Passionnant et merci Madame, je recommande cette heure à écouter. L'étranger, est extraordinaire. Camus est un très grand. Je suis contre la peine de mort. Merci chère Madame.
Agnès Spiquel était ma prof en première année de fac de Lettres. Cette femme est une déesse de prof !!! J'ai énormément de respect pour cette femme ! Je n'ai jamais autant aimé mes cours magistraux que cette année là !!!
Mouais et bien il vous reste à....grandir de la séduction et du vraisemblable, voir l'essence, au dessus, de ce qu'est l'étranger, la situation dans le contexte !
@@MaxMax-ky9ez Et pourtant, vous êtes là, à écouter et prendre de votre temps pour commenter une conférence dénuée d'intérêt et de sens profond. Vous avez vraiment du temps à perdre ! Je vous invite à faire une conférence afin de nous partager votre science sur Albert Camus.
Chère Madame, Félicitations pour votre conférence ou cours magistral tout en hauteur et générosité, enfin un peu de culture dans la bêtise ambiante qui règne partout et toujours et Nantes n'est pas une exception. Ancien étudiant de Paris 3 en Sciences du langage. La lecture du verdict au discours indirect est épique, "au nom de peuple français"...Martin, Poètes Anonymes Associés...
Merci pour cette conférence, excellente analyse. Je vais relire l'Etranger a nouveau, ainsi que la Peste et tous les chefs d'oeuvre de Camus. Je ne voyage jamais sans un Camus dans mes bagages , notre Premier, Justin Trudeau en fait de meme. Belle soirée passée avec vous. C.B. Canada
L'absurde comme Camus l'entend c'est la volonté de comprendre un monde qui n'a pas de sens. C'est un probléme qui selon lui mène à 3 solutions: le suicide le suicide philosohique (croire en Dieu) la révolte (accepter le non-sens du monde et être heureux) Je ne suis pas d'accord avec Agnès Spiquel quand elle dit que la deuxième guerre mondiale était absurde car la première était la der des der. On peut expliquer les raisons qui poussent à la seconde guerre mondiale c'est à dire comment. En fait tant que le mot pourquoi veut dire comment tout va bien, ce qui est absurde c'est le pourquoi absolu? La deuxième guerre mondiale n'est pas plus absurde ou moins absurde que la première. Pourquoi y a-t-il des montagnes? Il n'y a rien qui explique la raison de la présence des montagnes par contre on peut expliquer comment elle se forment. Camus sur la peine de mort veut expliquer que les codes sociaux sont tous sauf neutres tel que l'est la nature. Dans la société les choses ne se valent pas, l'homme a un parti pris. Tuer à cause du soleil ça n'a pas de sens dans cette société. Des crimes identiques peuvent avoir des conséquences très différentes, car la justice va prendre en compte le fait que l'on ne pleure pas à l'enterrement de notre mère. Meursault est un héro car il ne veut pas jouer le jeu des faux semblants pour sauver sa peau. Jamais il ne mentira sur ce qu'il ressent. La société le condamne pour son non-conformisme. Il pourrait echapper à sa condamnation. N'oublions pas que la scène est écrite dans les années 1940 et que c'est un français qui tue un arabe. Avec un bon avocat, il échappe à cette condamnation sans problème. Camus sousentend ce fait lorsque le journaliste de Paris dit que l'affaire n'intéresse pas vraiment les médias, C'est le paricide qui est le fait important. Donc ce n'est pas son crime qui est condamné, c'est Meursault l'homme pour qui il est. La société ne peut l'étiqueter donc l'élimine. Le monde n'est pas absurde, ce qui est absurde c'est de lui donner une raison d'être.
Bonjour Pardon mais la dernière phrase est très importante elle en remet une couche sur l’absurde! Ne pas savoir si ont va mourrir chaque matin ou le lendemain?
Bonjour, J’ai lu les romans misère de la Kabylie, la peste, la chute et l’Etranger d’Albert Camus. Lors de la lecture de l’étranger, j’été frappé dès les premières pages du roman par la terminologie utilisée pour l’un des personnages : l’infirmière arabe puis les autres personnages désignés par la femme mauresque, le groupe d’arabes et l’arabe. Hormis ces personnages, tous les autres personnages du roman sont désignés par des prénoms européens à connotation franco-espagnols : Meursault, Emmanuel, Céleste, Thomas Pérez, Salamano, Raymond Sintès, Masson. Connaissant l’engagement de Camus pour les causes justes et étant aux cotés des diminués en commençant par la défense de l’égalité en droits des indigènes durant le régime colonial, contre l’occupation de l’Allemagne nazie le 10-05-1940 de la france et sa position contre les Goulags staliniens en publiant l’homme révolté en 1952, j’avoue être choqué et offensé par la ségrégation apparente dans la désignation des personnages de l’étranger où les personnages indigènes sont écrasés, mis en arrière-plan dans des rôles secondaires et ingrats. Cette posture de Camus, le positionne paradoxalement dans la consécration du régime colonial qui méprise les indigènes sur la terre de leurs ancêtres en les mettant comme citoyens de seconde zone dans le dénuement, misère et l’exclusion. En somme et aussi absurde que cela me paraît, l’étranger, paraît comme étant un roman à connotation coloniale. Les exclus et les méprisés de l’étranger de Camus sont devenus les révoltés, les déclencheurs et les glorieux enfants de la Toussaint du premier novembre 1954 qui ont libéré l’Algérie des greffes du colonialisme français comme l’ont fait les français des années 1940 pour libérer la France du gouvernement colorateur de Vichy du maréchal Pétain sauf que le régime colonial appelle nos révoltés: Rebelles, Fellagas, Hors la lois, … et les leurs les résistants contre l’occupation nazie comme si le genre humain et les causes sont justes ou pas selon qu’on soit en France ou en Algérie ! Allons comprendre quelque chose à cette honteuse absurdité !
Effectivement c'est un aspect méconnu de l'auteur, mais Camus est un pied-noir qui écrit pour ses semblables, et pour lui, européen en Algérie, les indigènes ne sont là que pour le décor comme disait Simone Weil, d'où le mépris qu'il affiche à leur égard. Il les nomme l'Arabe, la mauresque, le groupe d'Arabes comme il nommerait le chien, la grenouille ou le groupe de corbeaux. J'ai lu ' le Mythe de Sysiphe' et ' l'Étranger' mais je n'ai pas réussi à terminer 'La Peste' tellement j'étais écœuré de constater que dans ce livre dont l'histoire se déroule à Oran, il n'y a pas la moindre trace d'arabes !
vous avez bien fait de souligner ce côté méprisant de l'auteur envers les indigènes.Au procès,on ne parlait pas de la victime mais de l'absence de sentiment de l'accusé à la mort de sa mère. À en juger par les témoins qui ont défilé à la barre, le tribunal n'a pas condamné l"accusé parce qu'il a tué un arabe - qui va se soucier de la disparition d'un arabe? - mais parce qu'il n'a pas manifesté le moindre sentiment à la mort de sa mère.En lisant le chapitre sur le déroulement du procès,je n'ai pas pu m'empêcher d'avoir cette question : quelle tournure aurait pris le procès si la victime était un français ou un pied-noir?
Ce genre de commentaire comme les précédents est absolument déplacé. S’il y a bien un seul homme au monde qui tenait les Arabes et les Kabyles pour ses frères, c’est bien Albert Camus. Vous n’avez donc rien compris à Camus ni à son œuvre.
Il est un peu bizarre de chercher à sur interpréter quoi que ce soit d'un auteur trouvant tout absurde, ça décrédibilise la démarche. La peine de mort est absurde, soit, comme l'amour que sollicite Marie, le raisonnement du procureur et l'intégralité des choses qui organisent l'altérité entre les hommes. Les impôts, les feux rouges, la sécurité sociale . Ne reste que le championnat de football .
Oui d'accord contre la peine de mort ok j'étais vraiment contre pour des tas des raisons mais je n'avais pensé à celles que vous expliquez c'est à dire au déroulement de la décapitation . ..... Et bien je l'ais fait et bien vous savez ce qui met apparu " l'affreux crime qu'il avait dû commettre et là désoléeMaintenant je suis POUR
Je crois que la meilleure critique de "l'Étranger" est celle que donne Shlomo Sand : _"Il émanait de la relecture de L’Étranger, ce roman « antisolaire », que je n’avais jamais réellement aimé, une certaine tonalité arrogante. La comparaison entre « Tuer un Arabe » de Camus et « Tuer un éléphant » de George Orwell soulignait la différence abyssale entre le fils de colons, porteur d’un langage déchiré, et le critique, au regard acéré, du colonialisme britannique. Ce dernier décryptait mieux, selon moi, le lien entre le sentiment de l’absurde et la situation historique pouvant projeter celui-ci jusqu’à l’extrême." (Shlomo Sand - La fin de l'intellectuel français )._ Le lecteur européen passe toujours à côté d'un aspect méconnu de Camus, à savoir qu'il écrivait avec la mentalité d'un colon, et dans ses romans dont l'action se déroule en Algérie, les indigènes n'ont pas de nom ! Certains principes telle que la justice sont universels et ne souffriraient pas de ne concerner qu'une caste ou un groupe et pourtant Camus est mû par un sentiment d'appartenance à un groupe précis pour qui l'autre est aussi insignifiant qu'un cafard.
Sa formulation si nette me fait adhérer à votre affirmation. J'en étais à constater que cette femme, par sa confusion intellectuelle verbeuse, était en train de produire l'effet inverse de celui qu'elle recherchait. Mais votre commentaire qui la ridiculise un peu l'absout aussi.
Passionnant et merci Madame, je recommande cette heure à écouter.
L'étranger, est extraordinaire.
Camus est un très grand.
Je suis contre la peine de mort.
Merci chère Madame.
Agnès Spiquel était ma prof en première année de fac de Lettres. Cette femme est une déesse de prof !!! J'ai énormément de respect pour cette femme ! Je n'ai jamais autant aimé mes cours magistraux que cette année là !!!
Mouais et bien il vous reste à....grandir de la séduction et du vraisemblable, voir l'essence, au dessus, de ce qu'est l'étranger, la situation dans le contexte !
Georges Dubuis pouvez-vous expliquer votre reponse ?
Je t’interromps. Si vous voulez m’aider, pourriez-vous m’aider à lui envoyer une demande: Puis-je lui poser des questions sur Les Misérables?
Tout ce qu'elle raconte est complètement dénué d'intérêt et de sens profond faut vraiment être endoctriné pour tomber dans le panneau.
@@MaxMax-ky9ez Et pourtant, vous êtes là, à écouter et prendre de votre temps pour commenter une conférence dénuée d'intérêt et de sens profond. Vous avez vraiment du temps à perdre ! Je vous invite à faire une conférence afin de nous partager votre science sur Albert Camus.
Depuis que je suis professeur, l'université me manque beaucoup. Je suis très contente d'avoir "assisté" à ce cours ! C'était très intéressant !
Chère Madame, Félicitations pour votre conférence ou cours magistral tout en hauteur et générosité, enfin un peu de culture dans la bêtise ambiante qui règne partout et toujours et Nantes n'est pas une exception. Ancien étudiant de Paris 3 en Sciences du langage. La lecture du verdict au discours indirect est épique, "au nom de peuple français"...Martin, Poètes Anonymes Associés...
Jamais un vers d'eau n'a été si bon! C'était aussi jouissif à suivre qu'un très bon concert ou film.
De la part de quelqu'un qui ne lit plus.
Cela serait interessant de prendre un cafe avec cette femme qui es tres interessante et possede un bon bagage de connaissance!
Je préfère Nabilla
@@moulayaziz4322 Qui est-ce?
Excellente lecture, qui me donne l'envie de relire l'étranger.
Formidable. Merci beaucoup!
Merci madame pour ce cours magistral qui m'a énormément aidé dans un devoir sur ce livre.
Quelle prof! Excellente analyse.
Merci pour cette conférence, excellente analyse. Je vais relire l'Etranger a nouveau, ainsi que la Peste et tous les chefs d'oeuvre de Camus. Je ne voyage jamais sans un Camus dans mes bagages , notre Premier, Justin Trudeau en fait de
meme. Belle soirée passée avec vous. C.B. Canada
Passionnant !!! merci beaucoup :)
Merci pour cet exposé !
L'absurde comme Camus l'entend c'est la volonté de comprendre un monde qui n'a pas de sens. C'est un probléme qui selon lui mène à 3 solutions:
le suicide
le suicide philosohique (croire en Dieu)
la révolte (accepter le non-sens du monde et être heureux)
Je ne suis pas d'accord avec Agnès Spiquel quand elle dit que la deuxième guerre mondiale était absurde car la première était la der des der. On peut expliquer les raisons qui poussent à la seconde guerre mondiale c'est à dire comment. En fait tant que le mot pourquoi veut dire comment tout va bien, ce qui est absurde c'est le pourquoi absolu? La deuxième guerre mondiale n'est pas plus absurde ou moins absurde que la première.
Pourquoi y a-t-il des montagnes? Il n'y a rien qui explique la raison de la présence des montagnes par contre on peut expliquer comment elle se forment.
Camus sur la peine de mort veut expliquer que les codes sociaux sont tous sauf neutres tel que l'est la nature. Dans la société les choses ne se valent pas, l'homme a un parti pris. Tuer à cause du soleil ça n'a pas de sens dans cette société. Des crimes identiques peuvent avoir des conséquences très différentes, car la justice va prendre en compte le fait que l'on ne pleure pas à l'enterrement de notre mère. Meursault est un héro car il ne veut pas jouer le jeu des faux semblants pour sauver sa peau. Jamais il ne mentira sur ce qu'il ressent. La société le condamne pour son non-conformisme. Il pourrait echapper à sa condamnation. N'oublions pas que la scène est écrite dans les années 1940 et que c'est un français qui tue un arabe. Avec un bon avocat, il échappe à cette condamnation sans problème. Camus sousentend ce fait lorsque le journaliste de Paris dit que l'affaire n'intéresse pas vraiment les médias, C'est le paricide qui est le fait important. Donc ce n'est pas son crime qui est condamné, c'est Meursault l'homme pour qui il est. La société ne peut l'étiqueter donc l'élimine.
Le monde n'est pas absurde, ce qui est absurde c'est de lui donner une raison d'être.
Un commentaire fort intéressant merci !
Félicitations
48:00 Vis ta vie de sorte à ce que tu veuilles qu'elle se répète éternellement, on voit bien la l'influence de Nietzsche.
Merci France Cu !
Bonjour
Pardon mais la dernière phrase est très importante elle en remet une couche sur l’absurde!
Ne pas savoir si ont va mourrir chaque matin ou le lendemain?
J etais jeune,et c'est UN hero paienc
Envoutant.
J ai lu l stranger pArce UN copain ma recomende et Mon pere l avait .
C'est uun recit impRssioNant
Bonjour,
J’ai lu les romans misère de la Kabylie, la peste, la chute et l’Etranger d’Albert Camus. Lors de la lecture de l’étranger, j’été frappé dès les premières pages du roman par la terminologie utilisée pour l’un des personnages : l’infirmière arabe puis les autres personnages désignés par la femme mauresque, le groupe d’arabes et l’arabe. Hormis ces personnages, tous les autres personnages du roman sont désignés par des prénoms européens à connotation franco-espagnols : Meursault, Emmanuel, Céleste, Thomas Pérez, Salamano, Raymond Sintès, Masson.
Connaissant l’engagement de Camus pour les causes justes et étant aux cotés des diminués en commençant par la défense de l’égalité en droits des indigènes durant le régime colonial, contre l’occupation de l’Allemagne nazie le 10-05-1940 de la france et sa position contre les Goulags staliniens en publiant l’homme révolté en 1952, j’avoue être choqué et offensé par la ségrégation apparente dans la désignation des personnages de l’étranger où les personnages indigènes sont écrasés, mis en arrière-plan dans des rôles secondaires et ingrats.
Cette posture de Camus, le positionne paradoxalement dans la consécration du régime colonial qui méprise les indigènes sur la terre de leurs ancêtres en les mettant comme citoyens de seconde zone dans le dénuement, misère et l’exclusion. En somme et aussi absurde que cela me paraît, l’étranger, paraît comme étant un roman à connotation coloniale.
Les exclus et les méprisés de l’étranger de Camus sont devenus les révoltés, les déclencheurs et les glorieux enfants de la Toussaint du premier novembre 1954 qui ont libéré l’Algérie des greffes du colonialisme français comme l’ont fait les français des années 1940 pour libérer la France du gouvernement colorateur de Vichy du maréchal Pétain sauf que le régime colonial appelle nos révoltés: Rebelles, Fellagas, Hors la lois, … et les leurs les résistants contre l’occupation nazie comme si le genre humain et les causes sont justes ou pas selon qu’on soit en France ou en Algérie ! Allons comprendre quelque chose à cette honteuse absurdité !
Effectivement c'est un aspect méconnu de l'auteur, mais Camus est un pied-noir qui écrit pour ses semblables, et pour lui, européen en Algérie, les indigènes ne sont là que pour le décor comme disait Simone Weil, d'où le mépris qu'il affiche à leur égard. Il les nomme l'Arabe, la mauresque, le groupe d'Arabes comme il nommerait le chien, la grenouille ou le groupe de corbeaux. J'ai lu ' le Mythe de Sysiphe' et ' l'Étranger' mais je n'ai pas réussi à terminer 'La Peste' tellement j'étais écœuré de constater que dans ce livre dont l'histoire se déroule à Oran, il n'y a pas la moindre trace d'arabes !
C’est une fiction vous êtes au courant j’espère !
vous avez bien fait de souligner ce côté méprisant de l'auteur envers les indigènes.Au procès,on ne parlait pas de la victime mais de l'absence de sentiment de l'accusé à la mort de sa mère. À en juger par les témoins qui ont défilé à la barre, le tribunal n'a pas condamné l"accusé parce qu'il a tué un arabe - qui va se soucier de la disparition d'un arabe? - mais parce qu'il n'a pas manifesté le moindre sentiment à la mort de sa mère.En lisant le chapitre sur le déroulement du procès,je n'ai pas pu m'empêcher d'avoir cette question : quelle tournure aurait pris le procès si la victime était un français ou un pied-noir?
Ce genre de commentaire comme les précédents est absolument déplacé. S’il y a bien un seul homme au monde qui tenait les Arabes et les Kabyles pour ses frères, c’est bien Albert Camus. Vous n’avez donc rien compris à Camus ni à son œuvre.
La farce du hasard et son strapontin
Je vous aime Madame
La premiere parole Ajourdhui
Il est un peu bizarre de chercher à sur interpréter quoi que ce soit d'un auteur trouvant tout absurde, ça décrédibilise la démarche. La peine de mort est absurde, soit, comme l'amour que sollicite Marie, le raisonnement du procureur et l'intégralité des choses qui organisent l'altérité entre les hommes. Les impôts, les feux rouges, la sécurité sociale . Ne reste que le championnat de football .
Oui d'accord contre la peine de mort ok j'étais vraiment contre pour des tas des raisons mais je n'avais pensé à celles que vous expliquez c'est à dire au déroulement de la décapitation . ..... Et bien je l'ais fait et bien vous savez ce qui met apparu " l'affreux crime qu'il avait dû commettre et là désoléeMaintenant je suis POUR
J avai raison
J avais tojour raison
Mersault
Letranger
Camus prix nobel
La dernier. haine
Je crois que la meilleure critique de "l'Étranger" est celle que donne Shlomo Sand :
_"Il émanait de la relecture de L’Étranger, ce roman « antisolaire », que je n’avais jamais réellement aimé, une certaine tonalité arrogante. La comparaison entre « Tuer un Arabe » de Camus et « Tuer un éléphant » de George Orwell soulignait la différence abyssale entre le fils de colons, porteur d’un langage déchiré, et le critique, au regard acéré, du colonialisme britannique. Ce dernier décryptait mieux, selon moi, le lien entre le sentiment de l’absurde et la situation historique pouvant projeter celui-ci jusqu’à l’extrême." (Shlomo Sand - La fin de l'intellectuel français )._
Le lecteur européen passe toujours à côté d'un aspect méconnu de Camus, à savoir qu'il écrivait avec la mentalité d'un colon, et dans ses romans dont l'action se déroule en Algérie, les indigènes n'ont pas de nom ! Certains principes telle que la justice sont universels et ne souffriraient pas de ne concerner qu'une caste ou un groupe et pourtant Camus est mû par un sentiment d'appartenance à un groupe précis pour qui l'autre est aussi insignifiant qu'un cafard.
Sand is confusing Camus with Mersault.
I will never be like Mersault the opposite of my idealA
Quelle est donc cette trahison ? Il n'y a rien dans l'Etranger qui puisse faire office de plaidoyer contre la peine capitale.
Sa formulation si nette me fait adhérer à votre affirmation.
J'en étais à constater que cette femme, par sa confusion intellectuelle verbeuse, était en train de produire l'effet inverse de celui qu'elle recherchait.
Mais votre commentaire qui la ridiculise un peu l'absout aussi.
@@ericbachou1706 Une chose est sûre : on n'a pas fini de parler de l'Etranger !
vous êtes des illuminés vous parlez de Camus et de l'Etranger comme si vous étiez dans une secte.
Evidemment pas Chretien,
Excellente lecture, qui me donne l'envie de relire l'étranger.