Montréal : le bien-être francophone

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  • เผยแพร่เมื่อ 26 ส.ค. 2024
  • Megalopolis - Les Nouveaux Explorateurs - Montréal
    Plus grande ville étudiante nord-américaine, c’est la ville la plus abordable du continent ; une ville d’artistes qui s’est faite une réputation, notamment grâce à ses festivals. Bienvenue à Montréal ! 2ᵉ grande ville du pays, on la surnomme l’Amsterdam de l’Amérique du Nord, la seule ville canadienne entourée d’eau.
    Si Toronto est aujourd’hui la capitale économique du Canada, l’île de Montréal s’est hissée au rang de capitale culturelle du pays. C'est le début de l'été dans la métropole québécoise, tandis que les Montréalais profitent de la douceur estivale après un hiver plutôt rude, Alexandra Leroux entame son exploration des mouvements émergents.
    Réalisateur : Alexandra Leroux

ความคิดเห็น • 12

  • @tylerrood6643
    @tylerrood6643 หลายเดือนก่อน

    j'ai adoré ce documentaire sur la vie de Montréal 😍

  • @Misho83
    @Misho83 20 วันที่ผ่านมา +3

    Comme plusieurs autres commentateurs l'ont souligné, la situation linguistique au Québec est très mal présentée dans cette vidéo. Il est extrêmement partial et manque de perspective historique, ainsi que de données réelles sur la situation linguistique de la province. Personne n'est interdit de parler anglais au Québec, la minorité anglophone est très bien protégée, elle a ses propres écoles, universités, hôpitaux, théâtres et autres institutions. Contrairement à de nombreuses minorités francophones dans d’autres provinces. Mais comment peut-on prendre ces gens au sérieux, puisque le gars avoue ne pas parler français et ne pas vraiment prendre la peine de l'apprendre. C'est précisément grâce à des gens comme lui que les lois linguistiques existent. Et pourtant, de nombreux anglophones n’apprennent jamais le français. Voilà pour les victimes anglophones et le régime linguistique oppressif du Québec. Les anglophones sont intitulés et offensés que les francophones ne se soumettent pas à leur distopie monolingue. (Désolé pour mon français, c'est ma quatrième langue)

  • @stephaneruscito8091
    @stephaneruscito8091 2 หลายเดือนก่อน +4

    C'est du n'importe quoi ce documentaire. Vous mélangez tout. Ce que revendique entre autres les francophones au Québec, c'est d'etre servis dans leurs langues, et que le francais soit prédominant dans l'affichage, on empèche personne de parler entre eux dans la lanque de leurs choix.

  • @denisovan292
    @denisovan292 12 วันที่ผ่านมา +1

    Projet de loi no 96 : les faits
    Le 24 mai2024, l'Assemblée nationale du Québec adoptait le projet de loi no 96, afin de consolider le statut du français comme langue commune et officielle du Québec. Cette loi permet de mieux protéger et de promouvoir le français, tout en préservant les droits de la minorité anglophone ainsi que des Premières Nations et des communautés inuit.
    Plusieurs faussetés ont circulé quant aux effets de la loi sur les communautés anglophones. Voici les faits :
    Tout citoyen d'expression anglaise continuera d'avoir accès de la même façon aux services de santé dans sa langue.
    Les communautés anglophones continueront à bénéficier d'un réseau scolaire, de collèges, d'universités et d'hôpitaux anglophones de grande qualité, à un niveau inégalé pour les minorités francophones ailleurs au Canada.
    Les anglophones du Québec continueront à bénéficier des mêmes garanties constitutionnelles quant à leur accès à la justice dans leur langue.
    La loi continuera d'être appliquée dans le respect des droits des Premières Nations et des communautés inuites, tout en assurant le maintien et le développement des langues et des cultures autochtones.
    En aucun moment, l'Office québécois de la langue française ne fait ni ne fera de fouilles, de perquisitions et de saisies.
    Le Québec forme la seule nation majoritairement francophone en Amérique du Nord. Le gouvernement du Québec agit de façon équilibrée afin d'assurer l'avenir du français, tout en respectant les droits des minorités linguistiques.

  • @lesprilib1
    @lesprilib1 2 หลายเดือนก่อน +1

    Les premières villes francophones (en dehors de Paris) sont en Afrique. Paris est 2ème. Montréal n'est que 8ème.

  • @pierredrapeau7313
    @pierredrapeau7313 2 หลายเดือนก่อน +3

    Quel ramassis de balivernes datant de 2013... On semble occulter qu'il y a à peine 50 ans, soit une génération, le Québécois francophone typique était sous scolarisé et en situation de pauvreté. Comparativement au Noirs américains, le Québécois moyen avait moins de scolarité et était moins bien rémunéré. Parler français, dans plusieurs milieux de travail, garantissait une niveau moindre de salaire, à compétences égales et limitait les opportunités d'avancement. Les discussions avec les patrons étaient souvent en anglais seulement et on interdisait à certains employés d'échanger en français entre eux. Avant de faire de tels reportages, il serait bon d'avoir une perspective historique au lieu de caricaturer la situation linguistique du Québec à coup de «Language Police». La réalité montréalaise est que les deux tiers des francophones parlent aussi anglais alors que le quart des anglophones peuvent converser en français...

  • @ericst-laurent8161
    @ericst-laurent8161 2 หลายเดือนก่อน +9

    Mais qu'est ce qu'ils peuvent repande comme connerie au debut du reportage a propos de la supposer police de la langue a Montreal ! Les Quebecois ne sont pas contre l'idee d'apprendre une deuxieme ou une troisieme langue voyons !
    Les jeunes Quebecois commence a apprendre l'anglais en premiere annee du primaire. Nous somment avec les Acadiens la seule population majoritairement bilingue du Canada.
    Le probleme ce sont les anglos de Montreal qui refusent d'apprendre quelques mots de Francais car trop borne et qui se comporte comme des neo-colonialistes en terrain conquis.
    Partout dans le monde le fait de savoir parler le Francais est synonyme d'elitisme et de personne cultive sauf au Canada ou c'est plutot synonyme de citoyen de deuxieme categorie.

    • @The_Mike_Live_Show
      @The_Mike_Live_Show 2 หลายเดือนก่อน

      Ta pas tout faux l'Acadien,le vrai problème des anglais a Montréal,c'est notre revolution tranquille.
      le Canada, sans en être parfaitement conscient, traverse la plus grande crise de son histoire et que le Québec est à l'origine de cette crise. Le nationalisme canadien-français, de plus en plus lié aux Québécois, s'en trouve exacerbé. Le nombre de groupes séparatistes augmente. Quelques-uns adoptent une attitude beaucoup plus extrême, et le front de libération du Québec se tourne vers le terrorisme.

  • @babines42
    @babines42 17 วันที่ผ่านมา +1

    Vous passez complètement à côté du véritable enjeu. On veut une société francophone et on rejette le colonialisme anglophone. On s'en contre fout de la langue que les gens parlent entre eux. Mais pour maintenir la cohésion sociale, on veut que les échanges entre inconnus, les messages du gouvernement, la langue partagée du peuple, etc. soit le français. Trop de gens s'installent à Montréal comme des colons avec aucune intention d'apprendre le français et en s'attendant à vivre exclusivement en anglais. C'est insultant.
    Parallèlement, de plus en plus de francophones s'anglicisent, c'est-à-dire qu'ils délaissent le français, transmettent l'anglais à leurs enfants et la famille devient exclusivement anglophone. C'est une perte pour un peuple qui lutte déjà pour sa survie.
    On veut juste faire la promotion du français, que les gens soient fiers de vivre en français et qu'on nous respecte.

  • @tommyflorida9204
    @tommyflorida9204 18 วันที่ผ่านมา

    A Montreal, il faut etre bilingue pour avoir un job corporatif pour communiquer avec les clients non francophones.

  • @The_Mike_Live_Show
    @The_Mike_Live_Show 2 หลายเดือนก่อน

    le vrai problème des anglais a Montréal,c'est notre revolution tranquille.
    le Canada, sans en être parfaitement conscient, traverse la plus grande crise de son histoire et que le Québec est à l'origine de cette crise. Le nationalisme canadien-français, de plus en plus lié aux Québécois, s'en trouve exacerbé. Le nombre de groupes séparatistes augmente. Quelques-uns adoptent une attitude beaucoup plus extrême, et le front de libération du Québec se tourne vers le terrorisme.