[Intro] Le verbe saigne sur des pages trop pleines, Les lignes, des cicatrices dans la chair humaine. Les clés se cherchent dans le fracas des cris, J’écris pour que les maux deviennent des récits. [Couplet 1] Les mots sont des armes, je les grave dans la pierre, Des syllabes tirées comme un cri de colère. Les maux s’accumulent, se cachent dans ma tête, Les pensées se resserrent, prises dans la tempête. Les lignes s’empilent, saturent les cahiers, Des barbelés d’encre sur des champs abîmés. Chaque phrase me consume, un feu qui s’accélère, Mais je cherche la vérité jusque dans les enfers. [Refrain] Ces mots portent les maux qu’on renie, Des clés enfouies dans l’oubli des non-dits. Les rimes arrachent des vérités hostiles, J’écris pour dévoiler des récits indélébiles. Des mots de passe, forgés dans l’absence, Chaque vers m’écarte un peu de l’ignorance. Les pages vibrent sous le poids du vécu, Un héritage brut que personne n’a vaincu. [Couplet 2] Les silences étouffants, je les noie dans l’encre, Des brèches se dessinent là où tout se décentre. Les douleurs sont là, vivantes sous la peau, Elles nourrissent des phases, au bord du chaos. Je marche sur des champs de mines oubliés, Chaque pas déclenche des bombes dissimulées. Les maux se tissent dans la toile du temps, Une œuvre imparfaite qui brûle en dedans. [Refrain] Ces mots portent les maux qu’on renie, Des clés enfouies dans l’oubli des non-dits. Les rimes arrachent des vérités hostiles, J’écris pour dévoiler des récits indélébiles. Des mots de passe, forgés dans l’absence, Chaque vers m’écarte un peu de l’ignorance. Les pages vibrent sous le poids du vécu, Un héritage brut que personne n’a vaincu. [Pont] Les mots s'inscrivent dans les blessures, Une frappe brutale contre les serrures. Quand tout s'effondre, je ravive les braises, Les maux se dévoilent où le mensonge pèse. [Couplet 3] Les vestiges gravés à l’encre sur la peau, Des blessures d’hier sculptées au stylo. Les phrases s’entassent comme un amas de preuves, Un procès où la vérité est mise à l’épreuve. Les récits renaissent, forgés dans les supplices, Une mémoire vive marquée dans les précipices. Sous les coups du temps, les pages résistent, Elles témoignent pour le silence qui persiste. [Refrain] Ces mots portent les maux qu’on renie, Des clés enfouies dans l’oubli des non-dits. Les rimes arrachent des vérités hostiles, J’écris pour dévoiler des récits indélébiles. Des mots de passe, forgés dans l’absence, Chaque vers m’écarte un peu de l’ignorance. Les pages vibrent sous le poids du vécu, Un héritage brut que personne n’a vaincu. [Outro] Des mots de passe, gravé dans les cicatrices, Un héritage de plomb sur des écrits complices. Des récits de guerre, inscrits dans le fracas, Des maux qui émergent mais ne s’effacent pas.
[Intro]
Le verbe saigne sur des pages trop pleines,
Les lignes, des cicatrices dans la chair humaine.
Les clés se cherchent dans le fracas des cris,
J’écris pour que les maux deviennent des récits.
[Couplet 1]
Les mots sont des armes, je les grave dans la pierre,
Des syllabes tirées comme un cri de colère.
Les maux s’accumulent, se cachent dans ma tête,
Les pensées se resserrent, prises dans la tempête.
Les lignes s’empilent, saturent les cahiers,
Des barbelés d’encre sur des champs abîmés.
Chaque phrase me consume, un feu qui s’accélère,
Mais je cherche la vérité jusque dans les enfers.
[Refrain]
Ces mots portent les maux qu’on renie,
Des clés enfouies dans l’oubli des non-dits.
Les rimes arrachent des vérités hostiles,
J’écris pour dévoiler des récits indélébiles.
Des mots de passe, forgés dans l’absence,
Chaque vers m’écarte un peu de l’ignorance.
Les pages vibrent sous le poids du vécu,
Un héritage brut que personne n’a vaincu.
[Couplet 2]
Les silences étouffants, je les noie dans l’encre,
Des brèches se dessinent là où tout se décentre.
Les douleurs sont là, vivantes sous la peau,
Elles nourrissent des phases, au bord du chaos.
Je marche sur des champs de mines oubliés,
Chaque pas déclenche des bombes dissimulées.
Les maux se tissent dans la toile du temps,
Une œuvre imparfaite qui brûle en dedans.
[Refrain]
Ces mots portent les maux qu’on renie,
Des clés enfouies dans l’oubli des non-dits.
Les rimes arrachent des vérités hostiles,
J’écris pour dévoiler des récits indélébiles.
Des mots de passe, forgés dans l’absence,
Chaque vers m’écarte un peu de l’ignorance.
Les pages vibrent sous le poids du vécu,
Un héritage brut que personne n’a vaincu.
[Pont]
Les mots s'inscrivent dans les blessures,
Une frappe brutale contre les serrures.
Quand tout s'effondre, je ravive les braises,
Les maux se dévoilent où le mensonge pèse.
[Couplet 3]
Les vestiges gravés à l’encre sur la peau,
Des blessures d’hier sculptées au stylo.
Les phrases s’entassent comme un amas de preuves,
Un procès où la vérité est mise à l’épreuve.
Les récits renaissent, forgés dans les supplices,
Une mémoire vive marquée dans les précipices.
Sous les coups du temps, les pages résistent,
Elles témoignent pour le silence qui persiste.
[Refrain]
Ces mots portent les maux qu’on renie,
Des clés enfouies dans l’oubli des non-dits.
Les rimes arrachent des vérités hostiles,
J’écris pour dévoiler des récits indélébiles.
Des mots de passe, forgés dans l’absence,
Chaque vers m’écarte un peu de l’ignorance.
Les pages vibrent sous le poids du vécu,
Un héritage brut que personne n’a vaincu.
[Outro]
Des mots de passe, gravé dans les cicatrices,
Un héritage de plomb sur des écrits complices.
Des récits de guerre, inscrits dans le fracas,
Des maux qui émergent mais ne s’effacent pas.