L'affaire Anita Varnerot : L'inavouable infanticide

L'affaire Anita Varnerot, nous rapelle que des horribles crimes, peuvent se produire au sein d'une famille.
En effet, les violences et les crimes de sang se déroulent dans de nombreux cas entre membres d'une meme famille, comme c'est le cas dans cette affaire.
Un soir de février 2014, Anita Varnerot panique. Au téléphone, elle supplie les secours de la rejoindre à son domicile. Elle a retrouvé sa fille, inerte dans son appartement la veille de ses 18 ans.
Très vite, ils vont conclure à une mort par suicide, la faute à des traces de somnifères trouvées dans la cuisine.
Cependant, l'autopsie viendra contredire cette version, concluant à un décès par asphyxie. Suite à cela, Anita se retrouve dans le viseur des enquêteurs, car plusieurs éléments les intriguent.
Elle évoque un cambriolage, puis une tentative de chantage. Son appartement est dans le plus grand désordre, alotrs qu'aucune trace d'effraction n'a été constatée. Pour eux, il s'agit d'une mise en scène.
A partir de cet instant, elle est soupçonné, et meme accusé du meurtre de sa fille. Pourtant, elle continue d'affirmer son innocence et réfutant toutes les preuves à son encontre.
Accusée du meurtre de sa fille, elle a finalement été reconnue coupable d'avoir fait boire à sa fille pas moins de 14 cachets de Zolpidem, un acide barbiturique particulièrement puissant, puis de s'être servie d'un coussin pour l’étouffer. Le 13 septembre 2017, Anita Varnerot a été condamnée à 20 ans de réclusion criminelle. Décrite comme "saine d'esprit" par ses voisins et de nombreux témoins, elle aurait agi ainsi à la suite d'un conflit avec son enfant, qui jugeait avoir été "abandonnée" par sa maman. Clamant son innocence et réfutant toutes les preuves à son encontre