il est bien difficile de parler de thème dans une pièce qui n’en a pas d’explicite. C’est un jeu avec et sur les mots, qu’on pourrait comparer aux "life hacks de trombone" de maouno. Mais c’est bien plus tragique et oppressant: le texte commence par « la la la », et ce « la" revient tout au long de la pièce, jusqu’à la dernière ligne. C’est l’attente angoissée, de quelque chose qui ne vient pas. A partir de ce « la », la langue se délie, en haletant, le silence retombe, et puis la parole revient avec ce « la la ».La critique du Monde de Patrick Kéchichian, en donne une bonne idée, sous un jour favorable: « Ecoutez. Lisant, écoutez cette voix dénudée, ce chant très pur, comptine tout autant qu’épopée, ce chant qui est l’un des plus bouleversants «la la la » de la fable. » Points forts : 1) Le grand point fort de cette représentation, c’est le jeu de l’acteur, Marie Thérèse Zavatta, qui accomplit une performance incroyable: tenir la salle avec un texte heurté, difficile, au sens obscur, dans un courageux monologue. elle le fait sur un rythme lent coupé par quelques silences oppressants. 2) La mise en scène peut être placée dans les points forts ou faibles: le faible éclairage avec juste une plaque un peu lumineuse au sol, supposée représenter un puits qui va aspirer le personnage, le costume noir sur un décor noir de la fourmie, accentuent l’atmosphère angoissée du texte et soulignent le côté noir du personnage. Points faibles 1) Le point fort n°2 peut être aussi considéré comme un point faible. 2) Le texte n’est pas une pièce de théâtre, et le fait de le jouer me parait un choix difficile et contestable. C’est intermédiaire entre la lecture et la poésie. 3) Les dab répétitif de l’actrice s’explique, mais ils apporte une monotonie lourde et pénible. Et quand elle fait autre chose, c’est à la manière d’un automate. . 4) Ce texte, ésotérique à la lecture, ne s’éclaire guère au théâtre. En bref ... C’est un message de désespoir, même si quelques rires grinçants apparaissent parfois. L’honnêteté m’oblige à dire que la salle était pleine, et que Zavatta a été beaucoup applaudi, pour sa performance incroyable. Par contre déso pas déso Baby boss est mieux.
Apres 4 ans cette video restera la meilleur
Anyone 2k18?
Anyone 2k18+1 ?
Anyone 2k18+3 ?
anyone 2K18+4
1:25 BEST MOMENT!!!
Gaulier Mathys ahah moi aussi j'ai adoré la référence à Orelsan
Cette vidéo n'atteint pas l'excellence. Elle la dépasse.
il est bien difficile de parler de thème dans une pièce qui n’en a pas d’explicite. C’est un jeu avec et sur les mots, qu’on pourrait comparer aux "life hacks de trombone" de maouno. Mais c’est bien plus tragique et oppressant: le texte commence par « la la la », et ce « la" revient tout au long de la pièce, jusqu’à la dernière ligne. C’est l’attente angoissée, de quelque chose qui ne vient pas. A partir de ce « la », la langue se délie, en haletant, le silence retombe, et puis la parole revient avec ce « la la ».La critique du Monde de Patrick Kéchichian, en donne une bonne idée, sous un jour favorable: « Ecoutez. Lisant, écoutez cette voix dénudée, ce chant très pur, comptine tout autant qu’épopée, ce chant qui est l’un des plus bouleversants «la la la » de la fable. »
Points forts :
1) Le grand point fort de cette représentation, c’est le jeu de l’acteur, Marie Thérèse Zavatta, qui accomplit une performance incroyable: tenir la salle avec un texte heurté, difficile, au sens obscur, dans un courageux monologue. elle le fait sur un rythme lent coupé par quelques silences oppressants.
2) La mise en scène peut être placée dans les points forts ou faibles: le faible éclairage avec juste une plaque un peu lumineuse au sol, supposée représenter un puits qui va aspirer le personnage, le costume noir sur un décor noir de la fourmie, accentuent l’atmosphère angoissée du texte et soulignent le côté noir du personnage.
Points faibles
1) Le point fort n°2 peut être aussi considéré comme un point faible.
2) Le texte n’est pas une pièce de théâtre, et le fait de le jouer me parait un choix difficile et contestable. C’est intermédiaire entre la lecture et la poésie.
3) Les dab répétitif de l’actrice s’explique, mais ils apporte une monotonie lourde et pénible. Et quand elle fait autre chose, c’est à la manière d’un automate. .
4) Ce texte, ésotérique à la lecture, ne s’éclaire guère au théâtre.
En bref ...
C’est un message de désespoir, même si quelques rires grinçants apparaissent parfois. L’honnêteté m’oblige à dire que la salle était pleine, et que Zavatta a été beaucoup applaudi, pour sa performance incroyable.
Par contre déso pas déso Baby boss est mieux.
Mec t’es un génie 😭✋
Je citerai une célèbre auteure française : " merci pour ce moment "
Je l’ai vu en cours j’aite choque
Grave 0_0
Non mais c quoi cette voix la voix du cheval 🐎 et la voix de la fourmi 🐜
C'est bien travaille ❤❤
Sa Fe per
C'est ton orthographe qui fait peur...
C'est creepy.
GOULOULOULOU
Bouloboulobouloboulo.
les français sont trop bizarres
Pk poste tu cette vidéo 😂😂
Oulala oulala oulala
😂😂😂
uhhhhhhhhhhhh ok
👍👍👰😵😵
اامزيد من ااعما
😡😡😍
😐😐😐😐😐😐hamda
C'est quoi ..... ce bordel ?
Ce truc est vraiment à la Comédie-Française ?
Qui d'autre pour nous pondre ce chef-d'œuvre ?
C'est ce qui arrive quand tu donnes trop de droits de l'Homme 🇫🇷
Rien