[MUSIQUE FR AI] - Les Œillères du Silence -

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  • เผยแพร่เมื่อ 21 ธ.ค. 2024

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  • @independanceprodsofficiel
    @independanceprodsofficiel  10 วันที่ผ่านมา

    [Intro]
    Ils détournent le regard quand la rue s’enlise,
    Quand un corps s’effondre, que la foule se divise.
    Leurs yeux collés à des écrans sans reflets,
    Ils laissent le monde s’effacer sous leurs gestes insensés.
    [Couplet 1]
    Ils passent devant l’homme qui tend la main,
    Mais changent de trottoir comme s’il n’était rien.
    Ils parlent d’amour dans des phrases trop tristes,
    Et ferment la porte quand l’Homme est en crise.
    Leurs œillères, ce sont des excuses parfaites :
    « C’est pas mon rôle », « Je ferai ça peut-être ».
    Des masques portés pour se cacher d’eux-mêmes,
    Des parois invisibles contre leurs problèmes.
    [Refrain]
    Les œillères, c’est choisir de ne pas voir,
    La misère qui doit refléter dans le miroir.
    C’est croire qu’en couvrant les fissures de peinture,
    Leur maison tiendra face à la rupture.
    Mais à force de fuir tout ce qui détonne,
    On ne voit plus la lumière qui résonne.
    Le réel finit toujours par nous rattraper,
    Et sous les œillères, il revient les chercher.
    [Couplet 2]
    Ils ne lisent plus que des titres de journaux,
    Des vérités coupées au couteau.
    Le confort devient une cage dorée,
    Où les injustices se font oublier.
    Ils défilent sur des écrans, des visages filtrés,
    Des corps parfaits, des vies bien rangées.
    Chaque like efface un cri, un appel au secours,
    Le monde hurle, mais ils préfèrent être sourd.
    [Refrain]
    Les œillères, c’est choisir de ne pas voir,
    La misère qui doit refléter dans le miroir.
    C’est croire qu’en couvrant les fissures de peinture,
    Leur maison tiendra face à la rupture.
    Mais à force de fuir tout ce qui détonne,
    On ne voit plus la lumière qui résonne.
    Le réel finit toujours par nous rattraper,
    Et sous les œillères, il revient les chercher.
    [Couplet 3]
    Ils critiquent les autres depuis leur salon,
    Un clavier pour arme, aucune action.
    Ils parlent de justice, mais jamais de bâtir,
    Ils ferment les yeux, trop lourds à ouvrir.
    Les œillères, c’est l’ignorance par habitude,
    Une peur bien rodée qui fuit l’inquiétude.
    Mais quand tout s’effondre, les idées s’effacent,
    La vérité s’invite pour briser leurs carapaces.
    [Pont]
    C’est quand la vérité frappe à la porte,
    Que les œillères tombent, et les regards l’emportent.
    Les excuses s’écrasent sous le poids des regards,
    Et tout ce qu’ils fuyaient devient leur étendard.
    [Refrain]
    Les œillères, c’est choisir de ne pas voir,
    La misère qui doit refléter dans le miroir.
    C’est croire qu’en couvrant les fissures de peinture,
    Leur maison tiendra face à la rupture.
    Mais à force de fuir tout ce qui raisonne,
    On ne voit plus la lumière qui rayonne.
    Le réel finit toujours par nous rattraper,
    Et sous les œillères, il revient les chercher.
    [Outro]
    Ils lèvent enfin la tête, voient les dégâts,
    Un monde qu’ils ont ignoré tant de fois.
    Les œillères tombées, ils croisent leur reflet,
    Et voient dans leurs yeux la couleur de la paix.