✏ LES NOTES DE LA RÉDACTION : - 02:29 : Les chiffres du harcèlement scolaire : www.education.gouv.fr/premiers-resultats-statistiques-de-l-enquete-harcelement-2023-380517 - 09:38 : Actuellement, il n'existe pas de statistiques publiques précises concernant le nombre de plaintes pour harcèlement scolaire classées sans suite en France. Les données disponibles sur les classements sans suite concernent généralement l'ensemble des plaintes, sans distinction spécifique pour le harcèlement scolaire. Par exemple, en 1995, le taux global de classement sans suite était de 80 %, mais aucune donnée officielle récente n'est disponible pour des infractions spécifiques comme le harcèlement scolaire. - 15:01 : Selon le Baromètre Jeunesse&Confiance 2023 publié par VersLeHaut, 74 % des jeunes déclarent avoir confiance en eux : www.verslehaut.org/publications/articles/barometre-jeunesseconfiance-2023-moi-les-autres-la-planete-une-jeunesse-en-quete-de-confiance/ - 25:47 : Plusieurs études ont été menées pour comprendre les profils des harceleurs scolaires. Ces recherches indiquent que les auteurs de harcèlement présentent souvent des caractéristiques variées, influencées par des facteurs individuels, familiaux et sociaux : shs.cairn.info/revue-enfance-2018-3-page-471?lang=fr *Caractéristiques individuelles : Les harceleurs peuvent manifester des traits tels que l'impulsivité, une faible empathie et une tendance à l'agressivité. Certains recherchent le pouvoir ou le contrôle sur leurs pairs, tandis que d'autres cherchent à compenser une faible estime de soi. *Influences familiales : Un environnement familial dysfonctionnel, marqué par un manque de supervision ou des modèles parentaux agressifs, peut contribuer au développement de comportements harcelants chez l'enfant. *Facteurs sociaux : Le contexte scolaire et les dynamiques de groupe jouent également un rôle. Les harceleurs cherchent souvent à renforcer leur statut social ou à s'intégrer à un groupe en adoptant des comportements agressifs. Il est important de noter que ces caractéristiques ne s'appliquent pas uniformément à tous les harceleurs. Chaque situation est unique, et une approche individualisée est essentielle pour comprendre et traiter le phénomène du harcèlement scolaire.
@@tovarich5708 J'ai jamais fait ce genre de d'erreur. Ayant déjà subit du harcèlement durant toute ma primaire, ça me fout toujours la haine qu'il y est des harceleurs qui respirent toujours le même air que moi.
J’ai été harcelé par les professeurs et par des camarades de classes. Subir cela, plus la dureté des cours, plus de grands problèmes familiaux, j’ai fait deux crises d’épilepsies. J’ai alors décidé d’interrompre mon cursus scolaire pour une question de vie. Le pire est que le harcèlement a continué de part mes camarades. Ils ont littéralement détruit mon art. Je n’ai plus dessiné ou créer pendant plus de 10 ans. Je suis allé vers eux les harcelleurs ! mais ils ont tous rejetés ma demande d’ajouter à leurs contacts pour pouvoir leurs parler et leurs laisser la chance de s’excuser. XD Je me suis dis laisse tomber, tu vaux mieux qu’eux, il est tant de passe à autre chose et concentre toi sur ta vie, que l’importance est ce que tu as fait de ta vie et la personne que tu es. De ne jamais parler dans la haine et la colère mais toujours dans l’ouverture d’esprit, d’échanger librement des idées pacifiquement pour trouver des solutions et de savoir pardonner (faire des compromis), surtout toujours avec le sourire et la bienveillance pour construire un monde meilleur. Donc Valentin, je vous soutiens pour votre démarche de parcours de rédemption. Ma voie ne vaux pas celle des autres mais je vous pardonne. ;)
C'est fou, on parlait justement de ça hier mon frangin et moi alors que jamais on ne l'avait fait. On a la cinquantaine et on échangeait des souvenirs remontant à l'école primaire et au cycle d'orientation (l'équivalent du collège en France, entre douze et quinze ans). Une amie a partagé sur FB une photo de cette époque sur laquelle figurait un camarade de classe qui était constament la cible des sarcasmes de tous, moi compris. Ce qui suscite le plus de honte en moi c'est que venant d'une cité et suite à un déménagement j'ai atterri dans une école de campagne où plusieurs degrés étaient réunis dans la même classe et j'étais parmi les plus jeunes. Dans ce milieu rural la majorité des élèves étaient plus ou moins cousins ou venaient de familles se connaissant depuis toujours, travaillaient dans des domaines liés à l'agriculture, la vigne ou/et l'élevage. J'étais le citadin et sans ce garçon, la tête de turc ça aurait été moi. Lui venait d'une famille disfonctionnelle, le père était camionneur (la région était pleine de carrières), picolait et passait ses nerfs sur toute la famille, la mère subissait et avait (parfois) tendance à se venger sur ce garçon et son petit frère. On avait 8-10 ans et bien sûr tout le monde percevait une fragilité en lui, il portait souvent les mêmes fringues et il sentait fort. C'est donc vers lui que se portait cette cruauté fréquente chez les enfants, ce qui faisait bien mon affaire et j'ai eu tôt fait de suivre les autres afin de les détourner de ma personne. Tout cela a duré jusqu'au cycle où étaient rassemblés les gosses de toutes les communes de la région, rebattant les cartes. Il a déménagé suite au divorce de ses parents et je ne l'ai pas revu pendant plus de dix ans. Dix années durant lesquelles j'ai mûri, compris, et regretté bien des choses sur la vie et surtout sur moi-même. Une dizaine d'années plus tard donc, on s'est croisé par hasard dans un bar et tout de suite reconnus. Grosse gêne de mon côté, mais manifestement pas du sien car sans aucune hésitation il est venu me saluer en souriant, on a bu une bière et parlé de notre enfance de manière tout à fait naturelle sans faire allusion à tout cela. J'aurais souhaité m'excuser mais ne l'ai pas fait, ne sachant pas comment aborder le sujet. Je l'aurais (peut-être) fait si on s'était revu un des jours suivants mais ça n'a pas été le cas et les téléphones portables n'existant pas encore, les réseaux sociaux encore moins et on ne s'est plus jamais revus.
J'ai dû mal croire qu'une personne normale Qui n'a pas de problème de santé mentale puisse faire autant du mal a son semblable sans ressentir aucune pitié
👍 Super vidéo, triste affaire mais intéressante et utile ! 🙂 C'est très délicat à gérer ce genre de situations toxiques et dangereuses et encore plus de s'en protéger, mais mieux vaut prévenir que guérir : pour faire face aux harceleurs, aux manipulateurs, aux personnes dominantes et au manque de respect en tous genres, il existe des solutions, des techniques, afin de préserver sa dignité et d'éviter que ça n'aille trop loin. Personnellement, je conseille le livre "SE FAIRE RESPECTER", de Nathan Stone. Il y a tout ce qu'il faut savoir, c'est le livre le plus complet pour faire face à des situations toxiques, c'est clair, pas de discours superflu, le top. Il cerne bien tous les aspects et ça peut convenir à tout le monde, c'est ça qui est bien ! 👌
extrêmement peur d'en parler à mes parents. Mes harceleurs se sont tiré une balle dans le pied tous seuls quand ils ont menacé "d'attendre ma soeur à la sortie"!
Ça dépend peut-être des établissements, mais clairement moi quand j'étais au collège en 2010, non, on n'en parlait pas. La première fois que j'en ai entendu parler c'était en 2013.
Question primaire :D'où vient l' absence dans l' éducation du bien et du mal a l 'échelle collective???Dans votre appétence a pérenniser le pire comme modele existentiel, comme statut et reconnaissance,pas étonnant que la reponse du système face a de tel comportement soit l 'impunité ,c est l 'offre des dominants se satisfaire au détriment des autres🤮🤮🤮🤮🤮🤮
![[PODCAST] Alice décrit l'emprise de son ex-mari catholique rigoriste](http://i.ytimg.com/vi/rwIFKJNQcA4/mqdefault.jpg)
✏ LES NOTES DE LA RÉDACTION :
- 02:29 : Les chiffres du harcèlement scolaire : www.education.gouv.fr/premiers-resultats-statistiques-de-l-enquete-harcelement-2023-380517
- 09:38 : Actuellement, il n'existe pas de statistiques publiques précises concernant le nombre de plaintes pour harcèlement scolaire classées sans suite en France. Les données disponibles sur les classements sans suite concernent généralement l'ensemble des plaintes, sans distinction spécifique pour le harcèlement scolaire. Par exemple, en 1995, le taux global de classement sans suite était de 80 %, mais aucune donnée officielle récente n'est disponible pour des infractions spécifiques comme le harcèlement scolaire.
- 15:01 : Selon le Baromètre Jeunesse&Confiance 2023 publié par VersLeHaut, 74 % des jeunes déclarent avoir confiance en eux : www.verslehaut.org/publications/articles/barometre-jeunesseconfiance-2023-moi-les-autres-la-planete-une-jeunesse-en-quete-de-confiance/
- 25:47 : Plusieurs études ont été menées pour comprendre les profils des harceleurs scolaires. Ces recherches indiquent que les auteurs de harcèlement présentent souvent des caractéristiques variées, influencées par des facteurs individuels, familiaux et sociaux : shs.cairn.info/revue-enfance-2018-3-page-471?lang=fr
*Caractéristiques individuelles : Les harceleurs peuvent manifester des traits tels que l'impulsivité, une faible empathie et une tendance à l'agressivité. Certains recherchent le pouvoir ou le contrôle sur leurs pairs, tandis que d'autres cherchent à compenser une faible estime de soi.
*Influences familiales : Un environnement familial dysfonctionnel, marqué par un manque de supervision ou des modèles parentaux agressifs, peut contribuer au développement de comportements harcelants chez l'enfant.
*Facteurs sociaux : Le contexte scolaire et les dynamiques de groupe jouent également un rôle. Les harceleurs cherchent souvent à renforcer leur statut social ou à s'intégrer à un groupe en adoptant des comportements agressifs.
Il est important de noter que ces caractéristiques ne s'appliquent pas uniformément à tous les harceleurs. Chaque situation est unique, et une approche individualisée est essentielle pour comprendre et traiter le phénomène du harcèlement scolaire.
J’ai été harceleur, c’est un des plus grand regret de ma vie, j’y pense régulièrement et j’ai honte de ce que j’ai pu faire.
Effectivement, tu peux l'être...
@@renardruse9754 j'espère pour toi que tu as toujours était parfait pour répondre de cette manière...
@@tovarich5708 J'ai jamais fait ce genre de d'erreur. Ayant déjà subit du harcèlement durant toute ma primaire, ça me fout toujours la haine qu'il y est des harceleurs qui respirent toujours le même air que moi.
@@renardruse9754 alors quoi? On les pend?
Mais qui a pu se laisser harceler par un gars comme toi mdrrr
J’ai été harcelé par les professeurs et par des camarades de classes. Subir cela, plus la dureté des cours, plus de grands problèmes familiaux, j’ai fait deux crises d’épilepsies. J’ai alors décidé d’interrompre mon cursus scolaire pour une question de vie.
Le pire est que le harcèlement a continué de part mes camarades.
Ils ont littéralement détruit mon art. Je n’ai plus dessiné ou créer pendant plus de 10 ans.
Je suis allé vers eux les harcelleurs ! mais ils ont tous rejetés ma demande d’ajouter à leurs contacts pour pouvoir leurs parler et leurs laisser la chance de s’excuser. XD Je me suis dis laisse tomber, tu vaux mieux qu’eux, il est tant de passe à autre chose et concentre toi sur ta vie, que l’importance est ce que tu as fait de ta vie et la personne que tu es. De ne jamais parler dans la haine et la colère mais toujours dans l’ouverture d’esprit, d’échanger librement des idées pacifiquement pour trouver des solutions et de savoir pardonner (faire des compromis), surtout toujours avec le sourire et la bienveillance pour construire un monde meilleur.
Donc Valentin, je vous soutiens pour votre démarche de parcours de rédemption. Ma voie ne vaux pas celle des autres mais je vous pardonne. ;)
👏👏👏
Franchement le gars qui vient témoigner sur le fait qu'il a été harceleur c'est sûrement loin d'être le pire .
C'est fou, on parlait justement de ça hier mon frangin et moi alors que jamais on ne l'avait fait. On a la cinquantaine et on échangeait des souvenirs remontant à l'école primaire et au cycle d'orientation (l'équivalent du collège en France, entre douze et quinze ans). Une amie a partagé sur FB une photo de cette époque sur laquelle figurait un camarade de classe qui était constament la cible des sarcasmes de tous, moi compris. Ce qui suscite le plus de honte en moi c'est que venant d'une cité et suite à un déménagement j'ai atterri dans une école de campagne où plusieurs degrés étaient réunis dans la même classe et j'étais parmi les plus jeunes. Dans ce milieu rural la majorité des élèves étaient plus ou moins cousins ou venaient de familles se connaissant depuis toujours, travaillaient dans des domaines liés à l'agriculture, la vigne ou/et l'élevage. J'étais le citadin et sans ce garçon, la tête de turc ça aurait été moi. Lui venait d'une famille disfonctionnelle, le père était camionneur (la région était pleine de carrières), picolait et passait ses nerfs sur toute la famille, la mère subissait et avait (parfois) tendance à se venger sur ce garçon et son petit frère. On avait 8-10 ans et bien sûr tout le monde percevait une fragilité en lui, il portait souvent les mêmes fringues et il sentait fort. C'est donc vers lui que se portait cette cruauté fréquente chez les enfants, ce qui faisait bien mon affaire et j'ai eu tôt fait de suivre les autres afin de les détourner de ma personne. Tout cela a duré jusqu'au cycle où étaient rassemblés les gosses de toutes les communes de la région, rebattant les cartes. Il a déménagé suite au divorce de ses parents et je ne l'ai pas revu pendant plus de dix ans. Dix années durant lesquelles j'ai mûri, compris, et regretté bien des choses sur la vie et surtout sur moi-même. Une dizaine d'années plus tard donc, on s'est croisé par hasard dans un bar et tout de suite reconnus. Grosse gêne de mon côté, mais manifestement pas du sien car sans aucune hésitation il est venu me saluer en souriant, on a bu une bière et parlé de notre enfance de manière tout à fait naturelle sans faire allusion à tout cela. J'aurais souhaité m'excuser mais ne l'ai pas fait, ne sachant pas comment aborder le sujet. Je l'aurais (peut-être) fait si on s'était revu un des jours suivants mais ça n'a pas été le cas et les téléphones portables n'existant pas encore, les réseaux sociaux encore moins et
on ne s'est plus jamais revus.
Se moquer une fois n'est pas du harcèlement. Un peu de Nuances ne ferait pas de mal.
J'ai dû mal croire qu'une personne normale Qui n'a pas de problème de santé mentale puisse faire autant du mal a son semblable sans ressentir aucune pitié
Sa existe pas une personne normale ...
C'est surtout bien plus complexe que ça
La pitié est compensé par la valeur social ajouté par son groupe qui rigole de ce qu'il fait subir
Les enfants ne sont pas finis 😅
@@annabees Et lorsqu'ils sont finis, il s'agit juste d'enfants, dans des corps d'adulte...
Combat difficile dans une société et un système économique qui valorise l'écrasement et la domination de l'autre.
👍 Super vidéo, triste affaire mais intéressante et utile ! 🙂 C'est très délicat à gérer ce genre de situations toxiques et dangereuses et encore plus de s'en protéger, mais mieux vaut prévenir que guérir : pour faire face aux harceleurs, aux manipulateurs, aux personnes dominantes et au manque de respect en tous genres, il existe des solutions, des techniques, afin de préserver sa dignité et d'éviter que ça n'aille trop loin. Personnellement, je conseille le livre "SE FAIRE RESPECTER", de Nathan Stone. Il y a tout ce qu'il faut savoir, c'est le livre le plus complet pour faire face à des situations toxiques, c'est clair, pas de discours superflu, le top. Il cerne bien tous les aspects et ça peut convenir à tout le monde, c'est ça qui est bien ! 👌
extrêmement peur d'en parler à mes parents. Mes harceleurs se sont tiré une balle dans le pied tous seuls quand ils ont menacé "d'attendre ma soeur à la sortie"!
J'ai quand meme du mal a croire qu'en 2010 on ne parlait pas du harcelement
Pas autant qu’aujoud’hui je dirais mais on avait quand même de la prévention
Ça dépend peut-être des établissements, mais clairement moi quand j'étais au collège en 2010, non, on n'en parlait pas. La première fois que j'en ai entendu parler c'était en 2013.
Et pourtant c'est bien vrai
Le temps passe vite! En prépa de 2010-2012, NON, le harcèlement n'était pas un sujet. On parlait plus du bizutage...
C’est nulle c’est presque défendre les gens qui harcèle au finale
C'est quoi l'intérêt d'aller à la Sorbonne mais de reproduire le même studio avec les même plantes ? 😂
Ils sont à La Sorbonne on voit derrière le symbole
Mon plus gros harceleur a mal tourné et est en prison et il a pris plusieurs années
13:30 BAISSEZ LES MAINS! nah mais l'harcelement est devenu une escuse.
Dommage que c'est trop court
Question primaire :D'où vient l' absence dans l' éducation du bien et du mal a l 'échelle collective???Dans votre appétence a pérenniser le pire comme modele existentiel, comme statut et reconnaissance,pas étonnant que la reponse du système face a de tel comportement soit l 'impunité ,c est l 'offre des dominants se satisfaire au détriment des autres🤮🤮🤮🤮🤮🤮
Le rejet de la religion par l'occident et donc la disparition des conséquences de nos actes, la disparition de l'enseignement de la morale.
@@1000OtherFoxes bien dit !