Très bonne interview ! Il y a juste la fin ou je suis un peu dubitatif .Le but de la vie chrétienne n’est pas de devenir moine chartreux lol ! Certes la religion apprend le détachement par rapport aux biens de ce monde mais la foi, le cœur à cœur avec dieu, c’est surtout un chemin avant d’être une course…”Tout m'est permis, mais tout n'est pas utile; tout m'est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit. Prenez garde, toutefois, que votre liberté ne devienne une pierre d'achoppement pour les faibles”
Onfray se revendique athée mais selon la doctrine athée, tout repose entièrement sur la matière. Il n'y a que des atomes qui se sont heurtés par hasard, et ainsi l'univers est apparu sans Créateur. Ainsi, il n'y a ni but, ni sagesse, ni sentiments, ni bien, ni mal. Pour l'athéisme, il n'existe pas de norme morale déterminant ce qui est bon ou mauvais. Voilà en gros ce qu'est réellement l'athéisme : C'est le relativisme moral, voir le nihilisme moral (position philosophique affirmant que rien n'est moral ou immoral). Dans sa définition la plus intrinsèque ! Ça vole pas haut ^^
Olalala ! Je vois tous les arguments que j'avais comme vous, tant d'intolérance. Vous avez le droit de juger ce que je dis cependant je vous reafirme que je n'ai pas à être " enragée " envers quelque chose qui n'existe pas.
Onfray , celui qui a dit sur un plateau que la covid état dite 19 car i18 l avaient précédée .. il a pourtant un livre sur le virus ... c'est dire sa crédibilité !!!!!!!
LOL, "Monsieur, je n'ai aucune bonne raison de vous offrir ce plaisir-là". Onfray pète vraiment plus que son c.. Ce type est tellement imbibé d'orgueil qu'il est parvenu à se convaincre lui-même que ses arguments sont indétrônables, s'il n'existait pas à ce jour un modèle contemporain de Narcisse, avec Michel Onfray, c'est chose faite :) Le pire sans doute, c'est qu'Onfray est un orateur de talent, qu'il soutient souvent de bons arguments en matière de politique, et qu'il a un charisme qui séduit beaucoup de monde. Du coup, puisqu'il profère quelques vérités, les gens ont tendance à considérer tous ses propos pour raisonnablement vrai, alors qu'en réalité, la rationalité de ses raisonnements en matière de religion ne dépend pas d'une réalité ontologiques, mais d'un biais cognitif relatif à sa détestation personnelle de l'idée même d'un dieu, et donc de la religion. Bien entendu si on lui demande pourquoi il déteste Dieu, il s'en défendra et prétextant le contraire avec des pirouettes philosophiques et un déferlement citations, c'est un de ses talents, noyer le poisson sous une avalanche de citations, malgré cela, un homme dont le cœur est mû par l'orgueil n'est pas en mesure d'accueillir la Parole de Dieu sans révolte, et c'est précisément cette haine de Dieu qui distingue tous les idéologues athées, Onfray n'échappe pas à cette règle quasi-systématique chez les athées.
Je trouve assez agaçant de constater une fois de plus que ce qui devrait être le vrai débat est occulté par le duel mythistes vs historistes, sous-entendant que les mythistes sont ceux qui ne croient pas à l'existence de Jésus, et les historistes sont les croyants qui lisent les évangiles au premier degré. Le vrai débat, à mon sens, devrait plutôt s'intéresser à ce qui témoignerait de l'existence historique de Jésus dans les évangiles canoniques et apocryphes, et ce qui, de toute évidence, ne peut appartenir qu'au mythe (à moins de croire vraiment qu'un type est né d'une vierge et est revenu à la vie trois jours après sa mort... ce qui, normalement, devrait relever de la psychiatrie). Est-ce si difficile d'admettre qu'une part des évangiles reproduit les paroles et actions d'un Jésus ayant réellement vécu, et qu'une autre part met en scène une mythologie tout à fait classique dans l'antiquité ? N'est-il pas logique de penser que les évangiles se sont constitués, comme tous les autres textes sacrés de l'antiquité, par réécritures successives, ajouts, retraits, emprunts, interpolations, erreurs de traduction, etc., et que leur rigueur historique ne peut en conséquence qu'être mise en doute ? Il est aussi stupide de prétendre que jésus n'a pas existé que de prétendre que le Christ est dénué de toute composante mythique. Quand va-t-on abandonner ces deux hypothèses délirantes, et commencer à aborder le sujet avec un minimum de bon sens ?
Restent la singularité absolue de la théologie catholique et la persistance de l'Eglise catholique. Refuser Dieu comme cause des deux peut conduire à produire des théories alternatives pour expliquer leur existence. Un ancien athée devenu catholique et heureux.
Qu'il s'agisse du refus de l'existence historique de Jésus-Christ ou de la thèse de l'existence d'un homme un peu original, dans les deux cas il s'agit du refus de l'Incarnation du Verbe de Dieu.
@@ignacedelyon9988Jésus semble selon toutes probabilités avoir été un Maître spirituel de haut niveau, autrement dit le contraire d'un "homme peu original". Que ce Maître ait été ce qu'on appelle une "incarnation de Dieu" est également très possible. Par ailleurs, que les Catholiques aient de droit de choisir le Catholiscisme comme Chemin spirituel ne peut leur être contesté. Mais on ne m'otera pas de l'idée que s'ils avaient une vue d'ensemble un peu sérieuse de la scène spiritualiste mondiale, beaucoup d'entre eux percevraient assez vite le caractère sectaire de leur croyance en un Jésus singulier. Le narratif de cette église ne fonctionne qu'à condition d'ignorer et/ou de mépriser les autres Traditions spirituelles. Croire être "les seuls à connaître la Vérité" ou "les meilleurs dans le domaine de la spiritualité" ou encore "suivre le seul vrai Dieu" et toutes ces sortes d'enfantillages est toujours dû à une ignorance crasse de ce qu'il se passe ailleurs. Les "Maîtres" et les "Incarnations" sont des réalités universelles. Tout le contraire de phénomènes limités à l'intérieur d'une bulle.
@@continentzero7572 Si Jésus-Christ n"était pas Dieu avec Son Père et l'Esprit Saint, je ne serais pas devenu catholique et vous ne seriez pas ici à discuter de ce sujet qui est LE seul sujet. Quelle obédience , quel degré ?
@@continentzero7572 Le supermarché mondial de la spiritualité ne m'intéresse plus. C'était avant ma conversion. Je suis absolument ravi d'être devenu catholique et d'être régulier à la Sainte Messe.
M. Onfray n'est pas un philosophe, c'est évident. Du moins, sous le rapport de la recherche intellectuelle. Bon, à la rigueur, peut-être dans le sens (étroit) où une posture pourra être vue, "philosophique". L'école cynique en est l'exemple augural et classique. Et encore...Car Onfray est claquemuré dans une mise en avant savantasse. Tandis que pour le moins, dans leurs scandales de rue, les Diogène de l'antiquité payaient de leur personne. Au final, le point commun se verrait juste, l'exposition à la foule, l'effet "médiatique". Dans le cas d'Onfray, il faut partir de ce fait qu'un intellectuel peut soutenir, endosser une "visibilité philosophique" : côté public, tout en ayant acquis par ailleurs (ou aussi, simplement en ayant eu) une légitimité incontestable, côté académique. Deux exemple, Luc Ferry, dans le néo-kantisme; ou, Fabrice Hadjadj, quant à la pensée chrétienne... Or, ce n'est certes pas le cas d'Onfray. Il n'a tout simplement pas la "carrure". On pourrait développer la chose: dès son premier "ouvrage", dans son dénigrement de Platon (monument immense) et par un encensement immodéré et inconséquent d'un (très) petit socratique, Aristippe de cyrène; ou encore, le fait qu'Onfray se sera attaqué à la psychanalyse...oui....bien après que le travail sérieux ait été fait, et publié. Bon, mais plus simplement, restons hors du champs philosophique. Prenez ou reprenez Cervantes, ainsi les aventures de son hidalgo. Le roman, tout en finesses, est un chef-d'oeuvre. O.K. Maintenant, parcourez ce qu'Onfray en dit....C'est consternant. Comme de bien entendu, il en profite pour replacer ses obsessions anticatholiques (à la rigueur, pourquoi pas, sauf que cela gauchit complètement l'esprit du texte). Et bien sûr, dans cette prétendue "analyse", il ignore souverainement la critique littéraire qui le précède. Bref, le terme de philosophie, en ce qui concerne Onfray, est juste un chapeau à plumes. Oui, ....cela suffit pour bien vendre.
Achetez, madame, achetez....Cela étant, pas besoin: on trouve souvent ses bouquins dans les bibliothèques municipales (l'athéisme militant s'y porte bien). En revanche, vous n'y trouverez guère, par exemple, la récente biographie de René Girard (lui, un réel philosophe: je vous conseille de comparez l'analyse littéraire que fait Girard dans "Mensonge romantique et vérité romanesque" avec celle d'Onfray, quant à Cervantès: vous toucherez la différence de niveau. Mais hélas pour sa visibilité (dans les bibliothèques municipales), Girard fut catholique.
FLAVIUS Joseph un prêtre... Place Jésus comme rebelle contre la domination romaine. Dire que Monsieur Onfrey n'appronfondit pas ses directeurs ? Je crois plus ce que dis le philosophe Onfrey que vous. Votre attitude..... Normalement c'est Dieu qui converti et non vous, c'est écris dans votre livre : la Bible.
La religion qui ne dit pas son nom est présente partout ,et elle est luciférienne, c’est la religion de l’Homme- Dieu, inspirée par l’ange rebelle contre Dieu. L’homme d’ aujourd’hui veut être adoré à la place de Dieu, il s’autoproclame Roi de toutes choses, législateur et innocent. La seule chose qu’il vomisse est la divinité de Jésus-Christ.
@@ignacedelyon9988 Ben voyons Donc Satan est plus puissant que votre Dieu d'après votre foi. Quand on y croit c'est Dieu sinon c'est le Diable. Ben voyons, ça donne pas envie tout ça ! Quel histoire ! Vivement que je sois débarrassée de tout ça ! Ça me semble si puéril en plus ! Bon courage !
Très bonne interview ! Il y a juste la fin ou je suis un peu dubitatif .Le but de la vie chrétienne n’est pas de devenir moine chartreux lol ! Certes la religion apprend le détachement par rapport aux biens de ce monde mais la foi, le cœur à cœur avec dieu, c’est surtout un chemin avant d’être une course…”Tout m'est permis, mais tout n'est pas utile; tout m'est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit. Prenez garde, toutefois, que votre liberté ne devienne une pierre d'achoppement pour les faibles”
Merci à Mathieu pour sont bon travail je vous invite à regardé les vidéo de la sapinière de l’abbé Rioult sur Onfray
Onfray se revendique athée mais selon la doctrine athée, tout repose entièrement sur la matière. Il n'y a que des atomes qui se sont heurtés par hasard, et ainsi l'univers est apparu sans Créateur. Ainsi, il n'y a ni but, ni sagesse, ni sentiments, ni bien, ni mal. Pour l'athéisme, il n'existe pas de norme morale déterminant ce qui est bon ou mauvais. Voilà en gros ce qu'est réellement l'athéisme : C'est le relativisme moral, voir le nihilisme moral (position philosophique affirmant que rien n'est moral ou immoral).
Dans sa définition la plus intrinsèque ! Ça vole pas haut ^^
Onfray est un polémiste ridicule qui refuse toujours les débats sauf avec ceux qui sont d'accord avec lui
Merci Matthieu lavagna d’avoir réfuté ces âneries
Olalala !
Je vois tous les arguments que j'avais comme vous, tant d'intolérance.
Vous avez le droit de juger ce que je dis cependant je vous reafirme que je n'ai pas à être " enragée " envers quelque chose qui n'existe pas.
Onfray , celui qui a dit sur un plateau que la covid état dite 19 car i18 l avaient précédée .. il a pourtant un livre sur le virus ... c'est dire sa crédibilité !!!!!!!
" l'Eglise " ne répond pas à Mr Onfray car ce n'est pas nécessaire de débattre à ce si bas niveau.
Le clown gauchiste Onfray voudrait tellement exister aux yeux du monde ... le pauvre.
LOL, "Monsieur, je n'ai aucune bonne raison de vous offrir ce plaisir-là". Onfray pète vraiment plus que son c.. Ce type est tellement imbibé d'orgueil qu'il est parvenu à se convaincre lui-même que ses arguments sont indétrônables, s'il n'existait pas à ce jour un modèle contemporain de Narcisse, avec Michel Onfray, c'est chose faite :) Le pire sans doute, c'est qu'Onfray est un orateur de talent, qu'il soutient souvent de bons arguments en matière de politique, et qu'il a un charisme qui séduit beaucoup de monde. Du coup, puisqu'il profère quelques vérités, les gens ont tendance à considérer tous ses propos pour raisonnablement vrai, alors qu'en réalité, la rationalité de ses raisonnements en matière de religion ne dépend pas d'une réalité ontologiques, mais d'un biais cognitif relatif à sa détestation personnelle de l'idée même d'un dieu, et donc de la religion. Bien entendu si on lui demande pourquoi il déteste Dieu, il s'en défendra et prétextant le contraire avec des pirouettes philosophiques et un déferlement citations, c'est un de ses talents, noyer le poisson sous une avalanche de citations, malgré cela, un homme dont le cœur est mû par l'orgueil n'est pas en mesure d'accueillir la Parole de Dieu sans révolte, et c'est précisément cette haine de Dieu qui distingue tous les idéologues athées, Onfray n'échappe pas à cette règle quasi-systématique chez les athées.
Je trouve assez agaçant de constater une fois de plus que ce qui devrait être le vrai débat est occulté par le duel mythistes vs historistes, sous-entendant que les mythistes sont ceux qui ne croient pas à l'existence de Jésus, et les historistes sont les croyants qui lisent les évangiles au premier degré. Le vrai débat, à mon sens, devrait plutôt s'intéresser à ce qui témoignerait de l'existence historique de Jésus dans les évangiles canoniques et apocryphes, et ce qui, de toute évidence, ne peut appartenir qu'au mythe (à moins de croire vraiment qu'un type est né d'une vierge et est revenu à la vie trois jours après sa mort... ce qui, normalement, devrait relever de la psychiatrie).
Est-ce si difficile d'admettre qu'une part des évangiles reproduit les paroles et actions d'un Jésus ayant réellement vécu, et qu'une autre part met en scène une mythologie tout à fait classique dans l'antiquité ? N'est-il pas logique de penser que les évangiles se sont constitués, comme tous les autres textes sacrés de l'antiquité, par réécritures successives, ajouts, retraits, emprunts, interpolations, erreurs de traduction, etc., et que leur rigueur historique ne peut en conséquence qu'être mise en doute ?
Il est aussi stupide de prétendre que jésus n'a pas existé que de prétendre que le Christ est dénué de toute composante mythique. Quand va-t-on abandonner ces deux hypothèses délirantes, et commencer à aborder le sujet avec un minimum de bon sens ?
Restent la singularité absolue de la théologie catholique et la persistance de l'Eglise catholique.
Refuser Dieu comme cause des deux peut conduire à produire des théories alternatives pour expliquer leur existence.
Un ancien athée devenu catholique et heureux.
Qu'il s'agisse du refus de l'existence historique de Jésus-Christ ou de la thèse de l'existence d'un homme un peu original, dans les deux cas il s'agit du refus de l'Incarnation du Verbe de Dieu.
@@ignacedelyon9988Jésus semble selon toutes probabilités avoir été un Maître spirituel de haut niveau, autrement dit le contraire d'un "homme peu original". Que ce Maître ait été ce qu'on appelle une "incarnation de Dieu" est également très possible. Par ailleurs, que les Catholiques aient de droit de choisir le Catholiscisme comme Chemin spirituel ne peut leur être contesté. Mais on ne m'otera pas de l'idée que s'ils avaient une vue d'ensemble un peu sérieuse de la scène spiritualiste mondiale, beaucoup d'entre eux percevraient assez vite le caractère sectaire de leur croyance en un Jésus singulier. Le narratif de cette église ne fonctionne qu'à condition d'ignorer et/ou de mépriser les autres Traditions spirituelles. Croire être "les seuls à connaître la Vérité" ou "les meilleurs dans le domaine de la spiritualité" ou encore "suivre le seul vrai Dieu" et toutes ces sortes d'enfantillages est toujours dû à une ignorance crasse de ce qu'il se passe ailleurs. Les "Maîtres" et les "Incarnations" sont des réalités universelles. Tout le contraire de phénomènes limités à l'intérieur d'une bulle.
@@continentzero7572
Si Jésus-Christ n"était pas Dieu avec Son Père et l'Esprit Saint, je ne serais pas devenu catholique et vous ne seriez pas ici à discuter de ce sujet qui est LE seul sujet.
Quelle obédience , quel degré ?
@@continentzero7572
Le supermarché mondial de la spiritualité ne m'intéresse plus. C'était avant ma conversion. Je suis absolument ravi d'être devenu catholique et d'être régulier à la Sainte Messe.
Peut-être qu'Onfray n'a pas de temps à perdre avec vous.
Oui, il est au dessus de nous tous.
M. Onfray n'est pas un philosophe, c'est évident. Du moins, sous le rapport de la recherche intellectuelle. Bon, à la rigueur, peut-être dans le sens (étroit) où une posture pourra être vue, "philosophique". L'école cynique en est l'exemple augural et classique.
Et encore...Car Onfray est claquemuré dans une mise en avant savantasse. Tandis que pour le moins, dans leurs scandales de rue, les Diogène de l'antiquité payaient de leur personne. Au final, le point commun se verrait juste, l'exposition à la foule, l'effet "médiatique". Dans le cas d'Onfray, il faut partir de ce fait qu'un intellectuel peut soutenir, endosser une "visibilité philosophique" : côté public, tout en ayant acquis par ailleurs (ou aussi, simplement en ayant eu) une légitimité incontestable, côté académique. Deux exemple, Luc Ferry, dans le néo-kantisme; ou, Fabrice Hadjadj, quant à la pensée chrétienne... Or, ce n'est certes pas le cas d'Onfray. Il n'a tout simplement pas la "carrure". On pourrait développer la chose: dès son premier "ouvrage", dans son dénigrement de Platon (monument immense) et par un encensement immodéré et inconséquent d'un (très) petit socratique, Aristippe de cyrène; ou encore, le fait qu'Onfray se sera attaqué à la psychanalyse...oui....bien après que le travail sérieux ait été fait, et publié. Bon, mais plus simplement, restons hors du champs philosophique. Prenez ou reprenez Cervantes, ainsi les aventures de son hidalgo. Le roman, tout en finesses, est un chef-d'oeuvre. O.K. Maintenant, parcourez ce qu'Onfray en dit....C'est consternant. Comme de bien entendu, il en profite pour replacer ses obsessions anticatholiques (à la rigueur, pourquoi pas, sauf que cela gauchit complètement l'esprit du texte). Et bien sûr, dans cette prétendue "analyse", il ignore souverainement la critique littéraire qui le précède. Bref, le terme de philosophie, en ce qui concerne Onfray, est juste un chapeau à plumes. Oui, ....cela suffit pour bien vendre.
Si on achète les livres de Michel Onfrey c'est pour faire notre propre opinion.
Achetez, madame, achetez....Cela étant, pas besoin: on trouve souvent ses bouquins dans les bibliothèques municipales (l'athéisme militant s'y porte bien). En revanche, vous n'y trouverez guère, par exemple, la récente biographie de René Girard (lui, un réel philosophe: je vous conseille de comparez l'analyse littéraire que fait Girard dans "Mensonge romantique et vérité romanesque" avec celle d'Onfray, quant à Cervantès: vous toucherez la différence de niveau. Mais hélas pour sa visibilité (dans les bibliothèques municipales), Girard fut catholique.
Vous dites pareil que Michel Onfray : Jésus a existé.
C'est tout le reste qui est un mythe.
Jésus-Christ EST éternellement. C'est Lui ,avec Son Père et l'Esprit Saint, qui donne l'existence à toutes choses
... avec des martyrs plein les Cirques Romains.
@@paulstanislas4641
Des martyrs qui ont christianisé Rome, contrairement au mensonge de la "paganisation du christianisme par l'Empire romain."
FLAVIUS Joseph un prêtre...
Place Jésus comme rebelle contre la domination romaine.
Dire que Monsieur Onfrey n'appronfondit pas ses directeurs ?
Je crois plus ce que dis le philosophe Onfrey que vous. Votre attitude.....
Normalement c'est Dieu qui converti et non vous, c'est écris dans votre livre : la Bible.
C'est Dieu qui m"a converti et m'a conduit dans Son Eglise qui me donne depuis 5 ans les sacrements, pour ma joie.
Un ancien athée.
@@ignacedelyon9988
Et bien moi ancienne protestante, pratiquante, votre Dieu m'a retiré cette foi,
Je suis athée
La religion qui ne dit pas son nom est présente partout ,et elle est luciférienne, c’est la religion de l’Homme- Dieu, inspirée par l’ange rebelle contre Dieu. L’homme d’ aujourd’hui veut être adoré à la place de Dieu, il s’autoproclame Roi de toutes choses, législateur et innocent. La seule chose qu’il vomisse est la divinité de Jésus-Christ.
@@christinezeyssano2099
Non pas Dieu mais Satan. Dieu peut vous éprouver, mais Il ne vous retire pas la foi en Lui.
@@ignacedelyon9988
Ben voyons
Donc Satan est plus puissant que votre Dieu d'après votre foi.
Quand on y croit c'est Dieu sinon c'est le Diable.
Ben voyons, ça donne pas envie tout ça !
Quel histoire !
Vivement que je sois débarrassée de tout ça !
Ça me semble si puéril en plus !
Bon courage !