De la voix perdue à la voie de la modernité • De la musique modale à la musique tonale • D Pagani

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  • เผยแพร่เมื่อ 16 ม.ค. 2025

ความคิดเห็น • 8

  • @rackhamlerouge6787
    @rackhamlerouge6787 3 ปีที่แล้ว +14

    L'étude de la musique est fascinante pour les non-initiés que nous sommes, pour la plupart... Merci à Dominique Pagani et à toute l'équipe. On attend avec impatience l'ouvrage sur l'histoire de la musique, dont j'ai cru comprendre qu'il serait publié chez Delga d'ici quelques temps ?

    • @PhilosopheravecDominiquePagani
      @PhilosopheravecDominiquePagani  3 ปีที่แล้ว +5

      Merci à vous! Effectivement, le travail est en cours avec des entretiens hebdomadaires entre Aymeric Monville et Dominique Pagani. L'ouvrage sera ensuite publié chez Delga. Toutes les vidéos de ces entretiens sont disponibles ici : www.dominiquepagani.fr/ateliers-philosophiques-21/musicosophie

  • @ZZ.91
    @ZZ.91 3 ปีที่แล้ว +1

    Quelle vidéo passionnante ! Merci beaucoup.
    Dominique, votre lecture de ce poème de Baudelaire m'aura ému aux larmes.
    Un point attire particulièrement mon attention, ce titre d'abord "la voix perdue" et la référence explicite à St Jean Baptiste (à la fois par la statue et dans le chant prononcé)... Rappelons-nous que Zacharie (cf chapitre 1 de l'évangile de Luc), le père de Jean-Baptiste, assurait le service du culte au Temple de Jerusalem et précisément il devait offrir l'encens dans le sanctuaire lorsque l'ange lui annonçât la naissance à venir de son fils (alors que sa femme était âgée et stérile). L'ange lui dit qu'il faudra que Zacharie lui donne le nom de Jean. Incrédule, Zacharie se voit infliger un curieux châtiment : "Mais voici que tu seras réduit au silence et, jusqu’au jour où cela se réalisera, tu ne pourras plus parler, parce que tu n’as pas cru à mes paroles ; celles-ci s’accompliront en leur temps." (Lc 1, 20).
    Il devint muet à l'instant.
    Lorsque le fils naîtra, il lui donnera le nom de Jean (contre les us et coutumes locales de l'époque) et il retrouvera l'usage de sa voix : "il parlait et bénissait Dieu" (Lc 1, 64). Ce ne serait pas étonnant qu'il bénissait en chantant !
    Etrange résonnance avec notre Paul Diacre, n'est-ce pas ?
    Pour finir, je réagis sur le commentaire d'Arnold G. Steiner : en effet, il est fréquent de nos jours de nous exclamer devant un beau paysage ou une belle photo "je n'ai pas les mots", résurgence peut-être par moyens détournés de se positionner face à l'Indicible, ou bien signe de l'époque où n'apprenons plus à comprendre ou décrire les choses précisément. De même face à une situation choquante, nous pouvons nous retrouver sans voix, comme une cloche fêlée...

  • @Aurelien1946
    @Aurelien1946 3 ปีที่แล้ว +2

    Merci pour cette synthèse sur les problématiques de la modernité. Ces vidéos plus courtes sont vraiment très appréciable pour faire des rappels et ancrer ce qui peut être dit dans les séminaires.

  • @Talaria.School
    @Talaria.School 3 ปีที่แล้ว

    Salutations à l'équipe Pagani et Dominique.
    Merci pour ces instants de vie consciente.
    Gros encouragements à continuer ce travail de grande plus value culturel.
    #PréludeAuRéveil

  • @aminefunko9998
    @aminefunko9998 2 ปีที่แล้ว

    Génial !

  • @sebastienbrunois1728
    @sebastienbrunois1728 3 ปีที่แล้ว

    Merci pour cette vidéo à toute l'équipe. Il y a un autre poème de Baudelaire qui illustre également très bien cette solitude du poète, "L'Albatros" - mais dans Le Spleen de Paris surtout, on retrouve également "Le Vieux Saltimbanque", moins connu, où Baudelaire fait une comparaison magistrale entre lui, le poète, seul et bientôt dans l'oubli de ses pairs, et un saltimbanque qui n'intéresse déjà plus personne. Ces poèmes sont certes différents mais on retrouve toujours ce point commun de la solitude du poète, subite, au milieu du vulgaire.
    Sébastien.

  • @arnoldg.steiner8393
    @arnoldg.steiner8393 3 ปีที่แล้ว +1

    Un aparté sur la musique suffit à faire sentir l'épaisseur de l'Histoire : c'est passionnant et me laisse aussi sans voix.