3 mais d’une manière ´ tranquille ‘ pas du Mad Max donc en commençant par les plus pauvres et en remontant petit à petit pour qu’in fine les plus riches se retrouvent à survivre car se retrouvant malgré tout à un niveau de vie comparable au niveau de vie actuel des pays en voie de développement . Pour simplifier , tu supprimes le 1/3 monde en attendant que ça reparte avec une énergie propre . La démographie comme la croissance , les deux étant liées à l’énergie n’ont aucunes lois ni raisons d’être haussières et encore moins exponentiellement haussières .
@@kingk2405 Oui, la fusion super, enfin si on y arrive et pour ça il ne faut qu'on ait encore des ressources, j'ai peur qu'on ait raté le train, dommage lorsqu'on voit que le budget total du programme ITER sur toute sa durée est inférieur au budget de la coupe du monde de foot au Qatar. Par ailleurs, "supprimer" les 2/3 de la population en un siècle implique que ce ne sera pas par choix mais plutôt dans la souffrance, donc peut être pas Mad Max mais tout de même des famines, des catastrophes naturelles, des guerres, etc. Enfin, les modifications que nous apportons au climat ne vont pas disparaître avec la fin de notre civilisation, surtout si on traîne trop pour éviter un emballement climatique. Après, que ce ne soit pas la fin de l'espèce humain, c'est en effet très probable. Tout ça pour dire que l'autorégulation est un pari bien risqué et clairement un des pires scénarios.
@@didierpuzenat7280 Mais l’auto régulation est la seule solution . Jamais au niveau mondial l’humanité ira dans le même sens . J’habite en Asie du Sud-Est ...ici si tu parles de COP c’est pour 99% des gens un truc qu’ils n’ont même jamais entendu ( d’ailleurs ils n’ont rien loupé ) . Le seul truc qui va les brancher c’est d’arriver à un style de vie genre middle class , rien d’autre. Tu discutes avec les gens et ils te demandent d’où tu débarques ,où tu habites , qu’est ce que tu bricoles dans la vie , t’as quoi comme voiture et est-ce que tes enfants font des études et en quoi ? ...après ...terminé...´circulez y a rien à voir ´comme disait l’autre ! Ça c’est la réalité très très loin du Danois qui a 5 poubelles différentes à la maison .
Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel… et personne n’augmente ses portions ni le nombre de repas de manière illimitée, c’est naturellement du bon sens ! Ah l’occident qui oxyde avec sa boulimie insatiable de besoin de toujours « plus de plus »… A suivre (ou pas !), à bon entendeur salut !
La croissance démographie n'est pas le problème, la stabilisation de la population viendra naturellement avec le développement de l'éducation, notamment des femmes. Donc plutôt que militer pour "stopper la croissance démographie" il faut militer pour l'accès de tous à l’éducation. Par ailleurs, le problème est plutôt la façon dont les gens vivent. On pourrait être 10 milliards sur Terre sans mettre en danger la planète si nous vivions plus sobrement. Alors limiter les naissances -- a fortiori dans les pays où les gens émettent le moins de CO2 -- ne va pas changer grand chose. En plus c'est plus facile à dire qu'à faire...
Un modèle de décroissance et un discours qui vaut pour les théoriciens des pays qui ont acquis à travers l'exploitation des richesses naturelles d'autres plus pauvres tout ce qui convenait à leur confort, mais allez donc prêcher maintenant ce modèle à ceux à qui n'ont pas le dixième de ce qui est nécessaire à votre confort et à votre mode de vie. Voilà encore une leçon de vanité à travers ce reportage, car l'occident et l'orient n'ont pas plus démontrés l'un comme l'autre les valeurs vertueuses qui convenaient. Les pauvres vous riront au nez et jusqu'à la guerre, pour réclamer toute la part que vous avez et que les riches ne sont plus en accord de partager. Alors les 90 % viendront toujours faire pression pour rétablir l'équilibre d'une justice sociale et économique contre les 10 % des plus riches qui méprise ces choses là, en prétendant toujours pouvoir et devoir s'appropriés toutes les richesses du globe, soit disons au bénéfice de tous mais d'abord d'eux même. Le salut ne viendra pas de la technique, ni de l'intelligence du modèle, le salut viendra de l'esprit, des valeurs du partage. Commençons par partager et alors peut-être trouverons nous une voie de résolution des problèmes qui touchent la planète et l'humanité aujourd'hui en associant chacun à la résolution du problème, prendre soins des autres étant le préalable pour prendre soin de soi.
C'est une farce ce reportage 23:00 "consommer moins pour produire moins" ils n'ont pas inversé causes et conséquences pour nous faire culpabiliser par hasard ? Ce serait pas dans cet ordre PRODUIRE MOINS pour CONSOMMER MOINS ? ^^
Le "promesse de prospérité" de l'économie est un leurre, cette même prospérité n'existe pas car elle est ipso facto au détriment d'une continuité qui, elle, n'est pas économique, c'est là tout l'impact de cette pollution. L'observation simple de la nature implique de concevoir une économie basée légitimement sur ce qui est renouvelable et une utilisation parcimonieuse de ce qui n'est pas renouvelable. Malheureusement, sous pretexte de profit "économique" on a fait tout l'inverse et ce qu'on croit être de la richesse n'est en fait que la preuve de la pauvreté d'un système basé sur l'inégalité et le mépris de (justement) la nature et de l'humain. Est-il trop tard ? C'est une évidence ! Le niveau de vie du citadin ne peut maintenant que diminuer car on a atteint le point de non-retour en matière économique. Le pécus rural à plus de "chance" car il peut se réserver une partie de ses récoltes pour survivre (que fera le citadin sur son pauvre balcon ?). L'immense majorité de l'humanité n'a aucune idée de ce triste constat et semble continuer à croire que ça ne s'arrêtera pas et que les biens seront ainsi toujours facile à obtenir, MAIS la raréfaction créera tant de conflits dans ce futur "économique" pour tout; à commencer par l'eau potable, et ce n'est là qu'un point (vital s'il en est). Déjà, (et je connais particulièrement bien le sujet) aux Philippines, des îles deviennent inhabitables à cause de la montée des eaux provoquée par un réchauffement devenu maintenant INDENIABLE, ces gens, très pauvres, n'ont plus de lieu où habiter, ne peuvent plus par conséquent subvenir à leurs besoins les plus élémentaires, que vont-ils devenir?? Partir, emmener leur pauvreté avec soit pour aller où?? faire croître encore la population des bidon-villes?? Mais en fait l'économie, qu'on a voulu avec une perpétuelle croissance jette à la mer tout les laissés pour compte qui doivent (déjà) se débrouiller pour ne pas dispaître et survivre en traînant leur misère. Je l'ai vue cette misère, de mes propres yeux, souvent, beaucoup trop souvent pour ne plus avoir aujourd'hui aucune confiance dans ce système "économique" qui ne fait que mépriser le reste de l'humanité pour ce qu'on croit être de la richesse. Les courbes ascendantes de l'économie ont leur miroir descendant dnas l'humanité.
Il a fallu longtemps pour arriver a ce constat evident... mais a ce que les riches sont capable de renoncer a leur privelege pr le bien de la planete !!
"Soit on décroît nous même avec des mesures, soit on laisse la nature s'en occuper 😂😂😂😂" c'est la parole qui me semble la plus réaliste en tout ça.
Toujours aussi fouillé et argumenté comme sujet. Merci ARTE pour ce travail de recherche de fond, et pour ce regard fanco-allemand qui nous fait sortir un peu d'un regard nombriliste franco-français. Il y a du boulot pour repenser notre manière de vivre ensemble et le fonder sur autre chose que la croissance de la consommation. Et ça commence par des formes d'organisation collective aujourd'hui!
Les documentaires d'arte sont toujours aussi bon ! J'espère que ça durera longtemps !
Très bon documentaire encore une fois, bourré de problèmes bien posés et de propositions de solutions, certes assez légères dans le détail mais c’est compréhensible vu le format. Cependant je trouve ça tellement dommage que ce genre de documentaire ne soit pas partagé au plus grand nombre car pour réellement changer les choses il faut que beaucoup de gens soient au courant. Alors merci Arte pour votre travail et j’espère que votre communauté s’occupera de partager votre message. Gros bisous
Malheuresement de nombreux pays choisissent la fuite en avant plutôt que de chercher et d'appliquer des alternatives.
Le sujet de la vidéo est très intéressant, serait-il possible d'en faire une pour aller plus en détail sur les mécanismes de la décroissance et les impacts réels sur la vie des citoyens ?
Je vous conseille un livre que je suis entrain de lire : "Ralentir ou périr. L'économie de la décroissance" de Timothée Parrique. Ou en anglais "The Future is Degrowth: A Guide to a World beyond Capitalism".
De nombreux pays, j'espère que vous incluez la France ? La moyenne annuelle d'équivalent CO2 par habitant français est de 11,9 tonnes. Cette donnée demeure souvent cachée par le chiffre de 5,2 tonnes du fait de la délocalisation de notre industrie. La Chine si souvent pointée du doigt à une empreinte moindre avec 6,7 t/an/hab. Pour approfondir, le sujet, je vous recommande les conférences Jean-Marc Jancovici et d'Arthur Keller.
@@FabriceRzepiennik J'inclue évidemment la France 🙂. Je vous remercie pour votre recommandation.
@@FabriceRzepiennik et de Emmanuel Todd.
Avant de parler de décroissance on doit absolument répondre aux problèmes de la pauvreté, à la mauvaise répartition des richesses.
On doit comprendre les mécanismes qui ne marchent pas qui entrainent que dans un meme pays que des personnes gagnent des millions et environ 40% de la population des pays dévelopés vivent dans la pauvreté ou dans la marge, c'est à dire dans une condition stressante sans marge sufisante pour payer les obligations quotidiennes.
Quand on aura fixer des politiques pour permettre à aux entrepreneurs de gagner de l'argent, que tous les ménages puissent vivre de manière décente, à ce moment on peut parler de décroissance ou de freiner la croissance.
Déja je pense à deux choses qui tend à tirer une bonne partie de la population vers la pauvreté:
1) Il faut que la croissance ne soit plus reposée sur certains pans de l'économie, comme la santé, le loyer, l'éducation, ces secteurs ne doivent pas nécessairement obéir aux lois du marché, on peut appliquer des prix bloqués, des mécanismes incitatifs ou de freinage
2) Une redirection de l'aide ou de l'assistance sociale, peut etre qu'on doit consacrer une partie des revenus des plus fortunés, vers les personnes les moins fortunés par l'acquisition d' actions dans les grandes entreprises
Je rêvais depuis quelques années d un sujet avec ce titre fait par des gens sérieux,c est fait merci beaucoup ! Tant que nos dirigeants sont sous pression des lobbyistes industriels, notre Pacha Mama ne sera pas respectée ! De plus comment allons nous faire pour convaincre les pays émergents de ne pas gaspiller comme nous le faisons, nous allons encore nous positionner en donneurs de leçons ?
Pardon, mais c'est pas du tout, tant que dirigeants ne feront pas. etc etc , mais c'est plutôt largement tant que les masses (qui n'ont jamais dit non) persisteront à ne se voir qu'en éternelles victimes de tous les maux, tant qu'elles resteront stoïque et de faite complice par le fait de ne pas dire non, de ne pas boycotter, de ne pas disguer x y allant jusqu'à pense qu'elles n'ont ni pouvoir ni aucun devoir décisionnaire..
Le devoir du citoyein qui ce définit comme tel, ne s'arrête pas àau vote ou payer des impôts y a tous qu'il normalise par le simple non reffut les masse c dixaines millions les dirigeants quelque pinces quicpietine qui consomme quii consumle majoritairement?
a x des millions acceu à quoi il vrontruvue lorsque sit paz non.
Les masses en cœurs disent nous volons et lors du vote elles votent individuellement, c je veux (y déjà quelque chose qui va pas à ce niveau et qui ne pourra jamais dabs ces cinditions).
Les gouvernements sont responsables oui, mais pas moins que les masses qui croquent dans les pommes. Et n"en deplais à toutes elles et ceux qui s'efforcent chaque jours de nier et ne parleant et encore à peine, que lorsque ça à rien. Sur les réseaux y a bien quev les entends mais là et plus prompt aux éloges confortables qu'aux critiques construivescseulement pour eux, critique ça a une conotationn négative. Seulement la negation du reelle je crois qu'il n'yca rien de plus negatif . Si nos antis corps faisaient la négation de leur rôle et de la presence virus on sait ce qui arriverait et lorsque les cellule perde la boule c comme elles devenaient complice, on appel ça un cancer.
Relis la phrase qui t as fait réagir et regarde a qui je mets des tords : les lobbies et le gouvernement un petit peu mais par la soif d argent du système babylonien dans lequel on est ( et que j essaie de fuir)
Changer le monde commence par se changer soit même, n étant pas prétentieux je ne pense pas arriver à changer le monde pour autant j ai changé déjà depuis une dizaine d'années ma manière d acheter, ma manière de manger, ma manière de penser,ma manière de m informer,.... pour essayer d etre un mouton noir parmis ce troupeau de moutons blancs dont nous faisons tous partie bon gré mal gré .
Ce n est pas de l agressivité, j aime bien le débat mais je pense que t as mal compris mon commentaire 😉Car je ne nie pas le réel du tout au contraire je constate et j agis.
Bonne journée
Pour aller plus, je vous conseille de lire "Ralentir ou périr. L'économie de la décroissance", l'excellent essai de Timothée Parrique qui est un chercheur en économie et a travaillé plus de 6 ans sur le sujet de la décroissance.
En tant qu'africain, vivant dans un pays où la FMI ne cesse de nous féliciter de notre croissance annuelle, invisible et sans impact dans la vie de tous les jours, j'ai appris à détester ces termes du capitalisme américain : croissance, PIB, compétitivité, dynamisme économique... Pffff
Ça ne servent qu'à ceux qui possèdent les dettes. Les dés sont joués d'avance
Le cas de certains pays africains est tout à fait parlant lorsque l'on songe que de nombreuses ressources naturelles sont privatisées par des gouvernements autoritaires ou des multinationales (étrangères) plutôt que de bénéficier à l'amélioration du niveau de vie des populations locales. Si ces ressources pouvaient être gérées de manière démocratique et transparente on aurait déjà fait un bon bout de chemin...
Beau contenu, je pense que la pandémie et la crise économique ont appris à tant de gens l'importance de multiples sources de revenus, malheureusement avoir un emploi ne signifie pas la sécurité financière. J'apprécie vraiment la transparence et le fait de donner aux gens une chance de se battre en ces temps troublés.
Une "chance" de se battre ?? C' est de la novlangue ?🤔🙃🤭
C’est pour ça que toute l’Europe vote pour des parties Capitalistes?
Il faut aller chercher d autres valeurs beaucoup plus importante que l argent dans toutes ses formes
Celle qui peut sauver peut être un certain nombre de personnes et certains autres formes de vie pour celà il faut réapprendre à transmettre les vrais valeurs gratuitement avec gratitude en respectant certains encore ont ses valeurs il faut les partager à d autres le plutôt possible chaque êtres humains est normalement doter du bien et du mal à savoir qu le mal détruit dans toutes ses formes comme le bien qui construit la bienveillance et sur d autres formes
Baudrym
Merci à Arte pour ce reportage éclairant mais à mon humble avis incomplet. Une des économistes interviewées dit qu'il faut organiser la décroissance de ce qui est nuisible pour l'environnement et les humains et dans le même temps organiser la croissance de ce qui est vertueux. Davantage d'éducation, formations, d'enseignements, de culture, théâtre, santé, d'activités physiques participent aussi de la bonne croissance. J'aurais aimé que le reportage nous explique comment développer le tourisme vert en Équateur si on supprime les vols internationaux ou comment passer au bio et nourrir la planète . Plus fondamentalement, pour avoir co-dirigé entreprise en forte croissance pendant pas mal d'années (+25% / an sur 10 ans), je ne sais pas comment nous aurions piloté la boite avec une croissance de 2% / An car nous avons pris des risques, fait des erreurs qui nous ont coûté parfois 5 points de croissance. Mais nous avons maintenu le cap et la croissance nous a permis d'embaucher pour des postes intéressants et utiles.
J'aurais aimé aussi que la piste du développement circulaire soit développée ainsi que l'impact sur les économies pauvres.
En tout état de cause, une bonne invitation à réfléchit et à agir. Le problème est gigantesque et il faudrait changer de paradigme, ce n'est pas une raison pour ne pas innover et changer nos habitudes.
Je vous remercie pour ces reportages qualitatifs et ose espérer qu'ils arriveront à changer les consciences
"Toute personne croyant qu'une croissance exponentielle peut continuer à l'infini dans un monde fini soit fou soit un économiste" Keneeth Bouldings
Sur bfm business il y'a aucun économiste qui y passe qui parle de croissance à l'infinie, en fait c'est tout le contraire, par contre il évoque souvent que la seule approche connu pour améliorer les conditions de vie c'est l'enrichissement des gens et donc il y'a besoin d'élévation et non de nivelage.
A chaque fois qu’une civilisation est allé trop loin, quelque chose est venu l’anéantir...
J'ai suivi des cours d'économie à l'université comme cours complémentaires (par plaisir) et aucun professeur n'a évoqué que la croissance économique infinie est possible.
En fait, dès le 19e siècle, des économistes comme Thomas Malthus se penchaient sur la question du moment où on manquerait par exemple de surface agricole
Les gouvernements recherchent la croissance économique pour deux raisons:
1) La population augmente. Puisque la population augmente et que personne n'est prêt à réduire sa consommation pour accomoder les nouveaux memvres de la société, alors il faut augmenter la production
2) Historiquement, on a toujours vu la hausse du niveau de consommation comme étant une hausse du bonheur, et c'est encore comme ça aujourd'hui. Les gens veulent constamment de nouveaux vêtements, de nouveaux souliers, voyager plus souvent par avion, une plus gross voiture, une plus grande maison, etc. Donc pour permettre au plus de gens d'atteindre leurs désirs, alors la production augmente.
Un autre mythe est que la croissance économique serait unique au capitalisme, ce qui est faux. Par exemple, l'URSS a asséché la Mer d'Aral au complet pour augmenter sa production de coton, soit pour créer de la croissance économique
Kenneth BOULDING, plutôt, non?
@@olivieretcecilepineautexie9351 exactement
Vous a fallu dix ans pour poser la bonne question. N'empêche que 28 minutes continuera de parler en termes de marché financier
Oui cette émission ultra libérale est à gerber. Cheveux gris y est toujours prête à justifier ceux qui ne marchent par dans le droit chemin.
@@MegaMaitube toi tu es professeur a col roulé
J'adore vos documentaires. Mais j'aime d'autant mieux quand ils sont traduits ; pas uniquement sous-titrés.
Moi c’est l’imverse 😬
En traduisant une langue, on permet des erreurs de compréhension/traduction, au moins avec les sous titres et la bande son originale on peut certifier de l'authenticité.
Perso je pense qu'on devrait interdire ou au moins limiter le doublage, y compris pour les films. Lorsque j'étais petit, je ne comprenais pas pourquoi dans les films sur la guerre les américains, anglais, français et allemands parlaient tous en français ! Et avec tout ça ils n'arrivaient pas à se comprendre et à arrêter leur guerre ? Accessoirement, comment apprendre de nouvelles langues si on ne les entend jamais ? L'école ne peut pas tout, le cerveau fonctionne par apprentissage.
Je préfère nettement les sous-titres, au moins on peut se confronter à d'autres langues et on ne perd pas en qualité de compréhension. Par contre c'est problématiques pour les personnes malvoyantes.
Voila pourquoi les français sont si mauvais en langues etrangeres
20:47 L'interdiction des vols sur les courtes distances est plutôt un exemple de la force des lobbys de l'aviation, car pour mémoire cette mesure réclamée par la convention citoyenne a été complètement vidée de son sens et seuls quelques vols ont été impactés. Par exemple, c'est limité à une durée pour le trajet alternatif, surtout c'est caduc si le vol peut se poursuivre par un long courrier or quelque soit le vol il y a presque toujours des passagers qui vont continuer, surtout en regardant les chiffres sur l'année. Donc au final, l'impact a été nul. Mettre fin à la détaxation du kérosène serait bien plus efficace ; ainsi que la fin du subventionnement des équipements aéroportuaires par les États et les Régions, etc. Au final prendre le train revient souvent plus cher que l'avion, alors que les émissions d'un trajet en train sont très significativement plus faible que le même trajet en avion.
Vous avez raison ; c'est la réalité.
Arte, svp, pourriez-vous GROSSIR les sous-titres en français et ne pas les mettre en jaune, mais en BLANC ? En effet, il est très difficile de lire ces sous-titres.
Surtout traduire en français avec une voie pour les personnes qui ont des problèmes de vue. Ou pour écouter en podcast
Merci pour ce documentaire 🙂
Ce serait bien qu'il y ait un mode écoute seulement parce que les sous-titres c'est bien mais quand tu peux pas les lire et que tu entends que de l'allemand tu comprends pas la moitié du reportage
Très bon reportage sur ceux qui révisent la bac de SES! (chapitre sur la croissance)
Pour le coup il y'a une petite erreur, les arbres ne cessent jamais de croître durant toute leur vie, leur croissance est juste plus lente lorsqu'ils atteignent une certaine taille.
Tous les arbres ont une taille maximale à maturité, à moins que ce soit différent pour certains types d'arbre, peut-être les Sequoia de l'Ouest Américain?. Ici au Canada, il y a de nombreuses forêts qui n'ont jamais été touchées par l'Homme, et lorsqu'on regarde une montagne, peu importe la région dans laquelle on se trouve, tous les arbres d'un même type ont à maturité la même taille (disons plus ou moins quelques dizaines de centimètres). Une fois à maturité, les arbres finissent éventuellement par mourir et le cycle de la forêt continue.
@@PG-3462 la croissance continue est une des caractéristiques des organismes végétaux. Il me semble que cette dernière est limité par des paramètres physique (plus un arbre est grand plus il est difficile d'acheminer la sève au sommet) ce qui ralentit leur croissance en hauteur. Mais le croissance se fait également par le système racinaire, branche etc et non pas uniquement en hauteur.
@@lhomoursporc7759 la croissance est "continue" car l'arbre s'appuie sur ses cellules mortes pour se redevelopper autour .
Cependant loi de la thermodynamique oblige, un arbre a bien une croissance qui est limité par le nombre maximale de cellule vivante qu'il est capable d'entretenir via ses capacités de nutrition.
@@bobbobbob3847 je ne pensais pas que mon commentaire engendrerait autant de réponse. Je ne tenais pas compte des paramètres environnementaux (accès au ressources), les végétaux étant sessiles ils sont en effets fortement contraint par leur milieu. Disons qu'ils ont un potentiel de croissance qui n'est pas limité biologiquement. Je faisais surtout cette remarque car je trouvais que cette exemple de l'arbre desservait le propos car à l'image d'autre type de vivant comme les bactéries (plus fortement encore), sa croissance est limitée par sont milieu et par les lois physique. Et que paradoxalement, c'est plutôt un exemple qu'a l'image de l'homme il ne se limite que par une contrainte extérieur.
@@lhomoursporc7759 Les arbres amènent leur sève à leurs extrêmités comme par un phénomène de sucion par l'évapotranspiration.
Merci de sous titrer et ne pas doubler à l'américaine
Ahh si seulement ils pouvaient tous faire ça..
Hello!
Merci pour tout ces docs…
Il serait intéressa de doubler les intervenants parlant anglais ou allemand… pour permettre une meilleure transmission aux auditeurs en mode podcast 😉
Merci encore
Bonjour, je ne pense pas que le tourisme qui demande de prendre l avion, soit une bonne option vers une économie verte pour l Équateur.
🙃
Non j'ai note cette contradiction aussi, le tourisme c'est pas tres ecologique
C’est un avion à rames 😊
J'ai pensé la même chose haha
Ils parlent des méfaits de l'aviation et après "..Ils pourraient notamment développer le tourisme." Aaaah non ! Quelle contradiction ! Après on peut aussi imaginer un tourisme plus locale et pas forcément internationale avec des long courriers etc : ces pays ont une richesse culturelle importante, et les pays voisins sont des touristes potentiels
Bien dit et compris
Excellent Arte, comme toujours !
T'es bon public ^^
Quand on nous dit que le bonheur dépend d'un certains revenu ça me fait doucement rire. Le bonheur c'est el bien-être ,le bien de l'être, sensation intérieure de satisfaction permanente qui ne dépend pas de l'extérieur... Tout le contraire du plaisir, qui réside dans les avoirs, dans la consommation et qui s'oppose au bonheur, déjà car avoir et être sont 2 choses différentes, dans le sens où cela apporte toujours son lot d'insatisfaction de frustration lorsqu'on est repu ou lassé de ce qu'on a acheté.
Mais cette absurdité est volontaire de la part de cette société, pour nous pousser à consommer : "bien manger c'est le début du bonheur" c'est faux c'est le début du plaisir. Bouddha disait : "le plaisir se ramasse, la joie se cueille et le bonheur se cultive" 3 choses très différentes mais dont i lest important de garder un équilibre. Et on ne peut vendre du bonheur d'où ce raisonnement fallacieux pour nous faire passer le plaisir pour du bonheur ;)
@@MalcomMitch Oui, je suis bon public du contenu d'Arte. En ce qui concerne le bonheur, je te rejoins plutôt (et j'ai d'ailleurs une vidéo sur ma chaine qui en parle sous cet angle, si tu as le temps et l'envie).
@@fautledirevite J'ai regardé, sympa tes vidéos, c'est intéressant et ludique :)
@@MalcomMitch Ravi que ça te plaise et merci !
@@MalcomMitchMais t'a pas regardé la vidéo en fait?? À quel moment ils disent ça? Comme c'est possible de comprendre un truc complètement différent comme ça??
On nous explique qu'il existe un seuil de bonheur que l'argent apporte et au delà, il n'y a plus d'intérêt à gagner plus.
Un contenu très intéressant qui invite à réfléchir. Si l’approche était basée un peu plus sur l’histoire, ça aurait été mieux. La notion du PIB a été inventée pour quantifier la capacité de production des États Unis afin de mener la deuxième guerre mondiale d’une façon contrôlée et efficace. Dès lors, la notion est adoptée par toutes les nations. Et c’est aussi à partir là, les économistes entrent dans la scène politique. Du coup, la direction économique commence à jalonner et contrôler l’approche politique et sociale. C’est aussi par là, néo-liberalism devient une idéologie dominante chez les politicians. Maintenant, lors de la financialisation de l’économie mondiale, l’inégalité ne cesse pas de croître et les géants financiers ont proportionnellement de plus en plus de pouvoir politique. Est ce que on peut faire un changement radical tel que décrit dans ce vidéo sans changer cette dominance économiste dans notre politique?? Comme Piketty a dit, on doit sauver le capitalism depuis capitalistes.
*Pourquoi on pollue, qu'on épuise les ressources de la planète et qu'on met en danger notre écosystème ? Parce qu'on consomme trop et qu'on achète constamment et impulsivement tous les biens et services qui comblent nos besoins et nos désirs non indispensables.
*Pourquoi on consomme trop ? Parce que les entreprises sont toujours encouragées à produire plus.
*Pourquoi est ce qu'on veut produire toujours plus ? Parce qu'on veut atteindre une croissance indéfinie du PIB
*Pourquoi est ce qu'on veut atteindre une croissance infinie du PIB ?
Parce qu'on pense qu'une croissance infinie de la production = une croissance des dépenses une augmentation des crédits immo ou à la conso = une croissances des revenues par habitant => une augmentation du pouvoir d'achat [or la croissance du PIB n'est plus corrélée à une augmentation du bien être au delà d'un seuil : Paradoxe d'Easterlin].
*Pourquoi est ce qu'on souhaite une augmentation perpétuelle du pouvoir d'achat des citoyens ?
Pour qu'ils aient constamment plus d'argent pour s'offrir les biens et les services qui comblent leurs besoins et leurs désirs.
*Pourquoi est ce qu'il faut constamment plus d'argent ?
Parce que dans le système capitaliste, l'argent est le fluide essentiel sans lequel on ne peut pas s'offrir les biens et les services qu'on est pas capable de produire soit même. Dans le système actuel, l'argent est ABSOLUMENT ESSENTIEL pour satisfaire ses besoins et ses désirs quotidiens.
*Si l'argent est si important, et qu'il n'est pas une ressource rare, pourquoi est ce qu'on ne le crée pas et qu'on le partage de façon équitable à tout le monde pour que tout le monde puisse vivre décemment et s'offrir ce qu'il veut ?
Parce que les banques de dépôt sont les seules institutions protégées par l'Etat pour créer de la monnaie et qu'en tant qu'entreprises privées, elle crée de la monnaie sur la base de demande de crédits des ménages, entreprises et Etat et qu'elles le font seulement pour toucher les intérêts et s'enrichir.
*Pourquoi est ce qu'on a donné autant de pouvoir aux banques de dépôt qui sont des entreprises privées qui ne cherchent pas à augmenter le bien être mais à s'enrichir ?
QUESTION IMPORTANTE ET REPONDE ESSENTIELLE POUR NOTRE FUTUR !
Effectivement, je trouve tout à fait absurde de nos jours de comptabiliser dans l'indicateur économique le plus communément utilisé (soit le P.I.B.) les recettes produites pour réparer ou compenser les effets pervers de la croissance économique. Il faudrait plutôt utiliser un autre indicateur que le P.I.B. comme un Produit Intérieur Net (ou P.I.N., si l'acronyme n'est pas déjà utilisé pour d'autres calculs économiques), par exemple, dans lequel on retrancherait du P.I.B. les recettes produites par la réparation des effets collatéraux connus de l'activité économique (soins médicaux sur les Hommes ou les animaux pour compenser des problèmes de santé publique, réparations des dommages et catastrophes faites sur l'environnement, etc., causés par l'activité économique), voire le coût global estimé des dommages causés par les activités économiques sur les personnes et leur l'environnement.
un tel indice existe (voir g giraud). il croise indice de développement humain et impact climatique. deux indices en général opposés : les pays riches ont un fort impact mais de bonnes conditions de vie, et les pays les plus pauvres c'est l'inverse.. selon ce critère, le pays à la pointe (meilleur développement humain pour le minimum d'impact) est cuba !
Non, nous n'avons pas besoin de la croissance économique, mais plutôt une stabilité économique harmonisé au taux de génération et de la régénération de la planète. En cas de manque, tout le monde se serre la ceinture, on ralentie l'économie, et on attend que la Terre produit le nécessaire pour se relancer progressivement ou on l'aide avec des techniques scientifiques comme l'Alchimie où on fait de la transformation de matière ou du développement des matières avec des organismes divers.
Va expliquer à l'Inde et à la Chine qu'elles doivent ralentir leurs économies, c'est aussi ça le problème la concurrence entre nations.
Bonne idée mais il faut un moyen de forcer tout le monde
@@alidigitali9091 En même temps, il faudrait réindustrialiser l'occident pour garantir son indépendance face à la Chine et l'Inde. Malheureusement, certains patrons ont oublié ce qu'est d'être patriote et de prioriser leur pays avant celle des autres, et c'est ce qui est très dommage.
La décroissance serait une excellente idée si elle était applicable partout en même temps au niveau mondial.
Réduire la technologie pour devenir un pays vertueux est impossible, sauf à considérer que la défense de ce pays n' aurait plus d' importance.. c' est un pari que personne ne prendra jamais.
Il nous reste l' option de continuer à produire, mais pas les mêmes choses.
Beaucoup d' objets utiles, de savoirs utiles, de soins, de services utiles.. l' option de partager l' emploi, de traviller moins d' heures hebdomadaires et en bannissant testostérone, compétition, pub, télés.. et tout loisir polluant ou destructeur lors de notre temps libre.
Produire (localement !!) des petites autos sobres et légères, tout en nous laissant plus de temps pour nous déplacer... remettre les transports de marchandises sur les rails, isoler le bâti existant en cessant de bétonner la campagne, y planter des choses utiles, taxer et punir fortement tout dégât infligé à la nature ou à la beauté d' un paysage, rénover les canalisations d' eau, entretenir les centrales nucléaires sans en construire une de plus ..
Et non !! Les cerveaux, ou les riches que nous taxerons ne s' enfuirons pas d' un pays devenu beau, instruit, où il fera bon vivre et qui redeviendra peut-être même un modèle aux yeux du monde...
Mais tout changement restera impossible sans nous couper de ce système basé sur l' élection, par des vieux, d' un président prêt à toutes les violences pour prolonger, jusqu' au bout et sous perfusion, ce joli massacre capitaliste. Et on abordera pas le sujet de la véritable autonomie de la France ( c' est pas un gros mot !) enfermée dans cette UE endoctrinée et sous tutelle américaine.
Merci, tres interessant.
parler nous dans la 'prochaine épisode de l'effet du réchauffement climatique sur l'économie mondiale. et surtout l'économie de l'Afrique .
Très intéressant et très clair !
Euh oui enfin quand on nous dit que le bonheur dépend d'un certains revenu ça me fait doucement rire. Le bonheur c'est el bien-être ,le bien de l'être, sensation intérieure de satisfaction permanente qui ne dépend pas de l'extérieur... Tout le contraire du plaisir, qui réside dans les avoirs, dans la consommation et qui s'oppose au bonheur, déjà car avoir et être sont 2 choses différentes, dans le sens où cela apporte toujours son lot d'insatisfaction de frustration lorsqu'on est repu ou lassé de ce qu'on a acheté.
Mais cette absurdité est volontaire de la part de cette société, pour nous pousser à consommer : "bien manger c'est le début du bonheur" c'est faux c'est le début du plaisir. Bouddha disait : "le plaisir se ramasse, la joie se cueille et le bonheur se cultive" 3 choses très différentes mais dont i lest important de garder un équilibre. Et on ne peut vendre du bonheur d'où ce raisonnement fallacieux pour nous faire passer le plaisir pour du bonheur ;)
Non avant ont avait la prospérité, et un jour non mais nous avons besoin de toujours plus de croissance... et on voit l'on sa nous mène...
Ho... ARTE se revieille !
Il ont dû lire le rapport du GIEC.
16:14 Je ne suis pas sûr que la mobilité électrique soit un bon exemple de l’illusion d'une croissance verte. En effet, la fin du moteur thermique est une nécessité face à la crise climatique, et lorsque la voiture est la seule solution possible, elle doit être électrique. Mais évidemment la priorité est de développer les transports en commun, le vélo et la marche, notamment en ville ; mais aussi les commerces et services de proximité, le télétravail, etc. Dans ma ville, je vois de plus en plus de voitures électriques, mais aussi de plus en plus de vélos et de transports en commun, et c'est très bien ainsi.
Ah bon? La voiture électrique n'est-elle pas très polluante à la fabrication?
Les transports en communs c'est bien pour ceux qui habitent en ville, on ostracise ainsi bien gentiment les ruraux.
Et pour finir un bus (par exemple) pollue moins que son équivalent voiture qu'à condition qu'il soit toujours très rempli et sans oublier les aller retour pour aller et partir du hangar à bus.
Sans parler que cette électricité il faut la produire et que les énergies renouvelables ne peuvent pas suivre une telle explosion de la consommation électrique... donc on continue sur du nucléaire (au mieux) ou on fait comme l'Allemagne et on se remet au charbon (au pire).
Donc bon je trouve que si : la mobilité électrique sent de plus en plus le "greenwashing"
Par contre oui les services de proximité le télétravail etc parfaitement d'accord.
@@dragaudric9498 Tout ce qu'on fabrique pollue, notamment un véhicule, et c'est bien pourquoi il faut privilégier la marche, le vélo, et les transports en commun. Mais la pire voiture électrique pollue moins que la meilleure voiture thermique, et ce en incluant la fabrication. Hors des villes, la voiture électrique est juste parfaite, car installer un point de charge au domicile est souvent très facile, dès lors même les modèles les plus abordables sont très largement suffisants pour les besoins quotidiens. Cela dit, la ruralité c'est avant tout des villages, plutôt que des maisons isolées, dès lors il faut tout faire pour maintenir des commerces et services de proximité accessible à pied ou à vélo. Enfin, ne vous inquiétez pas pour la production électrique, un véhicule électrique peut se charger en heures creuses aussi aucun soucis, a fortiori avec des énergies renouvelables. Au pire, il ne faut pas une grosse surface de panneaux photovoltaïques pour couvrir les besoins quotidiens. Mais bon, tout cela est presque anecdotique face au danger de continuer à émettre du CO2, aussi si il s'avère que même la voiture électrique pollue trop, il faudra se passer de voitures individuelles, même en milieu rural, comme on l'a fait durant des millénaires.
Claire et précis !
🦉🕯⏳🔎🧘♀️
Si toi aussi tu aimerais que l'allemand soit traduit oralement en français : like.
Il serait bien d'avoir un doublage plutot que des sous titres, les nouveaux usages tendent beaucoup l'ecoute de contenus plutot que le visionage.
Merci Arte
Excellent documentaire ! merci
C'est dommage que vous n'indiquiez pas les sources ainsi que quelques documents intéressant, que vous avez utilisé afin de produire cette vidéo, dans les commentaires.
Bonjour, je te conseille le livre Donut Economy. Kate Raworth. Très bonne lecture!
Emission intéressante avec notamment l'interview de Dennis Meadows, mais dommage de ne pas aborder la croissance démographique effrénée intervenue dans le même temps : la population mondiale a été multipliée par 4 depuis 100 ans (source : INED Population et Sociétés n° 604, Octobre 2022)
Disons qu'on ne peut pas y faire grand chose, contrairement à notre consommation et à nos émissions. Par ailleurs, la crise n'est pas due aux pays dans lesquels la croissance démographie est "effrénée", mais bien aux pays les plus riches où la démographie est plutôt sur la pente décroissante. Donc "merci d'arrêter de faire des enfants pour que je puisse continuer à toujours davantage consommer et polluer" est un message qui risque d'avoir du mal à passer. En conclusion, il faut montrer l'exemple, afin que ces pays évitent nos erreurs, en montrant qu'un autre modèle de développement est possible. Et évidemment il faut investir sur l'éducation -- notamment des filles -- qui est le leur frein efficace à la croissance démographique. Dès lors la population devrait se stabiliser à 10 milliards puis décroître lentement, ce qui est tout à fait durable pour peu que ces 10 milliards d'humains ne vivent pas comme des européens ou des étasuniens de 2022.
@@didierpuzenat7280 Bonjour Monsieur,
Il est faux de dire que nous ne pouvons pas faire grand chose contre l''explosion de la population mondiale.
C'est en effet le plus grand péril: je cite le commandant Cousteau il y a au moins 25 ans qui disait que la plus grande menace sur la planète était la surpopulation, cela m'avait marqué à l'époque.
Il y aura toujours plus de besoins si la population s'accroit car des besoins restent fondamentaux: se loger, se nourrir...
Evidemment qu'il faut aussi et même d'abord que l'Europe montre l'exemple, en s'engageant vers une économie de croissance modérée et verte.
La question n'est évidemment pas : arrêtez de faire des enfants que je puisse poluer...!!
Il faut être raisonnable à TOUS les niveaux.
Repensons la transition énergétique
@@naelm29 Très bien, alors que peut-on faire pour réduire la population mondiale ? Parceque franchement à part continuer à soutenir l'éducation dans les pays en développement, notamment des filles lorsque ça ne semble pas évident aux intéressés, je ne vois pas. Par contre on peut changer *nos* habitudes, réduire drastiquement *nos* émissions, montrer l'exemple car l'Europe a encore clairement ce potentiel. Mais évidemment ça demande des efforts. J'insiste, le problème est bien plus nos modes de vie que la taille de la population mondiale, une population qui devrait redescendre après un pic de 10 milliards. La surpopulation est bien trop souvent une excuse pour ne pas changer drastiquement nos habitudes. En pratique c'est tourner la page de la voiture en ville, passer à l'électrique si un véhicule individuel est indispensable, limiter sa consommation de viande, limiter ses déplacements, ne plus prendre l'avion pour des raisons futiles, adapter son habitat (isoler, limiter le chauffage, passer à la pompe à chaleur, etc.), consommer moins et mieux et autant que possible local, penser économie circulaire, etc. Autant de changements qui peuvent faire chuter nos émissions sans pour autant diminuer la qualité de nos vies.
La réponse à cette (non) question est dans la vidéo : les 10% les plus riches émettent plus de 50% du CO2.. Ce n'est pas une question de démographie.
TH-cam, ce n'est pas la télévision. Vous avez parfaitement le droit de citer vos sources dans la description. Ne pas le faire, c'est au mieux un signe de paresse, au pire, un doute sur votre probité.
Ils mettent des économistes avec leurs noms. Ils sont les sources. Les mots clefs sont de toutes façons disponibles dans la vidéo. Les experts et les personnes suffisamment motivées sauront s'y retrouver avec les éléments donnés.
Je pense que les sources en description n'ont pas beaucoup d'intérêts, la vidéo se suffit à elle-même. Emettre un doute sur la probité sur la seule base de la non citation de source en description me semble également au mieux un signe de paresse, au pire de mauvaise foi.
Je commencerais par vérifier que les économistes cités ne sont pas des guignols, et Meadow c'est clairement un gars sérieux et rigoureux de ce que je connais de lui. Si vous voulez aller plus loin, faut s'y plonger, mais là c'est rapidement hors de porté de la plupart des gens, essentiellement par manque de temps/volonté.
@@leturboctopus3002 Je suis désolé, mais mettre les sources, ça n'aurait pris pas plus de 30 minutes.
Internet, c'est pas un journal papier. La place n'est pas vraiment limitée. Il y avait largement la possibilité de mettre deux ou trois liens pour les gens qui aiment bien passer du temps à se renseigner un peu plus à fond sans avoir besoin de réinventer la roue à chaque article lu.
Alors oui, j'ai la flemme de faire les recherches moi-même. J'ai la flemme de reprendre toute la vidéo, sans transcription, de mettre la pause à chaque assertion pour essayer de démêler ce qui relève du fait, de la position politique, ou de l'amateurisme du journaliste.
Mais le journaliste a commencé quelque chose, il doit le faire bien. Il va pas essayer de me rejeter la faute dessus.
De plus, je le dis et je le répète, les journalistes ont tout à prouver. Ils ne sont experts pour rien, et non pas la formation nécessaire pour parler de beaucoup de sujets différents.
Ils doivent donc non seulement faire un article cohérent mais aussi passer énormément de temps à se former eux-mêmes sur les sujets qu'ils traitent. Une fois la formation faite, ils doivent travailler aussi sur la méthodologie, et la rendre transparente.
D'où les liens.
Enfin, il m'est parfois arrivé d'essayer de citer des sources dans les commentaires des vidéos de journalistes. Elles sont systématiquement supprimés..Pas pour leur qualité, parce que généralement je ne cite que Wikipédia ou des sources largement reconnues. Peux-tu deviner pourquoi mes liens sont supprimés ? Parce que ça nuit à référencement de Google. Que voilà un bel exemple de probité écrasée par des impératifs économiques. (Fais toi-même le test, je t'en prie...)
Encore une fois, comprends-tu pourquoi les journalistes ont ils tout à prouver ?
Ne te sens pas obligé de répondre à ce message. Il n'est pas seulement pour toi mais pour les quelques personnes (pas beaucoup, il est vrai) qui reliront ces quelques lignes et essaieront d'aller au-delà de la doxa médiatique.
Merci beaucoup!
3 commentaires alors que la vidéo dure 29 min et qu'elle a été posté il y a 9 minutes. Confirmation, que les personnes commentent sans regarder.
Comme toi, alors que moi, je connais pleinement le sujet, depuis plusieurs années.
Les journalistes font pareil pour les présentations de projets de loi de macron, ils ont la flemme de regarder des vidéos de 2h, y'a qu'à voir tous les délire autour de la loi laicité qui correspondait pas à ce qui s'était passé dans la conférence 😅
@@NarakielLasagesse peut-être, mais toi on s'en fout...
@@NarakielLasagesse vous remarquerez que mon commentaire n'évoque pas la vidéo, que j'ai pris le temps de regarder. Que vous connaissiez le sujet une excellente chose pour vous. Que vous commentiez avant même d'avoir regardé est assez questionnant. Il se pourrait que la vidéo avec le titre "Avons-nous besoin de la croissance économique ?" parle en fait des lucioles que vous commenteriez quand même ce qui n'aurait aucun sens. Commenter avant de regarder n'est pas, de mon point de vue, approprié.
Merci arte, comme toujours
Nous avons besoin de croissance de développement et de conservation ⚠️🌟⚪
Réduire sérieusement les accouchements humain aussi !
Je suis d'accord avec la décroissance, mais je ne crois pas que ca serait en nous privant toujours de plus en plus. Il y a trop de monde sur la terre. En controlant les naissances, on pourrait revenir à un mode de vie où l'activitée humaine ne nuirait pas à la planète.
sujet tabou ça la surpopulation dans ce genre de docu...
Commencer par donner une réelle valeur économique aux ressources. Pas à leur transformation ou leur transport comme c'est le cas à l'heure actuelle serait un départ qui permettrait de changer nos systèmes de valeurs. Et que donc celui qui préserve ou augmente ces ressources soit plus valorisé, en augmentant ses profits, dans notre société que celui qui les pille pour en tirer profit. Ou taxer grandement, pas symboliquement, ces derniers afin de répartir cette richesse socialement et écologiquement - ce qui va souvent de pair.
Très bien, mais m'intéressant au sujet depuis longtemps, je n'ai rien appris de nouveau.
Montrer la confrontation entre les multiples points de vue me semblerait plus convainquant.
Le probleme de la croissance idealisee, est dut, actuelement, aux endettements des pays. On est arrive á un point de non retour, du moment oú on finance des dettes par des credits, il sera tres dificile aux états de trouver une economie sostenible ...
Ce qui serait très pertinent, ce serait de changer économique par démographique dans le titre
Magnifique documentaire !!
Belle vidéo, parler nous dans votre prochaine épisode, de l'importance des crypto dans cette économie en plaine croissance.
C est comme je le dis souvent à mes amis la limite à plus l infini du bonheur existe pour chacun de nous au delà ce sont des problèmes! L exercice assez complexe c est de savoir définir cette limite objective!
Tant que la création monétaire dépendra de la dette, on aura besoin de faire croitre la dette et donc l'économie.
Reportage intéressant et synthétique sur le temps imparti !
Juste un détail qui n'en est pas un, concernant la mise en parallèle du déclin de la biodiversité et de l'utilisation des sols : certes l'artificialisation est un facteur très important qu'il faut juguler, mais il ne faut pas oublier la surpêche dans les océans et surtout l'utilisation complètement folle des pesticides, qui sont probablement le facteur majeur. On déverse chaque année dans l'environnement des millions de tonnes de produits conçus pour tuer le vivant, qui se décomposent eux mêmes en produits qu'on ne maîtrise pas, et qui s'accumulent années après années partout autour de nous. De superbes inventions comme les graines enrobées causent un véritable carnage. Et on noie le poisson en finançant des études sur le frelon asiatique ou je ne sais quel parasite pour expliquer le déclin des abeilles.
Je vous invite à regarder la conférence de Pierre-Henri Gouyon (une pointure française de la biologie) à ce sujet, c'est édifiant.
42 mon nombre préféré.
La croissance économique devrait pouvoir se mesurer par habitant, ainsi elle pourrait continuer d'augmenter tandis que l'on prônerait une politique de l'enfant unique pour sauver la planète...
C'est bien. On ira en fonction des chocs qu'on va se prendre. Malheureusement pas suivant un grand plan de transformation.
14:42 Pourquoi ? Y'avait pas spécialement besoin d'imager le mot "dépendant"
C'est une très juste réflexion, mais faut savoir ce que l'on perd. Sans croissance il n'y a plus d'ascension sociale. Les positions sont figées. Il faut repenser le système de retraite aussi
Je conseille vivement « Ralentir ou Périr : l’économie de la décroissance, par Timothee Parique. Un ouvrage qui démontre qu’autre monde est possible sans croissance infinie qui de toute manière est un suicide à petit feu.
@Laurent De Lageneste en utilisant moins de ressources énergétiques on a besoin de plus de bras/jambes pour produire, notamment l'alimentation. C'est autant de gens qui ne peuvent aller étudier et progresser socialement. L'éducation gratuite c'est lié à la croissance, à l'utilisation toujours plus grande d'énergies pour produire plus et dégager du temps libre.
Aussi, s'il n'y a pas de croissance, il n'y a pas d'enrichissement. Nul n'acquiert un meilleur statut social.
L'ascension sociale ? Ça fait longtemps que je n'observe plus cela. Ce serait bien de trouver des chiffres sur le phénomène. Je pense qu'on serait bien surpris.
@@cedriclejurassien oui justement, on est déjà dans une phase de stagnation économique, notre croissance est faible et artificielle (endettement, déficit commercial), donc moins de gens progressent socialement.
c'est cool
les autres indicateurs que le pib pourraient être l'espérance de vie, un indicateur de bonheur, les écarts de salaires entre travailleurs (l'idée est d'assurer un minimum), la proportion de personnes sans emploi en âge de travailler et sans incapacité qui font tout de même un travail à mi-temps en échange d'une aide (si le pays comme la France ne le propose pas, ce pourcentage est à 0%): en gros qu'autant que possible tous contribuent à la société et que les écarts existent mais ne soient pas trop grand
Noooon, pas besoin de croissance économique. Le mieux, c'est de faire comme les cocos. Ca fonctionne merveilleusement bien, comme on l'a constaté en 1989.
Psq tout le monde sait que l'URSS ne planifiait pas du tout la croissance de son économie 🤦
@@raven252K Planification ne signifie pas croissance. L'exemple de l'URSS démontre justement que c'est même tout le contraire.
@@thierrydesu Faut revoir ses cours d'histoire, pendant presque 20 ans (de 45 aux années 60) la croissance de l'URSS a été superieur à celle des États Unis, produisant le tiers de l'industrie mondiale
@@raven252K Ha ha ha looooool. De la croissance, on peut toujours en produire en faisant n'importe quoi. Les Chinois aussi ont fait de la "croissance" en brûlant leur outils de travail pour entretenir les foyers des fours, mais après, ils sont morts de faim faute d'avoir pu travailler dans les champs.
@@thierrydesu C'est du troll ? En 1960 les US avaient 5 ans de retard sur le spatial, je voudrais pour rien au monde vivre en URSS stalinienne mais on ne peut pas non plus dire qu'ils faisaient n'importe quoi pour faire du chiffre.
cette émission a juste 50 ans de retard, les médias ne sont pas vraiment, pas du tout que dis-je, à la page de la vérité des faits. y'a urgence non ?
L'écologie à l'échelle planétaire c'est que du business , déjà il serait bon de penser au niveau régional.
Et comme chaque pays est un dominion d'une plus grande structure Bienvenue dans "Océania d'Orwell "
Aïe ! Non, la croissance des arbres est indéterminée. En théorie, un arbre peut donc grandir indéfiniment !
Aller vers la décroissance reviendrait à faire un grand saut dans le vide (sans parachute)
En attendant continuons vers une Europe ouverte vers le developpement durable, et arrêtons de stigmatiser l'énergie nucléaire: c'est l'énergie la plus décarbonnée.
Ce n'est pas un prétexte pour consommer plus, c'est une question de bon sens.
Un peu de pragmatisme: à supprimer les centrales nucléaires, l'Allemagne les a remplacée pae les centrales au charbon: un désastre écologique !
La solution: le mix énergétique: du nucléaire plus performant grâce au progrès technique et des énergies renouvellables avec capacité de stocker l'énergie demain...toujours grâce au progrès technique.
Une sobriété compatible avec le bien être de chacun.
Le modèle qui pourrait nous sauver, nous, l'Europe et toute la planète demain...🍀
Bravo !
Oui.
Ouf le Grand Reset arrive à temps !
Merci tonton Shuab
t'es un américain, toi...
Oui toutes ces vidéos ne sont la que pour préparer les gens à la misère qui vient alors qu’un autre monde est possible par une Révolution mettant fin aux rapports capitalistes de production pour produire non pas pour rendre libre et super « riche » une classe de parasites mais pour produire en fonction des besoins humains qui se confondent à bien des égards avec les besoins de la nature, l’humain étant intégré à la nature.
@@SB-or7cx J'en suis un demi. Une requête ?
It's big brain time
@@nuwandalton oui. Ici c'est la patrie des lumières, pas de l'obscurantisme des Qanons et autres groupuscules fanatiques et embourbés dans leurs certitudes complotistes.
Donc, si tu avances des choses aussi énormes, t'as intérêt à trouver ce qu'on appelle des arguments sourcés, avec chiffres issus d'organismes officiels (revues scientifiques par exemple, ou AIE, GIEC, UNSCEAR, OMS... Enfin bref, quelque chose de plus sérieux que ton beau-frère texan consanguin qui le dit sur Facebook dans une vidéo tournée depuis son bunker surarmé de flingue et de mauvaise bière)
Il faut revenir à l’étalon or pour restreindre la consommation en rapport à sa disponibilité. Ainsi la consommation sera limitée à la richesse limitée par la quantité d’or disponible. Ensuite il faut pouvoir la redistribuer d’une manière équitable dans le monde d’une façon évolutive des pays riches vers les pays pauvres. Ainsi chacun doit produire de plus en plus pour lui-même ses besoins de base trop dispendieux à l’achat soit faire son jardin son pain et son vin… nous devenons tous notre propre bonne à tout faire.
Quand est-ce quelqu'un parlera enfin du lien entre notre système financier basé sur l'argent dette à interets, et l'obligation de croître pour le rembourser ?
Macron réussit le pari fou d'à la fois de favoriser la croissance (de GeneralElectric, BlackRock, McKinsey et consorts) et la décroissance (d'EDF, du service public, des petites gens).
Et en plus, qu'est-ce qu'il est beau 😍
Nous européens allons devoir balayer drastiquement devant notre porte en matière d'empreinte carbone. La moyenne annuelle d'équivalent CO2 par habitant français est de 11,9 tonnes. Cette donnée demeure souvent cachée par le chiffre de 5,2 tonnes du fait de la délocalisation de notre industrie. La Chine si souvent pointée du doigt à une empreinte moindre avec 6,7 t/an/hab. Pour approfondir, le sujet, je vous recommande les conférences Jean-Marc Jancovici et d'Arthur Keller.
Si il y'a une croissance démographique faut que sa s'accompagne d'une croissance économique, sinon c la misère, une croissance démographique sans croissance économique, c la misère
Les deux veulent dire la même chose. Cependant, l'humanité n'a aucunement besoin de la croissance économique, cas le principe d'une économie est la stabilité des échanges entre individus. Or, s'il n'y a plus de ressources, il n'y a plus d'échanges, et donc, l'économie se meurt. C'est ainsi.
Tu as l'air de lire beaucoup... La croissance démographique n'a pas besoin d'économie pour mettre la misère. Quand le neuneu de base aura compris qu'il faut arrêter de se reproduire comme des lapins, on avancera. En attendant, on se contente de voir des vidéos intéressantes et de lire ce genre de commentaires...
Ça c’est en supposant que les richesses sont correctement réparties.
Or ce n’est pas le cas, donc on peut très bien accroître une population sans détériorer le niveau de vie.
Ça peu même être l’inverse puisque à partir d’un certain niveau de vie, les individus font moins d’enfants, ce qui peut donc endiguer voir inverser le phénomène.
De toute manière la population mondiale ne peut croître indéfiniment (au même titre que le PIB). De mémoire on ne dépassera jamais 10-12 milliard d’êtres humains sur terre.
Par contre là où une chose et sur, c’est que si il y a plus d’individus, le stress sur les ressources naturelles augmente. Et pour le coup vu qu’il est limité et n’as pas le temps de se reconstituer, ça veut dire a terme une baisse du niveau de vie, voir de la population.
Ca tombe bien, les pays du Nord dont le mode de vie contribue majoritairement au dépassement des limites écologiques sont des pays qui ont deja achevé leur transition démographique, problème réglé du coup
Est-ce que travailler plus jusqu'à 65 ans alors que nous sommes déjà le pays le plus productif au monde et ainsi produire plus serait une aberration?!
c'est un "discours" infantiliste, niveau 5-6 ans d'âge, si on veut argumenter dans ce sens on peut dire que toute société qui s'arrête de progresser régresse. Il faut commencer par les journalistes d'Arte et les climatoécolocolapsologues, on arrête de rouler en Mercédes, Bmw,
ils se déplacent à pied, ou en diligence, on arrête les salaires du genre 5 000 euros par mois , 100 euros par mois c'est largement suffisant, la nourriture c'est une bouillie d''avoine ou du riz ou du (quinoa , c'est à la mode) matin et soir. Il n'y a plus de portable ni de télé parce qu'il n'y a plus d'électricité. En fait ceux qui tiennent ce discours sont les premiers "profiteurs" du système, ils veulent "ce changement" bien sûr, pour les autres. Cette utopie "sociologique" n'est pas nouvelle, ça reviendrait à mettre en pratique le film d'anticipation des années 1920 (allemand d'ailleurs), Métropolis de Fritz Lang. Il y a l'élite qui vit , à la surface avec tout le confort et les miséreux qui vivent 500 mètres sous terre comme des animaux. !!!! Et j'allais l'oublier, le contribuable français arrêterait d'entretenir par ses impôts 50 000 si ce n'est pas 100 000 "fonctionnaires de l'audiovisuel" ça aurait au moins cet avantage.
Pour info la France ne représente que 1% de la pollution mondial, la Chine 25% et les États-Unis 20%. Nous ne sommes malheureusement pas maître de notre destin et nous pouvons faire tous les efforts possibles, tous cela ne servira à rien.
La France fait partie de l'Union Européenne, et l'UE c'est 100 millions de personnes de plus que les USA. Pour ce qui est de la Chine, rapporté à la population elle émet moins de CO2 que la France, l'Europe, les USA, etc. Sans compter que pour être honnête, on devrait compter dans notre bilan les émissions de la Chine lorsque c'est pour produire des biens qui nous sont destinés, a fortiori lorsque les entreprises responsables sont européennes. Polluer ailleurs pour notre propre confort, puis accuser les autres de cette pollution, c'est un peu hypocrite, non ? Enfin, il faut donner l'exemple, car sinon demain la Chine et l'Inde voudront faire comme nous, et là ce sera "bel et bien" foutu.
A partir du moment où la monnaie perd de la valeur oui… c’est mathématique
La décroissance est enfin une nécessité.
Décroissance ou chocolatine ?
Interrogation intelligent
Article raté, vous oubliez que les 2/3 du monde (inde + chine notamment) veulent vivre aussi bien que nous et polluer donc autant (et ce n'est pas leur préoccupation). Le problème c'est la masse, 7, 8 , 9 ,10 Mds d'être humain. Si tout le monde aspire à notre qualité de vie, ce qui est légitime, c'est insoutenable. On s'en fout du PIB ou de l'économie. On est trop qui consomme trop. Même si les 7 Mds de terriens étaient irréprochable (recyclage, habitat bas carbone, ENR, alimentation raisonnée, transport doux...), il y a une consommation intrinsèque de ressource qui n'est pas
soutenable avec notre nombre
Le problème à la base est que la croissance économique est biaisée avec l'exclusion du grand nombre et la récolte des pots cassés par ces derniers.
Les choses se réguleront d’elles mêmes . La croissance tuera la croissance comme l’impôt tue l’impôt .
De plus il n’y techniquement plus de croissance depuis le début des années 70 mais comme le système possède une inertie énorme il lui faut du temps pour se retourner , tu freines pas un vaisseau de la taille de la terre en accélération depuis 200 ans en juste 10 ans , un pétrolier à 30 km/h va commencer à couper ses moteurs 10 km avant le port alors qu’une barque c’est 10 mètres avant .
Oui, une voiture qui fonce dans un arbre en accélérant finira par s'arrêter, c'est sûr. Le problème est que nous sommes tous dans la voiture.
@@didierpuzenat7280 Sauf que nous n’avons pas tous les mêmes voitures . Concrètement je pense que l’économie va rentrer en décroissance jusqu’à ce que l’on réussisse à rendre commercialement viable la fusion nucléaire donc un petit siècle . Pendant ce temps là ,la population va très probablement être divisée par 3 mais d’une manière ´ tranquille ‘ pas du Mad Max donc en commençant par les plus pauvres et en remontant petit à petit pour qu’in fine les plus riches se retrouvent à survivre car se retrouvant malgré tout à un niveau de vie comparable au niveau de vie actuel des pays en voie de développement . Pour simplifier , tu supprimes le 1/3 monde en attendant que ça reparte avec une énergie propre .
La démographie comme la croissance , les deux étant liées à l’énergie n’ont aucunes lois ni raisons d’être haussières et encore moins exponentiellement haussières .
@@kingk2405 Oui, la fusion super, enfin si on y arrive et pour ça il ne faut qu'on ait encore des ressources, j'ai peur qu'on ait raté le train, dommage lorsqu'on voit que le budget total du programme ITER sur toute sa durée est inférieur au budget de la coupe du monde de foot au Qatar. Par ailleurs, "supprimer" les 2/3 de la population en un siècle implique que ce ne sera pas par choix mais plutôt dans la souffrance, donc peut être pas Mad Max mais tout de même des famines, des catastrophes naturelles, des guerres, etc. Enfin, les modifications que nous apportons au climat ne vont pas disparaître avec la fin de notre civilisation, surtout si on traîne trop pour éviter un emballement climatique. Après, que ce ne soit pas la fin de l'espèce humain, c'est en effet très probable. Tout ça pour dire que l'autorégulation est un pari bien risqué et clairement un des pires scénarios.
@@didierpuzenat7280 Mais l’auto régulation est la seule solution . Jamais au niveau mondial l’humanité ira dans le même sens . J’habite en Asie du Sud-Est ...ici si tu parles de COP c’est pour 99% des gens un truc qu’ils n’ont même jamais entendu ( d’ailleurs ils n’ont rien loupé ) . Le seul truc qui va les brancher c’est d’arriver à un style de vie genre middle class , rien d’autre. Tu discutes avec les gens et ils te demandent d’où tu débarques ,où tu habites , qu’est ce que tu bricoles dans la vie , t’as quoi comme voiture et est-ce que tes enfants font des études et en quoi ? ...après ...terminé...´circulez y a rien à voir ´comme disait l’autre !
Ça c’est la réalité très très loin du Danois qui a 5 poubelles différentes à la maison .
Cette croissance excessive est de l'onconomie, pas de l'économie. Elle dévore tout: l'individu, la société, la nature.
Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel… et personne n’augmente ses portions ni le nombre de repas de manière illimitée, c’est naturellement du bon sens ! Ah l’occident qui oxyde avec sa boulimie insatiable de besoin de toujours « plus de plus »… A suivre (ou pas !), à bon entendeur salut !
Et si on commençait par stopper la croissance démographique ?
La croissance démographie n'est pas le problème, la stabilisation de la population viendra naturellement avec le développement de l'éducation, notamment des femmes. Donc plutôt que militer pour "stopper la croissance démographie" il faut militer pour l'accès de tous à l’éducation. Par ailleurs, le problème est plutôt la façon dont les gens vivent. On pourrait être 10 milliards sur Terre sans mettre en danger la planète si nous vivions plus sobrement. Alors limiter les naissances -- a fortiori dans les pays où les gens émettent le moins de CO2 -- ne va pas changer grand chose. En plus c'est plus facile à dire qu'à faire...
C'est sûr
Un modèle de décroissance et un discours qui vaut pour les théoriciens des pays qui ont acquis à travers l'exploitation des richesses naturelles d'autres plus pauvres tout ce qui convenait à leur confort, mais allez donc prêcher maintenant ce modèle à ceux à qui n'ont pas le dixième de ce qui est nécessaire à votre confort et à votre mode de vie. Voilà encore une leçon de vanité à travers ce reportage, car l'occident et l'orient n'ont pas plus démontrés l'un comme l'autre les valeurs vertueuses qui convenaient. Les pauvres vous riront au nez et jusqu'à la guerre, pour réclamer toute la part que vous avez et que les riches ne sont plus en accord de partager. Alors les 90 % viendront toujours faire pression pour rétablir l'équilibre d'une justice sociale et économique contre les 10 % des plus riches qui méprise ces choses là, en prétendant toujours pouvoir et devoir s'appropriés toutes les richesses du globe, soit disons au bénéfice de tous mais d'abord d'eux même. Le salut ne viendra pas de la technique, ni de l'intelligence du modèle, le salut viendra de l'esprit, des valeurs du partage. Commençons par partager et alors peut-être trouverons nous une voie de résolution des problèmes qui touchent la planète et l'humanité aujourd'hui en associant chacun à la résolution du problème, prendre soins des autres étant le préalable pour prendre soin de soi.
Comment ne pas être anticapitaliste ?
C'est une farce ce reportage 23:00 "consommer moins pour produire moins" ils n'ont pas inversé causes et conséquences pour nous faire culpabiliser par hasard ? Ce serait pas dans cet ordre PRODUIRE MOINS pour CONSOMMER MOINS ? ^^
rien sur la croissance de la population mondiale !!!!! 8 milliards en novembre 2022...!!!
Le vol Paris Nantes par le PSG ne rentre pas là dedans...23:00
Dites nous ce qu'il vous manque on vous expliquera comment vous en passer.
Le "promesse de prospérité" de l'économie est un leurre, cette même prospérité n'existe pas car elle est ipso facto au détriment d'une continuité qui, elle, n'est pas économique, c'est là tout l'impact de cette pollution.
L'observation simple de la nature implique de concevoir une économie basée légitimement sur ce qui est renouvelable et une utilisation parcimonieuse de ce qui n'est pas renouvelable. Malheureusement, sous pretexte de profit "économique" on a fait tout l'inverse et ce qu'on croit être de la richesse n'est en fait que la preuve de la pauvreté d'un système basé sur l'inégalité et le mépris de (justement) la nature et de l'humain.
Est-il trop tard ?
C'est une évidence ! Le niveau de vie du citadin ne peut maintenant que diminuer car on a atteint le point de non-retour en matière économique. Le pécus rural à plus de "chance" car il peut se réserver une partie de ses récoltes pour survivre (que fera le citadin sur son pauvre balcon ?).
L'immense majorité de l'humanité n'a aucune idée de ce triste constat et semble continuer à croire que ça ne s'arrêtera pas et que les biens seront ainsi toujours facile à obtenir, MAIS la raréfaction créera tant de conflits dans ce futur "économique" pour tout; à commencer par l'eau potable, et ce n'est là qu'un point (vital s'il en est). Déjà, (et je connais particulièrement bien le sujet) aux Philippines, des îles deviennent inhabitables à cause de la montée des eaux provoquée par un réchauffement devenu maintenant INDENIABLE, ces gens, très pauvres, n'ont plus de lieu où habiter, ne peuvent plus par conséquent subvenir à leurs besoins les plus élémentaires, que vont-ils devenir?? Partir, emmener leur pauvreté avec soit pour aller où?? faire croître encore la population des bidon-villes?? Mais en fait l'économie, qu'on a voulu avec une perpétuelle croissance jette à la mer tout les laissés pour compte qui doivent (déjà) se débrouiller pour ne pas dispaître et survivre en traînant leur misère. Je l'ai vue cette misère, de mes propres yeux, souvent, beaucoup trop souvent pour ne plus avoir aujourd'hui aucune confiance dans ce système "économique" qui ne fait que mépriser le reste de l'humanité pour ce qu'on croit être de la richesse.
Les courbes ascendantes de l'économie ont leur miroir descendant dnas l'humanité.
Il a fallu longtemps pour arriver a ce constat evident... mais a ce que les riches sont capable de renoncer a leur privelege pr le bien de la planete !!