Holacratie Emeraude

Je souhaiterais vous parler de l'holacratie, une méthode qui pourrait-être révolutionnaire de gouvernance qui redistribuerait le pouvoir au sein des organisations. Contrairement aux structures hiérarchiques traditionnelles, l'holacratie permettrait à chacun de participer activement aux décisions, stimulant ainsi l'innovation et l'engagement. Ce modèle serait essentiel pour répondre aux défis contemporains auxquels notre société fait face. Jean-Louis Borloo, dans son livre "L’Alarme", explore les urgences et défis de notre époque. Il souligne l'importance de repenser nos structures pour être mieux préparés à l'avenir. David Djaïz, dans son ouvrage "La Révolution Obligée", analyse les tensions entre l'État et la société, et soutient que la France devrait entreprendre une "révolution" pour s'adapter à un monde en mutation, notamment en renouvelant son modèle de gouvernance et en favorisant une plus grande inclusion sociale.
N’est-ce pas le moment ? plutôt que de s’orienter vers le séparatisme. En intégrant l'holacratie, nous créons des environnements où chaque individu aurait une voix et pourrait contribuer de manière significative. Cette approche valoriserait l'autonomie et la responsabilité de chacun, rendant les organisations plus résilientes et efficaces. Elle offrirait un cadre où les idées pourraient émerger de tous les niveaux, favorisant des solutions innovantes et pertinentes.
Il serait également temps de penser à un nouveau modèle institutionnel et sociétal pour le bien du peuple. Après le Sénat, l'Assemblée nationale et le Conseil constitutionnel, nous pourrions envisager une 4e Chambre. Cette chambre de délibération citoyenne permanente serait un espace où les citoyens pourraient participer directement aux processus décisionnels, assurant ainsi une représentation plus directe et inclusive.
La 4e Chambre serait structurée pour permettre aux régions et aux villes de remonter les informations locales et de les traiter de manière que les techniciens et spécialistes puissent les déployer nationalement. Utiliser les infrastructures existantes comme les mairies, les maisons de quartier, les écoles, les entreprises, les centres culturels, … pour accueillir les sessions de la 4e Chambre garantirait une accessibilité à tous les citoyens, notamment ceux des zones rurales et éloignées. Les citoyens seraient tirés au sort pour constituer des panels diversifiés et équitables, et des sessions d'éducation civique seraient organisées pour les informer sur les processus démocratiques et les enjeux discutés comme nous le faisons dans le cadre d’élection sénatoriale ou lorsque l’on appelle le peuple à être jurée. Les délibérations se feraient sur des thématiques variées telles que l'éducation, la santé, l'environnement, la justice, l’environnement, …, avec la participation d'experts et d'élus locaux pour enrichir les discussions et garantir des décisions éclairées et consensuelles.
L'éducation permanente jouerait un rôle clé dans ce processus. Elle permettrait de transmettre des connaissances et des compétences tout au long de la vie, préparant ainsi les individus à participer pleinement à une société en constante évolution et à mieux comprendre les enjeux. Ce serait un investissement dans notre avenir collectif, garantissant que nous restions informés et capables de relever les défis à venir.
Un autre pilier fondamental de notre société serait la laïcité. Elle assurerait notre cohésion sociale en permettant à chacun de pratiquer ses croyances tout en partageant des valeurs communes. Cet engagement quotidien serait crucial pour défendre nos principes démocratiques et maintenir notre diversité comme une force, plutôt qu'une source de division.
Enfin, notre droit de vote est un pouvoir formidable. Il est essentiel de choisir des représentants qui reflètent nos valeurs et de soutenir des politiques fondées sur une connaissance approfondie des enjeux. La vigilance est essentielle face aux partis extrêmes et aux informations biaisées. Voter, ce c’est choisir des leaders qui agiraient avec intégrité et vision, au-delà des promesses creuses, des incompétences dangereuses et des réactions émotionnelles. Ajoutons à cela l'utilisation à bon escient les réseaux sociaux et les médias. Ceux-ci joueraient un rôle crucial pour informer, mobiliser et engager les citoyens, assurant une communication transparente et accessible à tous. Les RS permettraient de toucher un public large et diversifié, facilitant ainsi une participation citoyenne active et continue, sans complotisme, trafic ou orientation malveillante, mais juste témoin des partages et discussions des comités de la 4e chambre. Merci de m’avoir écouté. Nous devons agir et réagir en pleine conscience. Votez et discutez-en avec vos proches. Ensemble, nous écrirons une nouvelle page de notre histoire, en intégrant l'holacratie et la 4e Chambre, avec une utilisation judicieuse des RS et des médias comme modèles de gouvernance pour un futur plus équitable et innovant.