Les promesses de l'ADN synthétique : hacker le code génétique - Biologie 2.0 - DOCUMENTAIRE - CTB
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- เผยแพร่เมื่อ 21 พ.ย. 2023
- Du code informatique au code génétique… Du circuit électronique au circuit génétique. Voici venu le temps des Ingénieurs du vivant où l’on programme des bactéries comme on programme un ordinateur, avec l’ADN, le « logiciel de la vie ».
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C’est ce que font Chris Voigt et Ron Weiss, professeurs de bio-ingénierie au MIT. Chris est également co-directeur du Centre de Biologie Synthétique au MIT. Ils sont fascinés par l’extraordinaire capacité d’adaptation du vivant au monde qui l’entoure.
Chaque cellule dispose de fonctions, de circuits de détection, de prises de décision, codés dans l’ADN. Ron et Chris programment des systèmes biologiques inédits capables d’analyser leur environnement et d’y répondre. Pour cela, ils disposent d’une énorme bibliothèque de brins d’ADN, les pièces détachées qui leur permettent de transformer une cellule en machine utile… notamment dans le domaine de la Santé.
Jim Collins, professeur d’ingénierie biomédicale à Boston, cherche à rendre vulnérables des bactéries résistantes. Il a modifié le génome de bactériophages pour qu’ils fabriquent des enzymes capables de faire exploser les enveloppes qui protègent les bactéries.
Jérôme Bonnet, chercheur en biologie synthétique au centre de biochimie structurale à Montpellier, veut programmer une cellule capable de détecter des bio marqueurs de cancer.
Pour ce joueur de djembé, faire de la biologie de synthèse c’est comme écrire une partition de musique complexe à partir d’un rythme simple.
Martin Fussenegger, professeur de biotechnologie et d’ingénierie biologique au Département de Biosystems Science et Engineering de l’ETH Zurich fabrique des “bio capteurs” qui surveillent dans le sang le métabolisme d’un organisme : les niveaux de lipides en cas d’obésité, et le glucose en cas de diabète. Ces cellules supervisent le corps à chaque instant, prennent soin du diagnostic, et de la première intervention si besoin est, en produisant une protéine thérapeutique.
Eléonore Pauwels, chercheuse associée au Woodrow Wilson Center à Washington, s’interroge sur la rapidité du développement de cette techno-science. Le mot « synthèse » n’a pas bonne presse aujourd’hui… Et comment anticiper les problèmes de bio-sûreté et de bio-sécurité ?
Ces découvertes touchent à notre bien commun, la vie… Qui va être propriétaire de ce vivant 2.0… ? Certains militent pour l’open source, d’autres déposent des brevets.
Réalisateurs : Charles-Antoine de Rouvre et Jérôme Scemla
© LA COMPAGNIE DES TAXI-BROUSSE - 2016 - ภาพยนตร์และแอนิเมชัน
excellent reportage comme je les aimes.
content de les retrouver sur youtube Merci.
Excellente enquete qui nous explique bien le comment du pourquoi. En tant que persoone souffant de DMLA je garde un espoir qu'on aura une solution pour le futur.
⚠
Elle me semble un peu vite esquivée cette question sur les possibles dérives des entreprises qui créent des séquences. Le reportage est tout de suite réorienté vers les vilains petits étudiants qui font de la drogue. Les usines avec des machines qui produisent à la chaîne par contre là faut croire sur parole une phrase sans développement.
J'hallucine ! C'est un chercheur à la pointe de ces techniques qui s'inquiètent que la population ne réfléchissent pas aux dérives possibles ? Mais qui travaille dessus donc qui a le plus de prises sur le sujet ? Lui ou nous ? C'est l'hôpital qui se fout de la charité ! Surtout quand on voit le peu de prises qu'on a sur tous les sujets politiques, économiques, sociaux qui nous concernent face aux profits des capitalistes ! Il ferait mieux de se poser la question des conséquences de ses propres travaux avant de les faire !
Musique de fond très dérangeante, document intéressant mais je zap
ben tu coupes le son et tu actives le sous titrage.... C'est une solution....Zapper en est aussi une remarque... lol
Pour fabriquer de la robotique biologique 🤣🤣🤣
le sujet me semble bien intéressant d’après le titre, malheureusement, je ne peux pas voir cette vidéo à cause de cette musique à deux balles qui nous brise les tympans. C’est une véritable nuisance sonore qui vous empêche d’entendre le narrateur et qui file des maux de tête. Un vrai gâchis.
La meilleure chose dans ce documentaire c’est la music
@@Nostikpassion Moi aussi j’écoute de la musique qui me plaît, mais je ne l’impose pas aux autres. content de vous avoir donné l’occasion d’exprimer votre avis.
D'accord avec vous. Ras le bol de ces reportages avec une musique qui n'a rien à voir avec le sujet et qui est souvent d'un niveau sonore trop élevé.
Mais bon c'est seulement au début de la vidéo.
Pitie.pour.mes.tlmpants.😢
Covid
Et vax