La première version du Vater Unser (dix minutes, un record) est là pour illustrer la fin du premier couplet : Hilf dass nicht bet' allein der Mund... un enchantement. Et avec le tempo plus que calme, on a tout le temps de profiter de la structure (un trio superposé avec le chant du choral en canon) des harmonies tendues (les appogiatures et retards qui se superposent), et des ornements, d'une rare souplesse. La registration souligne aussi le caractère recueilli et concentré du tout. Attention, le syndrome de Stendhal peut frapper à tout moment.
Un grand merci pour votre partage, trop beau
La première version du Vater Unser (dix minutes, un record) est là pour illustrer la fin du premier couplet : Hilf dass nicht bet' allein der Mund... un enchantement. Et avec le tempo plus que calme, on a tout le temps de profiter de la structure (un trio superposé avec le chant du choral en canon) des harmonies tendues (les appogiatures et retards qui se superposent), et des ornements, d'une rare souplesse. La registration souligne aussi le caractère recueilli et concentré du tout. Attention, le syndrome de Stendhal peut frapper à tout moment.