Comme c'est vraiment bien expliqué. Voix charmante et claire. Jongler dans le concept de l'art du philo est terrible dans lequel souffle votre verbe. 👏 Néanmoins, si je peux me le permettre, il y a un concept capital qui relie l'animal à l'homme, c'est le MOUVEMENT. Vous n'en faites aucunement mention. Hors que pour construire, il se doit être intégré pour la cause : à se créer dans un seul sens du mouvement physique le temps à se réaliser. L'homme a trop tendance à oublier que même au niveau psychologique, il y a un sens d'interprétation. Le psychisme est souvent trop oublié à l'homme comme étant un moteur relié à lui dans un même mouvement physique : le temps de sa création. Ce même mouvement dans le temps est capital à le poursuivre, sans quoi nous démantelons la construction de nos objectifs. Inutile de formater ce qui appartient à la vie. Nous serions encore plus stupide qu'un logiciel de philo. C'est la raison que nous devons tuer pour vivre comme de s'imposer pour survivre. Dans les limites uniques du danger. Ainsi nous concevons ce qui nous est agréable. Le contraire nous donne une sensation de désagréable extérieur au mouvement de ce qui nous est propre. Ceci va contribuer à nous faire réagir comme facteur de volonté à garder le rythme qui nous est acquis au sens relié du mouvement par sa nature : nature du départ de ses origines. Sinon on est juste bon pour se faire détricoter par le monde du domaine de la psychiatrie et ce, à leur refiler le temps de notre sur-moi, pour arriver à relier les deux bouts de notre fil conducteur de la vie. Ainsi par priorité acquise aux règnes du vivant il est de source innée d'un phare créatif à toutes espèces reliées au cosmos. Et c'est uniquement dans ce phare tampon que nous siégeons notre apparition d'être ou de ne pas être. Chacun de nous, du vivant avons la force de prendre comme de rompre cette volonté d'exister. Tant bien, que la suivre par instinct du fait de ne jamais avoir quitté ce fil conducteur de la vie, que : nous sommes ! À la fois, c'est la seule condition, de suivre le bon mouvement. Pour vous schématiser ce raisonnement : la terre tourne toujours dans le même sens de son mouvement, car elle a choisi de vivre. Oui, tant qu'elle sait que ce qui est bon sur terre lui est pas trop mal en rapport de son aptitude à pouvoir suivre le rayon de sa galaxie, elle ne va pas subitement se transformer en naine blanche pour décroître en dehors de son temps jusqu'à sa disparition complète. En fait vous direz par esprit primitif, que tout disparaît. Et bien si chacun de nous pensais à suivre son mouvement dans l'ordre naturel du temps : rien ne disparaîtrait. Tout est un éternel recommencement. Vous allez encore dire par esprit de conservation la plus vicieuse de l'homme, que dans ce cas, comment sommes nous éternel face à la mort. Et c'est là que joue le psychisme de l'homme hors du temps. Il est arrivé à un âge où l'éducation polluante de l'homme va vouloir conserver le bien de sa procréation dans des concepts qui lui sont à lui seul, agréable comme pour le bien de l'enfant. Mais sachant le surnombre d'être humain, voulant s'imposer à dominer le monde, il se trouve lui même piégé à faire une discorde avec son temps ce qu'il aurait dû faire avec beaucoup de sens au départ. Résultat, nous prenons trop de liberté là où commence à finir celle de l'autre. On va oublier d'être en relation directe avec l'éducation de son enfant et cela va le marquer d'un inconfortable désirs, qui se devait normalement de suivre le mouvement de la vie tel le règne du vivant nous l'inculque du départ. Les connecteurs du lien à l'effet de la cause vont sans cesse être enrayés de poursuivre agréablement son chemin. Comme avec la tortue, elle sent le besoin à se faire vivre dans un terrain humide. Mais arrivé à terme d’une seconde délivrance, comme un nouveau né, elle va ramper vers sa survie de l'eau. À défaut d'avoir perdu sa poche créatrice maternelle, d'œuf humide d'eau de mer, elle prendra ce qui lui est le plus familier, l'eau de la mer. Faites l'expérience, mettez lui un bassin d'eau du robinet à la javel sur le sol, je pense très certainement qu'elle aura senti une humidité agressive à poursuivre ce chemin désagréable à sa vie. Le bébé pareil. Il va être sous le choque du froid qui lui a arraché le gosier, un air sec desséchant. Il lui faut la tiédeur tel un baume d'un téton mou et tiède en sa bouche, avec le baume du lait par complaisance du moment qui se déverse sur les parois physiques internes à sa survie. Comme quand vous êtes blessé vous portez instinctivement votre main sur la blessure. Le bébé qui est contraint à avoir le plastique d'un biberon, comprendra que l'étape suivante lui déverse un lait tiède préparer par les prémices de la mère nourrice. Vous voyez que le logiciel n'est que dans le mouvement. Un mouvement de même sens. Pour construire la vie. Le respect de l'un par la liberté de l'autre avec des limites, se construit que quand il garde le bon sens de ses priorités acquises de la vie. Mettez vous comme le divin dans toutes créations, et placez vous en chaque chose vivante: où est la limite ? En vers quelle vie allez vous tirez le parti de vos conclusions ?. C'est simple, laissez vous suivre le mouvement, sans être trop perturber par l’existence d'autrui extérieure. Car vous êtes venu seul sur terre et repartirez seul de la terre physiquement mais psychiquement vous avez jamais quitté l’ensemble du mouvement. L’existence d’autrui ne vous sera pas agréable, si elle vous oblige uniquement à vous borner de multiple détour à poursuivre vos enjeux prioritaires de la vie. Impossible pour vous de faire autrement ? Mais si, tout est possible. Et comment ? En passant outre de ce que nous croyons être des sacrifices. Ça fait mal aux sens seulement des préjugés que la société de masse nous a inculqué. Celle que je nomme la masse « inexistencielle » fortuite au terme de nous procurer la solution du vivant. L’épanouissement de la vie, sans écrit, sans étude, sans éducation, vous fera naître en vous l'épanouissement de suivre votre voie. C'est uniquement cette voie qui est sans limite. Maintenant pour s'intégrer à la société ajustée à du temps partiel disparate, faite de vous ce que l'on oblige à l'animal de faire. Faites les grimaces qui plaisent pour gagner votre nourriture. Mais sachez vous retrouver seul, dans votre fil conducteur de la vie qui est le mouvement de tout un chacun. Partager le bon du mal. Prenez la peine de vous retrouver entier à l'égal de cosmos. Ceci n'est pas un pêché, c'est une façon intègre de se retrouver psychologiquement. Merci beaucoup pour votre vidéo. Elle a 80%de bon raisonnement. Ce qui m'a bercé mon entendement.
Kant dans La Critique de la Raison Pure a ecrit une introduction et deux preface, incomparable...il a apporte' la lumiere scientifique a la philosophie...
Demandez à quelqu'un qui n'a pas été à l'école s'il sait a priori combien de degrés ont les angles du triangle. Nous pouvons avoir des idées a priori qui "germent" sur l'expérience. Il n'y a pas d'idées innées
Il suffit d'un zoom out, un recule pour se rendre compte à quel point nous humains sommes déterminés par la nature, et à quel point tout est similaire. La liberté n'est que l'ignorance des determinismes...
D'autres pourraient percevoir que la liberté est l'accès libre à la possibilité d'adaptation, voire d'exploitation constructive des déterminismes, pour éventuellement s'en créer d'autres qui nous soient propres (et plus dynamiques en ce sens "d'adaptation"). Or, pour cela, il faut pouvoir s'abstraire intellectuellement des déterminismes, dès lors envisagés sous un regard objectif, ce serait le premier pas (et par "déterminisme" j'entends bien ici celle imposée par la "Nature" biologique et physique dont nous ne savons pas encore grand chose, bien que certains veulent croire le contraire). Cela mena à la médecine, aux voyages dans l'espace, aux prises de conscience et volontés de compassion envers d'autres essuyant tous les effets négatifs de ce que l'on puisse pondre (pour quelque ajustement adaptatif de réalités sinon qu'abandon), etc. Ainsi, en cela, ces "activités" ne sont pas devenues des déterminismes en elles-mêmes (par exemple la technologie), la Nature, cette belle inconnue, nous rappelant toujours à l'ordre un jour ou l'autre, pour refaire ce cycle d'adaptation... Et ce, même aujourd'hui, bien que l'on puisse croire le contraire (pollution et consommation exagérée allant de paire pour quelque Dieu dollars artificiel, et que quelques prétentieux dangereux - parfois criminels - s'inventent pour l'évoquer sous forme de "lois de l'argent" universelles, en définitive un Dieu bien inférieur aux humains eux-mêmes), par une perte d'espoir n'étant en réalité que ponctuelle (la dynamique du loser "à-plat-ventriste" ou du collabo cupide) : par ex. on se rend compte que les pseudo "lois" de l'argent ne sont en fait que des mécanismes imposés par des gens de courte vue, prenant l'outil pour une fin en soit et dont les conséquences puissent être catastrophiques - un nouveau cycle doit et va s'embarquer...
Et quand à l’animal, lui-même sait aussi se détacher de sa nature sous effet de contrainte. Le singe de mon père s’est laissé mourir de faim, une fois que mon père s’en est débarrassé dans un zoo. Son chien caniche, idem, il l’avait donné à un homme par le fait de son déménagement, pour que cet homme prenne soin de lui et bien le chien se sentant abandonné de son premier maître n’a plus mangé. C’est de l’auto suicide tel un fumeur / alcoolique qui a grande échelle est détaché du mouvement naturel du bon sens de sa réflexion et qui se laisse périr comme un altruiste en s’abandonnant à la destruction massive de ses cellules vivantes. Le désintéressement de soi est hors nature. Et si vous regarder autour de vous, c’est une épidémie commerciale bien connue de l’homme qui par intérêt de la surabondance va se gaver de prendre trop de liberté au détriment de l’autre. Au départ, certes involontairement mais petit à petit et par accoutumance cette volonté il l’a, dans la faiblesse de son raisonnement. L’être humain est un acteur plus facilement théâtrale par la générosité de ses actes empiétant dans le domaine d’autrui. Mais il faut aussi ne pas oublier que nous avons l’équilibre de la terre qui nous balance ses virus pour nous éliminer un peu de sa carte vitale cosmologique. Comme un animal qui a envie de se débarrasser de ses désagréables particules du corps, elle va se secouer, provoquer quelques séismes… Etc Tout est en tout pareil.
Il y a un argument encore bien plus profond à apporter. Quand on nous dit que l’homme a une histoire et que c’est ce qui fait sa différence avec l’animal parce qu’il change et progresse constamment (enfin maintenant c’est plutôt l’inverse mais soit). Ne serait ce pas dans la nature humaine fondamentale et donc dans ses instincts de le faire? Et comment expliquer que l’homme n’a pas eu véritablement d’histoire avant il y a 20 000 ans?un progrès en entraine un autre et l’être humain a soif de savoir et d’ambition (encore une fois maintenant ce n’est plus trop le cas dans la majorité). Mais cette soif pourrait tout aussi bien être naturelle et programmée. La science nous montre d’ailleurs de plus en plus que tout ce que nous faisons et tous nos choix sont programmés par nos gènes. La différence unique entre l’animal et l’homme se trouverait être le niveau de conscience intellectuelle et de raisonnement. Le problème est qu’actuellement l’être humain tend à se détacher de plus en plus de la nature en la niant et donc ne progresse plus vraiment, n’a plus vraiment un grand raffinement et fini complètement dépressif (en tout cas en occident). C’est le nihilisme que Nietzsche avait prévu à la base. Les arguments de Kant et rousseaux sont démontables de plein de manières différentes mais c’est principalement grâce aux avancées de la science. Le seul philosophe qui reste extrêmement pertinent par rapport à la science actuellement est Nietzsche.
Être conscient de son histoire (parce que les animaux en ont une aussi, quelle que soit ça durée, cf Darwin), ne signifie pas s'en absoudre, et donc en être libre.
willykramps tu es libre de t'en absoudre, par la dé-communautarisation, le voyage, l'ouverture d'esprit :) tu peux en plus en faire une force, celle de l'identité :)
Mais, la théorie Kantienne, finalement, nous dit que chaque concept particulier lié à la conscience est unique et temporel, mais par conséquent, cela revient à dire que chaque concept en tant qu'idée (dimension intellectuelle) se différencie par sa forme, au sens premier du terme? Est-ce la seule différenciation que traduit le schématisme Kantien?
Pourquoi philosopher? Tout le matériel, y compris les mots furent créés par l homme, les idées, la politique, la philosophie et j en oublie certainement . Quoiqu il en soit, le système des castes - pour ne pas parler d escavage - dans nos pays développés, est bien présent. L argent, L argent,...construit le bonheur et nos inégalités. Bien à vous mes amis
C'est un peu facile de dire que l'idée de progrès s'est effondrée au profit de la pensée de Schopenhauer et de Nietzsche... C'est le cas pour les nouveaux petits bourgeois post-68 qui occultent complètement tout le progrès obtenu grâce aux luttes sociales, oublient la "biologie" du monde capitaliste, et qui font comme si le monde matériel sortait ex-nihilo, comme si on ne faisait plus que consommer sans produire....On est dans l'idéologie pure: “Les pensées de la classe dominante sont aussi, à toutes les époques, les pensées dominantes, autrement dit la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est aussi la puissance dominante spirituelle. Les pensées dominantes ne sont pas autre chose que l’expression idéale des rapports matériels dominants, elles sont ces rapports matériels dominants saisis sous forme d’idées, donc l’expression des rapports qui font d’une classe la classe dominante; autrement dit, ce sont les idées de sa domination” Marx
Les réalisations permises par une idée ne suffisent pas à acheter ni racheter sa validité philosophique. Dirait-on que Dieu existe parce qu'il a permis tout le progrès obtenu grâce à lui ? Il semble au contraire que ce soit les illusions qui soient les plus fécondes, l'excès de lucidité mène au pessimisme et à l'inaction (Schopenhauer) ou plus loin au dépassement de ce pessimisme et à l'action (Nietzsche).
A la différence de Michel Onfray, Luc Ferry agit uniquement par intérêt. Par exemple, il ne fait pas de la philosophie, il vend de la philosophie. Avec des conférences très rentables auprès de dirigeants d'entreprises. Michel Onfray vit sa philosophie et s'efforce d'avoir une action conforme à ses idées. Luc Ferry participe à des commissions rémunératrices, il a été ministre, il défend l'idée de l'Homme augmenté, bref, c'est un courtisan. Il a encore des efforts à faire pour devenir vertueux. MO a une sacrée avance sur LF sur ce terrain. Il a toutefois été courageux quand il a dénoncé les crimes pédophiles, connus du tout Paris, commis en toute impunité par des politiques de premier plan.
Et pourtant, Onfray lui aussi ne peut vivre que d'amour et d'eau fraîche : vous pouvez faire un don à son organisme en ce sens, ou encore ACHETER SES LIVRES ;-). Il se sert donc du système... Mais cela en fait-il dès lors un paria ? Vous préfèreriez qu'il crève et se sacrifie au lieu de prendre les moyens disponibles pour communiquer avec nous ?
Luc Ferry est un pédagogue brillant.
Merci '.... Tellement bien et simplement expliqué... Bravo
Merci beaucoup
Toujours très clair.
Excellente émission :)
Excellente vidéos pour réviser le bac de philo
Ces parenthèses culturelles sont remarquables par la qualité de la vulgarisation, l'intérêt des sujets et la qualité des 3 conférenciers.
Merci beaucoup!!! Tres, tres interesant!
le plus grand philosophe, depuis le 18eme siecle.
Comme c'est vraiment bien expliqué. Voix charmante et claire. Jongler dans le concept de l'art du philo est terrible dans lequel souffle votre verbe. 👏
Néanmoins, si je peux me le permettre, il y a un concept capital qui relie l'animal à l'homme, c'est le MOUVEMENT.
Vous n'en faites aucunement mention. Hors que pour construire, il se doit être intégré pour la cause : à se créer dans un seul sens du mouvement physique le temps à se réaliser.
L'homme a trop tendance à oublier que même au niveau psychologique, il y a un sens d'interprétation.
Le psychisme est souvent trop oublié à l'homme comme étant un moteur relié à lui dans un même mouvement physique : le temps de sa création. Ce même mouvement dans le temps est capital à le poursuivre, sans quoi nous démantelons la construction de nos objectifs. Inutile de formater ce qui appartient à la vie. Nous serions encore plus stupide qu'un logiciel de philo. C'est la raison que nous devons tuer pour vivre comme de s'imposer pour survivre. Dans les limites uniques du danger.
Ainsi nous concevons ce qui nous est agréable.
Le contraire nous donne une sensation de désagréable extérieur au mouvement de ce qui nous est propre. Ceci va contribuer à nous faire réagir comme facteur de volonté à garder le rythme qui nous est acquis au sens relié du mouvement par sa nature : nature du départ de ses origines.
Sinon on est juste bon pour se faire détricoter par le monde du domaine de la psychiatrie et ce, à leur refiler le temps de notre sur-moi, pour arriver à relier les deux bouts de notre fil conducteur de la vie.
Ainsi par priorité acquise aux règnes du vivant il est de source innée d'un phare créatif à toutes espèces reliées au cosmos. Et c'est uniquement dans ce phare tampon que nous siégeons notre apparition d'être ou de ne pas être. Chacun de nous, du vivant avons la force de prendre comme de rompre cette volonté d'exister. Tant bien, que la suivre par instinct du fait de ne jamais avoir quitté ce fil conducteur de la vie, que : nous sommes !
À la fois, c'est la seule condition, de suivre le bon mouvement.
Pour vous schématiser ce raisonnement : la terre tourne toujours dans le même sens de son mouvement, car elle a choisi de vivre. Oui, tant qu'elle sait que ce qui est bon sur terre lui est pas trop mal en rapport de son aptitude à pouvoir suivre le rayon de sa galaxie, elle ne va pas subitement se transformer en naine blanche pour décroître en dehors de son temps jusqu'à sa disparition complète. En fait vous direz par esprit primitif, que tout disparaît.
Et bien si chacun de nous pensais à suivre son mouvement dans l'ordre naturel du temps : rien ne disparaîtrait. Tout est un éternel recommencement. Vous allez encore dire par esprit de conservation la plus vicieuse de l'homme, que dans ce cas, comment sommes nous éternel face à la mort.
Et c'est là que joue le psychisme de l'homme hors du temps. Il est arrivé à un âge où l'éducation polluante de l'homme va vouloir conserver le bien de sa procréation dans des concepts qui lui sont à lui seul, agréable comme pour le bien de l'enfant. Mais sachant le surnombre d'être humain, voulant s'imposer à dominer le monde, il se trouve lui même piégé à faire une discorde avec son temps ce qu'il aurait dû faire avec beaucoup de sens au départ. Résultat, nous prenons trop de liberté là où commence à finir celle de l'autre. On va oublier d'être en relation directe avec l'éducation de son enfant et cela va le marquer d'un inconfortable désirs, qui se devait normalement de suivre le mouvement de la vie tel le règne du vivant nous l'inculque du départ. Les connecteurs du lien à l'effet de la cause vont sans cesse être enrayés de poursuivre agréablement son chemin. Comme avec la tortue, elle sent le besoin à se faire vivre dans un terrain humide. Mais arrivé à terme d’une seconde délivrance, comme un nouveau né, elle va ramper vers sa survie de l'eau. À défaut d'avoir perdu sa poche créatrice maternelle, d'œuf humide d'eau de mer, elle prendra ce qui lui est le plus familier, l'eau de la mer. Faites l'expérience, mettez lui un bassin d'eau du robinet à la javel sur le sol, je pense très certainement qu'elle aura senti une humidité agressive à poursuivre ce chemin désagréable à sa vie. Le bébé pareil. Il va être sous le choque du froid qui lui a arraché le gosier, un air sec desséchant. Il lui faut la tiédeur tel un baume d'un téton mou et tiède en sa bouche, avec le baume du lait par complaisance du moment qui se déverse sur les parois physiques internes à sa survie. Comme quand vous êtes blessé vous portez instinctivement votre main sur la blessure. Le bébé qui est contraint à avoir le plastique d'un biberon, comprendra que l'étape suivante lui déverse un lait tiède préparer par les prémices de la mère nourrice.
Vous voyez que le logiciel n'est que dans le mouvement. Un mouvement de même sens. Pour construire la vie. Le respect de l'un par la liberté de l'autre avec des limites, se construit que quand il garde le bon sens de ses priorités acquises de la vie. Mettez vous comme le divin dans toutes créations, et placez vous en chaque chose vivante: où est la limite ? En vers quelle vie allez vous tirez le parti de vos conclusions ?. C'est simple, laissez vous suivre le mouvement, sans être trop perturber par l’existence d'autrui extérieure. Car vous êtes venu seul sur terre et repartirez seul de la terre physiquement mais psychiquement vous avez jamais quitté l’ensemble du mouvement.
L’existence d’autrui ne vous sera pas agréable, si elle vous oblige uniquement à vous borner de multiple détour à poursuivre vos enjeux prioritaires de la vie. Impossible pour vous de faire autrement ? Mais si, tout est possible. Et comment ? En passant outre de ce que nous croyons être des sacrifices. Ça fait mal aux sens seulement des préjugés que la société de masse nous a inculqué. Celle que je nomme la masse « inexistencielle » fortuite au terme de nous procurer la solution du vivant.
L’épanouissement de la vie, sans écrit, sans étude, sans éducation, vous fera naître en vous l'épanouissement de suivre votre voie. C'est uniquement cette voie qui est sans limite. Maintenant pour s'intégrer à la société ajustée à du temps partiel disparate, faite de vous ce que l'on oblige à l'animal de faire. Faites les grimaces qui plaisent pour gagner votre nourriture. Mais sachez vous retrouver seul, dans votre fil conducteur de la vie qui est le mouvement de tout un chacun. Partager le bon du mal. Prenez la peine de vous retrouver entier à l'égal de cosmos. Ceci n'est pas un pêché, c'est une façon intègre de se retrouver psychologiquement.
Merci beaucoup pour votre vidéo. Elle a 80%de bon raisonnement. Ce qui m'a bercé mon entendement.
Kant dans La Critique de la Raison Pure a ecrit une introduction et deux preface, incomparable...il a apporte' la lumiere scientifique a la philosophie...
Quand la pédagogie devient un art tu te sens intelligent rien qu’en écoutant
Dès les premières secondes....bonjour l'humilité !
Demandez à quelqu'un qui n'a pas été à l'école s'il sait a priori combien de degrés ont les angles du triangle. Nous pouvons avoir des idées a priori qui "germent" sur l'expérience. Il n'y a pas d'idées innées
Il suffit d'un zoom out, un recule pour se rendre compte à quel point nous humains sommes déterminés par la nature, et à quel point tout est similaire. La liberté n'est que l'ignorance des determinismes...
D'autres pourraient percevoir que la liberté est l'accès libre à la possibilité d'adaptation, voire d'exploitation constructive des déterminismes, pour éventuellement s'en créer d'autres qui nous soient propres (et plus dynamiques en ce sens "d'adaptation"). Or, pour cela, il faut pouvoir s'abstraire intellectuellement des déterminismes, dès lors envisagés sous un regard objectif, ce serait le premier pas (et par "déterminisme" j'entends bien ici celle imposée par la "Nature" biologique et physique dont nous ne savons pas encore grand chose, bien que certains veulent croire le contraire). Cela mena à la médecine, aux voyages dans l'espace, aux prises de conscience et volontés de compassion envers d'autres essuyant tous les effets négatifs de ce que l'on puisse pondre (pour quelque ajustement adaptatif de réalités sinon qu'abandon), etc. Ainsi, en cela, ces "activités" ne sont pas devenues des déterminismes en elles-mêmes (par exemple la technologie), la Nature, cette belle inconnue, nous rappelant toujours à l'ordre un jour ou l'autre, pour refaire ce cycle d'adaptation... Et ce, même aujourd'hui, bien que l'on puisse croire le contraire (pollution et consommation exagérée allant de paire pour quelque Dieu dollars artificiel, et que quelques prétentieux dangereux - parfois criminels - s'inventent pour l'évoquer sous forme de "lois de l'argent" universelles, en définitive un Dieu bien inférieur aux humains eux-mêmes), par une perte d'espoir n'étant en réalité que ponctuelle (la dynamique du loser "à-plat-ventriste" ou du collabo cupide) : par ex. on se rend compte que les pseudo "lois" de l'argent ne sont en fait que des mécanismes imposés par des gens de courte vue, prenant l'outil pour une fin en soit et dont les conséquences puissent être catastrophiques - un nouveau cycle doit et va s'embarquer...
Et quand à l’animal, lui-même sait aussi se détacher de sa nature sous effet de contrainte.
Le singe de mon père s’est laissé mourir de faim, une fois que mon père s’en est débarrassé dans un zoo.
Son chien caniche, idem, il l’avait donné à un homme par le fait de son déménagement, pour que cet homme prenne soin de lui et bien le chien se sentant abandonné de son premier maître n’a plus mangé. C’est de l’auto suicide tel un fumeur / alcoolique qui a grande échelle est détaché du mouvement naturel du bon sens de sa réflexion et qui se laisse périr comme un altruiste en s’abandonnant à la destruction massive de ses cellules vivantes. Le désintéressement de soi est hors nature.
Et si vous regarder autour de vous, c’est une épidémie commerciale bien connue de l’homme qui par intérêt de la surabondance va se gaver de prendre trop de liberté au détriment de l’autre. Au départ, certes involontairement mais petit à petit et par accoutumance cette volonté il l’a, dans la faiblesse de son raisonnement. L’être humain est un acteur plus facilement théâtrale par la générosité de ses actes empiétant dans le domaine d’autrui. Mais il faut aussi ne pas oublier que nous avons l’équilibre de la terre qui nous balance ses virus pour nous éliminer un peu de sa carte vitale cosmologique. Comme un animal qui a envie de se débarrasser de ses désagréables particules du corps, elle va se secouer, provoquer quelques séismes… Etc
Tout est en tout pareil.
Il y a un argument encore bien plus profond à apporter. Quand on nous dit que l’homme a une histoire et que c’est ce qui fait sa différence avec l’animal parce qu’il change et progresse constamment (enfin maintenant c’est plutôt l’inverse mais soit). Ne serait ce pas dans la nature humaine fondamentale et donc dans ses instincts de le faire? Et comment expliquer que l’homme n’a pas eu véritablement d’histoire avant il y a 20 000 ans?un progrès en entraine un autre et l’être humain a soif de savoir et d’ambition (encore une fois maintenant ce n’est plus trop le cas dans la majorité). Mais cette soif pourrait tout aussi bien être naturelle et programmée. La science nous montre d’ailleurs de plus en plus que tout ce que nous faisons et tous nos choix sont programmés par nos gènes. La différence unique entre l’animal et l’homme se trouverait être le niveau de conscience intellectuelle et de raisonnement. Le problème est qu’actuellement l’être humain tend à se détacher de plus en plus de la nature en la niant et donc ne progresse plus vraiment, n’a plus vraiment un grand raffinement et fini complètement dépressif (en tout cas en occident). C’est le nihilisme que Nietzsche avait prévu à la base. Les arguments de Kant et rousseaux sont démontables de plein de manières différentes mais c’est principalement grâce aux avancées de la science. Le seul philosophe qui reste extrêmement pertinent par rapport à la science actuellement est Nietzsche.
Être conscient de son histoire (parce que les animaux en ont une aussi, quelle que soit ça durée, cf Darwin), ne signifie pas s'en absoudre, et donc en être libre.
willykramps tu es libre de t'en absoudre, par la dé-communautarisation, le voyage, l'ouverture d'esprit :)
tu peux en plus en faire une force, celle de l'identité :)
willykramps Pourrais-tu développer sur le point de "l'histoire" des animaux cf Darwin stp?
Mais, la théorie Kantienne, finalement, nous dit que chaque concept particulier lié à la conscience est unique et temporel, mais par conséquent, cela revient à dire que chaque concept en tant qu'idée (dimension intellectuelle) se différencie par sa forme, au sens premier du terme? Est-ce la seule différenciation que traduit le schématisme Kantien?
Pourquoi philosopher?
Tout le matériel, y compris les mots furent créés par l homme, les idées, la politique, la philosophie et j en oublie certainement .
Quoiqu il en soit, le système des castes - pour ne pas parler d escavage - dans nos pays développés, est bien présent. L argent, L argent,...construit le bonheur et nos inégalités.
Bien à vous mes amis
aucun rapport avec la choucroute..
tiens donc le philosophe qui in,cite a tirer sur les gj une ordure
Le chant du bulot
Méthode = universel.
aboutissement de cette méthode = subjectif, puisque concept particulier lié à la conscience.
Eh ben.
je trouve que ses exemples sont discutables...
irislauren développe...?
irislauren developpe ...?
développe...?
Développe... ?
Développe... ?
v
Rien compris
Excellente approche de Kant par Ferry où le criticisme est dévoilé et ontologisé comme Heidegger l'a compris. Jean Bordes.
Le crètinisme d'un facsciste qui ne s'ignore pas.
C'est un peu facile de dire que l'idée de progrès s'est effondrée au profit de la pensée de Schopenhauer et de Nietzsche... C'est le cas pour les nouveaux petits bourgeois post-68 qui occultent complètement tout le progrès obtenu grâce aux luttes sociales, oublient la "biologie" du monde capitaliste, et qui font comme si le monde matériel sortait ex-nihilo, comme si on ne faisait plus que consommer sans produire....On est dans l'idéologie pure:
“Les pensées de la classe dominante sont aussi, à toutes les époques, les pensées dominantes, autrement dit la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est aussi la puissance dominante spirituelle. Les pensées dominantes ne sont pas autre chose que l’expression idéale des rapports matériels dominants, elles sont ces rapports matériels dominants saisis sous forme d’idées, donc l’expression des rapports qui font d’une classe la classe dominante; autrement dit, ce sont les idées de sa domination”
Marx
Les réalisations permises par une idée ne suffisent pas à acheter ni racheter sa validité philosophique. Dirait-on que Dieu existe parce qu'il a permis tout le progrès obtenu grâce à lui ? Il semble au contraire que ce soit les illusions qui soient les plus fécondes, l'excès de lucidité mène au pessimisme et à l'inaction (Schopenhauer) ou plus loin au dépassement de ce pessimisme et à l'action (Nietzsche).
Aléthia = désoubli. Le Léthé est le fleuve de l'oubli. Platon Rép. X.
Merci pour cette précision très éclairante.
FERRY BOAT UN GRAND ANARCHISTE,????????????????????
A la différence de Michel Onfray, Luc Ferry agit uniquement par intérêt. Par exemple, il ne fait pas de la philosophie, il vend de la philosophie. Avec des conférences très rentables auprès de dirigeants d'entreprises. Michel Onfray vit sa philosophie et s'efforce d'avoir une action conforme à ses idées. Luc Ferry participe à des commissions rémunératrices, il a été ministre, il défend l'idée de l'Homme augmenté, bref, c'est un courtisan. Il a encore des efforts à faire pour devenir vertueux. MO a une sacrée avance sur LF sur ce terrain. Il a toutefois été courageux quand il a dénoncé les crimes pédophiles, connus du tout Paris, commis en toute impunité par des politiques de premier plan.
Il fait partie du camp du "Bien". C'est donc normal.
Et pourtant, Onfray lui aussi ne peut vivre que d'amour et d'eau fraîche : vous pouvez faire un don à son organisme en ce sens, ou encore ACHETER SES LIVRES ;-). Il se sert donc du système... Mais cela en fait-il dès lors un paria ? Vous préfèreriez qu'il crève et se sacrifie au lieu de prendre les moyens disponibles pour communiquer avec nous ?
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Luc Ferry est un âne ! il est à la philosophie ce qu'Emile Louis était au transport scolaire !
Luc que des conneries il prétend être athee puis il dit que le cosmos est divin mdr
avant Kant, tous les philosophes Allemand parlaient Français.Kant a libéré les Allemands de dictature Française.
Revolution
Humanisme
Moderne
Du bla bla bla ...
bouffon ! bouffon ! bouffon !
LOL quelle crédibilité pour quelqu'un qui appelle à tirer sur celleux qui ont le malheur de ne pas être d'accord avec lui ?
Comme le disque à une face B, l'homme a une face sombre. Serait ce le fameux antagonisme?.
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