Ah, le sujet intéresse alors : on y revient après une année ou presque. L'occasion pour moi de préciser ce que je voulais dire : on peut quand même déplorer que la psychanalyse se situe tranquillement dans un monde on l'on prend l'avion de façon banale, sans se soucier des conséquences que cela peut avoir. Cela va bien au-delà de souhaiter ceci ou cela pour le patient. Ce manque de décentrement, cet ethnocentrisme, autrement dit, eh bien, on peut le trouver totalement affligeant...
C'est très bien d'avoir la phobie de l'avion par les temps qui courent... Mais dans l'idéal : lever la phobie et ensuite espérer qu'elle renoncera à prendre l'avion, pour des raisons écologiques. Et juste une parenthèse pour dire que de façon générale, quand on fait des commentaires, on a très rarement de réponse, ce qui est quand même assez frustrant...
Pour répondre à ton commentaire, il me semblerait que l'analyste ne travaille pas avec son patient pour espérer transformer une conduite qu'il estimerait "mauvaise" en une "bonne" conduite chez ce dernier. Car, comment peut-il savoir ce qui est bon pour son patient et de quel droit viendrait-il transférer ses propres attentes sur celui-ci ? L'objectif dans une analyse est de réussir, à terme, à libérer le patient des entraves qui le font souffrir et de lui permettre de voler, s'il le souhaite, de ses propres ailes. Ailes qu'il choisira et dont il en sera responsable. Mais je crois que l'analyste n'a rien à attendre, rien à espérer. Ce serait peine perdue et même destructeur pour ce dernier. L'analyste a son rôle à jouer; il doit être présent afin d'aider son patient à retrouver le chemin de son existence, entendre sa parole tout au long du voyage et le rediriger subtilement quant celui-ci s'égare. Je pose tout de même la question; il y a t-il une place pour l'espoir de l'analyste ? Je serai ravie de lire vos commentaires à ce sujet. A bon entendeur !
@@marionabarnou7176 Très bien, mais vous présentez aussi quelque chose qui serait de l'ordre d'un idéal à atteindre, à savoir : ne strictement rien attendre, ni espérer...
Aujourd'hui c est la confiance en l humain qui est en question. La phobie de l avion n est oas la certitude que bezucoup de travailleurs se foutent de leur non savoir et de leurs responsabilités et donc ne font pas ce qu on attend d eux cf. BOEING... mais l inhumanité croit avec comme consequence les pertes de relations vraies
![แฉ [2/4] 11 ก.ค. 67 ‘ขวัญ อุษามณี’ เผยความจริง 16 ปีที่แล้วเกิดอะไรขึ้น? | GMM25](http://i.ytimg.com/vi/K4pXnUiObbk/mqdefault.jpg)
Être résistant ou resister est un choix d existence aussi
Les rebouteux priaient souvent ils se disaient relais...
Ah, le sujet intéresse alors : on y revient après une année ou presque. L'occasion pour moi de préciser ce que je voulais dire : on peut quand même déplorer que la psychanalyse se situe tranquillement dans un monde on l'on prend l'avion de façon banale, sans se soucier des conséquences que cela peut avoir. Cela va bien au-delà de souhaiter ceci ou cela pour le patient. Ce manque de décentrement, cet ethnocentrisme, autrement dit, eh bien, on peut le trouver totalement affligeant...
C'est très bien d'avoir la phobie de l'avion par les temps qui courent... Mais dans l'idéal : lever la phobie et ensuite espérer qu'elle renoncera à prendre l'avion, pour des raisons écologiques.
Et juste une parenthèse pour dire que de façon générale, quand on fait des commentaires, on a très rarement de réponse, ce qui est quand même assez frustrant...
Pour répondre à ton commentaire, il me semblerait que l'analyste ne travaille pas avec son patient pour espérer transformer une conduite qu'il estimerait "mauvaise" en une "bonne" conduite chez ce dernier. Car, comment peut-il savoir ce qui est bon pour son patient et de quel droit viendrait-il transférer ses propres attentes sur celui-ci ? L'objectif dans une analyse est de réussir, à terme, à libérer le patient des entraves qui le font souffrir et de lui permettre de voler, s'il le souhaite, de ses propres ailes. Ailes qu'il choisira et dont il en sera responsable. Mais je crois que l'analyste n'a rien à attendre, rien à espérer. Ce serait peine perdue et même destructeur pour ce dernier. L'analyste a son rôle à jouer; il doit être présent afin d'aider son patient à retrouver le chemin de son existence, entendre sa parole tout au long du voyage et le rediriger subtilement quant celui-ci s'égare. Je pose tout de même la question; il y a t-il une place pour l'espoir de l'analyste ? Je serai ravie de lire vos commentaires à ce sujet. A bon entendeur !
@@marionabarnou7176 Très bien, mais vous présentez aussi quelque chose qui serait de l'ordre d'un idéal à atteindre, à savoir : ne strictement rien attendre, ni espérer...
Aujourd'hui c est la confiance en l humain qui est en question. La phobie de l avion n est oas la certitude que bezucoup de travailleurs se foutent de leur non savoir et de leurs responsabilités et donc ne font pas ce qu on attend d eux cf. BOEING... mais l inhumanité croit avec comme consequence les pertes de relations vraies