Ma petite sœur est née avec une cardiopathie congénitale d'une complexité déconcertante. Chacun de ses battements de cœur est une mélodie particulière, une symphonie délicate dans laquelle chaque note est à la fois une bénédiction et un défi. À maintes reprises, elle a dû affronter le scalpel des chirurgiens, ouvrant son cœur vulnérable pour apporter les ajustements nécessaires. À chaque fois, ces heures en salle d'opération semblaient être des éternités, et notre anxiété montait comme une marée menaçante. Quand ma petite sœur est née, j'avais à peine quatre ans. Mes parents, dans leur sagesse, m'ont confié une tâche qui, à l'époque, me semblait presque surhumaine. Ils m'ont dit : "Gabrielle, tu es la grande sœur maintenant, tu as la responsabilité de veiller sur ta petite sœur." Je me souviens de ce moment, où mes petits bras n'étaient pas suffisamment forts pour protéger son cœur fragile. Pourtant, j'ai tenu cette promesse depuis ce jour. Enfant, dans ma candeur, j'ai offert de me faire opérer à sa place. Je croyais que si je prenais sa douleur sur mes épaules, peut-être son cœur pourrait enfin retrouver la paix. Mais mes parents, dans leur amour et leur sagesse, ont doucement refusé. Alors, j'ai décidé de partager un fardeau bien différent : celui de la douleur émotionnelle. J'ai juré d'être présente pour elle à chaque moment, d'être son pilier, sa force tranquille, et sa source de courage quand le monde semblait s'effondrer autour d'elle. Aujourd'hui, elle se prépare pour une nouvelle opération à cœur ouvert. Les souvenirs de chaque précédente intervention reviennent, et le nœud dans ma gorge se serre. Mais ma petite sœur, malgré toutes les épreuves, est un modèle de résilience. Sa force m'a toujours émerveillée, me rappelant à quel point la fragilité peut cacher une immense puissance. Ses sourires, même au milieu des larmes, sont les étoiles qui illuminent mes nuits sombres. Ce texte est un hommage modeste à notre parcours, à l'amour inconditionnel et à la persévérance. C'est l'histoire d'une grande sœur qui puise sa force dans l'amour qu'elle porte à sa petite sœur, et qui, à chaque battement de cœur, espère et prie pour que cette mélodie continue.
J’ai eu exactement la même chose étant petite mes sœurs étant nées prématurément ma mère a dû restée hospitalisée 2 mois et pendant ce temps là j’ai commencé à angoisser, j’ai eu de gros soucis de séparation je n’arrivais pas à rester seule chez moi sans suivre ma mère sinon je pleurais et j’angoissai de ouf 😰 ça a duré plusieurs années et depuis la 5e ça va bcp mieux je me fais confiance j’arrive à rester seule mais je demande toujours à ma mère de d’avoir toujours son téléphone ☎️ pour savoir où elle en ait bref très contente des progrès effectués
Pas mal la photo de la famille d'awa c'est une très triste réalité.... C'est un métier passionnant très touchant avec d'énorme résultats à la clef des vies des familles de l'espoir quoi j'espère qu'avec un jour j'aurais la chance d'entrer dans ce milieu avec des diplômes du milieu de l'animation
@@pancake6442 c'est avec un diplôme type bpjeps ou dejeps que l'on peut commencer à travailler en foyer centre hospitalier ou autres déjà un dejeps sa à comme équivalence DE éducateur spécialisé
Vous pourrez y entrer en ayant un diplôme, en général, d'éducateur.rice de jeunes enfants (éventuellement éducateur.rice spécialisé.e/moniteur éducateur), ou infirmier.e puéricultrice/auxiliaire de puériculture. Mais pas avec un métier du domaine de l'animation pour ce genre de structure.
Très bonne structure, utile aux parents et plus largement à la fratrie fragilisée
Ma petite sœur est née avec une cardiopathie congénitale d'une complexité déconcertante. Chacun de ses battements de cœur est une mélodie particulière, une symphonie délicate dans laquelle chaque note est à la fois une bénédiction et un défi. À maintes reprises, elle a dû affronter le scalpel des chirurgiens, ouvrant son cœur vulnérable pour apporter les ajustements nécessaires. À chaque fois, ces heures en salle d'opération semblaient être des éternités, et notre anxiété montait comme une marée menaçante.
Quand ma petite sœur est née, j'avais à peine quatre ans. Mes parents, dans leur sagesse, m'ont confié une tâche qui, à l'époque, me semblait presque surhumaine. Ils m'ont dit : "Gabrielle, tu es la grande sœur maintenant, tu as la responsabilité de veiller sur ta petite sœur." Je me souviens de ce moment, où mes petits bras n'étaient pas suffisamment forts pour protéger son cœur fragile. Pourtant, j'ai tenu cette promesse depuis ce jour.
Enfant, dans ma candeur, j'ai offert de me faire opérer à sa place. Je croyais que si je prenais sa douleur sur mes épaules, peut-être son cœur pourrait enfin retrouver la paix. Mais mes parents, dans leur amour et leur sagesse, ont doucement refusé. Alors, j'ai décidé de partager un fardeau bien différent : celui de la douleur émotionnelle. J'ai juré d'être présente pour elle à chaque moment, d'être son pilier, sa force tranquille, et sa source de courage quand le monde semblait s'effondrer autour d'elle.
Aujourd'hui, elle se prépare pour une nouvelle opération à cœur ouvert. Les souvenirs de chaque précédente intervention reviennent, et le nœud dans ma gorge se serre. Mais ma petite sœur, malgré toutes les épreuves, est un modèle de résilience. Sa force m'a toujours émerveillée, me rappelant à quel point la fragilité peut cacher une immense puissance. Ses sourires, même au milieu des larmes, sont les étoiles qui illuminent mes nuits sombres.
Ce texte est un hommage modeste à notre parcours, à l'amour inconditionnel et à la persévérance. C'est l'histoire d'une grande sœur qui puise sa force dans l'amour qu'elle porte à sa petite sœur, et qui, à chaque battement de cœur, espère et prie pour que cette mélodie continue.
J’ai eu exactement la même chose étant petite mes sœurs étant nées prématurément ma mère a dû restée hospitalisée 2 mois et pendant ce temps là j’ai commencé à angoisser, j’ai eu de gros soucis de séparation je n’arrivais pas à rester seule chez moi sans suivre ma mère sinon je pleurais et j’angoissai de ouf 😰 ça a duré plusieurs années et depuis la 5e ça va bcp mieux je me fais confiance j’arrive à rester seule mais je demande toujours à ma mère de d’avoir toujours son téléphone ☎️ pour savoir où elle en ait bref très contente des progrès effectués
Merci pour votre témoignage intéressant
Pas mal la photo de la famille d'awa c'est une très triste réalité.... C'est un métier passionnant très touchant avec d'énorme résultats à la clef des vies des familles de l'espoir quoi j'espère qu'avec un jour j'aurais la chance d'entrer dans ce milieu avec des diplômes du milieu de l'animation
Je l'espère moi aussi, ce n'es pas un souhait c'est ce qu'on sera
Où voyez vous des professionnels de l'animation ?
@@pancake6442 c'est avec un diplôme type bpjeps ou dejeps que l'on peut commencer à travailler en foyer centre hospitalier ou autres déjà un dejeps sa à comme équivalence DE éducateur spécialisé
Vous pourrez y entrer en ayant un diplôme, en général, d'éducateur.rice de jeunes enfants (éventuellement éducateur.rice spécialisé.e/moniteur éducateur), ou infirmier.e puéricultrice/auxiliaire de puériculture. Mais pas avec un métier du domaine de l'animation pour ce genre de structure.
Yeehjhe