Le modèle Janus présente un solution alternative à l'inflation, qui est sa phase primordiale "à constantes variables". Dès 1988 ( Modern Physics Letters A ) et 1995 dans (Astrophysics and Space Science ) j'ai publié cette idée où toutes les constantes varient conjointement ( avec des jauges d'espace et de temps ), ces lois de jauge étant déduites du souci d'assurer l'invariance de toutes les équations de la physique. Il y a des lois universelles, uniques. En particulier si R est la "jauge d'espace", la vitesse de la lumière varie alors comme un sur racine de R. Et ceci fait que l'horizon cosmologique varie comme R, la conséquence étant que l'homogénéité de l'univers est assuré à toutes les époques. Vers le Big Bang c et la constante de gravité tendent vers l'infini. Les masses, la constante de Planck, la charge électrique et la perméabilité magnétique du vide tendent au contraire vers zéro. Il me semble que cela méritait d'être mentionné. Ca n'est ni plus, ni moins spéculatif qu'un modèle qui suppose l'existence d'un hypothétique champ d'inflatons (?…). Cette homogénéité est par ailleurs le seul observable. Les autres modèles avec c variable se heurtent à des écueils : par exemple la constante de structure fine varie. Dans le modèle Janus elle reste constante. On suppose que ces constantes se stabilisent au bout d'un temps. Alors apparaît un redshift, qui n'existe pas dans ce régime à constantes variables. Mais c'est compatibles avec une .. non observation, puisqu'on ne peut mesurer ce redshift dans l'univers primitif. Le régime à constantes variables amène une redéfinition du temps cosmique. Imaginons deux masses orbitant autour d'un CG commun et n'interagissant pas avec les particules voisines. On peut considérer le nombre de tours comme une horloge élémentaire. Avec des constantes fixes cette horlog effectue un nombre de tours finis quand on remonte vers le Big Bang. En régime de constantes variables ce nombre de tours devient infini. Tout cela a été publié en 1989-1995-2000 ... Tout cela est aussi dans les vidéo Janus . Tout cela, comme tant d'autres choses, mériterait d'être présenté, analysé, débattu. Mais bon … Vox clamat in deserto ….
Pour ce qui est des alternatives que vous citez, les cosmologies à rebond ne sont pas les seules. Il en existe une que vous ne sauriez ignorer et qui donne une réponse à toutes les interrogations que vous décrivez entre 6’16 et 6’30 de votre vidéo. Pourquoi ne la citez-vous pas ?
L univers à rebonds est défendu aussi par Roger Penrose. Toutefois je trouve que c est un peu comme l inflation car il faut aussi des conditions initiales très spéciales dans un passé lointain et aussi dans un univers originel lointain à moins de supposer que l l'univers n ait pas de commencement.
Bien... Je ne comprends pas qu'on n'essaie pas d'intégrer ou du moins de se servir d'une partie du travail de Mr Petit pour notre compréhension du Grand Tout. Il a développé une théorie d'univers qui a minima le mérite de prédire et de pouvoir être vérifié par l'expérience. Essayons, même en échouant, cela apportera une pierre à l'avancement de la science. Mr Petit à quelques choses à apporter. À la vue des récentes découvertes Astronomiques, expérimentals et théoriques. Et, En intégrant les échecs ( malheureusement ) d'autres voies, avérées depuis , non viables. Quand le Possible, le Probable et l'Imaginable ont échoués, notre devoir est de penser Et d'essayer plus Loin. Repoussons la vision de notre époque, tout comme Einstein avait su dépassé Newton en son Temps. Agrandissant ainsi notre cercle du Savoir. Tournons nous vers le Futur et l'Inéxploré. Donnons sa chance à l'un d'entre nous, MrJean Pierre Petit, pour, peut-être, nous emmener vers un Nouvel Horizon. Soyons : Visionnaires, Ensembles, Unis.
Vos vastes connaissances en d'autres disciplines vous font pencher pour la cosmologie à rebond. On peut se fier aux Egyptiens et leur conception d'un univers éternel avec cycles et se passer des singularités.Énergie répulsive. Vous parlez d'une variable de torsion.J'ai retenu lente contraction avant rebond a aplani l'univers et la To s'est refroidie. On est dans la phase d'expansion rapide.... courbé... l'espace sans doute. Ces variations de température dans les diverses régions de l'univers, le nôtre, ont été observées par les télescopes dans le rayonnement fossile (peau de léopard). La Nature n'aime pas s'ennuyer et elle se diversifie. Comment donc pourrait-elle se reposer qu'en un seul univers? Elle a donc privilégié sûrement les multivers. Gravitation quantique à boucles semble meilleure.
Quatre épisodes passionnants et magistralement exposés. Merci M.Luminet.
merci
Le modèle Janus présente un solution alternative à l'inflation, qui est sa phase primordiale "à constantes variables".
Dès 1988 ( Modern Physics Letters A ) et 1995 dans (Astrophysics and Space Science ) j'ai publié cette idée où toutes les constantes varient conjointement ( avec des jauges d'espace et de temps ), ces lois de jauge étant déduites du souci d'assurer l'invariance de toutes les équations de la physique. Il y a des lois universelles, uniques.
En particulier si R est la "jauge d'espace", la vitesse de la lumière varie alors comme un sur racine de R. Et ceci fait que l'horizon cosmologique varie comme R, la conséquence étant que l'homogénéité de l'univers est assuré à toutes les époques. Vers le Big Bang c et la constante de gravité tendent vers l'infini. Les masses, la constante de Planck, la charge électrique et la perméabilité magnétique du vide tendent au contraire vers zéro.
Il me semble que cela méritait d'être mentionné. Ca n'est ni plus, ni moins spéculatif qu'un modèle qui suppose l'existence d'un hypothétique champ d'inflatons (?…).
Cette homogénéité est par ailleurs le seul observable.
Les autres modèles avec c variable se heurtent à des écueils : par exemple la constante de structure fine varie. Dans le modèle Janus elle reste constante.
On suppose que ces constantes se stabilisent au bout d'un temps. Alors apparaît un redshift, qui n'existe pas dans ce régime à constantes variables. Mais c'est compatibles avec une .. non observation, puisqu'on ne peut mesurer ce redshift dans l'univers primitif.
Le régime à constantes variables amène une redéfinition du temps cosmique. Imaginons deux masses orbitant autour d'un CG commun et n'interagissant pas avec les particules voisines. On peut considérer le nombre de tours comme une horloge élémentaire. Avec des constantes fixes cette horlog effectue un nombre de tours finis quand on remonte vers le Big Bang. En régime de constantes variables ce nombre de tours devient infini. Tout cela a été publié en 1989-1995-2000 ...
Tout cela est aussi dans les vidéo Janus . Tout cela, comme tant d'autres choses, mériterait d'être présenté, analysé, débattu.
Mais bon … Vox clamat in deserto ….
très intéressant comme approche
Encore une fois, merci pour ces vidéos 👍
cette approche critique des modèles inflationnaires est fort stimulante :)
on va finir par avoir envie d'acheter votre bouquin ;)
merci!
Merci de produire du contenu en ce moment.
Merci pour vos vidéos
Vos vidéo, tres interessante, vivement celle du multivers que j'attends avec impatience.
S'il n'y a pas inflation il y a bien expansion rapide ? Si oui a quel taux?
Pour ce qui est des alternatives que vous citez, les cosmologies à rebond ne sont pas les seules. Il en existe une que vous ne sauriez ignorer et qui donne une réponse à toutes les interrogations que vous décrivez entre 6’16 et 6’30 de votre vidéo. Pourquoi ne la citez-vous pas ?
L univers à rebonds est défendu aussi par Roger Penrose. Toutefois je trouve que c est un peu comme l inflation car il faut aussi des conditions initiales très spéciales dans un passé lointain et aussi dans un univers originel lointain à moins de supposer que l l'univers n ait pas de commencement.
Bien...
Je ne comprends pas qu'on n'essaie pas d'intégrer ou du moins de se servir d'une partie du travail de Mr Petit pour notre compréhension du Grand Tout.
Il a développé une théorie d'univers qui a minima le mérite de prédire et de pouvoir être vérifié par l'expérience.
Essayons, même en échouant, cela apportera une pierre à l'avancement de la science.
Mr Petit à quelques choses à apporter.
À la vue des récentes découvertes Astronomiques, expérimentals et théoriques.
Et,
En intégrant les échecs ( malheureusement ) d'autres voies, avérées depuis , non viables.
Quand le Possible, le Probable et l'Imaginable ont échoués, notre devoir est de penser Et d'essayer plus Loin. Repoussons la vision de notre époque, tout comme Einstein avait su dépassé Newton en son Temps.
Agrandissant ainsi notre cercle du Savoir.
Tournons nous vers le Futur et l'Inéxploré.
Donnons sa chance à l'un d'entre nous, MrJean Pierre Petit, pour, peut-être, nous emmener vers un Nouvel Horizon.
Soyons :
Visionnaires,
Ensembles,
Unis.
Mode b expérience bicep caduque Linde a du apprendre à reboucher une bouteille de Champagne
Vos vastes connaissances en d'autres disciplines vous font pencher pour la cosmologie à rebond. On peut se fier aux Egyptiens et leur conception d'un univers éternel avec cycles et se passer des singularités.Énergie répulsive. Vous parlez d'une variable de torsion.J'ai retenu lente contraction avant rebond a aplani l'univers et la To s'est refroidie. On est dans la phase d'expansion rapide.... courbé... l'espace sans doute. Ces variations de température dans les diverses régions de l'univers, le nôtre, ont été observées par les télescopes dans le rayonnement fossile (peau de léopard). La Nature n'aime pas s'ennuyer et elle se diversifie. Comment donc pourrait-elle se reposer qu'en un seul univers? Elle a donc privilégié sûrement les multivers. Gravitation quantique à boucles semble meilleure.